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Framablog : Comment créer une belle Framacarte avec un compte ? (Tutos uMap 3/4)

vendredi 11 mars 2016 à 18:30

Juste avant Noël, nous vous présentions Framacartes, un service de création de cartes personnalisées pour vos sites web, communautés, randos, chasses au trésor… Framacartes est basé sur le logiciel Umap, qui permet d’ajouter des points, tracés et polygones sur les fonds de cartes d’OpenStreetMap.

C’est alors qu’Antoine Riche, ingénieur informatique, Contributeur et Formateur OpenStreetmap, nous a contactés pour nous présenter sa série de tutoriels (libres, eux aussi) pour apprendre à maîtriser uMap (et donc Framacartes) à toute la famille Dupuis-Morizeau.

C’est avec son autorisation (et de chaleureux remerciements) que nous reproduirons sur le framablog les quatre premiers tutos (le niveau « débutant ») afin d’en faire profiter le plus grand nombre.

Nous avons commencé par nous familiariser avec uMap pour profiter pleinement d’une Framacarte

Puis, nous avons vu comment créer sa première Framacarte

Cette semaine, créons un compte afin de faire de bien jolies cartes et de ne pas les perdre !

J’utilise un compte et crée une belle carte

Ce que nous allons apprendre

  • Utiliser un compte pour retrouver ses cartes
  • Changer la forme, la couleur et le pictogramme d’un marqueur
  • Créer et modifier une ligne ou un polygone

Procédons par étapes

Nous avons appris dans le tutoriel précédent comment créer une carte anonyme contenant un marqueur. Nous allons à présent créer une carte plus complète : la carte de nos vacances au Camping de la plage Goulien sur la Presqu’île de Crozon en Bretagne.

Au lieu de créer une carte anonyme, nous allons utiliser un compte pour créer cette carte.

1. Utiliser un compte

uMap permet d’associer ses cartes à un compte. Cela présente deux avantages importants par rapport à la création de cartes anonymes :

  • les cartes créées avec un compte constituent un catalogue permettant d’accéder facilement à ses cartes
  • on peut modifier chaque carte du catalogue sans avoir besoin de conserver un lien d’édition

Le logiciel umap ne gère pas directement de comptes utilisateurs : la gestion des comptes dépend de la configuration du logiciel. Sur https://framacarte.org, nous vous proposons d’utiliser un compte OpenStreetMap. Si vous n’avez pas de compte, c’est le moment de vous inscrire sur le site www.openstreetmap.org : cliquez Créer un compte dans le coin supérieur droit et suivez les instructions – une adresse mail vous sera demandée (plus d’infos).

framacarte connexion

Cliquez sur Connexion / Créer un compte puis sur le pictogramme correspondant au compte que vous souhaitez utiliser. Apparaît alors la page de connexion du site : saisissez le nom d’utilisateur et le mot de passe. La page suivante vous demande d’autoriser l’application uMap à utiliser ce compte : accordez cet accès. Vous retrouvez alors la page d’accueil de uMap, sur laquelle le lien de connexion a laissé la place à un lien Mes cartes vous permettant d’accéder à l’ensemble des cartes créées avec ce compte.

framacarte compte 3

Notez l’URL de la barre d’adresse quand vous consultez votre catalogue de cartes : celle-ci contient le nom de votre compte – par exemple https://framacarte.org/fr/user/PouhiouNoenaute/. Vous pouvez l’utiliser pour accéder à votre catalogue de cartes, même sans être connecté à votre compte : vous pouvez diffuser cette URL, les récipiendaires ne pourront pas modifier vos cartes.

Toutes les cartes que vous créez en étant connecté à votre compte sont ajoutées à votre catalogue.

2. Créer un joli marqueur

Commençons par créer une carte : donnons-lui un nom, définissons une emprise et ajoutons un marqueur à l’emplacement du camping. Nous avons vu dans le tutoriel précédent comment effectuer ces opérations.

umap_marqueur_props

Ce gros marqueur bleu n’est pas très explicite pour figurer un camping. Remédions à cela. Dans le panneau latéral visible lorsqu’un marqueur est sélectionné, le menu Propriétés avancées permet de modifier l’apparence du marqueur :

  • Couleur : cliquer sur Hériter permet de choisir une couleur.
  • Forme de l’icône : le choix Par défaut correspond au marqueur actuel, les autres choix sont Cercle, Goutte et Épingle.
  • Symbole pour le marqueur : cliquer sur Ajouter un symbole pour choisir parmi une centaine de pictogrammes. Notez que le symbole n’est affiché que pour les formes d’icônes Par défaut et Goutte.
  • Étiquette : choisir Oui permet d’afficher en permanence le nom associé au marqueur

