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mozillaZine-fr : Achèterez-vous un smartphone Firefox OS ?

vendredi 19 avril 2013 à 23:43

Téléphones sous Firefox OS, par Geeksphone Vous l'avez sans doute vu sur notre fil Twitter : les premiers téléphones mobiles sous Firefox OS seront bientôt disponibles (la semaine prochaine si tout va bien) chez la société espagnole Geeksphone.

Bien entendu, ces téléphones sont destinés avant tout aux développeurs d'application sous Firefox OS afin qu'ils testent leurs applications dans des conditions réelles (et non dans le simulateur). Mais on se doute bien que des fans de Firefox et autres amoureux de gadgets technologiques (autrement dit, des geeks) seront tentés de se procurer ces téléphones proposés à un prix très raisonnable, au risque « d'essuyer les plâtres eléctroniques ». Et vous, êtes-vous tenté ? Et si oui, pour quelle raison ? Le développement d'application pour Firefox OS ? Le prix ? La nouveauté ? (La couleur orange ?)

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Philippe Scoffoni : Mutualisation et logiciel libre, les utilisateurs oseront-ils prendre le pouvoir ?

vendredi 19 avril 2013 à 08:32

prendre le pouvoirLe modèle d’éditeur de logiciel libre ou open source malgré ses défauts semble incontournable pour financer le développement de nouveaux logiciels libres. Quelques rares exemples nous montrent qu’une autre voie est possible : celle de la mutualisation. Mais c’est une voie anxiogène pour bien des sociétés de services en logiciel libre. Si l’utilisateur prend le contrôle du logiciel, ce sera au détriment des prestataires de services. Mais au final, c’est bien l’utilisateur que le logiciel libre est censé libérer.

Editeur de logiciel libre, modèle incontournable ?

Tout dépend du logiciel qui doit être développé. Les logiciels d’infrastructure se prêtent mal à ce modèle à moins d’opter immédiatement pour une stratégie de type open core ou Freemium. Un projet comme OpenStack n’aurait jamais pu être porté par un éditeur, trop de concurrence sur les services qui restent pour un éditeur de logiciel, une source de revenus indispensable.

Même combat pour les outils bureautiques, même si de petits projets comme Abiword ou GNumeric ou encore les déclinaisons d’OpenOffice comme OOO4Kids ou OOOLigth portés par des associations continuent leur bout de chemin. Mais le mot est lâché, ce sont des associations encore une fois, pas des entreprises. Un modèle qui peut dans certain cas entraîner des dérives lorsqu’une entreprise “emploie” une association et ses bénévoles pour favoriser ses activités.

Les éditeurs sont apparus pour répondre aux besoins des utilisateurs qui n’étaient pas couverts. les utilisateurs formatés par des années de modèle Microsoft ne peuvent imaginer bien souvent qu’ils puissent être à l’origine des programmes informatiques dont ils ont besoin. Paradoxalement, on sait que c’est dans les entreprises qu’est produite la plus grande quantité de code source de programme.

Voilà nos utilisateurs coincés entre l’habitude de faire eux-mêmes ou avec l’aide d’un prestataire et celle d’acheter un logiciel à un éditeur. De temps en temps cependant, certains se regroupent et fondent des GIE (Groupement d’Intérêt Economique). Ces derniers  tournent souvent au cauchemar aboutissant à autant de versions du logiciel que de membres avec à la clé un coût financier exorbitant.

Mutualisation, trop compliquée ?

On a vu que les grands acteurs de l’industrie du numérique voient dans la mutualisation de leur recherche & développement un intérêt certain. C’est aujourd’hui la raison d’être des fondations Linux, Apache, OpenStack et autre Eclipse. Une approche qui peut sembler naturelle pour des sociétés technophiles et des grands groupes.

Si l’on revient à l’échelle de la PME, la mutualisation sur le modèle du logiciel libre disparaît au profit de l’éditeur à qui on sous-traite indirectement cette tâche.  On décroche son téléphone, on appelle un éditeur ou un intégrateur et on paye pour se faire mettre en place une solution.

Certains ont montré la voie de la mutualisation comme l’ADULLACT dans le domaine des collectivités publiques selon une équation bien connu de

Mutualisation + argent public = logiciel libre.

