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nIQnutn : Streaming: enregistrer une vidéo

dimanche 27 août 2017 à 20:57

Je vous ai déjà parlé de RTMPDump pour récupérer des vidéos. Maintenant, sur un de mes sites, cette solution ne marche plus. Obligé de changer mon fusil d'épaule mais tant que j'arrive à récupérer le contenu, c'est cool.

C'est pas très professionnel comme solution mais ça marche pour moi. J'utilise Firefox avec l'extension Random Agent Spoofer et livestreamer.

Récupérer le lien de la liste de lecture

C'est la partie pénible: récupérer le lien qui va bien en l’occurrence un fichier qui sera nommé master.m3u8
On commence par ouvrir Firefox (le truc qui va mourir au mois de Novembre d'après les fils spirituels de Nostradamus).
On ouvre les Outils de développement F12 et on passe à l'onglet Réseau Ctrl+Maj+Q ou Ctrl+Maj+Q à partir de la v55.
Dans le filtre on tape m3u8 et il ne reste plus qu'à récupérer la première URL qui vient (ex: "http://blablabla.net/.../master.m3u8?...").

Boycotter Flash Player

Pour ceux qui ne comprenne pas à quoi peut servir Random Agent Spoofer, certains sites développer par des idiots me disent d'installer Flash Player. C'est pas vraiment dans mes intentions et puisse qu'on me prend pour un idiot, je me ferais passer pour quelqu'un d'autre. Vous savez, du genre petit bourgeois qui s'exhibe avec du matériel hors de prix.

Dans Random Agent Spoofer, on choisit un profil du type iOS browsers, par exemple "iPad - Safari". Et voilà, on m'accepte maintenant.

Télécharger la vidéo

On commence par installer le paquet livestreamer:


#root
apt install livestreamer

Il ne reste plus qu'à lancer la commande:


$user
livestreamer "hlsvariant://http://blablabla.net/.../master.m3u8?..." best -o ~/video.ts

C'est bien pratique d'avoir la fibre et des disques de plusieurs To. Parce que le streaming, c'est tout moisi.

Ressources


nIQnutn CC-BY

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Angristan : Don du mois : Arch Linux

dimanche 27 août 2017 à 17:02

Arch Linux est ma distribution favorite, et c'est très certainement celle que j'ai utilisé le plus depuis mes débuts avec Linux. Sur desktop du moins, sur mes serveurs Debian reste la seule et unique distribution ❤️. Je suis passé par Ubuntu, Debian, elementaryOS, Linux Mint, Manjaro... Arch est vraiment celle qui me convient le plus ! Bien qu'ayant été sous Windows pendant presque 2 ans, l'arrivé de mon XPS 13 il y a 2 mois m'a permis de réinstaller Arch Linux, cette fois-ci via Arch-Anywhere, que je recommande chaudement. Cette fois, je suis tombé sous le charme de KDE Plasma en tant qu'environnement de bureau, mais ça sera probablement le sujet d'un autre article. One does not simply correctly install Arch Linux on the first try La fraîcheur des paquets, l'excellent wiki, le AUR.... bref, j'aime Arch Linux. Comme vous le savez peut-être c'est une rolling release, ce qui veut dire que les paquets sont mis à jour en continu. Cela signifie donc des gros coûts en terme d'infrastructure pour les serveurs de paquets, d'une part pour compiler les nouveaux paquets et d'autre part pour servir les mises à jour à tous les utilisateurs.Arch Linux KDE neofetch Les mainteneurs de Arch Linux sont tous bénévoles, donc les dons sont nécessaires au maintien de l'infrastructure et sont utilisés uniquement pour celle-ci. Les donations se font via Click&Pledge, le site est un peu vieillot et ne donne pas vraiment confiance surtout avec des paramètres TLS un peu foireux, mais bon. Comme le rappelle la page dédiée aux donations, vous pouvez aussi contribuer à Arch Linux en aidant la communauté, en améliorant le wiki, en maintenant des paquets, etc. Et vous, avez-vous contribué à votre distribution ?
Image de une par SullyVanCraft

L'article Don du mois : Arch Linux a été publié sur Angristan

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Miamondo : L’espéranto, une langue de libriste?

dimanche 27 août 2017 à 08:43

Introduction

Sur ma page de présentation, je précise que l’un de mes centres d’intérêt est l’espéranto. Cette langue a été construite et offerte à l’humanité sous le nom de langue internationale par L.L Zamenhof en 1887. Cet ophtalmologiste polonais né dans une famille juive a publié ses travaux sous le pseudonyme de Doktoro Esperanto (le docteur qui espère). C’était son avatar en quelque sorte. Dès sa naissance, l’espéranto s’est donné pour but de faciliter la communication entre les peuples et par conséquent, de rapprocher les hommes.

Malgré tout l’intérêt que je porte à cet idiome, je dois reconnaître que je n’ai pas trop le temps de le pratiquer. Et c’est fort regrettable… J’ai découvert l’espéranto il y a une dizaine d’années grâce à Wikipédia et j’ai été très surpris de constater que certains articles francophones avaient leur traduction dans cette langue.

