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La vache libre : En bref – Tails 1.1.1 disponible

mercredi 3 septembre 2014 à 12:53

tails

Tails (The Amnesic Incognito Live System) est un live CD/USB basé sur Debian conçu dans le but d’assurer un « relatif » anonymat aux utilisateurs lors de leur séances de surf, grâce à un panel d’outils dédiés et préconfigurés à cet effet (GnuPG, LUKS, TrueCrypt, TOR etc.). Une nouvelle version de Tails (1.1.1) a été publiée récemment et comme d’habitude il est fortement recommandé aux utilisateurs d’effectuer rapidement la mise à jour.

Cette nouvelle version de Tails embarque quelques améliorations relatives à la sécurité comme la mise à jour de Firefox esr et divers patchs pour Iceweasel et Torbrowser. On notera également la résolution d’un bug relatif à l’utilisation d’OpenJDK, l’instauration de règles parfeu plus strictes pour I2P et une compression accrue dans le but de diminuer la taille de l’image ISO.

Si vous avez envie de tout savoir sur cette nouvelle version de Tails, vous pouvez consulter le changelog (anglais) disponible sur cette page.

Si vous souhaitez vous procurer Tails 1.1.1 il suffit vous rendre sur la page de téléchargement du site officiel.

Amusez-vous bien et surtout, sortez surfez couverts.

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Framablog : La bidouillabilité à l'école : une expérience Suisse autour du Raspberry Pi

mercredi 3 septembre 2014 à 11:50

Faire entrer le logiciel libre à l’école reste un défi.

Si l’on se réfère aux nombreux articles publiés sur le sujet sur le Framablog, il apparaît que les initiatives individuelles en faveur du libre, portées par des enseignants motivés et volontaires, se multiplient. Mais aussi que celles-ci se heurtent à une administration pas toujours bienveillante et parfois sclérosée par une mentalité difficile à faire évoluer («Un PC, ça fonctionne avec Windows. », « Le traitement de texte, c’est Word. »). Il faut dire que les services de Microsoft restent très présents et actifs pour promouvoir leurs produits[1][2][3].

Sachant cela, quelle porte d’entrée trouver pour montrer aux enfants que l’informatique ne se résume pas plus à Microsoft qu’internet ne se résumerait à Facebook, Twitter ou Google ?

Christophe Lincoln, un enseignant suisse, propose un projet éducatif original et innovant, basé sur des Raspberry Pi. Certes, il ne s’agit pas (encore) de matériel libre, mais au moins peut-on y voir un premier pas vers une découverte de la « bidouillabilité » chère à Tristan Nitot et qui permettrait (enfin ?) de faire entrevoir aux jeunes générations la face immergée de l’informatique.

piclass-leds.png

Bonjour Christophe, peux-tu te présenter ?

Bonjour, je suis un passionné et j’aime être en projet ! Mon premier projet open-source d’envergure est la distribution SliTaz GNU/Linux. Le projet SliTaz à l’âge de mon fils, c’est à dire 8 ans et me permet de vivre une expérience géniale dans le monde du libre. Je suis aussi enseigant dans des classes primaires de l’établissement d’Entre-Bois à Lausanne en Suisse romande.

Et PiClass alors, qu’est-ce que c’est ?

Le but du projet est de proposer un atelier informatique et robotique itinérant et utilisant des Raspberry Pi. L’atelier PiClass pourra prendre en charge une demi classe, c’est à dire 10 à 12 élèves. C’est par un projet Pilote que PiClass démarre : proposer un outil informatique au service des disciplines scolaires en utilisant les dernières technologies et du matériel conçu pour l’éducation. Le projet pédagogique répond aux objectifs du PER (Plan d’Etudes Roman) et il est destiné à tous les élèves de l’établissement primaire d’Entre-Bois à Lausanne.

Quels sont les avantages de la mise en œuvre d’un tel projet, et quel est son rapport avec le libre à l’école ?

Les classes Lausannoise (et ailleurs dans le monde) n’ont souvent qu’une seule machine à disposition et pas de salle informatique. Avec PiClass on a une salle informatique pour 10-12 élèves qui peut se déplacer d’un bâtiment scolaire à un autre. L’avantage c’est qu’il n’y a pas besoin d’équiper toutes les classes ou tous les bâtiments. L’autre gros avantage d’une PiClass c’est le coût du matériel : imbattable !

Son rapport au libre à l’école est simple, le Raspberry Pi ne tourne que sous GNU/Linux ! Les élèves utilisent donc un OS libre et uniquement des logiciels libres, que se soit pour la bureautique, les jeux éducatifs ou la programmation avec Scratch et Python.

