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Denis Szalkowski : Licences attachées à VirtualBox

samedi 20 avril 2013 à 11:46
Par     20 avril 2013  - Catégorie(s): Virtualisation  Virtualisation

Quel est le prix à payer pour l'utilisation du pack d'extensions associé à VirtualBox dans le cadre d'une utilisation commerciale ?Si VirtualBox est un produit GPL, son utilisation n’est cependant pas gratuite dans le cadre d’un usage commercial à partir du moment où vous installez dans votre machine virtuelle le pack d’extensions. C’est ce que j’ai cru comprendre à la lecture des conditions de licence.

Je n’ai pas l’impression que ces extensions soient nécessaires dans une machine virtuelle exécutant Fedora 18 sous VirtualBox :

  • systemctl|grep VBOX
  • lspci|grep VirtualBox

L’utilisation de ces extensions n’exige pas de rétributions envers l’éditeur dans le cadre d’un usage personnel et académique (écoles, collèges, lycées et universités). VirtualBox n’est donc pas gratuit pour les centres de formation dès lors que ces extensions s’y trouvent installées. Malgré mes recherches, je n’ai pas été en capacité d’en connaître le prix exact. Pourquoi autant d’opacité ?

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Licences attachées à VirtualBox

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crowd42 : Refaire la déco de sa maison avec Sweet Home 3D

samedi 20 avril 2013 à 02:17

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Vous voulez pousser le vice du geekage chez vous à son summum ? essayez donc Sweet Home 3D. Plus besoin de faire appel à un architecte de décoration (si vous êtes un riche), ou d’attendre une visite de Valérie Damidot. Avec ce logiciel, même les plus nuls comme moi n’auront aucune difficulté à aménager l’intérieur de leurs appartements ou maisons.

L’interface de Sweet Home 3D est très intuitive et la prise en main du logiciel facile. Vous ne risquez pas de se perdre, presque toutes les actions ne nécessitent qu’un simple glisser/déposer. Dessiner le plan de votre maison, et placer les meubles de votre choix, un large choix est disponible dans la bibliothèque intégrée, ou les important depuis Internet.

Après que vous ayez fini la déco de votre maison, vous pourrez effectuer une visite virtuelle en 3D pour vous faire une idée plus précise de résultat.

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mozillaZine-fr : Achèterez-vous un smartphone Firefox OS ?

vendredi 19 avril 2013 à 23:43

Téléphones sous Firefox OS, par Geeksphone Vous l'avez sans doute vu sur notre fil Twitter : les premiers téléphones mobiles sous Firefox OS seront bientôt disponibles (la semaine prochaine si tout va bien) chez la société espagnole Geeksphone.

Bien entendu, ces téléphones sont destinés avant tout aux développeurs d'application sous Firefox OS afin qu'ils testent leurs applications dans des conditions réelles (et non dans le simulateur). Mais on se doute bien que des fans de Firefox et autres amoureux de gadgets technologiques (autrement dit, des geeks) seront tentés de se procurer ces téléphones proposés à un prix très raisonnable, au risque « d'essuyer les plâtres eléctroniques ». Et vous, êtes-vous tenté ? Et si oui, pour quelle raison ? Le développement d'application pour Firefox OS ? Le prix ? La nouveauté ? (La couleur orange ?)

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Philippe Scoffoni : Mutualisation et logiciel libre, les utilisateurs oseront-ils prendre le pouvoir ?

vendredi 19 avril 2013 à 08:32

prendre le pouvoirLe modèle d’éditeur de logiciel libre ou open source malgré ses défauts semble incontournable pour financer le développement de nouveaux logiciels libres. Quelques rares exemples nous montrent qu’une autre voie est possible : celle de la mutualisation. Mais c’est une voie anxiogène pour bien des sociétés de services en logiciel libre. Si l’utilisateur prend le contrôle du logiciel, ce sera au détriment des prestataires de services. Mais au final, c’est bien l’utilisateur que le logiciel libre est censé libérer.

