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genma : What can I do for Mozilla ?

jeudi 9 février 2017 à 09:00

Devenir Mozillien, c'est à dire faire partie de la grande famille Mozilla, composée de ses employées mais aussi de ses milliers de bénévoles qui donnent de leurs temps, de quelques heures par mois à plusieurs heures par semaines...

On ne sait pas toujours par où commencer, ce qu'il est possible de faire et c'est là que le site What can I do for Mozilla ? https://whatcanidoformozilla.org/ intervient.

En arrivant sur le site on tombe sur une question aléatoire et en fonction de la réponse, on aura soit plus de détails, soit une autre proposition. Ainsi, on sera aiguillé peu à peu vers un projet, une forme de contribution qu'il est possible de faire, avec une redirection vers le site Internet correspondant au sein de la sphère Mozilla.

Donc, si vous souhaitez vous impliquer dans la communauté Mozilla, ou si c'est déjà le cas mais que vous aimeriez en faire plus ou faire autre chose, aller voir le site https://whatcanidoformozilla.org/ qui vous guidera vers des projets sur lesquels il peut être intéressant de s'investir :)

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Tuxicoman : Comment Python implémente les dictionnaires

jeudi 9 février 2017 à 07:03

Une vidéo de la PyCon 2010 qui explique comment Python trouve rapidement une clé, ou si elle n’existe pas, sans recourir à un arbre binaire :

Si on regarde du coté de C++, ce qui se rapproche donc plus de l’implémentation de Python est donc le conteneur « unordered_map » standardisé dans C++11 qui se base aussi sur des tables de hachage pour ranger les clés. A ne pas confondre avec le traditionnel conteneur « map » qui maintient les clés classées par ordre croissant et utilise ensuite un arbre binaire pour la recherche de clé.

A noter que Python 3.6 utilise une méthode encore plus évoluée qui réduit la consommation mémoire des dictionnaires (détail)

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Nizar Kerkeni : MOOC – L’essentiel pour maîtriser Linux

mercredi 8 février 2017 à 18:42

Mooc Linux
Début mars 2017 sera lancé un cours en ligne ouvert et massif (CLOM ou MOOC) intitulé “L’essentiel pour maîtriser Linux“. Ce MOOC permet d’acquérir les compétences de base nécessaires pour utiliser un ordinateur ou un périphérique mobile sous un système d’exploitation GNU/Linux. Le contenu du MOOC guide et encourage toute personne intéressée par l’usage du système GNU/Linux et des logiciels libres, et cela à titre personnel ou dans un cadre professionnel et à faire le premier pas pour migrer vers GNU/Linux.
Le contenu de ce MOOC peut intéresser :

Pour les intéressés qui veulent suivre ce MOOC il suffit de s’inscrire sur la plate-forme FUN au plus tard le 06 avril, sachant que le MOOC débute le 02 mars. Le parcours de base est centré sur le suivi de capsules vidéos, la réalisation des Quizs (Questions sur la vidéo), le suivi des séminaires en ligne (Webinaire) et la passation de l’examen final. Ce parcours permet l’obtention de l’attestation de suivi avec succès du MOOC délivrée par FUN. Pour obtenir cette attestation, vous devez avoir obtenu une moyenne supérieure ou égale à 50 %. Le suivi du parcours de base est gratuit mais la certification est payante(*). Pour plus de détails sur le parcours de base et la certification vous pouvez consulter le site officiel du MOOC.
Mooc Linux Nizar Kerkeni
De mon côté, en tant que membre de la communauté Ubuntu Tunisie et la communauté Ubuntu, j’aurais le plaisir de participer à ce MOOC en animant un webinar autour de ma distribution favorite Ubuntu. Dans ce webinar qui sera intitulé “Ubuntu : Linux pour tous”, je présenterais cette distribution destinée au grand public, sa philosophie, ses versions, ses communautés, etc. La date et l’horaire exacte de ce webinar ne sont pas encore fixés. Je vous tiens au courant dès que la date sera fixée.

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Thuban : Un GUI en python : TP 5, la gestion du clavier

mercredi 8 février 2017 à 09:08

Contrôler son GUI avec le clavier, c'est un jeu d'enfant avec tkinter.

Vous vous souvenez lorsqu'on a associé des fonctions aux boutons ? Eh bien la démarche va être quasiment identique pour relier un raccourci clavier à une fonction.
De façon générale, cela se fait ainsi :

w.bind("", fonction)

On a ici "w" qui est le widget, "" qui est le code de la touche appuyée et enfin "fonction" qui est la fonction appelée.

Comment connaître le code ?

