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elementary OS : Freya ? un indice sur la beta 1

mardi 24 juin 2014 à 23:01

Mise à jour de l'article

Petite mise au point avant que les gens ne commence trop à râler comme on le voit sur le site. Les développeurs gagnent leur vie avec cet OS grâce à un système de dons, ce qui veut dire que pour avoir un développement plus soutenu, plus rapide, il est important de faire un petit don : 5€, 10€ afin de permettre aux développeurs d'embaucher de nouveaux développeurs pour se permettre d'accélérer le développement.

Avec une fin de semaine relativement riche en émotion :  la France gagne 5 à 2 contre nos amis suisses, le changement de nom de code d'elementary OS feu Isis en Freya, nous avons pu récupérer une petite information à prendre avec des pincettes. Celle-ci, bien que de source officielle, pourra être modifiée.

L'information nous a été communiquée par notre Corentin « Tintou » Noël national, sur notre chat IRC ce jeudi 19 Juin :

freya_dev

L'équipe en charge du développement de Freya souhaiterait rendre disponible la beta 1 « pendant l'été ».

Remarquez bien la présence des guillemets dans cette phrase, ce n'est pas un engagement ferme ni une date gravée dans le marbre par l'équipe elementary OS mais bien un souhait; pour tenter de lire entre ces lignes, nous pourrions émettre l’hypothèse que la béta 1 pourrait sortir entre le 21 Juin et le 22 Septembre date de début et de fin de la saison de l'été, il n'y a qu'un pas à faire mais nous ne le franchirions pas.

Il faut retenir de cette information les éléments suivants :

  1. Freya est toujours en développement (et c'est toujours une bonne chose).
  2. La possible période évoquée du « pendant l'été » pourra être amenée à changer.

Si vous en avez la possibilité, encouragez l'équipe elementary OS via un don depuis le site officiel, ou, à vous rendre sur le site bounty source pour aider les développeurs.

Et vous, quand pensez-vous ?

Le billet Freya ? un indice sur la beta 1 a été publié sur elementary OS Fr - Communauté francophone d'elementaryOS

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wilfried caruel : Marlin : Le logiciel opensource de la semaine

mardi 24 juin 2014 à 14:25

Présentation Marlin

elementary-os

Aujourd’hui je vais vous parler d’un logiciel pour les « linuxiens » .

Ce logiciel de la semaine s’appelle « Marlin ».

« Marlin » est un gestionnaire de fichiers . tout comme « Nautilus » et celui que j’utilise tout le temps « Nemo ».

J’avais envie de vous parler de ce gestionnaire de fichiers car je trouve indispensable d’en avoir au moins un.

Concernant les gestionnaires de fichiers (ces concurrent) il y a :

Pour les plus connus, sinon il y en a d’autres plus ou moins jolis, avec plus ou moins de spécificités etc

Avec « Marlin » vous allez pouvoir naviguer dans vos disques durs, dossiers personnels etc

Vous allez pouvoir faire ou utiliser :

Concernant l’affichage vous avez comme ses concurrents :

Ce logiciel est disponible sous licence « GPLv3 ».

Fonctionnalités :

Ce logiciel est disponible par défaut sur la distribution « linux » « Elementary OS ».

La vidéo

Ce logiciel a été développé par « Lucas Baudin » et « ammonkey » entre autres.

Mon avis :

Je trouve ce logiciel assez sympathique surtout pour ranger , classer les fichiers et ou dossiers.
« Marlin » est le gestionnaire de fichiers par défaut de « Elementary OS » ça veut dire que c’est un logiciel de qualité . Même si je garde « Nemo » comme logiciel pour gérer mes fichiers.
J’aime bien la sélection multiple entre autres . Par contre, niveau réglages il l n’ y a pas grand chose.
Se connecter à un serveur très vite (pour le FTP ou FTPS j’ai « Filezilla ») mais pour des choses rapides j’utiliserais bien cette fonction en sachant que je l’utilise sur « Nemo ».
Il semblerait que « Marlin » permette l’utilisation d’extensions mais je ne peux rien vous dire dessus car je n’en ai pas trouvé, donc je n’ai pas pu tester.
Je ne parle pas des raccourcis clavier car il me semble qu’ils sont standard à ce genre de logiciel.
La personnalisation de la barre d’outils est une bonne chose pour la bonne prise en main.
C’est peut être moi, mais je le trouve moins complet que « Nemo ».
Si vous avez les lignes de commandes pour les autres distributions, n’hésitez pas à m’en faire part via les commentaires, je ferais la mise à jour.

Vous utilisez quoi comme gestionnaire de fichiers ?

