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RaspbianFrance : Monitorez votre raspberry pi avec eZ Server Monitor

mercredi 16 août 2017 à 17:00

Votre Raspberry Pi ralentit ou chauffe ? Vous aimeriez connaître la température et le pourcentage d’utilisation du processeur ou encore l’état des partitions sur votre carte SD ? Vous avez besoin d’un outil qui vous permettra en un coup d’œil de voir l’état de santé de votre carte ! Pour cela nous allons vous montrer comment installer eZ Server Monitor, un outil de monitoring qui permet de voir depuis un navigateur web, au travers d’une interface claire, dans quel état se trouve votre Raspberry Pi

Pré-requis pour utiliser eZ Server Monitor

Afin de pourvoir installer cette solution de monitoring, vous devez avoir votre Raspberry Pi connectée au réseau (par ethernet ou wifi) . Si vous avez une raspberry pi 2 ou plus ancienne et que vous souhaitez passer via le wifi, il vous faudra un dongle wifi adapté.

Si tout ceci est bon, il vous faudra installer un serveur web sur votre Raspberry Pi. Apache ou Nginx, cela n’a pas d’importance, prenez celui avec lequel vous vous sentez le plus à l’aise. Pour ceux qui ne savent pas comment faire, nous vous conseillons d’utiliser le même que nous pour coller parfaitement à ce tutoriel, à savoir Nginx. Vous trouverez comment l’installer sur notre tutoriel dédié.

Maintenant que votre Raspberry pi est fin prête, nous pouvons passer à la procédure d’installation et de configuration de eZ Server Monitor.

Installation de eZ Server Monitor

Tout d’abord rendez vous dans le dossier qui stocke vos sites web. Dans notre cas de figure, nous sommes sous nginx et nos sites web sont stockés dans /var/www/html

cd /var/www/html/

Maintenant, téléchargez la dernière version de eZ Server Monitor en version web. À l’heure où nous écrivons ce tutoriel, la dernière version est là 2.5 mais vous pouvez retrouver la liste de toutes les versions à cette adresse : https://ezservermonitor.com/esm-web/downloads

sudo wget --content-disposition  http://www.ezservermonitor.com/esm-web/downloads/version/2.5

Une fois téléchargé, décompressez le nouveau dossier et supprimez l’archive

unzip ezservermonitor-web_v2.5.zip
sudo rm ezservermonitor-web_v2.5.zip

L’installation maintenant terminée, nous pouvons passer à la configuration du système de monitoring de votre raspberry pi. Mais juste avant cela pour faciliter l’accès depuis un navigateur, il est possible de renommer le dossier dans lequel se trouve eZ Server Monitoring

mv eZServerMonitor-2.5/ monitoring/

Pour ce qui est de la réelle configuration du monitoring, vous la trouverez dans le dossier conf.

nano monitoring/conf/esm.config.json

Dans ce fichier, nous vous conseillons de remplacer tous les false par true. Quand vous verrez l’interface, vous comprendrez aisément à quoi correspondent les différents paramètres et pourrez ajuster la configuration selon vos besoin.

Pour accéder à votre système de monitoring, il ne vous reste plus qu’à ouvrir un navigateur, et rentrer dans l’url l’IP de votre raspberry suivie du nom du dossier dans lequel se situe votre monitoring. En suivant ce tutoriel et avec une raspberry pi qui a une IP en 192.168.1.40 ça donnerait :

http://192.168.1.40/monitoring/

Vous voilà maintenant avec une Raspberry Pi sous contrôle 🙂

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Miamondo : Radiotray, une application toute simple pour écouter les webradios

mercredi 16 août 2017 à 06:00

Petit mot de Benoît alias Ordinosor

Bonjour à tous

Il y a quelques semaines, j’avais lancé un appel pour annoncer que j’ouvrais les portes de Miamondo à toutes celles et tous ceux qui souhaitaient y publier des articles en rapport avec la galaxie du Libre et la planète Linux. Je ne voulais plus continuer à travailler tout seul dans mon coin et je souhaitais que ce blog évolue vers quelque chose de plus élaboré.

