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La vache libre : PacmanExpress – Une version allégée du gestionnaire de paquets PacmanXG

jeudi 31 juillet 2014 à 16:27

pacmanexpress

Pour effectuer les mises à jour de notre système sur Arch Linux ou Manjaro, un terminal et quelques commandes de base suffisent largement. Cependant, pas mal de gestionnaires de paquets sont apparus ces derniers mois et nous en avons d’ailleurs évoqué certains comme Uppydate, Argon, Pamac, Octopi (mon préféré) ou encore PacmanXG. PacmanExpress est un autre gestionnaire de paquets prenant en charge Pacman et Yaourt, qui est en fait une version allégée de PacmanXG et qui a la particularité de ne dépendre ni de GTK, ni de Qt. Il repose en effet sur X Window System (X11), ce qui lui permet de s’intégrer dans toutes les distributions et ce quelque soit l’environnement de bureau utilisé.

PacmanExpress dispose de toutes les options de base utiles à un gestionnaire de paquets, qui vont vous permettre entre autres de gérer facilement l’installation, la mise à jour et la suppression de vos applications. Il dispose également d’une fonction de recherche avancée qui va vous permettre de fouiner dans les principaux dépôts, avec un certain nombre de filtres à votre disposition, vous permettant d’affiner vos recherches et l’affichage des résultats. Pour le reste PacmanExpress permet un accès rapide à vos fichiers de configuration pacman.conf, mirrorlist, yaourtrc, task.conf etc… et va vous fournir un certain nombre de renseignements utiles, que vous pourrez même compléter en envoyant vous-même des informations.

Alors ce n’est sans doute pas le meilleur gestionnaire de paquets pour Arch que j’ai pu voir, mais il possède tout ce qu’il faut vous faut pour bosser et il fait bien son taff. Concrètement c’est plus une histoire de goûts et de couleurs qu’autre chose et je n’ai pas grand-chose à lui reprocher. À vous de voir et de tester :)

Vous pouvez commencer par jeter un œil à cette vidéo de présentation :

Maintenant que vous en savez plus il ne vous reste plus qu’à l’essayer en passant par AUR, à l’aide de la commande suivante :

yaourt -S pacmanexpress

NB : Si vous n’arrivez pas à la lancer et que vous ne la voyez pas dans la liste des programmes après l’installation, vous pouvez essayer de trouver le lanceur l’application dans le dossier /opt/pacmanexpress.

Amusez-vous bien.

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Wooster by CheckmyWebsite : Faire suivre les messages Rsyslog vers Logstash

jeudi 31 juillet 2014 à 09:00

Jusqu’à maintenant, aussi curieux que cela puisse paraître, j’utilisais une méthode plutôt assez « root » pour faire suivre des logs de type Syslog vers Logstash.

Cette méthode requierait côté Logstash pas mal de « grok parsing » et le résultat n’était pas toujours à la hauteur de mes espérances.

Cett époque est désormais révolue depuis que j’ai lu attentivement le billet en anglais de Aaron Mildenstein qui propose une approche beaucoup plus simple, puisque Logstash n’a plus qu’à consommer « nativement » les événements.

Rsyslog, JSON, Logstash

J’ai testé le setup qui suit avec bonheur sur Linux Ubuntu 14.04.01 LTS 64 bits avec la version de Rsyslog fournie; soit la 7.4.4 et la dernière version en date de Logstash; soit la 1.4.2-1-2c0f5a.

Ceci devrait fonctionner sur à peu près toutes les distributions Linux, du moment que celle-ci embarque une version suffisamment récente de Rsyslog capable d’envoyer des logs au format JSON. C’est je crois aux alentours de la version 6 de Rsyslog que cette possibilité est apparue.