En France, le débat est maintenant ouvert sur le “codage”[4][5] à l’école. Quelle est ton opinion sur le sujet ?

Je pense que coder c’est structurant : il faut suivre le code ! Si on veut obtenir quelque chose il faut suivre des règles précises, c’est comme dans la vie, il y a des règles. Ensuite coder c’est apprendre à utiliser le clavier, c’est constamment avoir recourt aux mathématiques, c’est apprendre l’anglais et développer la pensée créatrice des élèves. Je pense vraiment que coder avec les élèves est pédagogique et cela apporte un coté concret et ludique que les élèves apprécient beaucoup.

Pour l’instant, un projet-pilote est prévu à Entre-Bois. Comment imagines-tu la suite ? Ce projet est-il suffisamment rémunérateur, non seulement pour toi, mais pour inciter d’autres enseignants à faire “tâche d’huile” ?

Si le projet pilote passe la rampe à Entre-bois, il y a des chances pour que des PiClass s’ouvrent dans tous les établissement de la ville de Lausanne.

Avec le projet pilote j’aurais 4 classes sur les 150 de l’établissement et les 6 périodes d’enseignements par semaine me sont payées. Si le projet passe, Piclass pourra être rémunérateur pour plusieurs enseignants sur Lausanne vu le nombre de classes que cela fait pour toute la ville !

Le projet PiClass à aussi une visée internationale et humanitaire. Nous sommes déjà en discussion pour une PiClass au Brésil pour 2015.

Christophe, merci ! Un dernier mot pour la fin ?

Mais merci à vous ! Je me réjouis de vous revoir dans un salons ou lors d’une opération libre pour vous faire un câlin ! Au delà du code, le libre c’est un grand projet humain.

Notes

[1] « Microsoft et l’Éducation nationale : le scandale continue… », Framablog, 2014.

[2] « L’école selon Microsoft : comment j’ai appris à ne plus m’en faire et à aimer l’éducation privatrice et fermée », Framablog, 2013.

[3] « Le SCÉRÉN CNDP : showroom Microsoft avec la complicité du Café pédagogique ? », Framablog, 2013.

[4] « Faut-il enseigner le code informatique à l’école ?, Le Monde, 2014.

[5] « Du code à l’école : le rapport que Benoît Hamon aurait dû lire », Rue 89, 2014.

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genma : Pourquoi donner à Framasoft ?

mercredi 3 septembre 2014 à 09:00

Depuis quelques temps, Framasoft a étendu ses fonctionnalités et n'est plus un simple annuaire de logiciel libre, mais bel et bien tout un microcosme. Parmi les éléments qui gravitent dans cette sphère, il y a l'ensemble de Libres services qui permettent de de dégoogliser, de quitter Google Docs et autre outils collaboratifs pour passer à du logiciel libre. Parmi ces services on citera :
-Framapad - Éditer
-
Framadate - Organiser
-
Framacalc - Calculer
Et assez récemment le
le Framabag, qui est une instance wallbag.

En complément ou en alternative à un auto-hébergement, ces services sont bien utiles. Des associations du libre utilise le Framapad ou encore le Framadate par exemple pour organiser leurs événements.

Pourquoi il faut donner ?

En nous offrant des services clouds, alternatifs, libres, Framasoft nous permet donc de nous libérer des silos privateurs, de reprendre un peu de contrôle sur nos données personnelles. On sait où elle sont, l'exploitation qui en est fait (aucune).C'est gratuit, mais nous ne sommes plus des produits. Cette gratuité ne l'est pas vraiment. Comme nous ne payons pas le service via l'exploitation de nos données personnelles et du profil marketing qui est dressé de nous, l'argent n'arrive pas dans les caisses de Framasoft.

L'argent n'arrive pas, mais il en sort... Les serveurs, l'infrastructure, l'administration... Tout ces services ont un coup que Framasoft assume. Et c'est pour celà qu'il faut donner à Framasoft. Car Libre ne veut pas dire gratuit et c'est services que nous fournit Framasoft sont avant tout libres. Ce n'est pas pour rien qu'ils sont regroupés dans une catégorie "Services libres" et non "Services gratuits". Il faut donc penser à aller sur Page de don à Framasoft. Ce, pour que Framasoft soit au moins à l'équilibre financier et que ces services soient pérennes dans le temps.

De plus Framasoft est transparent sur l'usage qui est fait de ces dons, la page de don détaille bien le but et de ce à quoi l'argent donné sera utilisé.