Le même modèle est-il applicable aux entreprises ? J’entends souvent répondre que c’est bien trop compliqué, que les PME et TPE françaises sont bien trop “gauloises” dans leurs habitudes pour que cela marche. J’imagine pourtant que dans les collectivités publiques, cela ne doit être guère différent.

J’ai appris en plus de 6 ans de pratiques des AMAP que l’on pouvait être un “consom’acteur”, qu’il était possible de prendre en main, d’orienter les méthodes de production de nos agriculteurs tout en évitant certains intermédiaires pas forcément inutiles, mais souvent trop gourmands et surnuméraires. Tout cela pour au final être le plus sûr possible de ce que je mets dans mon assiette.

Il est possible de faire de même avec l’informatique et les logiciels. Les entreprises doivent apprendre à devenir les acteurs et ne plus simplement consommer les produits joliment emballés que leur proposent les éditeurs et leurs compagnons, les sociétés de service. Non pas, encore une fois, que ces acteurs soient inutiles, ils ont toute leur place et leur expertise est indispensable. Mais les utilisateurs et le logiciel libre gagneraient à changer le rapport de force en présence.

Pourtant cela pourrait changer bien des choses

La mutualisation par les entreprises de leurs besoins pourrait changer la donne. Dans ce modèle, les sociétés de services sont consultées pour répondre à un besoin selon les desiderata des utilisateurs qui restent les maîtres à bord. Ce qui change c’est que l’utilisateur n’est plus seul, isolé face à une société de services. C’est un rapport de force bien différent que dans le face à face classique entreprise/prestataire.

Une expérience que je tire d’une première année d’activité de ma société Open-DSI. J’ai pris cette posture d’être au côté de l’utilisateur face aux prestataires. Vous pouvez chercher sur mon site, il n’y a pas de partenaires et il n’y en aura jamais. Cela fait partie des cinq piliers de ma société. Je ne suis pas le seul à mener ce genre d’activité ; d’autres le font, mais nous sommes au final encore peu à défendre ce concept d’accompagnement et d’indépendance.

On rétorquera que les “décideurs informatiques ne sont pas des enfants” et c’est vrai. Sauf qu’il n’y en a pas dans la grande majorité des PME où la direction informatique est souvent assurée par le Directeur Administratif et Financier ou encore le dirigeant. Les PME, c’est juste 99% des entreprises en France. Il y a bien des informaticiens, mais leurs compétences et activités les cantonnent au rôle de celui qui fait marcher l’informatique. Difficile avec le nez dans le guidon d’imaginer qu’il soit possible de mutualiser ses besoins et ses moyens avec d’autres dans un modèle basé sur les logiciels libres.

Les industriels ont compris tout l’intérêt de la mutualisation et du logiciel libre, il reste à faire connaître ce modèle aux plus petits. Lourde mission que je me suis donnée au travers de ma société. Mais petit à petit les éléments se mettent en place et un premier projet concret est en train de se mûrir. J’espère pouvoir vous en dire plus prochainement.

Une chose qui est certaine, ce n’est pas un modèle qui va plaire, si les utilisateurs reprennent la main, d’autres la perdront. Les changements de pouvoirs ne sont jamais vécus sereinement. J’entends comme un concert de voix dans le monde de l’open source qui voudrait étouffer cette éventualité. Pourtant cela éviterait bien des gaspillages et libérerait d’autres énergies positives pour notre économie.


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 19/04/2013. | Lien direct vers cet article

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crowd42 : Une liste de proxy pour contourner la censure

vendredi 19 avril 2013 à 03:21

Censored stamp

Si vous êtes dans un pays qui a tendance à limiter la liberté d’expression, qui est un habitué de la censure d’Internet, ou que vous en avez ras le bol que des sites web ou des services Internet, ne soient pas accessibles depuis votre zone géographique (Spotify, Pandora, certaines vidéos sur youtube…), alors peut-être que vous seriez intéressés par découvrir le service de proxy lancé par la société iDCLOAK.

