— Article en partenariat avec Wondershare —

Aujourd’hui, je vais profiter que c’est un peu calme niveau tech pour vous parler d’un logiciel de montage vidéo accessible à tous, peu importe votre niveau technique, et qui va vous permettre de créer des vidéos super cool pour votre YouTube, Instagram, TikTok… ou tout simplement à partager en famille. Ce logiciel disponible sous macOS, Windows, iOS et Android vous le connaissez surement, puisqu’il s’agit de Filmora 12 de Wondershare.

Si vous devez monter rapidement une vidéo pour la publier sur vos réseaux, vous vous demandez peut-être quel logiciel choisir. Eh bien, Filmora 12 est là pour vous aider, car en plus des fonctionnalités classiques de montage qu’on retrouve dans de ce genre de logiciel, il offre une panoplie d’effets vidéo et audio impressionnants ainsi que des fonctionnalités qui vont vous faire gagner un max de temps.

Tester gratuitement Filmora

Dans cette version 12, on retrouve de nouvelles fonctionnalités qui devraient vous plaire. Je commence par le stockage cloud sécurisé et gratuit à hauteur de 1 Go, qui permet de synchroniser et sauvegarder les éléments de votre projet (ressources multimédias, fichiers de projet et vos effets) sur différents appareils, ce qui est un gros avantage pour ceux qui bossent en équipe ou tous ceux qui passent le temps à changer de machine parce qu’ils sont en déplacement. Puis ça fait un backup de plus, parce qu’on n’est jamais trop prudent :).

En parlant de contenu, vous pourrez également profiter de la découpe intelligente AI, qui grâce à de l’intelligence artificielle, vous permet de sélectionner et d’éditer facilement tout objet ou arrière-plan indésirable dans vos clips, que ce soit des gens, des objets, des icônes, etc.

Vous allez dans ce menu :

Ainsi, vous sélectionnez votre sujet, et vous laissez bosser l’IA…

Celle-ci est alors capable de suivre le sujet tout au long de la séquence vidéo, et voilà pour le rendu une fois découpé !

Et si vous avez besoin de quelque chose de plus précis, vous pouvez également affiner la découpe de votre sujet image par image.

Et si vous avez la chance d’avoir la version US de Filmora, vous verrez également qu’ils ont intégré le support de ChatGPT pour justement vous permettre de créer des vidéos simplement en décrivant ce que vous voulez comme rendu final à Filmora. C’est un excellent exemple de ce que peut donner l’AIGC (Artificial Intelligence General Capabilities) dans le domaine du montage vidéo. Ce qui arrive va être vraiment fou !

Autre nouveauté dans cette version 12, c’est l’extension audio AI et la suppression du bruit de fond.

L’extension audio par IA permet de recalibrer n’importe quelle piste audio pour l’adapter à la durée de votre vidéo presque instantanément. Cette fonctionnalité basée sur l’IA vous permettra d’économiser des heures de découpage, de réglages, d’ajout de fondus et surtout de passer votre temps à écouter encore et encore la piste musicale pour l’adapter pile poil à la longueur de votre vidéo.

Elle « comprend » la piste voix présente dans un morceau de musique et peut alors remixer automatiquement un clip audio, sans le dénaturer, pour l’adapter à votre vidéo.

Quant à la suppression du bruit de fond, Filmora utilise là encore, un algo d’IA capable de supprimer différents types de bruits de fond dans vos scènes, mais également d’améliorer la qualité audio, ce qui est super pratique quand vous travailler dans un environnement bruyant ou avec un micro de mauvaise qualité. Vous pouvez utiliser 3 options de réduction du bruit : Amélioration de la voix, Réduction de la réverbération, et Réduction des bruits parasites.

Filmora propose également des fonctionnalités de Speech2Text et de Text2Speech pour tous ceux qui veulent transformer une piste voix en sous-titres par exemple ou faire une transcription, mais également l’inverse, à savoir, faire lire par une voix artificielle un texte.

Enfin, l’une des fonctionnalités que je préfère est le mode instantané. Ce mode est une véritable force pour les débutants puisqu’il permet de créer une vidéo sans avoir à faire de montage. Il suffit pour cela d’ajouter les médias (images, vidéos et sons) que vous voulez, et Filmora fabriquera LA vidéo qu’il vous faudra. Ce mode offre 115 modèles qui vous permettront comme ça de générer un vlog, une vidéo pro, un diaporama, un film de vacances…etc.