J’ai appris l’espéranto grâce à ces deux excellents cours en ligne :

drapeau_esp

Points communs entre Linux et l’espéranto

Comme Miamondo est un site qui  gravite autour de la culture libriste, j’avais envie d’aborder le thème de l’espéranto dans cette optique particulière. J’avais envie de démontrer qu’il existe des points communs entre cette langue construite et Linux. J’ai le sentiment que Zamenhof, s’il avait été notre contemporain, aurait été enthousiasmé par Linux et les logiciels libres. Il a offert SA langue internationale à l’humanité tout comme Linus Torvald a offert son noyau Linux. Il faut être réaliste, l’espéranto peine à s’imposer comme langue internationale. Ça reste un truc de geek linguistique. Il en est de même pour les distributions Linux qui peinent à s’imposer sur les ordinateurs de monsieur Tout-Le-Monde. Ça reste un truc de de geek!

L’apprentissage de l’espéranto est d’une désarmante simplicité. On dit que c’est une langue propédeutique dans le sens où sa structure régulière, notamment sa grammaire, permet d’apprendre d’autres langues plus facilement. J’ai fait mon service militaire dans les transmissions et je me souviens que la devise de cette arme était « L’arme qui unit les armes ».  Eh bien, je vais la détourner et l’adapter à l’espéranto… « La langue qui unit les langues »

Si l’espéranto facilite l’apprentissage des langues étrangères, j’ai le sentiment que Linux facilite l’apprentissage de l’informatique. J’ai installé Ubuntu Maverick merkaat en 2010 sur ma bécane. Eh bien, avec son système de fichiers et son interface en ligne de commande, cette distribution linuxienne m’a permis de mieux comprendre comment fonctionnait un ordinateur. J’ai pu arpenté les rivages de ce que j’appelle la conscience-machine. Tout comme l’espéranto, Linux a donc un caractère propédeutique qui est évident.

Pour l’anecdote, on dit parfois qu’une distribution a « forké » et donné naissance à une nouvelle… Sachez pour votre gouverne personnelle que l’espéranto a « forké » lui aussi pour donner naissance à l’ido, une variante tombée dans l’oubli (ou presque).

Diffusion de l’espéranto

Je trouve regrettable que l’espéranto n’ait toujours pas réussi à véritablement s’imposer comme langue internationale. Il ne sert à rien de faire porter la responsabilité de cet échec à l’anglais, largement répandu dans les échanges internationaux. L’anglais est une belle langue que j’utilise presque tous les jours sur Internet. Elle m’est utile et je n’ai nullement envie de la dézinguer. Plutôt que de se lamenter sur cette situation, restons optimiste et réjouissons-nous du fait que l’avènement d’Internet a largement contribué à l’expansion de l’espéranto. Internet a peut-être sauvé l’espéranto… ou du moins, il lui a donné une nouvelle impulsion. Quelques exemples à l’appui de mes assertions :

Passons à la pratique!

Avec le verbe « être », je vais vous apprendre les temps simples en moins de deux minutes. C’est parti mon kiki!

Il n’y a aucune exception.

Le fond lexical est clairement indo-européen et plutôt emprunté aux langues romanes. Il n’y a qu’un seul article défini (« la ») et pas d’article indéfini. Tous les verbes ont un infinitif en « i ». Tous les noms communs se terminent en « o », tous les adjectifs se terminent en « a », tous les adverbes en « e » ou en « aŭ ». Quant au pluriel, cette fonction est remplie par le « j » (artikoloj par exemple).

On rencontre un cas qui est l’accusatif et qui, pour simplifier, « marque » le complément d’objet direct. Pour ce faire, on rajoute un « n » au nom commun et à l’adjectif :

C’est une langue agglutinante :

Extrêmement flexible, on peut la malaxer comme de l’argile et façonner la phrase de son choix. Par exemple, je vais traduire : « Il a fait une petite erreur ».

Quatre possibilités de traduction même si la dernière est un peu tirée par les cheveux, je vous l’accorde!

Il existe toute une palanquée de suffixes pour exprimer par exemple :

Conclusion

Il ne manque pas grand chose à l’espéranto pour qu’il prenne son envol mais ça ne viendra certainement pas des sommets. Trop de résistances par rapport à cette idée révolutionnaire. Mais l’avènement d’Internet a tout changé et si un jour, l’espéranto se diffuse largement, ce sera grâce à celles et ceux qui la pratiquent déjà.

 


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nIQnutn : Nintendo 64: rejouer à de vrais jeux

samedi 26 août 2017 à 13:49

C'est l'occasion de ressortir les manettes et de recommencer des jeux mythiques. C'est probablement sur la Nintendo 64 que j'ai le plus de souvenirs de jeux, du moins les plus marquants. La 3D, le multijoueur à 4 et des parties sans fin. Les réussites sont nombreuses et ont marqué les esprits en commençant par Super Mario 64, Golden Eye et Mario Kart 64 (je vais pas tous les citer). De nos jours, le jeu vidéo a changé, certains vendent des jeux pas fini et bugués et on croule sous la quantité de jeux disponibles (souvent ils manquent cruellement d'inspiration). C'est de plus en plus rare pour moi d'accrocher, avec le temps on se lasse mais je trouve que les jeux de cette époque avait une véritable identité et à part quelques patates payé à prix d'or (500 Francs de l'époque) je les ai tous terminé.