Voici le marqueur obtenu avec les propriétés ci-contre :

umap_camping

Modifier un marqueur

Pour modifier un marqueur de la carte, deux possibilités s’offrent à vous :

  • un clic sur le marqueur affiche le panneau qui vous permet de modifier son nom et sa description
  • un glisser-déposer vous permet de déplacer le marqueur sur la carte

3. Créer une ligne

Le premier jour de vacances nous allons en kayak de mer jusqu’à la Pointe de Dinan à l’ouest de la plage de Goulien. Traçons l’itinéraire suivi.

umap_lineLe bouton Dessiner une ligne permet de tracer, point par point, une ligne constiutée de plusieurs segments. Cliquez à nouveau sur le dernier point tracé pour terminer la ligne : apparaît alors à droite un panneau permettant de donner un nom et une description à la ligne, comme pour les marqueurs.

Modifier une ligne

A tout moment vous pouvez sélectionner une ligne en double-cliquant dessus. Vous pouvez alors éditer ses propriétés dans le panneau latéral, ou modifier son tracé sur la carte :

  • supprimer un point de la ligne, matérialisé par un carré blanc, en cliquant dessus
  • déplacer un point par un glisser-déposer
  • insérer un point en cliquant sur un carré gris se trouvant au milieu de chaque segment
  • allonger la ligne avec un Ctrl-Clic lorsque le curseur est placé sur le premier ou dernier point
  • couper la ligne en deux : Clic droit sur un point puis choisir l’option Scinder la ligne

umap_ligne

Propriétés d’une ligne

umap_ligne_props
Les propriétés avancées d’une ligne permettent de définir sa couleur et d’autres paramètres définissant son style :

  • l’épaisseur est définie en nombre de pixels, sa valeur par défaut est 3 : saisir une valeur plus grande pour un trait plus large (qui sera plus facile à sélectionner).
  • l’opacité est un nombre entre 0 (transparent) et 1 (opaque), sa valeur par défaut est 0.5. Plus le trait est épais plus il peut être transparent.
  • la simplification du tracé définit la précision du tracé en nombre de pixels : le tracé s’adaptera au niveau de zoom. Il est en général inutile de modifier cette valeur pour un tracé réalisé à la main.
  • les pointillés sont définis par une série de chiffres séparés par des virgules : nombre de pixels affichés, nombre de pixels cachés, etc. L’épaisseur du trait doit être prise en compte : plus les traits sont épais plus les intervalles doivent être grands.

Voici le style de trait obtenu avec les propriétés ci-contre :

umap_ligne_tirets

4. Créer un polygone

Le second jour de vacances nous louons un dériveur et naviguons dans la zone définie par le club nautique. Ajoutons cette zone à la carte.

umap_polygonLe bouton Dessiner un polygone permet de tracer le périmètre d’un polygone point par point, et de le terminer en cliquant à nouveau sur le dernier point comme pour le tracé d’une ligne. Une différence toutefois : dès le troisième point l’intérieur du polygone est coloré.

Propriétés d’un polygone

La liste des propriétés d’un polygone est assez longue. On y retrouve les mêmes propriétés que pour les lignes (couleur, opacité, etc.) : celles-ci s’appliquent au périmètre du polygone. Plus bas nous trouvons des propriétés spécifiques aux polygones :

  • les options trait et remplissage permettent de ne pas afficher le périmètre ou l’intérieur du polygone : si aucun de ces deux éléments est affiché le polygone est invisible.
  • la couleur du remplissage est par défaut celle du trait, mais peut être modifiée.
  • l’opacité du remplissage varie de 0 à 1, elle peut être très légère pour un polygone.

Deux autres options propres aux polygones sont disponibles :

  • lien externe : spécifier une URL aura pour effet d’ouvrir le page Web correspondante lorsque l’utilisateur clique sur le polygone.
  • Cliquable : choisir la valeur non ne permettra pas à l’utilisateur de sélectionner le polygone, donc de voir son nom et sa description dans une popup. Cela peut être utile pour définir la zone d’intérêt de la carte, qui ne porte pas elle-même d’information utile.

Un polygone non-cliquable ne peut plus être sélectionné sur la carte même en mode édition. Il faut pour cela passer par l’opération Visualiser les données disponible dans le sélecteur de calque, puis éditer l’élément correspondant dans la liste des données.

Faisons le point

Notre deuxième carte est déjà plus intéressante que la première, et en plus nous savons comment la retrouver facilement. Nous verrons dans le prochain et dernier tuto comment personnaliser notre carte.

