J’ai récupérer il y a quelques jours un Toshiba NB250-101, un netbook sorti en 2010 équipé de Windows 7. Autant vous dire que cette petite bécane ramait à mort et rendait son utilisation quasiment impossible, il a donc fallu trouver un moyen de lui redonner un peu de pep’s.
Petit tour de la bêbête
Le Toshiba NB250-101 est un netbook c’est à dire un ordinateur de très petite taille, aux performances plus faibles qu’un ultraportable classique (cf. Wikipedia), doté d’un écran de 10.1 pouces ce miniportable contient un disque dur de 160Go et d’une mémoire vive d’1 Go, pas féroce n’est ce pas ? À l’origine il est vendu avec Windows 7 Starter Edition… Pour pousser le tout il est équipé d’un processeur Intel Atom Pineview N455 qui supporte la DDR3, ah j’oubliais, c’est un 32bits.
Bref rien de bien transcendant (cc Córdula), je pense qu’à sa sortie c’était une belle acquisition qui devait faire ce qu’on lui demande sans trop de chichi pour 280€ neuf en tout cas bien mieux que dans l’état dans lequel je l’ai récupérer. Laisser pour mort au fin fond d’un tiroir du grenier chez mes parents car devenu trop inutilisable pour ma petite maman qui à préféré s’acheter un iPad Air à la place.
En effet au démarrage du netbook tout se lance en un clin d’œil mais ça c’est avant l’ouverture de la session Windows, s’en suit alors une réaction en chaîne de programme qui se lancent dès l’ouverture qui alourdit considérablement la bécane, sans compter Skype qui se fige en plein milieu de l’écran, eBay qui fait chier aussi, Windows Live Essentials (c’est pas une blague)… et pour couronner le tout McAfee qui s’affole car ça fait 3 ans que le bitoniau était éteint donc pas du tout à jour enfin bref une calamité cosmique !
À L’AIDEEEEEEEEEE
Personnellement on me prend pas la pine longtemps j’ai donc tout couper de force et suis parti à la quête d’une distribution Linux légère pour donner une seconde vie à ce netbook qui me servira peut-être d’ordi de secours dans le futur. Mon réflexe à été d’essayer Xubuntu mais c’est trop puissant et impossible à lancer dessus, après avoir parcouru la toile et sauter de forum en forum j’ai tester Lubuntu qui démarre sans aucuns pépins dessus mais à la longue est aussi trop puissant pour le Toshiba qui fini par se figer quelques fois comme à l’ouverture de Firefox par exemple.
Il existe pleins de distributions Linux plus ou moins légères mais les supports techniques en français se font rares et pour certains distro les supports anglais ne sont plus à jours depuis plusieurs années donc pas enfin de me prendre la tête à jouer l’Indiana Jones du cambouis tu vois alors après avoir lu les 3 articles de Frédéric Béziès qui a tenté il y a un an de jouer au docteur Frankenstein avec son Asus eeePC 1005 j’ai opté pour Debian.
En effet Debian est réputé pour pouvoir tourner sur de vieilles bécane, couplé avec XFCE un environnement rapide et léger. Je ne me suis jamais aventurer chez Debian, ayant toujours utiliser Ubuntu comme OS chez Linux j’avais un peu peur de sauter le pas mais le mode de fonctionnement reste quasiment identique (mise à part l’histoire des PPA et des DEB).
Comme je n’ai pas vraiment envie de me prendre la tête surtout pour un ordinateur que j’utiliserais occasionnellement je suis tomber sur DFLinux qui basé sur Debian avec XFCE et quelques outils additionnels pour les débutants sur Debian de ce fait que l’OS est utilisable aussi bien par un môme de 6 ans que par un senior. L’avantage outre le fait de la simplicité d’utilisation c’est l’existence d’une communauté française très active Debian-Facile.