Eh bien, figurez-vous que j’ai été entendu puisque je viens d’être rejoint par le Castillan et que ce dernier publie ici-même son premier article. L’introduction est identique au mot près, à un court article paru sur framalibre mais il ne s’agit nullement d’un plagiat puisque c’est lui-même qui l’avait rédigé.

L’article qu’il publie aujourd’hui est beaucoup plus complet. Merci donc au Castillan que je suis heureux d’accueillir sur mes terres. Il va falloir que je modifie la bannière du site mais également que je remplace la page « À propos de l’auteur » par « À propos des auteurs ».

Le Castillan a publié de nombreux articles sur IT-Connect.fr. Je lui laisse le clavier…

Radio Tray

Radio Tray est une petite application légère d’une extrême simplicité et qui permet d’écouter les radios Internet. Cette application écrite en Python s’exécute et s’intègre directement dans le tableau de bord (ou barre des tâches) d’un système Linux. Ces caractéristiques sont :

NB : On entend par « Radio Internet » des radios FM qui diffusent également au travers d’Internet ou des Radios qui n’émettent pas sur la bande FM (ou AM) et qui ne sont disponibles qu’au travers d’Internet.

radiotray

Installation

Cette application (radiotray) est présente dans les dépôts officiels des principales distributions Linux. Sinon, vous trouverez les sources ici : http://radiotray.sourceforge.net/.

Lancement de l’application

Au lancement de l’application (/usr/bin/radiotray) il n’y a pas d’interface graphique qui s’ouvre mais juste une icône qui vient se placer dans le tableau de bord. En cliquant sur l’icône, on obtient un menu permettant d’accéder aux stations de radios pré-enregistrées, aux préférences de l’application, aux plugins ainsi qu’à la fermeture de l’application. Ajoutez ce programme à la liste des applications qui s’exécutent au démarrage de votre session, c’est tellement plus pratique !

Capture du 2017-03-23 14-45-54

NB : En fonction de l’aménagement de votre environnement de bureau, vous pouvez choisir l’endroit où l’icône de l’application apparaît : soit une icône dans la zone de notification (valeur par défaut) ou soit un indicateur d’application (techniquement « systray » ou « appindicator »). Pour paramétrer cela, ouvrez un terminal et lancez radiotray –config, puis suivez les instructions.

Paramétrage

Le paramétrage se fait au travers d’une interface graphique minimaliste et efficace qui permet :

– d’ajouter/modifier/retirer un flux radio (Menu Préférences / Configurer les radios) et d’agencer les flux radio en les regroupant éventuellement par « famille » (par groupes), exemple : Radios Françaises, Radios étrangères,

– de sélectionner les plugins à activer ou à désactiver.

Cliquer pour visualiser le diaporama.

Plugins

Les plugins sont à activer par le biais du menu (Plugins / Configurer les plugins). Les plugins livrés par défaut sont :

En pratique

L’application Radio Tray est livrée avec quelques stations de radios pré-programmées. Bien qu’il y en ait d’excellentes dans le lot (telles « Radio Paradise » ou « New Dance Radio » pour les teufeurs…) vous ne trouverez pas de stations françaises. Pas de panique ! Vous allez pouvoir rajouter très facilement vos radios préférées ou, encore plus simple, récupérer ici un fichier (bookmarks.xml) contenant des centaines de radios francophones (mais pas que) dont les plus généralistes telles RTL, Europe1, FranceInfo, etc. Une fois récupéré, ce fichier est à copier vers votre « home directory » dans /.local/share/radiotray (attention dans certaines distributions ce répertoire qui contient les paramètres de Radiotray, peut être ailleurs…).