Liens utiles :

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François Boulogne : NAS : choix des composants

vendredi 11 mars 2016 à 00:00

Dans ce billet, j'établis mon choix pour le montage d'un NAS.

Mon état des lieux est le suivant. J'ai plus de 8To de données personnelles et professionnelles qui sont actuellement sur des disques durs usb. Il devient compliqué de brancher et débrancher, de manipuler sans laisser tomber, de savoir quoi est sur qui.

La sauvegarde est un enfer : sauvegarde de machines sur des disques, de machines sur des machines, de disques sur des disques, etc. J'ai toutes les chances de rater un étape. L'idée est donc de rationnaliser tout ça :

Avantages/inconvénients d'un NAS

Avantages

Inconvénients

Choix technologiques

Par conséquent, on s'oriente vers un RAIDz1, 2 ou 3, c'est-à-dire 1, 2 ou 3 disques de redondance. A l'heure actuelle, il semble que RAIDZ1 soit déconseillé. L'argument est le suivant. Les disques sont de plus en plus gros. Par conséquent, si un disque est en panne, il est nécessaire de le remplacer pour reconstruire le pool. La charge appliquées sur les disques est d'autant plus grande que chaque disque est volumineux. Il y a donc un risque (non négligeable ?) qu'un second disque casse à ce moment là. RAIDZ3 demande beaucoup d'investissement. J'opte donc pour RAIDZ2. Le nombre minimal de disques est de 4 et il est conseillé d'avoir un nombre pair.

Les NAS commerciaux

On va voir que notre machine sans disque présentée ci-dessous peut recevoir jusqu'à 12 disques. Bien plus qu'il nous en faut. Les NAS commerciaux de 2 ou 4 disques sont courants. Si on se base sur des marques bien connues comme synology, il faut compter

C'est un prix typique plutôt minimaliste, on peut sans problème trouver bien plus cher. Je n'ai pas vu de synology à 6 baies.

D'un point de vue rentabilité, un 4 baies est juste pour un RAID6 (=RAIDZ2 pour ZFS), car seule la moitié de l'espace acheté sera disponible. Le 5 baies étant le plus proche, je vais comparer avec le DS1515 :

L'avantage d'un tel NAS est le coté clef en main du produit (d'après ce que je lis). Par contre, les inconvénients que je vois :

Pour un prix légèrement inférieur, ma proposition ci-dessous me donne

Pour l'évolutivité :

Le choix

Pour le matériel, et notamment la partie critique (carte mère, mémoire, etc), je conseille LDLC car ils ont un excellent support téléphonique (déjà testé), une bonne politique de retour, un site bien fait et une livraison gratuite dans des points relais. Les choix ne sont pas neufs en soi. Je me suis largement inspiré des conseils donnés sur le forum de freenas et quelques blogs.

Le système d'exploitation

BSD gère nativement ZFS, mais ça reste possible avec debian. Néanmoins, j'ai une confiance plus grande sur un support natif, je m'oriente donc vers FreeNAS pour la distribution. La documentation de FreeNAS est exhaustive, le forum est très actif et possède beaucoup de contenu.

UPS

Le nombre de disques durs peut être important. Je veux que ça tienne un minimum et avoir le temps d'éteindre proprement. De plus, les capacités des batteries peuvent diminuer au cours du temps, il faut prendre ce paramètre en compte.

Carte mère

Les critères que j'ai retenu :

ASRock fabrique de très belles cartes mères pour les serveurs. Mon choix s'est porté sur une version 4 coeurs. En 8 coeurs, la différence de prix est selon moi trop importante pour une utilité relative sur un NAS. Le petit plus que j'apprécie : le CPU est livré avec la carte mère, pas besoin d'aller jouer avec la pâte thermique.

Version Quad core

Caractéristiques :

Version Octa core

Les autres caractéristiques sont identiques à ci-dessus.

RAM ECC

Il est important d'utiliser des mémoires ECC. C'est recommander par freenas pour éviter les corruptions de données.

8Go est le minimum pour FreeNAS, 16Go devrait être à peu près confortable avec la possibilité de passer à 32Go. Les mémoires de 16Go sont un peu trop couteuses ici. Notre système se limitera donc à 32Go pour des raisons de coûts.

Chassis

Critères :

Mon choix :

Caractéristiques :

 Alim

Il faut donc choisir une alimentation ATX/EPS. Toujours prendre de la qualité pour éviter de sentir un jour le plastique brûlé.

