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Korben

source: Korben

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Boostez la confidentialité et la vitesse de votre site avec OMGF

dimanche 17 décembre 2023 à 09:00

OMFG en anglais, ça veut dire « Oh My Fucking God » (C’est à dire « Bordel de dieu » comme disent les Belges) mais connaissez-vous : OMGF ?

OMGF c’est « Optimize My Google Fonts » et il s’agit d’un plugin pour WordPress qui va vous aider à récupérer et héberger sur votre serveur toutes les polices de caractère Google Fonts que vous utilisez sur votre site web. Cela a plein d’avantages. En effet, vous pourrez ainsi profiter des polices de Google en limitant les requêtes externes vers leurs serveurs. Votre site se chargera plus rapidement, le cache sera mieux géré et surtout, niveau RGPD, vous serez au top et vous n’irez pas croupir dans les geôles sombres et humides situées sous-sol des bureaux de la CNIL.

Globalement, une fois installé, y’a rien à faire. L’extension détecte automatiquement les Google Fonts de votre thème et de vos plugins et les met ensuite en cache. A vous d’affiner si besoin le chargement en amont ou pas (pré-chargement) de certaines polices situées dans vos CSS. Et si certaines polices ne sont pas utilisées, il les décharge également automatiquement.

Mais OMGF ne s’arrête pas là, il a plein d’autres fonctionnalités sous le capot : Support des polices variables, suppression automatique des sous-ensembles inutilisés pour alléger vos CSS de près de 90%, effacement des appels pointant vers fonts.googleapis.com ou fonts.gstatic.com, et bien plus encore, surtout avec la version OMGF Pro qui ajoute des choses comme la prise en charge multisite ou une fonctionnalité « Dig Deeper » pour une optimisation encore plus fine.

Si ça vous dit d’essayer, c’est sur le store des extensions WordPress en cliquant ici.

Wave – Le terminal open source pour Linux / macOS qui va vous rendre la vie plus facile

samedi 16 décembre 2023 à 09:00

Que vous soyez sous Linux ou macOS, vous savez qu’on peut vivre entièrement dans son terminal en tapant des petites lignes de commandes avec ses petits doigts.

Mais, un terminal, ça va. Mais quand on en lance plusieurs, ça commence à vite devenir le bordel à gérer. Heureusement, il y a une bonne solution qui s’appelle Wave et qui est tout ce qu’on est en droit d’attendre d’un terminal moderne.

Dans cet outil, vous allez pouvoir créer des espaces de travail (ce qu’on appelle vulgairement dans la langue de Trump des Workspaces) et dans chacun d’entre eux, vous allez pouvoir créer plusieurs sessions locales ou distantes avec persistance des connexions. Tout cela est évidemment sauvegardé pour ensuite rapidement retrouver vos petits après un reboot par exemple.

Alors qu’offre ce terminal ?

En plus de tout ce qui est classique, à savoir taper des lignes de commandes, il Merlet d’éditer rapidement un petit bout de code dans n’importe quel fichier avec le même éditeur que celui qui se trouve dans VS Code, donc avec de la coloration syntaxique et tout le toutim.

Il permet également de visualiser le contenu de fichiers data comme du Markdown, du CSV, du JSON…etc. Le CSV par exemple s’affiche sous la forme d’un tableau que vous pouvez ensuite copier-coller si le coeur vous en dit.

Et cerise sur le gâteau, y’a même un viewer d’images intégré.

WaveTerm est téléchargeable ici !

This Means Warp

vendredi 15 décembre 2023 à 13:57

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Un vaisseau spatial. Vous et votre équipage montez à bord et entreprenez un voyage intersidéral. Votre mission, si vous l’acceptez : survivre ! Ce sera déjà pas mal, la suite on verra. 😀 Combats, réparations, améliorations, gestion de crise, une chose est sûre : il faudra travailler en équipe pour s’en sortir. This Means Warp est un roguelite orienté coop !

C’est un peu un mélange d’Overcooked et de FTL, deux EXCELLENTS jeux que je vous recommande. On retrouvera le concept global de FTL : s’occuper d’un vaisseau, de ses avaries, combattre ceux qui nous attaquent, recruter de nouveaux membres d’équipage, améliorer notre équipement… Mais un gameplay + proche d’Overcooked : en même temps, jusqu’à 4 joueurs, on doit se répartir les tâches, ne pas se marcher dessus, trouver VITE des solutions. Et ça fonctionne pas mal du tout !

On se prend rapidement au jeu. Les contrôles sont assez simples / basiques, et même si l’interface n’est pas ultra claire au début, une fois qu’on a pris le pli, ça se passe bien. 🙂 On enchaîne les petites missions, nos personnages progressent, montent en niveau, notre vaisseau semble sur-équipé, puis on meurt face au 1er boss venu… Et on recommence avec plaisir.