Fin de l’histoire et coup de pouce
J’ai galérer à virer Windows du netbook, en effet il était impossible de supprimer la partition où il était installer. Bien évidemment on peu pas virer Windows en passant par Windows (lol) d’ailleurs c’était mission impossible pour moi vu l’état de l’engin à l’ouverture de la session, ensuite j’ai balancer un live avec Lubuntu pour destroy la partition avec Gparted mais la aussi impossible de démonter la partition pour y faire quoi que ce soit….
Au final j’ai carrément télécharger l’ISO de Gparted pour le lancer en live sur le netbook, tonnerre de Brest ! Via cette solution la partition parasite à été éliminée avec succès. À partir de la on peu installer n’importe quel système d’exploitation sans aucuns soucis
Article arrivé 1er sur Hacker News, 1er sur /r/sysadmin, 2nd sur /r/linux), traduit avec l’accord de son auteur Pēteris Ņikiforovs, il présente la commande htop et les notions de base des composants d’un système GNU/Linux que cette commande affiche.
Un processus a l’illusion d’être seul à s’exécuter en mémoire. Cela est réalisé en utilisant la mémoire virtuelle.
Un processus n’a pas un accès direct à la mémoire physique. À la place, il a son propre espace virtuel d’adressage et le noyau fait correspondre les adresses de la mémoire virtuelle à la mémoire physique ou peut en mettre une partie sur disque. C’est pour cela qu’il semble que les processus utilisent plus de mémoire que celle installée sur votre système.
Le point que je veux souligner ici est qu’il n’est pas simple de savoir combien de mémoire un processus prend. Voulez-vous aussi comptabiliser les bibliothèques partagées ou en mémoire sur disque ? Mais le noyau le permet et htop montre des informations qui vous aident à estimer l’usage de la mémoire.
Voilà ce que les couleurs d’utilisation de la mémoire signifient :
Vert : mémoire utilisée
Bleu : buffers
Orange : cache
VIRT/VSZ – image virtuelle
La quantité totale de mémoire virtuelle utilisé par une tâche. Cela inclut tout le code, les données et les bibliothèques partagées plus les pages qui ont été mises dans la swap (ndt : sur disque) et les pages qui ont été mises sur disque mais pas utilisées.
VIRT est l’usage de la mémoire . Cela inclut tout, y compris les fichiers de mémoire sur disque.
Si une application demande 1 gigaoctet de mémoire mais n’en utilise que 1 mégaoctet, donc VIRT indiquera 1 gigaoctet. S’il fait correspondre cette mémoire vers un fichier de 1 gigaoctet et ne l’utilise jamais, VIRT indiquera également 1 gigaoctet.
La plupart du temps, ce n’est pas un nombre très utile.
RES/RSS – taille résidente
La taille de la mémoire physique non-mise en swap qu’une tâche utilise.
RES est l’usage de la mémoire résidente, c’est-à-dire ce qui est en ce moment en mémoire physique.
Si RES peut être un meilleur indicateur de l’utilisation de la mémoire par un processus que VIRT, gardez en tête que
cela n’inclut pas la mémoire swappée (ndt : sur disque)
une partie de la mémoire peut être partagée avec d’autres processus
Si un processus utilise 1 gigaoctet de mémoire et qu’il appelle fork(), le résultat de la bifurcation sera 2 processus dont RES est également 1 gigaoctet mais seulement 1 gigaoctet de mémoire sera en fait utilisée puisque Linux utilise copy-on-write.
SHR – taille de la mémoire partagée
La quantité de mémoire partagée utilisée par une tâche
Cela représente simplement la mémoire qui pourrait potentiellement être partagée par d’autres processus.