Editeur de logiciel libre, modèle incontournable ?

Tout dépend du logiciel qui doit être développé. Les logiciels d’infrastructure se prêtent mal à ce modèle à moins d’opter immédiatement pour une stratégie de type open core ou Freemium. Un projet comme OpenStack n’aurait jamais pu être porté par un éditeur, trop de concurrence sur les services qui restent pour un éditeur de logiciel, une source de revenus indispensable.

Même combat pour les outils bureautiques, même si de petits projets comme Abiword ou GNumeric ou encore les déclinaisons d’OpenOffice comme OOO4Kids ou OOOLigth portés par des associations continuent leur bout de chemin. Mais le mot est lâché, ce sont des associations encore une fois, pas des entreprises. Un modèle qui peut dans certain cas entraîner des dérives lorsqu’une entreprise “emploie” une association et ses bénévoles pour favoriser ses activités.

Les éditeurs sont apparus pour répondre aux besoins des utilisateurs qui n’étaient pas couverts. les utilisateurs formatés par des années de modèle Microsoft ne peuvent imaginer bien souvent qu’ils puissent être à l’origine des programmes informatiques dont ils ont besoin. Paradoxalement, on sait que c’est dans les entreprises qu’est produite la plus grande quantité de code source de programme.

Voilà nos utilisateurs coincés entre l’habitude de faire eux-mêmes ou avec l’aide d’un prestataire et celle d’acheter un logiciel à un éditeur. De temps en temps cependant, certains se regroupent et fondent des GIE (Groupement d’Intérêt Economique). Ces derniers  tournent souvent au cauchemar aboutissant à autant de versions du logiciel que de membres avec à la clé un coût financier exorbitant.

Mutualisation, trop compliquée ?

On a vu que les grands acteurs de l’industrie du numérique voient dans la mutualisation de leur recherche & développement un intérêt certain. C’est aujourd’hui la raison d’être des fondations Linux, Apache, OpenStack et autre Eclipse. Une approche qui peut sembler naturelle pour des sociétés technophiles et des grands groupes.

Si l’on revient à l’échelle de la PME, la mutualisation sur le modèle du logiciel libre disparaît au profit de l’éditeur à qui on sous-traite indirectement cette tâche.  On décroche son téléphone, on appelle un éditeur ou un intégrateur et on paye pour se faire mettre en place une solution.

Certains ont montré la voie de la mutualisation comme l’ADULLACT dans le domaine des collectivités publiques selon une équation bien connu de

Mutualisation + argent public = logiciel libre.

Le même modèle est-il applicable aux entreprises ? J’entends souvent répondre que c’est bien trop compliqué, que les PME et TPE françaises sont bien trop “gauloises” dans leurs habitudes pour que cela marche. J’imagine pourtant que dans les collectivités publiques, cela ne doit être guère différent.

J’ai appris en plus de 6 ans de pratiques des AMAP que l’on pouvait être un “consom’acteur”, qu’il était possible de prendre en main, d’orienter les méthodes de production de nos agriculteurs tout en évitant certains intermédiaires pas forcément inutiles, mais souvent trop gourmands et surnuméraires. Tout cela pour au final être le plus sûr possible de ce que je mets dans mon assiette.

Il est possible de faire de même avec l’informatique et les logiciels. Les entreprises doivent apprendre à devenir les acteurs et ne plus simplement consommer les produits joliment emballés que leur proposent les éditeurs et leurs compagnons, les sociétés de service. Non pas, encore une fois, que ces acteurs soient inutiles, ils ont toute leur place et leur expertise est indispensable. Mais les utilisateurs et le logiciel libre gagneraient à changer le rapport de force en présence.

