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mise à la retraite du système maison de commentaires Stacosys pour Isso
hébergement sur GitHub Pages
Certains diront que j’ai mis de l’eau dans mon vin et ils n’auront pas tort ;-)
Comment en suis-je arrivé là ? Et bien j’avais en idée de faciliter la chaîne de publication des articles. J’adore ce qu’apporte un moteur statique : l’écriture des articles en Markdown et une génération en pages statiques, la facilité à publier le contenu sous gestion de sources (GIT). Mais la publication nécessite d’allumer un ordinateur de peaufiner le brouillon et de de faire un git push pour publier. Rien de complexe mais la nécessité de repasser par un PC pour publier alors que ma vie est plutôt mobile.
J’ai envisagé de coder une interface d’administration Web avec un éditeur Markdown (on en trouve plusieurs en JavaScript sous licence Open Source) et une interaction avec GIT pour fluidifier la publication. Mais je n’ai pas trouvé l’étincelle pour démarrer donc j’ai fait des recherches pour voir si ça n’existe pas prêt à l’emploi, j’étais même prêt à changer de moteur de blog si nécessaire. J’ai regardé les extensions de Hugo, les autres moteurs statiques et même les CMS en fichier à plat. J’ai installé beaucoup de containers Docker pour évaluer les fonctionalités. Grav, Bludit, PhileCMS… beaucoup de moteurs avec des atouts mais aucun ne m’a vraiment enthousiasmé.
Puis j’ai découvert Prose.io qui donne tout son potentiel avec Jekyll. Je m’étais intéressé à Jekyll avant de choisir Pelican en 2013 et c’est l’écosystème Python que je connais bien qui avait orienté mon choix en défaveur de Ruby. Pas de regret mais là j’ai regardé Jekyll en détail et je l’ai trouvé très attractif : simple, cohérent, mature, bien documenté et extensible par des plugins. Alors au niveau des performances, on génére les pages du blog en 15 secondes plutôt que 5 mais ce n’est pas un critère important pour mon utilisation. J’ai choisi un thème et j’ai commencé la migration de mes pages. On reste sur du Markdown donc le gros du travail c’est la migration des metadata et l’adaptation du thème.
Il y a possibilité d’héberger Prose sur ses propres serveur mais j’avais déjà passé un cap et accepté l’idée d’héberger le blog sur GitHub Pages ce qui me permet de préserver le fonctionnement actuel, à savoir pouvoir écrire mon article en Markdown depuis mon PC et générer le blog localement avec mon Jekyll en mode développement avant de publier avec un git push. Mais je peux aussi écrire un article en mobilité depuis Prose et publier directement l’article. Choquant ? pas tant que ça ! je sépare l’hébergement du blog du reste de mon infrastructure et je garde la main sur les données. Si l’orientation de GitHub ne me plait pas ou s’ils changent les règles d’hébergement, je récupère mon blog Jekyll et je l’héberge sur mon serveur dédié.
Et quid des commentaires ? Les URLs des articles ont bougé donc j’ai bousillé tout le référencement et je n’avais pas envie de me casser la tête à maintenir des redirections entre les anciennes URLs et les nouvelles. J’aurais pu adapter la partie front-end de Stacosys pour qu’elle devienne full JavaScript et soit intégrable dans le blog mais il aurait aussi fallu modifier l’ensembles des URLs. J’ai évalué Isso et j’ai décidé que Stacosys pouvait prendre sa retraite. Né au moment où il n’y avait pas beaucoup de solutions pour les blogs statiques, il n’a plus d’avantages fonctionnel. Isso a une administration Web en plus des notifications par e-mail, ce que j’avais prévu de développer… un jour. Inutile de réinventer la route, j’héberge Isso sur mon serveur dédié et il sert les commentaires du blog sur l’autre domaine. J’ai migré les commentaires existants car l’histoire d’un blog ce ne sont pas que des articles.