Au niveau de l’interface, vous ne serez pas perdu, car elle est en français, et surtout très simple à prendre en main. Vous y retrouverez directement tous les effets, les médias et les modèles qui vous faciliteront le boulot.

Filmora 12 offre également des tonnes de raccourcis de clavier pour aller encore plus vite, de la Synchro automatique audio-vidéo, la possibilité de rajouter des titres 3D, le support de LUT pour la colorisation, mais également des effets et des pistes audios libres de droits ainsi qu’une bonne compatibilité avec les GPU NVIDIA pour une vitesse de traitement et d’exportation ultra rapide.

La liste complète des fonctionnalités de Filmora 12 est disponible ici

Si vous faites du montage vidéo régulièrement, Filmora est un excellent choix pour tous ceux qui veulent à la fois disposer d’un vrai logiciel de montage avec tout ce que ça implique, sans se priver du côté « fun & facile » des outils de montage déjà présent dans des services comme TikTok ou Instagram. Le meilleur des 2 mondes en somme.

Concernant le tarif, c’est très abordable pour ce genre d’outil puisque le tarif débute à partir de 44,99 € / an pour la version base. Et si vous voulez en plus, accéder à leur banque d’effets, de modèles et de plugins supplémentaires, il faudra débourser 18,99 € / mois supplémentaires.

Bref, si vous recherchez un logiciel de montage vidéo, que vous soyez un débutant ou un professionnel, Filmora 12 de Wondershare est vraiment une option à envisager, car en plus de toutes ses fonctionnalités, leur site et leur Youtube regorge de tutoriels qui vous permettront d’apprendre les bases du montage vidéo et d’améliorer vos compétences pour mener à bien tous projets.

Télécharger Filmora 12

Salut les amis !

Aujourd’hui, je vais vous présenter un nouveau venu dans le monde des serveur HTTP, qui est à la fois simple et riche en fonctionnalités, prenant en charge TLS (HTTPS), CORS, la compression et l’authentification de base.

Installation

L’installation est un jeu d’enfant. Il suffit d’exécuter la commande

cargo install http-server

Et voilà, le tour est joué ! Pour vérifier que tout fonctionne comme prévu, tapez

http-server --help

Ce serveur dispose de plusieurs options assez flexibles, que ce soit pour activer la compression GZip ou pour mettre en place le partage de ressources entre origines (CORS).

Configuration

Lorsque vous exécutez le serveur sans lui donner d’options spécifiques, il utilisera une configuration par défaut. Mais ne vous inquiétez pas, vous pouvez personnaliser cette configuration en créant votre propre fichier de configuration TOML ou en fournissant des arguments en ligne de commande. Certaines des options disponibles incluent l’adresse IP et le port d’écoute, ainsi que le répertoire racine pour servir les fichiers.

En outre, le serveur est livré avec une interface utilisateur d’explorateur de fichiers, vous permettant de naviguer facilement dans le répertoire racine. C’est un peu comme si vous aviez une bibliothèque bien rangée directement dans votre navigateur.

Compression

Bien que la compression soit prise en charge, le serveur ne compressera aucune réponse HTTP par défaut. Pour activer la compression, il suffit d’ajouter le paramètre --gzip dans la commande de lancement ou de modifier le fichier de configuration TOML. À ce jour, seule la compression GZip est prise en charge, mais la prise en charge de Brotli est également prévue.

Il est important de noter que certains types MIME ne sont jamais compressés, tels que application/gzip, pour éviter de causer des problèmes.

TLS (HTTPS)

Le protocole HTTPS est devenu indispensable pour garantir la sécurité et la confidentialité des échanges entre le serveur et les clients. Le serveur http-server offre une solution TLS intégrée, basée sur rustls et hyper-rustls.

Pour utiliser TLS, il vous faudra un certificat et une clé privée RSA correspondante. Un script utile pour générer ces éléments est disponible ici. Notez que cela nécessite l’utilisation d’OpenSSL, alors assurez-vous de l’avoir installé sur votre système.

Cross-Origin Resource Sharing (CORS)

La prise en charge des en-têtes CORS est intégrée par défaut. Plusieurs méthodes de configuration CORS sont possibles, en fonction des en-têtes et des paramètres que vous souhaitez appliquer. En ajoutant simplement l’option --cors, les en-têtes CORS sont ajoutés à chaque réponse HTTP, permettant à n’importe quelle origine d’y accéder.