Pourtant cela pourrait changer bien des choses

La mutualisation par les entreprises de leurs besoins pourrait changer la donne. Dans ce modèle, les sociétés de services sont consultées pour répondre à un besoin selon les desiderata des utilisateurs qui restent les maîtres à bord. Ce qui change c’est que l’utilisateur n’est plus seul, isolé face à une société de services. C’est un rapport de force bien différent que dans le face à face classique entreprise/prestataire.

Une expérience que je tire d’une première année d’activité de ma société Open-DSI. J’ai pris cette posture d’être au côté de l’utilisateur face aux prestataires. Vous pouvez chercher sur mon site, il n’y a pas de partenaires et il n’y en aura jamais. Cela fait partie des cinq piliers de ma société. Je ne suis pas le seul à mener ce genre d’activité ; d’autres le font, mais nous sommes au final encore peu à défendre ce concept d’accompagnement et d’indépendance.

On rétorquera que les “décideurs informatiques ne sont pas des enfants” et c’est vrai. Sauf qu’il n’y en a pas dans la grande majorité des PME où la direction informatique est souvent assurée par le Directeur Administratif et Financier ou encore le dirigeant. Les PME, c’est juste 99% des entreprises en France. Il y a bien des informaticiens, mais leurs compétences et activités les cantonnent au rôle de celui qui fait marcher l’informatique. Difficile avec le nez dans le guidon d’imaginer qu’il soit possible de mutualiser ses besoins et ses moyens avec d’autres dans un modèle basé sur les logiciels libres.

Les industriels ont compris tout l’intérêt de la mutualisation et du logiciel libre, il reste à faire connaître ce modèle aux plus petits. Lourde mission que je me suis donnée au travers de ma société. Mais petit à petit les éléments se mettent en place et un premier projet concret est en train de se mûrir. J’espère pouvoir vous en dire plus prochainement.

Une chose qui est certaine, ce n’est pas un modèle qui va plaire, si les utilisateurs reprennent la main, d’autres la perdront. Les changements de pouvoirs ne sont jamais vécus sereinement. J’entends comme un concert de voix dans le monde de l’open source qui voudrait étouffer cette éventualité. Pourtant cela éviterait bien des gaspillages et libérerait d’autres énergies positives pour notre économie.


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 19/04/2013. | Lien direct vers cet article

Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons BY à l'exception des images qui l'illustrent (celles-ci demeurent placées sous leur mention légale d'origine).

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crowd42 : Une liste de proxy pour contourner la censure

vendredi 19 avril 2013 à 03:21

Censored stamp

Si vous êtes dans un pays qui a tendance à limiter la liberté d’expression, qui est un habitué de la censure d’Internet, ou que vous en avez ras le bol que des sites web ou des services Internet, ne soient pas accessibles depuis votre zone géographique (Spotify, Pandora, certaines vidéos sur youtube…), alors peut-être que vous seriez intéressés par découvrir le service de proxy lancé par la société iDCLOAK.

Cette société propose une liste interactive qui regroupe à peu près 2500 proxy. constamment mis à jour. Le point fort de ce service, c’est qu’il permet aux utilisateurs de choisir le proxy qui convient le plus à leurs besoins. Par exemple, vous pouvez trier la liste pour afficher les proxy selon les pays qui héberge le serveur, vitesse du débit de la connexion, degré d’anonymat, protocole…etc.

iDCLOACK

Bien que je sois sceptique à l’égard de leurs utilisation, les proxy restent un bon compromis quand on pas les moyens de prendre un abonnement VPN. Tout ce que je vous conseille c’est d’éviter de passer par un proxy si vous devez saisir des informations très sensible : numéro de carte de crédit, mot de passe boite email…

Pour utiliser un des proxy proposé par iDCLOAK dans Firefox par exemple, aller dans Éditions -> Préférences -> Avancé -> onglet Réseau puis paramètres et cochez la case Configuration manuelle du proxy ;

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Voilà, maintenant vous pouvez naviguer d’une façon un peu plus anonyme.

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