Si vous vous intéressez à la Raspberry Pi et que vous envisagez d’en acheter une, vous vous demandez sûrement comment choisir votre carte SD, votre alimentation, ou si vous avez besoin d’un boîtier.
Dans ce tutoriel, nous allons donc voir quels sont les accessoires nécessaires pour votre Raspberry Pi 3B+.
Pour informations, ces accessoires sont aussi compatibles pour les Raspberry Pi 3 et 2.
Pas le temps de lire tout l’article ?
Voici un rapide résumé. Cliquez sur un lien pour voir son prix chez Amazon.
Il vous faudra au minimum ces accessoires pour utiliser la Raspberry Pi, :
La Raspberry Pi 3B+, une Raspberry Pi 3 un peu boostée
Bien évidemment, si vous vous intéressez au sujet, la première chose à acheter est la Raspberry Pi elle-même.
Pour une première découverte, je vous encourage à vous tourner vers une Raspberry Pi 3B+. Il s’agit de la version la plus puissante, donc la plus polyvalente de la Raspberry Pi.
Les accessoires obligatoires avec une Raspberry Pi
Pour simplifier la lecture de ce tutoriel, il sera divisé en trois parties : les accessoires obligatoires, ceux qui sont très utiles, et les contextuels.
La Raspberry Pi ne possède que deux accessoires obligatoires à proprement parler, c’est-à-dire sans lesquels il ne sera pas possible d’utiliser la raspberry.
Une bonne alimentation pour votre Raspberry Pi 3B+
Une bonne alimentation est absolument essentielle au bon fonctionnement de votre Raspberry Pi. En effet, une alimentation trop faible ne permettra pas à la Raspberry Pi de démarrer, ou tout du moins dégradera très fortement ses performances.
Officiellement, la Raspberry Pi nécessite une alimentation 5 volts 2,5 ampères. Dans les faits, mieux vaut choisir une alimentation 5 volts 3 ampères.
La Raspberry Pi n’utilise pas de disque dur. À la place, les données et le système d’exploitation sont stockés sur une carte MicroSD. Comme le système est stocké sur la carte SD, celle-ci est très sollicitée. Une mauvaise carte va donc fortement ralentir votre système.
Je vous conseille de choisir une carte au minimum de classe 10.
Une fois un modèle choisi la question qui se pose est celle de la taille de la carte MicroSD.
Je vous conseille d’utiliser les tailles suivantes selon l’usage que vous envisagez de faire de votre Raspberry.
Si vous ne savez pas quelle carte choisir, optez par défaut pour une 16 Go qui sera suffisante pour une utilisation de base.
À noter, vous devrez installer Raspbian sur la carte MicroSD, donc la relier à votre ordinateur. Si votre ordinateur n’a pas de lecteur de carte SD, pensez donc à acheter un adaptateur USB. Vous en trouverez facilement ici à moins de 10€ chez Amazon.
Des cartes plus grandes existent, mais ne sont rapidement plus utiles et méritent d’être remplacées par des disques durs.
En plus des accessoires indispensables à l’utilisation de votre Raspberry Pi, il existe d’autres accessoires qui, sans être indispensables, sont très utiles.
Un boîtier de protection pour votre Raspberry Pi 3B+
Le premier accessoire important est le boîtier de protection. En effet, la Raspberry Pi étant livrée sous la forme d’une carte électronique nue, elle est relativement sensible aux manipulations, aux décharges électriques, etc.
Pour résoudre ce problème, et pour des questions esthétiques, il est possible d’acheter un boîtier de protection pour la Raspberry Pi.
Choisissez un boîtier avec un bon accès aux GPIO et possédant au moins des trous pour l’aération. Pour le reste, c’est une question de goût.
De mon côté, j’utilise deux modèles de boîtiers que je vous recommande :
Techniquement, il est possible d’utiliser la Raspberry Pi à distance sans utiliser ni écran, ni clavier, ni souris. Pour cela, n’hésitez pas à jetez un oeil sur le tutoriel pour utiliser SSH.
