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crowd42 : SparkleShare 1.0 est dans les bacs

vendredi 14 décembre 2012 à 05:38

Il y a plus d’un an, je découvrais pour la première fois SparkleShare, un logiciel libre de travail collaboratif qui permet la synchronisation instantanée des dossiers et des fichiers. En d’autres mots, c’est l’équivalent libre de Dropbox, sauf que vos données sont hébergées sur votre propre serveur ou sur un service tiers, dont vous avez une totale confiance quant au traitement qu’il réserve à vos données privées (Gitorious, Bitbucket ou le serveur de votre pote par exemple).

Concrètement, un dossier SparkleShare sera créé dans votre répertoire personnel, tous les dossiers (projets) que vous placerez dans ce dossier,  seront automatiquement synchronisés avec les autres instances (ordinateurs, utilisateurs) connectées aux mêmes projets. Vous avez aussi une icône dans la zone de notification, qui vous préviendra à chaque fois qu’une modification est apportée à un projet.

Un autre point fort de SparkleShare, c’est qu’il permet de synchroniser différents projets avec différents serveurs, comme le souligne Hylke Bons dans son billet de blog qui annonçait la sortie de la version 1.0 :

[quote style="boxed"]For example, I use this to sync some public projects with Github, some personal documents with my own private VPS and work stuff with a host on the intranet.[/quote]

Bref, si vous n’avez pas encore essayé SparkleShare, il est peut-être temps que vous le faites, d’autant plus que c’est un outil multi-plateforme, qui en plus d’une version GNU/Linux, il est disponible pour Windows et Mac OS

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Hobbestigrou : Disqus

vendredi 14 décembre 2012 à 03:31

Introduction

Disqus est un système de commenaitre centralisé en ligne, sur lequel j'ai migré, il y a quelques jours, et je ne suis vraiment pas déçu. Hormis le fait que ce ne soit pas un projet libre, que je suis dépendant d'un service et que je n'ai pas le contrôle de mes données. Je suis satisfait, car le nombre de commentaires à significativement augmenté, et bien que je dois dire que j'écrits avant tout pour moi, c'est toujours très plaisant, agréable, et motivant de se sentir lu et d'avoir des participations. Je ne pensais pas que j'en aurai autant, j'espère que ça va continuer, car du coup je suis motivé à écrire beaucoup plus. En revanche, j'ai aussi reçu quelques mails qui me demander pourquoi ce changements, et qu'ils n'étaient pas en accord avec ce choix.

Les raisons

L'une des raisons principale est que je développe mon petit système de blog. Pour le moment, j'ai négligé la partie commentaire, par-conséquent ce n'était pas agréable à utiliser et à gérer. De plus je recevais un nombre de spam impressionnant, pour un nombre de commentaire proche de zéro.

Comme beaucoup de personnes qui utilise du logiciel libre, je ne suis pas pour l'utilisation de ce genre de service, mais dans le cas présent les avantages sont nombreux et disqus fournit un outil d'export.

Une interface d'adminstration agréable, compléte et personalisable. Le service est utilisé par beaucoup de site, authentification unique, bénéficiant d'une large commuanuté. Tant-donné que c'est du javascript, il est tout à fait possible du coup d'avoir un site entièrement statique sans besoin de langage dynamique. Nombre de spam proche de zéro. Par défaut, l'aspect est joli, utilisation de gravatar, affiche des commentaires de différents articles, ça donne envie de laisser un commentaire.

Conclusion

Un service très agréable à utiliser et puissant, qui m'a permis de ne plus avoir de spam. Je suis capable de faire la part des choses, je peux utiliser un service lorsqu'il apporte de nombreux avantages et facilité. Certaines perssones pense que c'est le début de la fin, je tiens à préciser que ça ne siginifie pas que je vais migrer sur windows ( c'est vraiment impossible ), ou passer à C#.