Cette société propose une liste interactive qui regroupe à peu près 2500 proxy. constamment mis à jour. Le point fort de ce service, c’est qu’il permet aux utilisateurs de choisir le proxy qui convient le plus à leurs besoins. Par exemple, vous pouvez trier la liste pour afficher les proxy selon les pays qui héberge le serveur, vitesse du débit de la connexion, degré d’anonymat, protocole…etc.

iDCLOACK

Bien que je sois sceptique à l’égard de leurs utilisation, les proxy restent un bon compromis quand on pas les moyens de prendre un abonnement VPN. Tout ce que je vous conseille c’est d’éviter de passer par un proxy si vous devez saisir des informations très sensible : numéro de carte de crédit, mot de passe boite email…

Pour utiliser un des proxy proposé par iDCLOAK dans Firefox par exemple, aller dans Éditions -> Préférences -> Avancé -> onglet Réseau puis paramètres et cochez la case Configuration manuelle du proxy ;

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Voilà, maintenant vous pouvez naviguer d’une façon un peu plus anonyme.

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dada : Debian 7.0 - Wheezy annoncée pour le premier weekend de mai

jeudi 18 avril 2013 à 17:56


debian-logo.jpg

We now have a target date of the weekend of 4th/5th May for the release.We have checked with core teams, and this seems to be acceptable for everyone.  This means we are able to begin the final preparations for a release of Debian 7.0 - "Wheezy".

Nous visons maintenant le weekend du 4 et 5 mai pour sortir Debian Wheezy. Nous nous sommes entretenus avec l’équipe "Core" et il semblerait que ça soit faisable pour tout le monde. Cela veut dire que nous sommes en positions pour commencer les préparatifs de la sortie de Debian 7.0 Wheezy.

Le "Quand ça sera prêt" de Debian s'approche à grand pas et cette version Wheezy, que j'affectionne particulièrement, sera officiellement disponible dans le courant du premier weekend de mai !

Mes machines personnelles tournent déjà très bien sous cette version mais mon serveur, ce serveur sur lequel vous êtes, n'échappera pas à une mise à jour !

Au programme :

Si vous voulez la liste des nouveautés, c'est par ici.

L'annonce officielle est disponible dans ce mail.

Edit : Je parle de Wheezy, pas de squeeze... Oops.

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Quack1 : Lire des vidéos HD sur un Raspberry Pi

jeudi 18 avril 2013 à 17:21

Article très court pour partager une astuce que j'ai mis assez longtemps à trouver. Petite mise en situation : j'ai chez moi un Raspberry Pi modèle B qui fait office de serveur web et me permet d'avoir un proxy SOCKS gratuit et léger chez moi. Pour ces raisons, j'y ai installé Raspbian, en configuration headless (comprenez "sans interface graphique"), afin de gagner en performance.

Je m'en sers également pour regarder des vidéos sur ma télé, branchée au Raspberry en hdmi, depuis mon disque dur externe. La commande pour lire les vidéos est très simple :

user@jackjack $ omxplayer -o hdmi my_video.avi

Ceci a pour but de lancer la vidéo, en redirigant la sortie audio sur le hdmi.

Seulement un problème se pose lors de la lecture de vidéos en Haute-Définition, notamment les vidéos au format MKV, en h264, 720p. Les symptômes sont ceux-ci :

En gros, la commande donne ça :

user@jackjack $ omxplayer -o hdmi some_other_video.mkv
Video codec omx-h264 width 1280 height 720 profile 100 fps 23.976025

have a nice day ;)

J'ai donc googleisé pendant des jours, en enchainant les mots-clés, "mkv video raspberry", "h264 omxplayer crash", "bug raspberry pi hd video", mais toujours sans succès.

Puis, hier soir, j'ai décidé de poster un message sur le forum officiel Raspberry Pi. Et là, hallelujah! Un sympathique dom me répond à peine une heure après, et résoud mon problème!

Le solution est donc celle-ci : Il faut augmenter la taille de la mémoire accordée au GPU en modifiant le fichier de configuration du boot.

Pour cela, on modifie le fichier /boot/config.txt, pour modifier la valeur gpu_mem, qui par défaut à une valeur de 32.

user@jackjack $ grep gpu_mem /boot/config.txt 
gpu_mem=64

Et normalement tout marche mieux! Notez que si vous avez d'autres soucis, notamment des sous-titres qui ne s'affichent pas, vous pouvez augmenter cette valeur!

Enjoy! ;-)

Source

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