Pour des configurations plus complexes, vous pouvez spécifier des paramètres supplémentaires, tels que l’autorisation de certaines méthodes HTTP, directement dans le fichier de configuration TOML.

Authentification de base

Si vous souhaitez protéger l’accès à vos ressources, l’authentification de base est là pour vous. Il vous suffit de fournir un nom d’utilisateur et un mot de passe lors de la configuration, et le serveur s’occupera du reste, refusant les demandes avec des informations d’identification incorrectes.

Proxy

Et si vous avez besoin de rediriger les requêtes vers une URL spécifique, pas de problème, http-server peut également servir de proxy !

Alors en conclusion…

Ce que je peux vous dire c’est que http-server est plutôt polyvalent et sera parfait pour servir vos fichiers statiques sur le Web sans avoir recours à Apache ou Nginx. Avec des fonctionnalités telles que TLS, CORS, la compression et l’authentification de base, il deviendra rapidement un allié de taille pour tous vos projets web.

Pour en savoir plus sur ce serveur HTTP et accéder au code source, n’hésitez pas à consulter le lien suivant.

Salut ici Rémi Remouk, le comparse avec qui Korben anime l’émission Webosaures, fabuleux podcast qu’on enregistre en direct sur Twitch tous les jeudis ! On parle des actus tech/web, de nos découvertes culturelles, on discute avec des invités de leur parcours et créations… Tout cela avec notre point de vue de vieux croûtons geeks. 😀

Les vacances arrivent donc on fait une pause dans les enregistrements, en revanche, on poste nos émissions en replay sur toutes les plateformes de podcast, ainsi que sur Youtube ! Une émission par jour, sauf le week-end. Voici un récap des épisodes parus la semaine dernière, comme ça vous ne raterez rien :

🤓🦕 Actuosaure : puce T2 et réutilisation, chiffrement et API sur les réseaux sociaux, IA, crypto…

(Les sujets abordés : Apple sécurité puce T2 et reconditionnement ; Le chiffrement de Messenger ; Extension de garantie & délai de rétractation ; Retour de Trump sur Facebook et Instagram ; Clients tiers coupés de l’API twitter ; Robot liquide et solide 😱 ; ChatGPT qui passe un examen ; Nouvelle loi sur les crypto-monnaies ; Le fail des NFT Porsche ; La 5G dans le métro ; ReFS dans Windows 11 et le nouvel explorateur ; Hamachi piraté (et accessoirement tous les services des créateurs de LastPass) ; Un astéroïde frôle la terre ce soir ☄️)

🤓🦕 On joue à un quizz généré par ChatGPT !

🤓🦕 Culturosaures : nos découvertes du mois de février !

(On vous parle de : The Orville ; Double Fine PsychOdyssey ; Double Fine Adventure ; BDE ; The Whale ; The Last of Us ; Wu-Tang: An American Saga ; Welcome ; The Old Way ; Pokémon Violet & Écarlate ; L’Évadé: L’étrange affaire Carlos Ghosn ; Tetris ; Superstore)

🤓🦕 Actuosaure : IA embauchée ou volée, censure chez Tiktok & Youtube, Angry Birds et quelques jv !

(On vous parle de : CNEWS qui embauche ChatGPT et licencie douze journalistes ; Le ChatGPT de Meta, été volé puis publié en ligne ; Duck assist ; MK2 lance une plateforme de streaming “garantie sans algorithme” ; Wolswagen : un car jacking avec kidnapping involontaire, merci la localisation GPS ; Supprimé du Play Store, Angry Birds revient finalement ; Censure de TikTok sur le territoire US, oui ou non ? ; TikTok qui lance une nouvelle fonctionnalité pour concurrencer OnlyFans ; Youtube, point sur les gros mots et la censure (encore !) ; Bluesky, l’alternative à Twitter de Jack Dorsey (créateur de Twitter) ; La police Danoise qui prend soin de la jeunesse ; Le jeu vidéo Give me toilet paper 🧻)

📚🦕 Culturosaures : nos découvertes culturelles ! (ciné, séries, jeux, lecture, musique…)

(On vous parle de : Kompromat ; The Last of Us ; Little Monsters – Girls with Balls ; Jerry & Marge Go Large ; Operation Fortune: Ruse de Guerre ; Luther: The Fallen Sun ; Poker Face ; Pornhub: Gros plan sur le géant du sexe ; Metroid Prime Remastered ; Le dernier Kirby)

Et si je vous causais un peu de ce projet nommé SketchyBar qui n’est ni plus ni moins qu’une barre d’état hautement flexible et personnalisable pour macOS ?

