Prenant au pied de la lettre l’exemple couramment utilisé de la recette de cuisine pour expliquer le logiciel libre, l’équipe de l’Echo des Gnous à fait un épisode complet sur la nourriture et le libre où l’on apprend entre autres qu’il y a des sites de recettes libres, des restaurants open source, des wiki sur les aliments et leurs composants, des boissons libres qui ont des noms de version ou encore qu’il est possible de cultiver avec des graines et des outils non propriétaires.
Un bon moyen d’ouvrir son horizon et ne pas cantonner le libre aux lignes de codes.

J’ai fait une description complète de ce podcast et si vous y étiez abonné, vous avez pu constater que le flux rss est resté en vacances depuis l’été dernier. Pour autant, les émissions ont bien repris à la rentrée ; le wiki est toujours alimenté au fur et à mesure et pour écouter le podcast si vous n’habitez pas la région lilloise, il faut aller sur le site de radio Campus et télécharger directement l’émission (diffusée le dimanche à 19h) dans le format qu’il faut ne pas utiliser.

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Si (et je ne me lasserais jamais de le répéter) Nautilus été l’un des meilleurs navigateurs de fichiers sous GNU/Linux, il faut bien avouer qu’il fait un peu triste mine ces derniers temps. Heureusement pour nous la team Gnome n’a pas encore décidé de l’amputer de cette fonction plutôt sympathique, qui nous permet d’étendre les fonctions de Nautilus grâce à différents scripts. Je suis tombé sur un billet signé atareao.es, qui nous propose justement une sélection de scripts utiles à installer dans Nautilus. Nous y retrouverons entre autres crushing-machine, gpx2dxf, movietitle, rename-me, tcx2gpx et l’excellent nautilus-pdftools. Si ça vous branche nous allons voir tout de suite comment en profiter sur Ubuntu 13.10, mais avant de commencer nous allons quand même vous en dire un peu plus sur ces plugins et leur fonctions.

• Nautilus-pdftools est un script qui va vous permettre de pouvoir réaliser quelques opérations de base sur vos fichiers PDF. Vous pourrez ainsi les repositionner grâce à l’outil de rotation, supprimer certaines pages d’un document, joindre ou diviser des fichiers, en extraire les images, redimensionner la taille des pages ou les recombiner dans l’ordre de votre choix.
• Rename-me est un script qui comme son nom l’indique va vous permettre de renommer vos fichiers en lot et en utilisant la syntaxe Python.
• Replace-me est un script qui va vous permettre de changer des mots ou des phrases dans un document.
• Movietitle est un script qui va vous permettre de changer le titre de vos fichiers dans certaines applications et qui peut vous être très utile sous XBMC par exemple.
• Crushing-machine est un script qui va vous permettre d’accéder rapidement et facilement à une option de suppression sécurisée, qui rendra plus difficile la récupération de vos fichiers effacés.
• Gpx2dxf est un script qui va vous permettre de convertir rapidement des fichiers GPX au format DXF et Tcx2gpx va vous permettre de convertir rapidement des fichiers TCX au format GPX.

Alors certes tous ces scripts ne vous seront pas forcément utiles, mais je pense que les trois premiers vont vous plaire à coup sûr. Si ça vous tente et que vous voulez en profiter sur Ubuntu 13.10 et dérivés, rien de plus simple.

Il suffit d’utiliser le PPA suivant à l’aide de ces quelques lignes de commande.

Installation du PPA et mise à jour :

sudo add-apt-repository ppa:atareao/nautilus-extensions
sudo apt-get update

Installez ensuite tous les scripts si vous le souhaitez :

sudo apt-get install crushing-machine gpx2dxf movietitle nautilus-pdftools rename-me replace-me tcx2gpx

Ou seulement ceux de votre choix :

sudo apt-get "nom du script"

Pour Ubuntu 13.04 la manipulation ne fonctionne pas très bien mais l’auteur donne une solution pour éviter certaines erreurs. Vous pouvez en prendre connaissance en vous rendant sur cette page.