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yeKcim : Mon nouveau projet libre : Blenderfr.org

vendredi 14 décembre 2012 à 01:36

Depuis que Warmux est mort, depuis que je n'écris plus d'articles (ou très peu) sur des logiciels libres, le fait de ne plus être impliqué dans un projet libre commençait à me titiller. Mais que faire ? Dans quel projet s'investir ? Créer quelque chose de nouveau ou rejoindre une communauté ? Pas toujours simple de savoir où aller.

Dernièrement, je m'amuse avec un logiciel en particulier : Blender. C'est un logiciel de modélisation et d'animation libre et particulièrement complet. Je m'amuse énormément avec, que ce soit pour le travail ou à la maison. Je m'amuse, certes mais je galère aussi énormément car la prise en main est quelque peu ardue (et encore, c'est en régal si l'on compare avec la première version que j'ai essayée, bien avant la refonte de l'interface). Heureusement, lorsque l'on souhaite apprivoiser la bête, on trouve de nombreux tutoriels sur la toile. Les sites qui m'ont particulièrement aidé sont (dans le désordre) : Blender developer code, Blender Wiki, bt blendtuts, Blender Cookie, BlenderNation, BlenderGuru, Blender Nerd, Good Spirit Graphics, Blender 3D Architect, BlenderDiplom, Blender4d, Blender pour les architectes sur le site de Matthieu Dupont de Dinechin, BlenderClan.

Cette liste de ressources est longue mais notez que seuls les trois derniers liens renvoient vers des sites francophones. J'ai pensé que je passais certainement à coté de nombreux articles et tutoriels dispersés sur différents blogs comme j'ai pu le faire à quelques occasions (tag blender). Ma question : Comment faire pour donner plus de visibilité à ces articles dispersés ? Une réponse m'a semblé évidente : un planet !

Pour ceux d'entre vous qui l'ignore, un planet est un agrégat de billets publiés sur différents blogs. Cet agrégateur a pour but de réunir en un seul lieu tous les articles en rapport avec un thème particulier. Pour les blogs agrégés, le planet apporte une certaine visibilité, pour les visiteurs du planet cela permet de trouver en un lieu différentes sources d'information. J'ai participé moi même à deux planets. Un planet francophone dédié à la distribution Ubuntu Planet Ubuntu-fr, puis un autre dédié au libre Planet-libre. Depuis peu, j'ai d'ailleurs réintégré ce dernier.

J'ai commencé par proposer l'idée sur le forum de BlenderClan car ses membres forment une communauté très intéressante et j'ai eu un accueil particulièrement sympathique pour chacune de mes questions sur le forum. Passer outre une telle communauté m'aurait semblé absurde. L'idée semble potentiellement intéresser quelques personnes. Toutefois, celle d'ajouter une entrée dans sa todo list déjà bien fournie ne semble pas enthousiasmer outre mesure ebrain, l'administrateur du site. Il est alors temps pour moi de mettre les mains dans le cambouis numérique… C'est parti pour la création d'un planet francophone dédié à Blender !

Première étape : un nom de site

Si pour l'instant, le but est uniquement de créer un planet, il n'y a pas vraiment de raison de se limiter à cela à long terme, on évitera donc de déposer un nom y faisant référence. Sait-on jamais, si le projet fonctionne bien et qu'une communauté se créée autour, peut-être que d'autres fonctionnalités s'y rattacheront. Les sites communautaires francophones par excellence sont, à mes yeux, Framasoft et LinuxFr.org. Même si la pieuvre que devient, pour mon plus grand plaisir, le premier (Framalab, Framatrucs,…), j'ai toujours eu un petit faible pour le second. Je décide alors de prendre son nom comme référence, ce sera blenderfr.org, ça tombe bien le domaine est libre. Argh, petit imprévu, il existe déjà #blender-fr. Un petit tour sur le chan pour savoir si le fait que mon projet utilise un nom proche dérange me permettra d'avoir la conscience tranquille et surtout de rencontrer une communauté fort sympathique. D'une pierre, deux coups.