#include
#include
#include
int main() {
printf("Started\\n");
sleep(10);
size_t memory = 10 * 1024 * 1024; // 10 MB
char* buffer = malloc(memory);
printf("Allocated 10M\\n");
sleep(10);
for (size_t i = 0; i < memory/2; i++)
buffer[i] = 42;
printf("Used 5M\\n");
sleep(10);
int pid = fork();
printf("Forked\\n");
sleep(10);
if (pid != 0) {
for (size_t i = memory/2; i < memory/2 + memory/5; i++)
buffer[i] = 42;
printf("Child used extra 2M\\n");
}
sleep(10);
return 0;
}
fallocate -l 10G
gcc -std=c99 mem.c -o mem
./mem
Process Message VIRT RES SHR
main Started 4200 680 604
main Allocated 10M 14444 680 604
main Used 5M 14444 6168 1116
main Forked 14444 6168 1116
child Forked 14444 5216 0
main Child used extra 2M 8252 1116
child Child used extra 2M 5216 0
À faire : je devrais finir ça.
MEM% – utilisation de la mémoire
La part de la mémoire physique disponible couramment utilisée par une tâche.
Il s’agit de RES divisé par la totalité de la RAM que vous avez.
Si RES est de 400 megaoctets et que vous avez 8 gigaoctets de RAM, MEM% sera 200/8192*100 = 2.4%.
J’espère que vous aurez compris le fonctionnement des différents indicateurs de la mémoire dans htop. Pour le dernier article de cette série, nous étudierons les processus lancés au démarrage d’un système GNU/Linux.
11ème année de bons et loyaux services qui commence pour freetorrent.fr (tracker bittorrent exclusivement consacré aux médias sous licence libre ou licence de libre diffusion).
Divisé en 2 entités l'an passé (dont freeostorrent.fr), freetorrent.fr est revenu à un schéma unitaire plus classique de présentation en réintégrant la proposition d'OS libres.
"Propulsé" par un nouveau front-end à XBTT (en php) depuis l'année dernière (qui a d'ailleurs pas mal évolué en fonctionnalités), freetorrent.fr renaît encore une fois, tant le projet me tient à cœur.
Je précise également que les divers encouragements reçus lors du quasi abandon du projet il y a quelques mois m'ont permis de reprendre du "poil de la bête"… et m'ont fait chaud au cœur tant l'investissement a été lourd, long et complexe (faute de compétences…).
Je vous invite à aller visiter le site, à vous inscrire (ou pas), à downloader, uploader, etc.
Rendez-vous sur : http://www.freetorrent.fr
La prochaine étape serait certainement d’ouvrir le site aux torrents externes afin de proposer une fonctionnalité d'annuaire de torrents.
Je sais que cela nécessite pas mal de boulot sur le code… Si vous avez d'ailleurs des idées, je suis preneur :)
Bonnes fêtes !
Il y a quelque temps, j'ai commencé à regarder l'utilitaire pandoc pour convertir un fichier en Markdown vers du pdf, html et d'autres formats.
En regardant un peu ce qu'il est possible de faire avec cet utilitaire, j'ai découvert qu'on peut créer des présentations avec reveal.js.
Contrairement à d'autres modèles de présentation, l'avantage principale est de n'avoir besoin que d'un navigateur web pour l'afficher et d'un simple éditeur de texte pour le modifier.
On peut utiliser une présentation en local ou la déposer sur un serveur, qui sera disponible comme n'importe quelle page web.
On retrouve globalement les mêmes fonctions de bases que pour une présentation Impress avec LibreOffice.
Pour autant, je ne pense pas que cela puisse correspondre à tous les besoins de présentations (surtout complexes) mais cela reste très efficace (et conviendra à mes besoins).
On s'efforcera donc de faire une présentation structurée (et c'est pas plus mal).
L'avantage dans tout ce qui est simple, c'est de se concentrer sur l'essentiel et de ne pas s'attarder sur le superflu.
Le fond a plus d'importance que la forme d'autant plus qu'une présentation ne doit pas se résumer pas à son support.
La particularité de reveal.js c'est d'avoir une présentation en 2 dimensions, des diapositives qui défilent à l'horizontale avec la possibilité de définir un niveau verticale.
Pour utiliser reveal.js, il faut avoir quelques notions de base en HTML.
Il faudra éditer le code pour chaque diapositive.