Si vous voulez installer plus de scripts dans Nautilus vous pouvez également consulter notre billet datant de juillet, qui vous expliquait comment en installer 70.

• La vache libre – 70 Nautilus Script 1.0 disponible

Amusez-vous bien.

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Mettre en place l’intégration continue dans un projet PHP permet d’identifier les problèmes et d’assurer une qualité au code. Dans notre cas, nous allons mettre en place via Travis-CI l’intégration continue d’un projet PHP. Comment allons nous faire cela ?

Installation

Il vous faut d’abord vous connecter sur Travis-CI via votre compte GitHub : https://travis-ci.org.

Ensuite, il faut aller sur la page “Accounts“. Arrivé sur cette page, il faut passer un projet de OFF vers ON.

A ce moment, votre projet est connecté à Travis-CI mais n’à lancer aucune intégration.

Mise en place

Pour lancer une intégration, il faut commiter un fichier .travis.yml à la racine de votre projet.
Désormais à chaque commit sur ce repository, un build se lancera.

Le fichier .travis.yml

La partie “language”

Cette partie permet de définir le langage pour le build ainsi que les différentes versions langages pour lesquels chaque build sera exécuté.

language: php
php:
  - 5.3
  - 5.4
  - 5.5

La partie “before_script”

Cette partie permet de définir les différents scripts à lancer avec de lancer véritablement le build en lui-même :

• Téléchargement et Installation de Composer
• Installation de PHP CodeSniffer via Pyrus
• Téléchargement du PHAR de PHP Copy/Paste Detector
• Installation de Imagick (pré-requis), suivi de l’installation de PHP Mess Detector
• Téléchargement du PHAR de PHPLOC

phpenv rehash permet d’actualiser le path et trouver les exécutables nouvellement installés.

before_script:
  ## Composer
  - curl -s http://getcomposer.org/installer | php
  - php composer.phar install
  ## PHP_CodeSniffer
  - pyrus install pear/PHP_CodeSniffer
  - phpenv rehash
  ## PHP Copy/Paste Detector
  - curl -o phpcpd.phar https://phar.phpunit.de/phpcpd.phar
  ## PHP Mess Detector
  - pear config-set preferred_state beta
  - printf "\\n" | pecl install imagick
  - pear channel-discover pear.phpmd.org
  - pear channel-discover pear.pdepend.org
  - pear install --alldeps phpmd/PHP_PMD
  - phpenv rehash
  ## PHPLOC
  - curl -o phploc.phar https://phar.phpunit.de/phploc.phar

La partie “script”

Cette partie permet de lancer vraiment le build.
Chaque exécutable retournera 0 en cas de succès et – souvent – 1 en cas d’erreur.

script:
  ## PHP_CodeSniffer
  - phpcs --standard=PSR1 src/
  - phpcs --standard=PSR2 src/
  ## PHP Copy/Paste Detector
  - php phpcpd.phar --verbose src/
  ## PHP Mess Detector
  - phpmd src/ text codesize,unusedcode,naming,design
  ## PHPLOC
  - php phploc.phar src/

La partie “notifications”

Cette partie permet de définir comment Travis CI nous informera du résultat du build.
Différentes notifications sont possibles :

• Campfire
• Email
• Flowdock
• HipChat
• IRC
• Webhook

Lien : Doc Travis-CI

notifications:
  email:
    - email@tld.com

Conclusion

Grâce à Travis CI, nous avons pu mettre un contrôle qualité basique sur notre projet.
Les plus sérieux verront qu’ils manquent des tests unitaires via PHPUnit ou Atoum, et, dans le cas d’applications web, de tests fonctionnels via Selenium.
Lien : Doc Travis-CI : PHPUnit & Atoum
Lien : Doc Travis-CI : Tests navigateurs en mode GUI & Headless

Cet article Intégration Continue d’un projet PHP avec Travis CI est apparu en premier sur RootsLabs.