Seconde étape : un hébergeur

Plusieurs solutions s'offraient à moi : du gratuit, du payant, du libre,… J'aurais pu faire héberger le site chez free comme ce blog, mais je ne voulais pas du free.fr dans l'adresse. J'aurais pu proposer le projet chez TuxFamily mais il y a longtemps j'ai eu quelques contacts mail effroyablement irrespectueux et désagréables de son président. J'ai fini par me laisser tenter par OVH parce que leurs offres étaient claires, pas trop onéreuses, parce que j'avais déjà utilisé leurs services pour Warmux…

Troisième étape : un CMS

En fait, cette question ne s'est pas vraiment posée. Il existe de nombreuses solutions pour mettre en place des planets mais l'une d'elle me semblait plus évidente : Bilboplanet. C'est le CMS avec lequel Planet-libre est mis en place, il est libre et gratuit, développé par un francophone (ce qui permet des échanges potentiels plus simples), il est en train d'évoluer et au moment où l'idée du planet m'est venue, l'annonce d'une nouvelle version en cours de développement apparaissait dans mon agrégateur.

En une vingtaine de jours, j'ai envoyé une vingtaine de courriels à Grégoire de Hemptinne, développeur de BilboPlanet (sans parler des discussions par messagerie instantanée !). Je crois qu'arrivé à ce stade on peut parler de harcèlement. Pourtant mon interlocuteur reste particulièrement patient, à l'écoute de mes remarques, rapports de bugs, requêtes, questions… Comment voulez-vous que je ne sois pas conforté dans mon choix lorsque les développeurs du projet ont un tel comportement ?

Quatrième étape : un logo

J'avais dans mes marques-pages, un tutoriel expliquant comment dessiner une planète réaliste, j'avais vu la vidéo il y a quelques temps et me souvenait qu'elle était intéressante. Comme pour appuyer l'idée que c'est bien à partir de ce tutoriel que je devais faire mon logo, Blender4d publie un billet sur le sujet au moment même où je cherche l'inspiration. J'applique le tutoriel sur une Suzanne (pour faire simple disons qu'il s'agit de la mascotte de Blender) et obtient un logo convenable.

logo.png

Cinquième étape : un CSS

Le style CSS par défaut de la version de développement de Bilboplanet ne me convient pas vraiment. J'ai commencé à le modifier mais j'ai encore énormément de travail à fournir pour obtenir un résultat qui me convienne parfaitement. Si j'attends que tout soit parfait pour ouvrir officiellement le projet, je vais attendre indéfiniment. Considérant que le site est correct, ne fait pas saigner des yeux, je décide d'ouvrir les hostilités et j'améliorerai le site au fur et à mesure.

Capture_du_2012-12-13_23_02_56.png

Bon, pour l'instant, c'est sûr, c'est plutôt ridicule puisque le planet n'agrège que quatre billets francophones en rapport avec Blender, les miens… Pour l'instant, la charte et l'inscription ne sont pas assez mises en avant (dans le menu en haut à droite) mais cela sera résolu sous peu.

Sixième étape : une charte

Je souhaite que tout ceux qui apprécie Blender puissent participer au projet, la charte est donc simple. Pour inscrire son flux sur Planet Blenderfr.org :

  1. Appréciez Blender
  2. Amusez-vous avec Blender
  3. Écrivez vos articles dans un français correct
  4. Pas d'insultes, d'incivilités,…

La charte évoluera peut-être en fonction des problèmes éventuellement rencontrés. J'espère que vous serez intéressés par le projet et que tout ceux qui ont des flux francophones en rapport avec Blender n'hésiteront pas à s'inscrire.