USB

Avantages :

Disques

Je privilégie :

A noter que la taille totale disponible dépend de la taille du plus petit disque. Il faut aussi réfléchir aux besoins futurs avec les remarques suivantes :

Ces choix sont à faire au cas par cas. A noter aussi qu'il est déconseillé d'acheter tous les disques de même modèle, en même temps, chez le même fournisseur. La probabilité qu'ils tombent en panne simultanément est plus grande.

Connectique

SSD

Il n'est pas encore clair qu'un disque SSD apporte des améliorations pour mon utilisation (cf reddit ou Introduction to vdev, zpool, ZIL, L2ARC). Le point sensible est ici la partie NFS qui peut avoir besoin d'un cache pour être plus rapide. De même que pour les NAS assemblés, c'est optionnel et souvent laissé au regard de l'utilisateur. La documentation de freenas indique qu'il faut privilégier la RAM en premier.

Liens intéressants

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Goffi : Installer une instance de Libervia (SàT) en moins de 10 min

jeudi 10 mars 2016 à 21:00

Bon avouons le tout de suite, je triche, 2 fois. La première c'est que nous allons utiliser les images Docker autrement dit des versions pré-installées et qui facilitent la vie. La deuxième c'est que quand je dis « moins de 10 min », je ne compte pas le temps de téléchargement de ces images, qui peut bien évidemment varier selon la vitesse de votre connexion.

Ceci dit, voyons comment avoir une instance de Libervia, l'interface web du projet « Salut à Toi », fonctionnelle de manière triviale. Pour mémoire il s'agit d'un outil de communication (d'aucuns parlent de « réseau social ») basé sur le protocole standard et ouvert « XMPP », et donc compatible avec la multitude de logiciels déjà existants.

Préparatifs

Docker

Il vous faut essentiellement avoir Docker installé sur votre machine. Sur une Debian ou dérivée (Ubuntu, Linux Mint – attention dans ce dernier cas, elle a récemment été compromise –, etc) il suffit de faire :

# apt-get install docker.io

En tant que root (c.-à-d. précédez de « sudo » si nécessaire). Dans les autres cas, reportez-vous à la documentation officielle.

Il faut ensuite vous ajouter au groupe « docker », ce qui devrait pouvoir se faire avec

# adduser  docker && newgrp docker

Ou, si vous avez sudo installé et configuré (c'est le cas sur Ubuntu par exemple):

# sudo adduser $(whoami) docker && newgrp docker

À partir de maintenant, il n'est plus besoin d'être root, vous pouvez faire la suite avec votre utilisateur normal, qui vient d'être ajouté au groupe « docker ».

libervia_cont.sh

La deuxième chose à faire est d'installer le script libervia_cont.sh qui aide grandement à la gestion des conteneurs de Libervia. Pour cela, il suffit d'entrer :

wget https://repos.goffi.org/sat_docs/raw-file/tip/docker/libervia_cont.sh && chmod a+x libervia_cont.sh

(si wget n'est pas présent, installez-le, par exemple avec « apt-get install wget »)

Lancement

Pour lancer Libervia, il vous faut maintenant entrer :

./libervia_cont.sh

Et c'est tout ! Si si, je vous assure, le script et Docker se chargent de télécharger les images (ce qui peut prendre un peu de temps selon votre connexion) et de les lancer, À la fin, vous allez voir une liste de ports s'afficher, en particulier vous devez avoir une ligne qui ressemble à :

port 8080 (HTTP):                       0.0.0.0:32771

Le numéro à la fin est le port choisi par Docker pour accéder à Libervia via HTTP, il vous suffit d'ouvrir votre butineur sur http://localhost:32771 (en remplaçant 32771 par le port que vous avez bien sûr) et vous devriez voir apparaître la page d'accueil de Libervia. Le serveur n'est accessible qu'après quelques secondes.

Libervia login

Plutôt simple non ? Bon comme c'était trop facile, voyons voir comment configurer tout ça.

Configuration

ports

Une des options les plus importantes est l'option -p, qui permet de lancer Libervia avec des ports fixes, ainsi vous pourrez atteindre Libervia sur le port 8080 et non un port qui change à chaque lancement.