Cependant, que ce soit pour des raisons pratiques ou bien parce que vous envisagez d’utiliser la Raspberry Pi comme un ordinateur à part entière, il est très fréquent d’avoir besoin de ces trois périphériques de base.
Niveau clavier et souris je vous conseille de simplement choisir un clavier et une souris standards de bonne qualité en vous assurant qu’ils soient compatibles Linux (normalement c’est le cas de 90% d’entre eux aujourd’hui). Suite à quelques recherches, il semble que cet ensemble clavier/souris de logitech devrait faire le travail.
La question de l’écran est plus intéressante. En effet, deux options se présentent à vous.
Si vous souhaitez utilisez votre Raspberry Pi comme un simple ordinateur, privilégiez un bon 19 à 21 pouces. Il vous suffit alors de choisir un écran HDMI normal. Comptez entre 90 et 110€ minimum chez Amazon.
En revanche, si vous souhaitez utilise rvotre Raspberry Pi comme une tablette, ou de façon générale avoir un support du tactile, la fondation propose un écran tactile officiel Full HD de 7 pouces. Comptez environ 75€ chez Amazon.
Si les accessoires précédents sont soit indispensables, soit largement utiles, ceux présentés dans cette partie sont uniquement utiles dans certains contextes précis.
Une caméra pour la Raspberry Pi
Premier accessoire intéressant, une caméra pour la Raspberry Pi.
Si vous souhaitez travailler sur des projets nécessitant de la reconnaissance visuelle, ou bien si vous voulez faire de la vidéo-surveillance, vous aurez besoin d’une caméra. Ça tombe bien, il existe justement une caméra officielle pour la Raspberry Pi, destinée à venir se brancher directement sur la Pi par un port spécial, laissant donc vos ports USB libres pour d’autres utilisations.
Cette minuscule caméra de 8 mégapixels propose une résolution FullHD d’une qualité réellement excellente. Elle est par ailleurs compatible avec tous les modèles de Raspberry Pi.
Dernier accessoire que je vous présenterai, le disque dur externe.
Comme nous l’avons vu au début de l’article, la Raspberry Pi n’utilise pas un disque dur pour stocker les données, mais plutôt une carte MicroSD. Si cela s’avère parfaitement suffisant pour la plupart des usages, ce n’est pas le cas si vous souhaitez monter un média-center, ou pour toute utilisation nécessitant un espace de stockage supérieur à 128 Go.
En effet, passé 128 Go, le prix des cartes MicroSD commence à s’envoler, et il devient même relativement impossible de trouver une carte de 512 Go à un prix raisonnable.
En comparaison, les disques durs offrent facilement des espaces de 1 To de stockage pour moins de 50€.
Si par le passé l’utilisation d’un disque dur disposant de sa propre alimentation était vivement recommandée, les différentes améliorations quand à la gestion électrique de la Raspberry Pi font qu’il est désormais possible d’utiliser à peu près n’importe quel disque dur externe.
Sur Raspbian France je recommande depuis de nombreuses années ce disque 1 To à moins de 50€ qui a toujours bien fait son travail.
Une fois votre Raspberry Pi et vos accessoires reçus, il ne restera plus qu’à installer Raspbian. Pour cela, rien de plus facile, suivez simplement nos tutoriels, ici pour windows, et là pour Linux !
Prérequis: activer le SNMP sur le NAS: en gros, dire quelle version de SNMP utiliser (1 ou 2c), et le nom de la communauté, ça propose de chopper la MIB du NAS, elle est nécessaire, donc on la récupère (copie ici) installer les packages snmp (pour snmpget/walk/…) et bc (si ça n’est pas déjà fait (sur le endpoint icinga2 qui fera les checks. installer la MIBi (toujours sur le endpoint): pour un user: mettre le fichier dans ~/.
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