Rien de très difficile mais c'est pas grand public et il est même possible d'utiliser Markdown.
Autre avantage, pouvoir éditer la présentation à plusieurs et avoir une gestion de version avec git par exemple.
On va voir en détail comment créer une présentation avec reveal.js.
Plutôt qu'on long discours, on va commencer par découvrir à quoi ressemble reveal.js à travers une démo.
La démo officielle est disponible sur http://lab.hakim.se/reveal-js/ (sinon ici).
Pour faire simple, on retrouve le contenu au centre (le titre, le texte et les images), la navigation est en bas à droite (les triangles bleus) et tout en bas on voit l'état d'avancement de la présentation symbolisé par la ligne bleue (on peut avancer ou reculer en cliquant dessus).
Les raccourcis clavier
→ et ← : déplacement horizontale ↓ et ↑ : déplacement vertical Echap ou O: aperçu de la présentation B: mettre en pause la présentation S: mode présentation F: mode plein écran (Echap pour sortir du mode plein écran) ?: pour afficher l'aide
Le mode présentation
Le mode présentation permet d'avoir une fenêtre séparée avec les notes et commentaires pour chaque diapositives.
On retrouve également un aperçu de la diapositive suivant et un chronomètre pour gérer le temps.
Pour activer le mode présentation, appuyer sur la touche S.
Une nouvelle fenêtre nommée "Slide Notes" s'ouvrira.
En cas de problème:
Il faut autoriser les pop-up.
Si la fenêtre s'ouvre correctement mais sans les notes, appuyer de nouveau sur la touche S sur la fenêtre avec la présentation. La page devrait s'actualiser.
Une fois récupéré, on décompresse l'archive dans notre dossier de travail.
Ensuite, il suffit d'éditer le fichier index.html pour modifier le contenu de la présentation.
Le fichier demo.html permet d'avoir un modèle et découvrir les fonctions principales.
Il ne reste plus qu'à visualiser le code correspondant et le copier pour faire sa propre présentation.
On va voir comment créer des diapositives et éditer leur contenu et découvrir quelques éléments de configuration du diaporama (titre, styles, animation, ...).
Créer des diapositives
Pour rappel, un diaporama est composé de plusieurs diapositives (aussi nommées slides en anglais).
On commence par ouvrir le fichier index.html.
Il est préférable d'utiliser un éditeur de texte avec la coloration syntaxique et l’auto-complétion. Par exemple, on peut utiliser Geany.
Pour créer des diapositives, on se place au bon niveau: .reveal > .slides > section (section correspondant à une diapositive)
Dans notre fichier index.html, on a déjà 2 diapositives présentes: "Slide 1" et "Slide 2".
code
index.html
...
Slide 1Slide 2
...
Pour ajouter une nouvelle diapositive, on insère le code au niveau du commentaire:
code
index.html
Diapo 3
Comme je l'ai dit précédemment, la présentation peut se développer sur 2 niveaux (horizontalement et verticalement).
On aura une séquence horizontale (avec les touches → et ← ) et une séquence verticale (↓ et ↑).
Par exemple, pour réaliser une présentation avec 5 diapos :
[A] [B] [E]
[C]
[D]
Pour créer des diapos verticales, il faut créer une section qui englobera les autres diapositives.
Pour créer les 5 diapos de l'exemple précédent, il faut insérer le code:
code
index.html
Diapo ADiapo BDiapo CDiapo DDiapo E
La première diapo verticale servira de racine et sera définit dans la séquence horizontal.
On a maintenant créé toutes les diapositives pour notre présentation.
Il nous faut ajouter le contenu correspondant à chacune d'elles.
Ajouter du contenu
On a donc définit la structure du diaporama, il nous reste à ajouter le texte associé aux diapositives.
Éditer une diapo correspond à modifier le contenu à l’intérieur de la balise .
code
index.html
...
Contenu à ajouter
...
Titre et paragraphe
Pour notre première diapo, on va indiquer le titre, un sous-titre et son auteur.