Sinon, pour n’en rajouter que quelques-unes, trouvez sur internet l’adresse (l’URL) du flux correspondant à votre radio favorite (ex : http://direct.franceinter.fr/live/franceinter-midfi.mp3 pour France Inter) et ajouter cette radio manuellement en utilisant le menu (Préférences / Configurer les radios / Ajouter). Les plus téméraires d’entre vous éditeront le fichier bookmarks.xml à la main et effectueront leurs modifications. A noter que le fichier bookmarks.xml n’est pas chargé de façon dynamique après une modification manuelle, il faudra soit relancer l’application pour le recharger ou passer par le menu (Préférences / Recharger les signets). Et voilà !

Enfin, je vous propose d’ajouter la Webradio Radiowiki (https://radiowiki.fr) qui est une webradio française qui diffuse, en plus de la musique, des infos autour de l’Informatique Libre et rediffuse des podcasts sélectionnés autour de Linux et du développement informatique en général. L’adresse du flux à intégrer dans le lecteur Radiotray est : http://radiowiki.club:8000/flux_128.


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Jehan : GIMP Motion: partie 2 — animations complexes

mardi 15 août 2017 à 12:41

Voici la seconde vidéo d’introduction de GIMP Motion, notre plug-in pour de l’animation de qualité professionelle avec GIMP. Comme déjà écrit, c’est un travail en cours, les bugs et problèmes sont normaux à ce stade de développement. Je revois aussi régulièrement certains concepts au fur et à mesure qu’on les expérimente en produisant ZeMarmot. En étant conscients de ces points, n’hésitez pas à tester mon code, disponible dans le dépôt officiel de code source de GIMP sous la même licence que ce dernier (GPL v3 et au dessus). À terme, cela devrait être livré avec GIMP lui-même, quand j’estimerai que ce sera stable et suffisamment bon. Plus nous aurons de financement participatif (voir fin de l’article pour les liens de crowdfunding) plus cela se produira vite. 😉

Alors que la vidéo précédentes introduisait les « animations simples », c’est-à-dire principalement des animations où chaque calque est une image finale de l’animation, cette seconde vidéo montre comment créer des animations « composites » où les images sont le résultat de l’association de plusieurs calques. Par exemple un calque de fond, des calques séparés pour un personnage, d’autres pour un second personnage, et même des calques à part pour des objets mobiles ou des effets (par exemple les traces dans la neige dans la scène en fin de vidéo).

Je montre aussi rapidement comment « jouer » avec la caméra, par exemple du « panning » dans une scène plus grande que l’écran pour suivre des personnages. Lorsque le logiciel sera fini, on devra pouvoir aussi animer tout effet (opérations GEGL). Par exemple pour flouter l’arrière ou l’avant plan, pour ajouter des effets de lumière (reflets ou autre…), ou simplement des effets artistiques ou du motion graphics…
Comme je le disais, c’est du travail en cours.

Un aspect difficile du projet est de garder une expérience fluide. Faire du rendu de dizaines d’images, chacune compositée à partir de plusieurs images hautes résolutions et d’effets complexes, cela prend du temps; or on ne veut pas « geler » l’interface, de même qu’on veut rendre possible la prévisualisation d’animation dès que possible et aussi fluide que possible. J’ai beaucoup travaillé et expérimenté sur ces aspects car, d’expérience, ce sont les points les plus pénibles en travaillant avec Blender où on s’est résigné à constamment faire des rendus d’extraits pour pouvoir les visionner dans des conditions acceptables (la prévisualisation est bien trop lente, même avec une bonne carte graphique, 32GB de RAM, un  bon processeur et des disques SSD).
Un résultat direct dans GIMP sera de rendre enfin libgimp thread-safe (mon patch est encore en attente de revue, mais il marche déjà très bien pour nous, comme vous pouvez le voir si vous testez notre branche). Cela sera donc une belle avancée pour tout type de plug-ins, pas seulement pour l’animation.
Cela m’a ainsi permis d’expérimenter plus facilement avec le multi-threading dans mon plug-in et je suis assez content du résultat jusqu’à présent (bien qu’il y ait encore beaucoup à faire).