Configuration Rsyslog

Côté Rsyslog, c’est grâce aux templates que nous allons pouvoir pré-formater les messages de façon à ce que Logstash ne fasse plus rien, ou pas grand chose. J’ai placé mon template dans /etc/rsyslog.d/logstash-json.conf. En voici le contenu :

template(name="ls_json"
         type="list"
         option.json="on") {
           constant(value="{")
             constant(value="\\"@timestamp\\":\\"")     property(name="timereported" dateFormat="rfc3339")
             constant(value="\\",\\"@version\\":\\"1")
             constant(value="\\",\\"message\\":\\"")     property(name="msg")
             constant(value="\\",\\"host\\":\\"")        property(name="hostname")
             constant(value="\\",\\"severity\\":\\"")    property(name="syslogseverity-text")
             constant(value="\\",\\"facility\\":\\"")    property(name="syslogfacility-text")
             constant(value="\\",\\"programname\\":\\"") property(name="programname")
             constant(value="\\",\\"procid\\":\\"")      property(name="procid")
           constant(value="\\"}\\n")
         }

Il est simplement précisé dans ce template de faire coîncider les champs Rsyslog avec ceux choisis côté Logstash. L’option.json est bien sûr activée. Merci Aaron pour le boulot fait !

Notez au passage le nom du template ls_json puisque nous allons maintenant l’appeler depuis le fichier principal de configuration de Rsyslog, situé à /etc/rsyslog.conf sur ma distribution. Ajoutez simplement ceci en bas du fichier :

*.*     @127.0.0.1:10514;ls_json

L’adresse IP est bien sûr à changer si vous n’avez pas comme moi Rsyslog et Logstash sur le même serveur.

Avant de redémarrer Rsyslog par sudo service rsyslog restart, passons à la configuration de Logstash.

Configuration Logstash

L’avantage de ce setup, je me répète, c’est qu’il n’y a plus grand chose à faire, témoigne le peu de longueur et la simplicité de la configuration suivante !

input {
  udp {
    port => 10514
    codec => "json"
    type => "syslog"
  }
}

filter {
  # This replaces the host field (UDP source) with the host that generated the message (sysloghost)
  if [sysloghost] {
    mutate {
      replace => [ "host", "%{sysloghost}" ]
      remove_field => "sysloghost" # prune the field after successfully replacing "host"
    }
  }
}

output {
  elasticsearch { host => localhost }
}

En entrée, input, une simple écoute UDP sur le port 10514, avec quand même un [codec JSON] histoire de parler le même « protocole ».

Côté filtre, filter, c’est juste cosmétique. Il ne serait pas là que cela fonctionnerait quand même. Il permet entre autres de supprimer le champ sysloghost une fois correctement remplacé par le nouveau nom de champ host, plus générique. Pas de quoi s’affoler !

Et la sortie classique de chez classique vers Elasticsearch. Et oui, Elasticsearch est aussi sur le même serveur !

Visualisation avec Kibana

Pas non plus à se casser la tête pour visualiser et chercher dans ces logs confortablement depuis son navigateur. Kibana est fait pour ça après tout !

Tableau de bord Kibana pour Rsyslog Logstash via JSON
Tableau de bord Kibana pour Rsyslog Logstash via JSON

Et le le clic sur un élément donne tout le détail du message, correctement structuré.

Détail d’un événement pour Rsyslog Logstash via JSON
Détail d’un événement pour Rsyslog Logstash via JSON

Syslog vers Elasticsearch et Kibana

Ça, c'est fait sera ma conclusion et cela devient mon setup de référence pour l’ensemble des serveurs que je maintiens en production. Reste plus qu’à mettre ceci en place sur les dits serveurs.

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dada : Tutoriel : Passer son Flame de Firefox OS 1.3 en 2.0

jeudi 31 juillet 2014 à 08:42

Je viens de terminer de rédiger un tutoriel vous permettant de passer votre Flame en 2.0. Ce tutoriel s'appuie sur la documentation officielle de Mozilla. Il regroupe les manipulations à faire, sans fioritures, mais avec quelques explications.

Comme je le dis toujours : chez moi, ça marche. Vous en avez la preuve si vous explorez mes billets sur Firefox OS.

Il est disponible depuis la page Firefox OS, en haut du site. Cette page regroupera des liens vers mes tutoriels et vers les articles parlant de Firefox OS. Libre à vous de faire tourner le lien chez les personnes se demandant si oui ou non ils peuvent se lancer dans l'aventure Firefox OS.