Installation :

Archlinux

 yaourt -S marlin-bzr
Liens :

Site officiel
Article Neosting

Musique : Oursvince – Mystic Forest

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Wooster by CheckmyWebsite : PacketBeat : Solution possible pour l'APM ?

mardi 24 juin 2014 à 09:00

Si vous avez déjà essayé ELK, vous avez dû arriver à la conclusion que celui-ci est de plus en plus à considérer comme un “framework” de traitements d’événements et métriques plutôt qu’un produit fini, prêt à l’emploi.

L’installation de la pile ELK ne pose aucun souci mais le paramétrage d’un flux de traitement spécifique à un contexte donné peut demander pas mal de temps. Il faut en effet formater, filtrer les données et ensuite construire les tableaux de bord pertinents sur ces données.

Toutes ces opérations demandent du temps, des compétences et c’est donc naturellement que Packetbeat ouvre la voie à des solutions clés en main construites sur ELK. Du coup, tout est prêt… Ou presque à la sortie de la boîte !

Je prends le pari que Packetbeat pourrait bien être le premier d’une longue série.

Définition APM

Dans les domaines des technologies de l’information et la gestion des systèmes, l’Application Performance Management (APM) est la partie de la supervision qui comprend la surveillance et la gestion de la performance ainsi que la disponibilité des applications. L’APM vise à détecter et diagnostiquer les problèmes de performance des applications de façon à maintenir, garantir le niveau de service attendu. L’APM traduit les indicateurs techniques informatiques en indicateurs qui ont du sens, de la valeur pour l’entreprise « indicateurs métiers, business ».

Packetbeat, kesako ?

Packetbeat est un système distribué de surveillance de paquet pouvant être utilisé dans le cadre de l’Application Performance Monitoring « APM ». C’est une espèce de Wireshark avec beaucoup plus de fonctionnalités d’analyse.

Les agents Packetbeat surveillent le trafic entre vos processus applicatifs, analysent à la volée les protocoles comme HTTP, MySQL, PostgreSQL ou REDIS et corrélent les messages en transactions. Vu les technos supervisées, c’est clairement destiné, au moins pour le moment, à une architecture web plus ou moins traditionnelle. Pour chaque transaction, les agents insérent un document JSON dans Elasticsearch

Packebeat utilise une version modifiée de Kibana permettant de créer des widgets pour visualiser les topologies de réseau.

Pour résumé, il est possible de dire que Packetbeat est avant tout un client de la solution Elasticsearch Kibana.

Installation de Packetbeat

Je passe la partie installation de la pile ELK qui ne présente aucune difficulté et que nous avons déjà abordée sur Wooster pour focaliser sur les parties spécifiques à Packetbeat.

Configuration de Packetbeat

La configuration d’un agent est simple et vous pouvez très bien vous contenter d’indiquer dans le fichier de configuration /etc/packetbeat/packetbeat.conf le serveur Elasticsearch du serveur.

Côté serveur, il faut préciser un « index template » Elasticsearch et charger quelques modèles de tableaux de bord. Ces opérations se font dans une logique toute « Elasticsearch »; avec la commande curl comme seul outil.

curl -XPUT 'http://localhost:9200/_template/packetbeat' -d@packetbeat.template.json

Cett commande charge le modèle packetbeat.template.json sur le serveur Elasticsearch situé sur localhotst.

Tout est très bien expliqué dans le guide de démarrage de Packetbeat.

Les tableaux de bord

C’est bien évidemment les tableaux de bord fournis qui donnent tout leur sens à ce genre de solutions construites sur ELK. Ils fournissent la matière de base aux différentes analyses à mener pour comprendre son application. Et Packetbeat n’est pas avare de graphiques comme le montre cette copie d’écran issu de la démonstration.

Packetbeat statistics dashboard
Packetbeat statistics dashboard

Je vais reprendre quelques graphiques, mais cette fois issus du premier site web que j’ai placé sous inspection packetbeat et pour lesquels j’ai quelques informations que je voudrais partager avec vous.

Top web transactions

Top web transactions
Top web transactions

Il est possible d’apprendre déjà pas mal de choses avec ce tableau.

Les GET vers /sites/… indique une installation Drupal et pourtant la requête la plus demandée est /wp-login.php; certainement signe de quelques mal-intentionnés tentant de vérifier les technos utilisées avant « attaque ».

Et Check my Website me confirme que je ne devrais pas voir de 404 si la page existait. Le contrôle ne renvoie pas d’éléments non trouvés dans la page de ce site.

Informations générales de la page
Informations générales de la page

Web transaction errors

Je retrouve d’ailleurs ces wp-login.php comptabilisé en 404 dans cet autre graphique, qu’il conviendrait sûrement de renommer en répartition des codes retours serveurs.

Web transactions errors
Web transactions errors

J’avais obtenu modestement ce genre de graphique avec mes essais ELK Nginx.

Web transactions

Ce graphique donne le volume de transactions HTTP pour l’application durant les 24 dernières heures.