Un autre gros chantier est d’avoir une interface aussi simple à utiliser que possible, tout en proposant des fonctionnalités avancées. Nous avons tant de problèmes dans d’autres logiciels où les options les plus avancées sont si complexes à utilisés qu’on ne peut que mal les utiliser… Bien entendu, c’est très compliqué (ce pourquoi c’est un problème dans tant de logiciels; je n’entends pas qu’ils sont mal implémentées: la solution n’est simplement jamais aussi simples qu’elle n’en a l’air) mais nous y travaillons. Aryeom me rappelle sans cesse les bugs et problèmes d’interface de toutes façons, donc je n’ai pas d’autres choix. 😉

Vous avez peut-être aussi remarqué que nous travaillons sur de très courtes animations. Nous dessinons en fait un unique plan par fichier XCF. Puis nous exporterons les images depuis GIMP Motion et travaillerons sur les transitions et davantage de compositing dans un autre logiciel (jusque là Blender VSE; on entend aussi beaucoup de bien de Kdenlive ces derniers temps, donc on réessaiera probablement; pour tout dire, ces 2 vidéos d’introduction furent faites avec Kdenlive également et c’est effectivement mieux que dans mes précédents tests). Puisque 2 plans présentent 2 points de vue totalement différents (par définition), il n’y a de toutes façons pas trop d’intérêt à les dessiner dans le même fichier. L’autre raison est que GIMP n’est pas fait pour travailler avec des milliers de calques haute-définition. Même si GEGL permet de travailler sur des images plus grandes que la mémoire en théorie, cela n’est pas idéal dans la pratique, surtout si on veut des rendus rapides (certains ont essayés! J’ai moi-même testé pour débugguer: ce n’est clairement pas utilisable au quotidien, comme on peut s’y attendre). Tant que GIMP est destiné à de l’imagerie statique, on peut considérer que c’est un état de fait acceptable. Si un jour l’animation devait devenir une fonctionnalité au cœur de GIMP, alors nous pourrons réfléchir à une utilisation plus intelligente de la mémoire.
D’un autre côté, un plan fait rarement plus de quelques secondes ce qui rend l’usage mémoire très raisonnable. En outre travailler sur l’animation plan par plan est un workflow des plus standards et qui prend tout son sens dans l’animation 2D (pour le cinéma avec acteurs ou la 3D, c’est une complètement autre histoire; je parle vraiment de 2D dessinée ici), donc ce n’est vraiment pas un si gros problème pour l’instant (même si ça peut toujours être mieux).

En conclusion, vous vous demandez peut-être d’où vient ce terme de « cel animation« , aussi connu sous le terme d’animation « traditionnelle ». Un jour peut-être, je ferai un petit historique sur l’animation qui vous donnera la réponse, et vous montrera comment le workflow de GIMP Motion s’en inspire beaucoup. Pour le moment, vous pouvez jeter un œil à Wikipedia, et voir comment les « cels » (des feuilles transparentes) correspondent plutôt bien au concept de « calques » de GIMP. 🙂

Bon visionnage!

Équipe ZeMarmot

Rappel: vous pouvez soutenir mes contributions de code
Libre en dollar US sur Patreon ou en euros sur Tipeee.
Plus nous obtenons de financement, plus rapidement nous
tout le monde aura accès à ces fonctionnalités dans les
versions stables de GIMP, ainsi qu'à plein d'autres
fonctionnalités sur lesquelles je travaille en parallèle.
:-)

 

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dada : Des jolis graphes à Facette 0.4.0 et RRD

mardi 15 août 2017 à 08:42

En 2015, j'étais tombé sur Facette, un outil plutôt bien foutu pour afficher l'état de mon serveur sans avoir à m'y connecter. En 2015, après quelques mésaventures, j'avais passé mon système de monitoring sous Monitorix. Eh bien, en 2017, avec la sortie de Facette 0.4rc1 (puis rc2 le temps de rédiger le billet), je retourne à mon premier amour !