Vous pouvez spécifier des ports différents grâce aux variables d'environnement SAT_CONT_PORT_xxxxxxxx est le port que vous voulez remplacer. Ainsi si vous voulez utiliser les ports 80 et 443 qui sont les ports standard HTTP et HTTPS, plutôt que 8080 et 8443, il vous suffit de faire, avant de lancer libervia_cont.sh :

export SAT_CONT_PORT_8080=80
export SAT_CONT_PORT_8443=443

nom de domaine

Si vous avez déjà votre nom de domaine (l'obtention d'un nom de domaine et sa configuration dépassent le cadre de cet article, mais les explications ne manquent pas sur le web), vous pouvez le spécifier avec l'argument -d ou avec la variable d'environement SAT_CONT_DOMAIN, exemple :

export SAT_CONT_DOMAIN=goffi.org

éditer les fichiers

Vous pouvez éditer le fichier de configuration de SàT/Libervia en tapant simplement

./libervia_cont.sh config

De même, pour éditer la configuration du Prosody intégré, faites

./libervia_cont.sh config prosody

Sauvegardes

Le script gère également les commandes de sauvegardes. Pour faire une sauvegarde, il suffit de taper

./libervia_cont.sh backup

Ceci crééra un fichier sat_data_backup_.tar.gz. Pour le restaurer plus tard, vous n'aurez qu'à faire

./libervia_cont.sh restore sat_data_backup_.tar.gz

À suivre…

Cet article est le premier d'une petite série où je vais vous expliquer comment mettre en place et publier dans un blog comme le mien (qui tourne désormais avec SàT/Libervia) grâce à ce que nous venons d'installer. La prochaine fois (demain ?) j'expliquerai la configuration avancée (certificat personnalisé, lancement automatique).

Si vous parlez anglais, l'utilisation des images Docker et du script libervia_cont.sh sont documentés sur le wiki.

Nous aimerions beaucoup faciliter l'installation de Libervia avec d'autres méthodes, par exemple avec des scripts pour YunoHost, un peu d'aide serait très appréciée, car nous sommes déjà bien chargés. Si vous pensez pouvoir participer, venez en discuter sur le salon sat@chat.jabberfr.org.

N.B. : comme vous l'avez vu l'image contient un serveur XMPP (Prosody) pré-configuré pour simplifier l'installation. Cependant Salut à Toi et donc Libervia marchent bien évidemment avec tout autre serveur (les fonctionnalités seront juste adaptées selon ce qui est disponible), et vous pouvez créer un profil externe, sur un autre serveur (vous pouvez même entrer directement un jid et un mot de passe existant dans Libervia). Il est probable qu'il existe de futures variantes de ces images sans serveur XMPP pré-installé, ou avec un autre.

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PostBlue : Passer à systemd sur un VPS OpenVZ avec Debian Jessie

jeudi 10 mars 2016 à 16:47

Attention : je n'ai pris aucune précaution, je ne pourrais être tenu pour responsable de quoique ce soit. Je suis d'ailleurs tout à fait irresponsable.

L'un des VPS que j'administre utilisait upstart comme système d'initialisation, parce que le noyau OpenVZ n'a longtemps pas supporté systemd, ou inversément systemd ne supportait pas les vieux noyaux d'OpenVZ, toujours est-il que la cohabitation était controversée.

Le noyau d'OpenVZ est basé sur Linux 2.6.32. 2009, tout de même ! C'est le noyau qui propulsa à leur époque (2009) Ubuntu 10.04 LTS « Lucid Lynx » et Debian 6.0 « Squeeze ». Or, Debian 8.0 « Jessie », sortie en avril 2015, intégra le noyau Linux 3.16, et passa de sysvinit à systemd comme système d'initialisation par défaut.

Donc les services, scripts, etc, sont par défaut écrits pour fonctionner avec systemd. Et depuis quelques temps, le noyau OpenVZ permet de parler la même langue que systemd (grosso modo). Et j'avais envie de tester le changement, sachant que j'avais transféré ma machine sur un dédié Kimsufi.

Donc, on se lance.

Dans une session SSH, je lance l'installation par aptitude, qui intègre un outil de résolution des conflits et offre des solutions de remplacement en cas d'installation problématique.

aptitude install systemd systemd-sysv

aptitude propose de remplacer upstart par systemd : il suffit d'accepter.

Plus qu'à redémarrer. Le système va se plaindre de ne pas pouvoir utiliser l'init pour lancer la commande reboot proprement (normal, vu qu'on vient d'en changer).

Pour être au minimum propre (ce que je n'ai pas fait), on peut stopper proprement les services chatouilleux, MySQL & co. Puis redémarrer brutalement :

reboot -f

La connexion est perdue directement. Quelques secondes à attendre avant de relancer une session SSH et tenter de se connecter à la machine.

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Littlewing : Développement WEB

jeudi 10 mars 2016 à 15:53

Bon je n’ai pas écrit d’article depuis quelques temps. Je suis à fond sur l’apprentissage des technologies WEB :

J’ai donc un peu laché le développement spark/scala pour le parcours de spécialisation coursera.

Je pense écrire un peu plus ensuite ( dans quelques mois …)

See you

 

 

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