La suite arrive, avec une explication simple pour retrouver son téléphone en configuration usine, vierge de toutes vos manipulations.

Ce tutoriel montre comment faire pour compiler Firefox OS et comment le balancer dans votre téléphone. Amusez-vous bien ;-)
Article librement publié sur le B2B. Merci d'utiliser les flux RSS !

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dada : Diaspora* ReShare Graph : all over ze world

mercredi 30 juillet 2014 à 08:42

Le réseau social libre et décentralisé qu'est Diaspora* à ceci de beau qu'il permet à n'importe qui de faire n'importe quoi avec les données publiques des utilisateurs et d'en tirer quelque chose de chouette.

Les publications publiques font, de temps en temps, le tour de beaucoup de pod. On s'en rend compte lorsque le nombre de repartage est conséquent mais nous n'avions aucun moyen de le visualiser. C'est là qu'intervient Diaspora ReShare Graph.



Avec un visuel des plus chouettes, cet outil nous permet de voir comment une publication est reprise et en apprécier son impacte.

Un grand merci à Faldrian et Malte pour cet outil destiné aux curieux. Maintenant, je peux voir où mes publications vadrouillent ;)

Pour finir, et comme il se doit, les source sont disponibles.

Article librement publié sur le B2B. Merci d'utiliser les flux RSS !

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La vache libre : Cool Old Term – Un émulateur de terminal vintage

mardi 29 juillet 2014 à 22:28

old-cool-terminal

Si vous aimez parfois vous laisser aller à un peu de nostalgie, Cool Old Term est un application qui va sans doute vous plaire en vous permettant de retourner quelques dizaines d’années en arrière. Il s’agit en fait d’un émulateur de terminal utilisant le moteur de Konsole, conçu dans le but d’imiter l’aspect des vieux écrans à tubes cathodiques. Vous pourrez entre autres personnaliser la couleur des polices, du fond d’écran et opter pour différents styles de terminaux (Apple, Commodore, Atari etc). Vous pourrez également paramétrer les différents effets ou en désactiver certains, en fonction des capacités de votre machine. Ce dernier détail est important car comme vous allez pouvoir le constater, Cool Old Term n’est pas vraiment léger. J’ai eu constamment des pointes CPU à 98% lors de mon test. Alors ce n’est pas parfait, ni raisonnablement léger (dixit Fred ;)), mais c’est totalement inutile donc indispensable. On s’y croirait vraiment.

Si ça vous tente voici les instructions d’installation pour Ubuntu 14.04, Arch Linux et Manjaro.

La première chose à faire est d’installer les dépendances requises, à l’aide de ces quelques lignes :

Ubuntu 14.04 :

sudo apt-get install build-essential qmlscene qt5-qmake qt5-default qtdeclarative5-dev qtdeclarative5-controls-plugin qtdeclarative5-qtquick2-plugin libqt5qml-graphicaleffects qtdeclarative5-dialogs-plugin qtdeclarative5-localstorage-plugin qtdeclarative5-window-plugin

Arch Linux et Manjaro :

sudo pacman -S qt5-base qt5-declarative qt5-quickcontrols qt5-graphicaleffects

Maintenant que vous avez ce qu’il vous faut, passons aux choses sérieuses et compilons un peu.

Compilation (Ubuntu, Arch et Manjaro) :

git clone https://github.com/Swordifish90/cool-old-term.git
cd cool-old-term/konsole-qml-plugin
qmake && make && make install

Si tout s’est bien passé il ne vous reste plus qu’à vous rendre dans le répertoire dédié avec votre terminal :

cd ~/cool-old-term/

à lancer l’application à l’aide de cette commande :

./cool-old-term

et à choisir votre style depuis le menu des options :

Capture du 2014-07-29 20:55:59Capture du 2014-07-29 21:32:16Capture du 2014-07-29 20:59:04

Sympa non ?!!

Amusez-vous bien et merci Fred :).

via memo-linux.com

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