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Clapico : Installez ChromiumOS sur une clé USB Bootable depuis Ubuntu ou Linux Mint

jeudi 13 décembre 2012 à 22:23

Chrome OS est un projet open-source qui offre une expérience informatique simple, rapide et plus sûre pour les personnes qui passent la plupart de leur temps sur le web. Si vous souhaitez vous rendre compte par vous-même de ce que cela donne, voici comment installer cet OS sur une clé USB bootable depuis Ubuntu ou Linux Mint.

chromium01

Nous allons dans un premier temps créer un dossier ChromiumOS dans le home en ouvrant un terminal et en entrant la commande

mkdir ~/ChromiumOS; cd ~/ChromiumOS

Nous allons ensuite télécharger la version compressée de cette distribution avec la commande

wget -c http://goo.gl/gSfmn -O ChromeOS-Vanilla-3274.0.zip

Pour décompresser ce dossier, faites

unzip ChromeOS*.zip

puis, afin de renommer l’image d’un nom plus simple, entrez la commande

mv ChromeOS*.img ChromeOS.img

Notre image se trouve désormais dans notre dossier ChromiumOS. Insérons maintenant la clé USB sur laquelle nous souhaitons installer notre OS. Comme nous devons identifier cette clé, entrons la commande

fdisk -l

Sur ma machine, la clé USB  est montée comme /dev/sdd. Nous allons la démonter à l’aide de la commande

sudo umount /dev/sdd

(remplacez /dev/sdd par le nom de votre propre clé)

Pour créer votre clé bootable, il ne vous reste plus qu’à entrer la commande

sudo dd if=ChromeOS.img of=/dev/sdd bs=4M

(là encore, remplacez /dev/sdd par le nom de votre propre clé).

Si vous souhaitez créer votre clé USB Bootable depuis une autre distribution Linux, Mac ou Windows, allez faire un tour chez Hexxeh son créateur.

Vous pouvez maintenant redémarrer votre machine en bootant sur votre clé USB. Pour utiliser ChromiumOS, entrez vos identifiant Google ou créez un compte.

J’écris ce billet depuis cette fameuse clé bootable branchée sur un Dell Latitude E6400. Le seul problème rencontré est le dysfonctionnement du pavé tactile. Pour le reste, je ne rencontre pas de souci particulier si ce n’est un manque de repère puisque toutes les applications que j’ai installé se lancent dans le navigateur (messagerie gmail, twitter, etc.)

Les applications s’installent depuis “Chrome Web Store“.

chromium03

 

Il est possible de brancher un support de type disque dur externe pour accéder à ses fichiers/dossiers.

chromium02

 

Je n’ai pour l’instant ni réussi à lire mes musiques, ni mes films mais comme ChromiumOS n’est encore qu’un projet… il est peut-être encore un peu tôt et comme les mises à jour sont publiées tous les jours par Hexxeh et sont automatiquement installées par l’OS, patientons.

Je ne sais quel est l’avenir de ce type de distribution “en, ligne” mais l’expérience quoi que déroutante est amusante et intéressante et, si vous décidez de l’essayer, n’hésitez pas à faire part de vos retours dans les commentaires de ce billet.

Amusez-vous bien.

Source : UpUbuntu

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crowd42 : Gasser : un capteur de la qualité de l’air basé sur Raspberry PI

jeudi 13 décembre 2012 à 03:11

Après le supercalculateur basé sur Raspberry PI, le serveur web, le média center, un réfrigérateur pour la fermentation de la bière… etc, on a réussi à trouver un nouveau usage à l’ordinateur monocarte : faire de lui un capteur qui surveille la qualité de l’air !

En effet, Gasser – le nom du projet- permet de contrôler la qualité de l’air dans une zone donnée, grâce à des capteurs Alphasense B4-series. Les données collectées sont ensuite envoyées à l’aide d’un modem 3G (Citoyens capteurs, l’association qui est derrière Gasser, utilise un Huawei E220, mais je suppose que tout autre modem fera l’affaire, idem pour les capteurs). Elles est possible aussi de les sauvegarder grâce à la carte SD qui équipe les modems 3G. Le tout relié à un Raspberry PI.

Gasser : capteur qualité de l'air basé sur Raspberry PI

Une initiative qui devrait inspirer nos associations marocains de protection de l’environnement.

source et site du projet

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