Comme tout bon roguelite qui se respecte, on débloque de nouvelles options de jeu (personnages, vaisseaux, scénarios, objets…) à force de progresser dans nos aventures. Ces aventures, justement, sont générées aléatoirement, ça se renouvelle plutôt bien, mais heureusement que les possibilités s’étoffent (un peu trop lentement à mon goût) au fur et à mesure de nos parties.

NOS parties parce que oui, ce qui fait le sel du jeu, je l’ai déjà dit hein faut suivre, forcément, c’est le mode coop. Seul ? Autant jouer à FTL. À partir de 2 c’est déjà bien cool, à 3 ou 4 on atteint le plein potentiel de fun. J’aime beaucoup ! Bon faut s’avoir s’organiser un peu, ne pas engueuler les copains dès qu’ils font un truc qui ne vous plaît pas, et ça se passera bien. Si si, c’est possible !

Un autre truc qui est possible : jouer en ligne. Non pas comme les pigeons sur une ligne haute tension, je veux en ligne / online / sur internet ! Pas de crossplay malheureusement, mais pour le peu que vous ayez le jeu sur la même plateforme, vous pourrez retrouvez vos potes et vivre une épopée galactique ensemble, chacun chez soi en slip devant l’écran.

Petit bémol pour la version Switch car elle souffre de légers ralentissements. Comme souvent, rien de grave, ça ne gêne jamais le jeu, mais on le remarque. Ceci dit, je préfère quand même cette version pour le côté portable. 🤓 Ça coûte 20€. Pour jouer sur la même console je trouve que ça vaut grave le coup, si chacun doit acheter sa copie pour jouer à distance, attendez peut-être une promo. Ou alors pensez au Remote Play Together de Steam. 😉

En toute honnêteté, ce n’est pas un jeu incroyable, y a rien de novateur, c’est un peu cheap, mais très agréable, fun, simple d’accès, avec pas mal de choses à faire / à découvrir, le plaisir du jeu est bel et bien présent. Je recommande aux fans du genre, pour passer de bons moments dans l’espace avec ses ami·e·s.
Un bon 🚀🚀🚀/5

Retrouvez This Means Warp sur Steam, Switch, PS4, Xbox One & X|S

Test de la distribution Garuda Linux

vendredi 15 décembre 2023 à 09:00

Je vous ai déjà parlé de Garuda Linux dans mon TOP des distribs Linux incontournables mais cette fois, je vais lui consacrer un article en entier car je la trouve assez cool.

Basée sur Arch, Garuda Linux est une perle rare conçue par une équipe de développeurs passionnés répartis aux quatre coins du globe. C’est facile à installer et à comprendre donc même les débutants pourront tester ce Linux et surtout choisir l’environnement de bureau qui lui convient. Car oui, Garuda est disponible dans différents « parfums » comme disent les anglophones 🙂

La distrib se décline donc en une palette impressionnante de flavors, chacune offrant une expérience unique. Parmi elles, la Garuda KDE Dr460nized (Dragonized si vous n’aviez pas capté) brille de mille feux. C’est celle que j’ai installé et cette édition plonge ses utilisateurs dans une expérience Plasma sombre, hyper moderne et totalement immersive. Le workflow s’inspire de celui des Macs, avec un appmenu intégré directement dans la barre supérieure. C’est une édition spécialement conçue pour ceux qui recherchent un environnement de bureau élégant et moderne, évidemment sans compromis sur la fonctionnalité. On aime ou on aime pas donc.

Pour les amoureux des environnements de bureau plus légers et rapides, Garuda Linux propose également Xfce. Connu pour sa stabilité et sa fiabilité, Xfce offre une expérience utilisateur attrayante tout en étant économe en ressources système. Parfait donc, pour ceux qui cherchent à combiner performance et esthétique sans surcharger leur machine.

Il y a aussi Garuda Linux Sway qui propose une configuration complète et facile à utiliser avec des raccourcis clavier intuitifs, dans une esthétique « nordique » séduisante. Utilisant les meilleures alternatives natives de Wayland, Sway assure une transition en douceur vers le compositeur Wayland, alliant beauté et rapidité.

On retrouvé également une version GNOME parfait pour ceux qui ne veulent pas perdre les habitudes qu’ils avaient avec Ubuntu. Une version Cinnamon également qui rappelle GNOME 2 par son aspect mais évidemment avec plus de flexibilité et de rapidité. Garuda est également dispo en version KDE Lite pour ceux qui aiment les approches minimalistes avec uniquement le strict nécessaire en matière de logiciels pré-installés.

Il y a également la version i3WM qui est un gestionnaire de fenêtres léger, contrôlé exclusivement au clavier. La version de Garuda intègre une configuration simple avec LXappearance pour gérer les thèmes GTK, idéal pour ceux qui apprécient une empreinte mémoire réduite. Sans oublier la version Qtile qui est un gestionnaire de fenêtres dynamique et extensible, facile à personnaliser. Garuda Qtile utilise jgmenu pour un lancement pratique des applications sans avoir à se souvenir de raccourcis clavier.