Si le langage n'est pas correctement détecté, ajouter le langage correspondant dans la classe.
code
...
Image
On peut inclure des illustrations (images):
code
Vidéo
En plus des images, on peut inclure des vidéos:
code
controls permet d'ajouter les boutons de commande (lire, pause, volume,...).
Arrière plan
On peut adapter l'arrière plan des diapositives en définissant soit une couleur de fond, une image ou même une vidéo.
Couleur
Pour ajouter un fond de couleur rouge:
code
Arrière plan: rouge
il suffit de remplacer "#ff0000" par une autre couleur.
Image
Pour ajouter une image en arrière plan:
code
Arrière plan: image
Il est possible d'ajuster la taille de l'arrière-plan (data-background-size), sa position sur l'écran (data-background-position) et répéter l'image (data-background-repeat).
code
Arrière plan: image mise à l'échelle
data-background-size: auto, contain, cover ou taille (en px ou %)
data-background-position: left, center, right, top, bottom
Il est possible de définir si on joue la vidéo en boucle (data-background-video-loop) et de mettre la vidéo en sourdine (data-background-video-muted) .
code
Arrière plan: vidéo en sourdine
data-background-video-muted: false, true
data-background-video-loop: true, false
Lien interne
On peut inclure dans la présentation des liens internes pour faciliter la navigation.
Pour naviguer d'une diapo à l'autre (séquence horizontale / verticale):
Une fois que vous avez ajouté l'ensemble du contenu dans votre présentation, il ne reste plus qu'à configurer votre diaporama.
Configurer le diaporama
reveal.js est parfaitement utilisable avec les paramètres par défaut.
Il est quand même intéressant de modifier certains éléments, comme la personnalisation du thème et d'autres éléments visuels.
Méta-données
Lors de la création de votre présentation, je vous recommande de commencer par modifier le titre, la description et l'auteur.
Il faut éditer les informations présentes à l'intérieur de la balise "head":
code
...
Introduction à reveal.js
...
Thèmes
Il est possible de choisir parmi plusieurs thèmes existants:
black: arrière-plan noir, texte blanc, lien bleu (thème par défaut)
Il est possible d'ajouter certains effets sur le texte pour mettre en avant les éléments importants de votre présentation.
Pour ajouter une animation, il faut ajouter la classe "fragment".
code
Cliquer sur suivant...
... pour afficher le texte.
L'animation par défaut permet de faire apparaître le texte lorsque que l'on avance dans la présentation.
Elle peut être utilisée pour faire apparaître un à un les éléments d'une liste à puce.
Il existe d'autres types d'animation:
grow: agrandir le texte
shrink: rétrécir le texte
fade-out: faire disparaître le texte
fade-up: faire apparaître le texte
current-visible: faire apparaître le texte une seule fois
highlight-current-blue: mettre la texte en bleu
highlight-red: mettre le texte en rouge
highlight-green: mettre la sélection en vert
highlight-blue: mettre la sélection en bleu
Pour agrandir la taille d'un mot ou mettre en rouge une partie du texte:
Il existe encore d'autres paramètres qu'il peut être utile de modifier.
Pour changer le comportement par défaut, il faut éditer les paramètres dans "Reveal.initialize":
Pour afficher les boutons de navigation (en bas à droite):
code
controls: true, // false pour désactiver
Afficher la barre de progression
Pour afficher la barre de progression de votre présentation (en bas):
code
progress: true, // false pour désactiver
Alignement vertical
Aligner au centre le contenu des diapos:
code
center: true // false pour désactiver
Afficher le numéro du diapo
Permet d'afficher le numéro de la diapo (en bas à droite):
code
slideNumber: false, // true pour activer
Il existe d'autres paramètres disponibles: documentation
Conclusion
reveal.js est une alternative intéressante à Impress de Libre Office.
Même avec un nombre de fonctions limité, on peut réaliser un diaporama élaboré.