SketchyBar a été forké à partir de Spacebar et complètement réimaginé et réécrit. Les améliorations incluent une meilleure performance, une expérience entièrement scriptable, plus de possibilités de configuration (polices, arrière-plans, couleurs, icônes, etc.) et un système d’événements et de scripts encore plus puissant. Pour l’installer, vous pouvez passer par Brew.

Conçue spécialement pour les personnes qui aiment jouer avec des scripts shell, elle permet d’adapter votre barre d’état macOS en fonction de vos envies, tel un caméléon changeant de couleur pour se fondre dans son environnement.

Après avoir consulté le guide d’installation et les scripts par ici, vous vous rendrez vite compte que les possibilités de SketchyBar sont infinies.

Les principales fonctionnalités de SketchyBar incluent entre autres :

• Un haut niveau de configuration
• Un système d’animation dynamique
• Un système de scripts et de gestion des événements, afin d’interagir avec vos scripts

L’application est hyper modulaire et tous les éléments de la barre peuvent être ajoutés, supprimés et modifiés librement à tout moment à l’aide d’un système de script événementiel.

Pour ceux qui aiment mettre la main à la pâte et se familiariser avec les différents éléments, je vous invite également à consulter les plugins et les configurations disponibles et surtout à les essayer par vous-même pour vous familiariser avec eux.

SketchyBar est un projet fascinant qui offre des possibilités infinies aux utilisateurs de macOS qui cherchent à améliorer l’apparence et les fonctionnalités de leur barre d’état. Si comme moi, vous êtes toujours à la recherche de la barre d’état parfaite, alors ne cherchez pas plus loin et donnez une chance à cette application !

À découvrir ici

Vous êtes vous déjà demandé qui étaient les courageux qui chaque jour rédigent, corrigent, complètent cet incroyable océan de connaissances qu’est Wikipédia ?

Dans leur grande majorité, ils font un boulot exceptionnel et comme Spiderman, ils savent qu’un grand pouvoir implique de grandes responsabilités. D’ailleurs, il est plutôt sain de vouloir savoir qui se cache derrière certaines modifications de l’encyclopédie car parfois, y’a des petites manips également.

D’ailleurs, ce serait super si un outil existait pour savoir qui a écrit quoi sur Wikipedia…

Ah mais je suis bête !! Cet outil existe et il s’agit d’une extension qui s’appelle « Who Wrote That ? » (WWT).

Cette extension est dispo pour les navigateurs Chrome et Firefox dans plusieurs langues, dont l’anglais, l’allemand, le basque, le turc, l’espagnol et bien sûr, le français. Vous pouvez la télécharger sur les stores d’extensions de ces navigateurs.

Après l’avoir ajoutée à votre navigateur, il vous suffira alors de vous rendre sur une page article de Wikipédia en mode lecture et ainsi profiter de toutes les possibilités offertes par WWT.

La première chose que j’ai remarquée, c’est la fonctionnalité de mise en évidence des contenus similaires. En survolant un mot ou une image miniature, l’extension révèle tous les autres éléments rédigés par le même auteur. Comme si cela ne suffisait pas, WWT propose également de découvrir l’historique et les détails de chaque révision en cliquant sur un mot ou une image.

Ainsi, une pop-up apparaîtra avec le nom de l’auteur, des liens vers sa page utilisateur et sa page de discussion, et également l’historique des révisions de cette personne. Vous pourrez également voir l’horodatage de la révision et un lien vers les détails, le résumé d’édition (le cas échéant), le nombre d’octets ajoutés ou retirés et le pourcentage de la page écrit par l’auteur.

Étonnamment, WWT fonctionne également sur les anciennes versions des articles et les pages « diff » permettant de comparer les versions.

Le projet WWT est toujours en cours d’amélioration constante, et si ça vous branche, l’équipe derrière le projet recherche d’ailleurs activement des retours d’utilisateurs pour affiner son code.

A découvrir ici !