Un don déductible

Framasoft est une association reconnue d'intérêt général. A ce titre, si vous êtes soumis à l'impôt sur le revenu, vous pourrez déduire 66% du montant de votre don. Pour des informations plus détaillées, voir la page explicative. Alors pourquoi se priver ?

Framasoft participe au libre

Framasoft utilise donc du logiciel libre pour fournir ses services libres, mais ne fait pas que d'utiliser des logiciels existants. Elle contribue également à l'amélioration de ceux. Chaque amélioration que les membres de Framasoft apporte aux logiciels, dans le cadre de leur mise en place, de leur maintenance, sont reversés à la communauté. Mais ces améliorations prennent du temps et le bénévolat ne fait pas tout. Parfois il faut des salariés pour que le temps investit soit productif, d'où des appels à financement participatifs comme Améliorons Etherpad/Framapad.

Le fait qu'une fois de plus Framasoft soit transparent et reverse à la communauté du libre est un argument de plus pour contribuer financièrement et devrait satisfaire tout libriste qui se respecte.

Conclusion

Oui les appels aux dons sont nombreux et récurrents. Chaque année, on doit donner encore et encore. Mais c'est là le prix à payer pour être libre. C'est un choix : souhaite-t-on choisir la facilité, être un produit, une cible publicitaire et marketing dont la vie privée n'existe pas, dont les données sont on ne sait où. Ou bien souhaite-t-on avoir le contrôle sur ses données, sur son informatique, sur les services que l'on utilise ? Si la réponse est la seconde proposition, vous savez où cliquer.

Enfin, si vous ne pouvez/voulez pas donner, vous pouvez toujours contribuer en devenant membre de l'association, en parlant de cet appel aux dons sur les réseaux sociaux, en sensibilisant à l'importance de ce don, en faisant du code pour les logiciels concernés, de la documentation... Toute aide, sous quelque que forme que ce soit est utile et est la bienvenue.

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elementary OS : Des nouvelles de Watson ou plutôt Debby

mardi 2 septembre 2014 à 21:17

Michael Roberts vient de publier de nouvelles captures de son installateur graphique de paquets DEB pour elementary OS. Au passage l'application avait le nom de Watson mais a été rebaptisée Debby.

Le code source est disponible ici: https://code.launchpad.net/~maccabbi/debby/main

Voici les captures :)

debby-apt

 

debby_progress

 

debby_remove

 

Le billet Des nouvelles de Watson ou plutôt Debby a été publié sur elementary OS Fr - Communauté francophone d'elementaryOS

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wilfried caruel : Popcorn Time : le logiciel libre de la semaine

mardi 2 septembre 2014 à 14:29

Présentation Popcorn Time

Screen de popcorn time
Je vais vous présenter un logiciel qui a fait parler de lui durant plusieurs semaines.

Avertissement :
Il va de soit qu’il faut regarder les vidéos que vous avez déjà en votre possession
Le blog et moi ne pouvons être tenue responsable de l’usage fait de ce logiciel.

Ce logiciel s’appelle « Popcorn Time »

Ce logiciel permet de regarder de la « vàd » vod mais en torrent.

Pour savoir ce qu’est la « vàd » voyons la définition via Wikipédia

La vidéo à la demande (VàD), vidéo sur demande (VsD) ou encore vidéo à la séance (définition juridique Service de média audiovisuel à la demande1), souvent abrégée en Europe francophone en VoD (de l’anglais Video on demand).

Avec ce logiciel vous allez pouvoir regarder parmi différent genres :

Vous aurez le choix aussi avec :

On peut aussi triés par :

Fonctionnalités :

« Popcorn Times » est un logiciel sous licence « GPLv3 ».

La vidéo

Le logiciel à été développé par « Pochoclín » ainsi que « Sebastian »et « al ».

Mon avis :

J’aime bien ce logiciel car il est simple et surtout niveau design irréprochable
Ce logiciel n’héberge aucun fichier.
Ce logiciel a été connu comme allant faire trembler « Hollywood » .
Je sais pas si c’est la vérité.
Pour moi si je pense pas l’utiliser car n’aimant pas les « vostfr » . En effet il y a beaucoup trop de film, série disponible avec les sous-titre car peu voir par du tout sont en version française.
Pour ceux aimant les « VO » ou « vostfr » je vous propose de l’essayer ainsi que de faire un retour dans les commentaires.
Il semblerait qu’il existe une version « android » mais j’en sais pas plus.

Que pensez vous de ce genre de logiciel ?

Installation :

ArchLinux

yaourt -S popcorntime-bin
Liens :

Site officiel
Projet GitHub

Article Korben
Article Gizmodo

musique : Auto Sexual – Back to home

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