Il est nécessaire comprendre le code HTML pour l'utiliser (au moins maîtriser les bases).
A l'utilisation, je trouve qu'on est plus productif et on se concentre sur l'essentiel: la structure et le contenu plutôt que la mise en forme.
L'utilisation de logiciel comme Impress ou PowerPoint peut être chronophage lors de modification et qu'on tente de parcourir les menus.
L'autre avantage réside dans le fait que la présentation est facilement modifiable avec un simple éditeur de texte.
Tout le monde peut consulter le diaporama dés lors qu'il a un navigateur web récent (elle peut être en local sur le PC ou hébergé sur un site).
C'est pratique de pouvoir travailler même si on est pas sur son PC (quand on arrive pas à se connecter au projecteur ou on a plus de batterie).
Certains verront également la possibilité de travailler à plusieurs sur la présentation et d'avoir une gestion de version, avec git par exemple.
Pour mon utilisation, reveal.js est amplement suffisant et plus besoin d'usine à gaz.
C'est surtout l'occasion d'utiliser Markdown pour réaliser des présentations: Faire une présentation avec reveal.js et Markdown .
Sonerezh est une application qui permet de lire des fichiers musicaux stockés sur son serveur via son navigateur https://www.sonerezh.bzh/
D'autres logiciels du même type existe, comme Ampache. Je l'avais testé mais je n'avais pas été convaincu. Sonerezh, je l'ai adopté dès que je l'ai essayé.
Sonerezh est disponible en package pour Yunohost. Toutefois, ce n'est pas la dernière version, en attendant que ce soit le cas, on peut toujours installer ce package pour profiter de l'automatisation de l'installation et de la configuration (principe de Yunohost). Dans la page principale des applications Yunohost installée, parmi les tuiles on aura l'ajout d'une tuile de raccourci vers l'application Sonerezh.
Et ensuite, on récupéra l'archive sur github, on la dézipera et copiera les fichiers de la dernière version à la place de la version installée.
Comme indiqué sur la page du package, il y a une étape de post-installation à faire la première fois. Cela crée un utilisateur au sein de l'application Sonerezh et cela n'utilise donc pas l'utilisateur de Yunohost (voir à ce sujet Pourquoi Yunohost crée des comptes automatiquement ?. Ce sera donc cet utilisateur et ce mot de passe que l'on utilise (et non ceux de l'instance Yunohost).
Sonerezh propose ce que j'attends d'un lecteur de musique en ligne comme fonctionnalité. C'est simple et intuitif (pour l'import des fichiers : ça lit les tags et remplit la base de données). C'est plutôt rapide, on peut ajouter d'autres répertoires / sources par la suite, à tout moment. Dans mon cas, les fichiers de musique sont stockés sur la partie NAS de ma Freebox. Un simple montage réseau et le dossier est accessible en lecture seule depuis Yunohost. Et c'est ce chemin (vers le montage réseau) que j'ai défini dans la configuration / interface de paramétrage de Sonerezh. Il scanne alors les tags des fichiers pour ensuite proposer de les rechercher / des classements par album, titre, artistes. On peut créer des listes de lecture (je n'ai pas encore utilisé cette fonctionnalité).
En terme de débit, une simple connexion ADSL suffit comme je l'évoquais dans mon billet Autohébergement et ADSL. Je cite Si j'écoute de la musique en streaming dans le navigateur depuis l'extérieur (c'est donc ma machine de cloud qui diffuse la musique), cela consomme un peu moins de 70 ko/s sur une bande passante totale brut de 126,8 ko (1120 kbit/s). Et ce pour des musiques au format mp3 ou ogg en qualité 256 kbit/s.
Quelle plaisir c'est, quand on travaille en openspace, un casque sur les oreilles de pouvoir écouter ses musiques et albums préférés.
Comme vous l'avez compris, je recommande le logiciel Sonerezh. Et bien évidemment, c'est du logiciel libre, vu que c'est sous licence AGPL3. Mais qui en doutait :)