Tout ça parce que l'autre jour, j'ai eu envie de commencer un nouveau jeu mais ma liste de jeux sur Steam était beaucoup trop longue. Découragé, j'ai préféré revenir à des valeurs sûres.

Installation

Pour installer Mupen64Plus et son interface graphique:


#root
apt install mupen64plus-ui-console mupen64plus-qt

Pour lancer Mupen64Plus, aller dans le menu: Jeux > Mupen64Plus-Qt
ou directement depuis le terminal: mupen64plus-qt

Configuration

On commencer par mettre l'interface en français depuis le menu: Paramètres > Autre et on sélectionne le Français.

Ensuite, on indique le dossier des roms: Paramètres > Chemin et on ajoute notre dossier dans "Dossiers des ROMS"
Puis on actualise la liste des jeux dans le menu: Fichier > Recharger la liste
Pour finir, il faut aller dans: Paramètres > Disposition et sélectionner la vue. Sinon, on reste face à un écran vide :/

Il est possible de récupérer les infos depuis TheGamesDB.net.
Pour l'activer, aller dans le menu: Paramètres > Autre et cocher la case "Télécharger les informations sur les jeux"
On retourne dans le menu: Fichier > Recharger la liste

Il est possible de modifier les information d'une Rom. Il suffit de la sélectionner et dans le menu: Fichier > Télécharger/Mettre à jour les infos...

Si la miniature ne se met pas à jour, faut passer par le dossier ~/.local/share/mupen64plus-qt/cache et supprimer les miniatures.
Il y a visiblement un problème dans la gestion des miniatures et les fichiers .png peuvent ne pas s'afficher s'il y a un déjà un fichier .jpg

Et voilà, c'est prêt !

Ressources

https://wiki.debian.org/Mupen64Plus
https://github.com/dh4/mupen64plus-qt


nIQnutn CC-BY

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nIQnutn : Nintendo 64: rejouer à de vrais jeux

samedi 26 août 2017 à 13:49

C'est l'occasion de ressortir les manettes et de recommencer des jeux mythiques. C'est probablement sur la Nintendo 64 que j'ai le plus de souvenirs de jeux, du moins les plus marquants. La 3D, le multijoueur à 4 et des parties sans fin. Les réussites sont nombreuses et ont marqué les esprits en commençant par Super Mario 64, Golden Eye et Mario Kart 64 (je vais pas tous les citer). De nos jours, le jeu vidéo a changé, certains vendent des jeux pas fini et bugués et on croule sous la quantité de jeux disponibles (souvent ils manquent cruellement d'inspiration). C'est de plus en plus rare pour moi d'accrocher, avec le temps on se lasse mais je trouve que les jeux de cette époque avait une véritable identité et à part quelques patates payé à prix d'or (500 Francs de l'époque) je les ai tous terminé.

Tout ça parce que l'autre jour, j'ai eu envie de commencer un nouveau jeu mais ma liste de jeux sur Steam était beaucoup trop longue. Découragé, j'ai préféré revenir à des valeurs sûres.

Installation

Pour installer Mupen64Plus et son interface graphique:


#root
apt install mupen64plus-ui-console mupen64plus-qt

Pour lancer Mupen64Plus, aller dans le menu: Jeux > Mupen64Plus-Qt
ou directement depuis le terminal: mupen64plus-qt

Configuration

On commencer par mettre l'interface en français depuis le menu: Paramètres > Autre et on sélectionne le Français.

Ensuite, on indique le dossier des roms: Paramètres > Chemin et on ajoute notre dossier dans "Dossiers des ROMS"
Puis on actualise la liste des jeux dans le menu: Fichier > Recharger la liste
Pour finir, il faut aller dans: Paramètres > Disposition et sélectionner la vue. Sinon, on reste face à un écran vide :/

Il est possible de récupérer les infos depuis TheGamesDB.net.
Pour l'activer, aller dans le menu: Paramètres > Autre et cocher la case "Télécharger les informations sur les jeux"
On retourne dans le menu: Fichier > Recharger la liste

Il est possible de modifier les information d'une Rom. Il suffit de la sélectionner et dans le menu: Fichier > Télécharger/Mettre à jour les infos...

Si la miniature ne se met pas à jour, faut passer par le dossier ~/.local/share/mupen64plus-qt/cache et supprimer les miniatures.
Il y a visiblement un problème dans la gestion des miniatures et les fichiers .png peuvent ne pas s'afficher s'il y a un déjà un fichier .jpg

Et voilà, c'est prêt !

Ressources

https://wiki.debian.org/Mupen64Plus
https://github.com/dh4/mupen64plus-qt


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