Pourquoi ? Parce que cette version 0.4 est totalement retravaillée de l'intérieur, que ses jolis graphiques me manquent et que Monitorix, aussi simple soit-il, n'est pas vraiment une solution flexible. Je vous propose ici de quoi bien commencer, vu que la doc m'a filé mal au crâne.

Installer Facette

Pour les utilisateurs de Debian Jessie en amd64, voici le wget qui va bien. Pour les autres, faites un tour par ici.
wget https://github.com/facette/facette/releases/download/0.4.0rc2/facette_0.4.0rc2_jessie-amd64.deb
Pour installer le paquet :
dpkg -i facette_0.4.0rc2_jessie-amd64.deb 

Installer les dépendances RRD

Il est possible de remplir Facette avec Graphite, Influxdb, Kairosdb, ou encore Facette lui-même. J'ai choisi RDD, parce que.
apt-get install rrdtool rrdcached collectd 

Configurer Nginx

Facette a besoin d'un ReverseProxy pour fonctionner : en voici un exemple.

Configurer RRD

Installer les dépendances de RRD ne suffit pas, voici les quelques étapes supplémentaires pour faire fonctionner le bousin :

Créez les répertoires rrdcached :
mkdir /var/run/rrdcached/
Ajoutez ces lignes dans /etc/default/rrdcached :
OPTS="-s facette"
OPTS="$OPTS -l unix:/var/run/rrdcached/rrdcached.sock"
OPTS="$OPTS -j /var/lib/rrdcached/journal/ -F"
OPTS="$OPTS -w 1800 -z 1800 -f 3600 -t 4"
Cela permet, en gros, à Facette d'utiliser RRD.

Relancez RRDcached.
/etc/init.d/rrdcached restart 
Avec un ps, on vérifie que tout est comme on veut :
root@serveur:~# ps faux | grep rrd
root     14476  0.0  0.0  12736  2204 pts/0    S+   20:33   0:00                      \\_ grep rrd
root     14465  0.0  0.0 138288  2632 ?        Ssl  20:33   0:00 /usr/bin/rrdcached -s facette -l unix:/var/run/rrdcached/rrdcached.sock -j /var/lib/rrdcached/journal/ -F -w 1800 -z 1800 -f 3600 -t 4 -p /var/run/rrdcached.pid

Configurer RRD comme fournisseur / provider

Allez dans le panneau d'administration de Facette et configurez RRD avec les informations que vous venez de mettre en place :

- Dossier de base
/var/lib/collectd/rrd

- Socket du démon rrdcached
/var/run/rrdcached/rrdcached.sock

- Motif de correspondance
(?P[^/]+)/(?P.+).rrd

Voilà ! Vous devriez maintenant pouvoir commencer à faire vos propres graphiques :


Vous arriverez sans doutes à mettre en place vos graphiques comme des grands et à les afficher dans des collections, pas besoin d'expliquer comment faire.

Je reviens rapidement sur les fournisseurs de données. J'ai dit que Facette pouvait être de la partie, en plus de RRD et des autres. Cela veut dire que plusieurs instances bien configurées peuvent être agrégées sur un même serveur. C'était déjà une option bien chouette à l'époque, ça l'est toujours aujourd'hui : avoir une unique page pour, par exemple, surveiller tout le trafic réseau ! 


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Jean-Baptiste Holcroft : Lire le journal système du dernier démarrage avec systemd

mardi 15 août 2017 à 00:00

Écrire un rapport de bug est une bonne chose, mais accéder aux journaux système n’est pas toujours évident…

Grâce à cet article sur systemd, j’ai compris comment trouver les traces liés à chaque démarrage de la machine. Comme cela fait plusieurs années que je galère sans, je me …

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