Web transactions volume
Web transactions volume

Le site « dort » entre 2 heures et 8 heures du matin. Au plus haut de la journée, le site génère 400 transactions minute.

Slowest web transactions

Encore un graphique intéressant qui permet d’analyser les transactions applicatives en présentant la répartition en temps de réponse de celles-ci.

Slowest web transactions
Slowest web transactions

Une liste complète des requêtes les plus lentes est également disponibles pour compléter l’analyse.

Conclusion de ce petit galop d’essai

L’analyse que fait Packetbeat depuis les flux réseaux permet de remonter beaucoup d’informations qui sont corrélées en transactions. C’est cette particularité qui fait la singularité de Packetbeat. C’est un superbe complément à une solution classique de supervision. Et n’oubliez pas que c’est une vision utilisateur qui vous est présentée.

Packetbeat est jeune mais plein de potentiel et de promesses dans un domaine; l’APM, où les solutions Open Source ne sont pas légion.

Le fait qu’il soit construit sur ELK est un gage de cohérence si vous avez décidé comme moi de faire de celui-ci un de vos piliers de supervision. Pas de nouveau outil à apprendre, pas d’installation supplémentaire ou presque, que du bonheur !

Définitivement un outil à suivre de près et encore une belle démonstration de la puissance et de la flexibitlité de la pile ELK sera ma conclusion !

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Damien : la spirale digitale s’arrête

lundi 23 juin 2014 à 22:39

Je vous annonce que la spirale digitale s’arrête.

Être seul pour tout faire, cela prend beaucoup de temps et d’énergie : écrire des billets, s’occuper de la modération quand ça part en cacahuete, faire un peu de technique, faire des recherches pour de futurs billets qui au final ne sortiront pas, c’est difficile de produire du contenu seul, toujours motivé.

‎A la rentrée 2013, j’avais eu une initiative de regroupement : je voulais former une bande de blogueurs, pour devenir plus fort, avec une bonne force de frappe. Il y a eu des pourparlers, beaucoup de bonne ambiance et peu d’action au final. La faute a un mauvais timing, un manque d’organisation aussi. Ca devait s’appeler morphisme et ca n’a pas ete tres loin.

J’ai toujours pensé que l’union fait la force : le libre, seul, n’arrivera a rien. Les forces en présence face au logiciel libre et a un monde de partage, sont trop puissantes.‎J’ai voulu rallier des gens sous une bannière et ça n’a pas fonctionné.

Aujourd’hui, c’est moi qui vais rejoindre cette bannière, celle de la bande a Cyrille Borne, sur Blog Libre.‎ Je reponds positivement a son invitation. Son blog, c’est du costaud.

Je remercie tous les lecteurs et tous les commentateurs de la spirale digitale.‎ J’ai pris énormément de plaisir pendant ces 2 dernières années.

Je continuerai a garder un oeil par ici pour répondre aux commentaires et mettre a jour une fois par an le billet sur les messageries emails, qui est ma marque de fabrique et a été, je le pense, très utile.

L’aventure continue sous d’autres couleurs, celle de Blog Libre.

- Damien

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Progi1984 : Publier à distance un article WordPress en PHP

lundi 23 juin 2014 à 10:30

Après Facebook et Twitter, et si on revenait à quelque chose de plus local : WordPress. Aujourd’hui, on va utiliser PHP pour publier à distance un article sur un blog WordPress.

Logo WordPress

Installation

La librairie utilisée est

hieu-le/wordpress-xmlrpc-client
. Le choix s’est fait sur plusieurs points : tests unitaires, documentation et support des standards PSR. Le bonus a été que cette librairie est conseillée par le Codex de WordPress.
L’installation se fera via Composer :
"require": {
    "hieu-le/wordpress-xmlrpc-client": "2.2"
}

Utiliser l’API de WordPress pour créer un article

L’API de WordPress reste assez simple. Elle fonctionne par l’envoi d’une requête HTTP de type POST avec comme contenu une enveloppe XML-RPC.
Pour créer un article, on va utiliser l’API wp.newPost au travers de la classe PHP.

On instancie la classe avec trois paramètres :

use \\HieuLe\\WordpressXmlrpcClient\\WordpressClient;

$oWordPress = new WordpressClient(WP_URL, WP_USER, WP_PASS);

Après cette instanciation, on appelle la méthode

newPost
.
$idPost = $oWordPress->newPost('Title', 'Body', array());

Et voilà, l’article est créé. Rien de plus simple.
WordPress : Nouvel article

Conclusion

De nombreuses autres API existent pour manipuler son blog et permettent d’être manipulé grâce à la librairie de hieu-le.
On peut faire de nombreuses choses comme :

Toutes les informations se trouvent sur la documentation. Mais d’autres API existent sur le Codex de WordPress si votre blog est hébergé sur WordPress.org.

Cet article Publier à distance un article WordPress en PHP est apparu en premier sur RootsLabs.

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