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Bon ben ça y est les vacances sont officiellement terminées !!! Il va falloir reprendre le(s) taff(s) et essayer de retrouver ses bonnes vieilles habitudes. Nous allons donc essayer de reprendre notre petit rythme de croisière avec certainement quelques creux, car il faut quand même se réhabituer tout doucement au travail nocturne. Nous allons commencer le mois et cette nouvelle semaine tranquillement, avec un petit soft que je ne connaissais pas encore et qui se nomme DiffPDF. Comme son nom l’indique DiffPDF a été conçu dans le but de vous permettre de comparer facilement des fichiers PDF et de mettre en évidence les différences qu’ils contiennent. Je vous propose de voir ça vite fait.

Concernant son utilisation nous n’aurons pas besoin d’un tuto de 10 pages car DiffPDF est très simple à utiliser. À l’ouverture de l’application nous pouvons remarquer que la fenêtre est scindée en 3 parties, dont deux d’entre elles sont destinées à l’import des fichiers. La troisième contient quant à elle les différentes options disponibles et diverses informations complémentaires sur les fichiers (auteur, logiciel de création, date de création, nombre de pages etc..).

Il suffit donc d’indiquer les chemins respectifs de vos fichiers, de choisir les éléments à comparer et de cliquer sur le bouton comparer. Les deux textes seront alors présents dans leur fenêtre respective et les différences seront clairement mises en évidence.

En résumé DiffPDF est tout ce que j’aime. C’est simple, pratique, efficace et très bon pour commencer la semaine tranquillement. Si ça vous tente DiffPDF est présent dans les dépôts officiels de la plupart des distributions GNU/Linux, sous MS Windows et MAC OS X. Il suffit d’entrer cette petite ligne de commande pour en profiter sur Ubuntu.

sudo apt-get install diffpdf

Si vous tournez sur Archlinux ou Manjaro, DiffPDF est également disponible via AUR.

Pour ceux ou celles qui veulent en savoir un peu plus, voici quelques liens utiles :

• DiffPDF Home page
• DiffPDF page Launchpad

Amusez-vous bien.

Ps : Merci encore à Régis pour son petit SMS d’encouragement hier soir ;)

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Je vous ai présenté le mois dernier la version dev 3.0 d’Octopi, qui rappelons le vite fait pour ceux qui ne connaissent pas encore, est un gestionnaire de paquets en mode graphique pour Pacman. C’est aussi accessoirement mon préféré. Si vous avez accroché à ce soft vous allez être contents de savoir que celui-ci est désormais officiellement disponible au téléchargement. Pour rappel cette nouvelle version d’Octopi embarque pas mal d’améliorations dont 6 nouvelles traductions, espagnol (Amérique latine ), anglais (Grande-Bretagne ), portugais (Portugal), suédois, serbe et hongrois. On notera également l’introduction d’une nouvelle option permettant de supprimer le fichier de verrouillage de Pacman lors d’une transaction, la possibilité de mettre à jour depuis une notification d’Octopi, une option permettant d’installer les dépendances des paquets disponibles, de nouvelles notifications de mise à jour dans la barre d’état pour Pacman et Yaourt, un nouveau code couleur, un gros nettoyage du code, de nombreuses corrections de bugs et bien plus encore. Si ça vous tente je vous invite à consulter l’annonce de sortie depuis la page officielle d’Octopi.

• Octopi 3.0 – Annonce de sortie
• Si vous voulez vous procurer cette nouvelle version d’Octopi vous pouvez foncer sur la page de téléchargement du site officiel.

Pour ceux qui veulent en savoir plus sur Octopi 3.0 ou voir quelques screens, vous pouvez consulter notre billet dédié dans le cas où vous l’auriez loupé.

Nb : N’ayant pas de poste GNU/Linux sous la patte je ne saurais vous dire si les dépôts Stable et Testing sont déjà mis à jour. Pour ce qui est des dépôts Unstable de Manjaro en revanche, c’est déjà OK.

Amusez-vous bien.

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