Enfin, Garuda est disponible en version Hyprland. Il s’agit d’un compositeur dynamique de « tuiles » Wayland basé sur wlroots, qui ne sacrifie pas l’esthétique pour la performance, offrant une expérience visuelle attrayante et une fonctionnalité de pointe.

Voilà, avec tout ça, vous n’avez que l’embarras du choix.

Mais l’esthétique n’est pas sa seule qualité. Garuda est robuste notamment grâce à l’utilisation du système de fichiers Btrfs. C’est clairement e système de fichiers du moment, connu pour sa tolérance aux erreurs, ses capacités de réparation et de compression native avec zstd. Garuda est également capable de vous protéger de vous-même grâce à son système de snapshot automatique. Comme ça, fini les sueurs froides après une fausse manip’. Vous pouvez revenir en arrière facilement grâce aux sauvegardes accessibles directement depuis Grub.

De plus, Garuda vient équipée de tout ce dont vous avez besoin : un AppStore intégré, un Game Center pour les gamers, des outils pour Grub, la gestion du réseau et la création de hotspots. Tout y est !

Côté maintenabilité (dur à écrire ce mot ^^), Garuda fonctionne sur un principe de rolling release. Autrement dit, vous bénéficiez des dernières mises à jour en continu. Le noyau a été optimisé pour répondre parfaitement à vos besoins, que vous soyez un bosseur, un gamer ou un pinpin qui utilise son Linux pour mater des vidéos.

Bref, pour résumer, Garuda Linux, c’est :

Voilà, vous savez tout sur Garuda Linux. Maintenant pour l’avoir tester quelques temps, c’est un excellent Linux, même si je ne suis pas fan du thème par défaut avec le Dragon, mais bon, ça, ça peut s’arranger facilement. Tous les outils proposés sont assez « simplistes » donc faciles à prendre en main. Maintenant, je ne pense pas que je resterai sur la version Dragonisée mais que je passerai plutôt sur la Xfce pour des questions de performance système (Car j’ai un petit PC).

Si ça vous tente, c’est par ici. Y’a une ISO bootable pour chaque flavor donc vous pouvez simplement la tester en version Live. Et si ça vous plait, vous pourrez l’installer définitivement sur votre ordinateur.

Karma police

jeudi 14 décembre 2023 à 14:08

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

J’ai découvert un jeu bien rigolo, bien bien fun ! KarmaZoo est un jeu de plate-forme assez original. 🙂 En gros, le principe c’est d’aller à la fin du niveau en récupérant un maximum de karma sur le chemin. Ok, ça c’est très classique. Là où c’est un peu nouveau, c’est qu’on va jouer avec des inconnus et qu’il va falloir s’entraider !

Quand vous lancez une « boucle », vous rejoignez d’autres joueurs en ligne, et ensuite le jeu vous envoie dans des niveaux de plus en plus difficiles que vous devez traverser main dans la main. Les manières de coopérer sont multiples : mourir sur des pics, par exemple, laissera à votre endroit une petite plate-forme sur lesquels les autres pourront monter. 🙂 Parfois, il va falloir se sacrifier volontairement ! Chaque bonne action vous octroie du karma.

Le karma vous servira à débloquer de nouveaux animaux que vous pourrez (ré)incarner. Non seulement ils sont, à chaque fois, super mignons, mais en plus ils ont des capacités spéciales ! Planer dans les airs, s’accrocher aux murs, faire décoller les copains… De nouvelles manières d’aider les petits potes avec qui vous partagez l’aventure !

Il y a certains passages assez ardus où la coopération est indispensable, comme par exemple, appuyer sur un bouton au bon moment pour faire avancer nos camarades sur une plateforme. C’est là que jouer avec des inconnus prend tout son sel ; pour communiquer on saute dans tous les sens, et ça marche. 😀 Il est aussi possible de jouer, en ligne, avec des amis, mais je trouve que ça perd de son charme.

Vous pouvez aussi lancer le mode « totem », c’est de la compétition sur le même écran, en local. Des minis jeux (course, adresse…) à jouer à l’apéro. Ça utilise plutôt bien les différents animaux et leurs pouvoirs, c’est rigolo, mais ça reste secondaire.

Voilà pour la petite présentation du jeu. C’est choupi comme tout, rigolo, pour 10€ je trouve que ça vaut le coût ! À savoir que le jeu est dispo sur toutes les plateformes et qu’on bénéficie du crossplay ; on peut jouer sur Switch avec des joueurs PC, etc.

Retrouvez KarmaZoo sur Steam, Epic Store, Nintendo Switch, PS5, Xbox X|S