Ça peut être pratique c'est sûr. Pour ça, le plus simple reste à les essayer au lieu de lire toute la documentation. Essayez donc de lancer le code ci-dessous puis d'appuyer sur des touches :

#!/usr/bin/env python3.4
# -*- coding:Utf-8 -*- 
# print pressed key
from tkinter import *

def key(event):
    print(event.keysym)

w = Tk()
w.title("get key") 
w.bind("", key)
w.mainloop()

Ce petit bout de code va afficher la touche appuyée, dont la valeur sera à mettre à la place de pour utiliser cette touche.

Notez que la fonction appelée par ".bind" reçoit en argument l'évènement. Il faudra y penser lorsqu'on utilisera lambda.
Dans notre visionneuse, nous allons donc associer les flèches pour faire défiler les images, et la combinaison "ctrl-O" pour ouvrir une nouvelle image :

# Raccourcis clavier
w.bind("", lambda e: defile_img(img_widget, "prev"))
w.bind("", lambda e: defile_img(img_widget, "next"))
w.bind("", lambda e: chg_img(img_widget))

Et voilà !

Avec tous ces TP, vous avez dévantage de billes en poche pour vous amuser avec tkinter.
Cette fois, je dépose le code à cette adresse, avec quelques modifications supplémentaires si vous souhaitez améliorer cette visionneuse : http://git.yeuxdelibad.net/tkv

Bon code ;)

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blog-libre : Deux ans de Journal du hacker

mardi 7 février 2017 à 10:00

La semaine dernière nIQnutn a publié un article intitulé « Le journal du hacker : le site du n’importe quoi ». Je vais revenir aujourd’hui sur le sujet. Quelques précisions : Je suis un gros contributeur du Jdh, j’y suis modérateur et inscrit depuis plus de 2 ans. Je parle en mon nom propre et pas au nom de l’équipe du Jdh, c’est d’ailleurs pour cela que je poste cet article sur mon blog.

Agrégateur

J’aime bien citer le A propos du Jdh pour expliquer les grandes lignes de son objectif : « Le Journal du hacker a pour ambition de présenter l’activité des hackers francophones, du mouvement du Logiciel Libre et open source en langue française, mais aussi des startups et du mouvement entrepreunarial de la communauté francophone. »

Dans les faits les contributeurs « suivent » un nombre important de sources (sites, blogs, réseaux sociaux, podcasts…) et lorsque cela correspond aux thèmes abordés par le Jdh alors certaines « infos » sont remontées et soumises sur le Jdh. Le Jdh rassemble, présente, met en valeur et en lumière certains contenus. C’est un agrégateur communautaire et participatif. Il permet de découvrir de nouvelles sources d’infos : Un nouveau blogueur, un article intéressant, un podcast sympa. Le Jdh ne crée/publie pas d’articles, il ne vise pas à remplacer les sites/blogs/services existants.

Différents moyens d’utiliser le Jdh

Le Jdh offre de très nombreux moyens de traiter et trier les informations remontées :

Les possibilités de lobste.rs et l’équipe du Jdh ont rendu le Jdh suffisamment souple et hackable pour que chacun puisse y trouver son compte.

Des communautés

Carl avait fait un excellent article sur les communautés du Libre. Le Jdh a actuellement 446 utilisateurs inscrits (donc des contributeurs potentiels), plus de 3000 followers sur Twitter et plus de 470 sur Diaspora*. Le public du Jdh est composé de techniciens, sysadmins, développeurs, hackers, curieux, libristes, sympathisants et utilisateurs du Libre et de GNU/Linux. Il s’adresse à un public francophone (Français, Belge, Africain, etc.) peu importe leurs connaissances et leurs niveaux. Enfin il met en lumière, il fait la promotion des différents acteurs des communautés : Blogueurs, entrepreneurs, développeurs, etc.

Il n’est pas destiné aux techniciens et aux professionnels mais à tous. Il y a un maître mot à comprendre ici, diversité. Un débutant ne verra aucun intérêt à des articles de développeur, un Africain n’a pas les mêmes problématiques et moyens qu’un Européen, un curieux s’intéressera à tout, un entrepreneur appréciera le coup de projecteur. Toutes ces personnes utiliseront le Jdh différemment, certains survoleront les infos sur Diaspora*, d’autres feront une veille active en suivant certaines marques via RSS, personnellement je me rends essentiellement sur newest.

C’est une volonté forte et assumée de l’équipe du Jdh de s’adresser à tous, à ce sujet relire l’article de Carl Journal du hacker et francophonie. Par conséquent il n’y aura jamais une communauté ou des sujets/thèmes davantage favorisés que d’autres sur le Jdh.

Miroir

Le Jdh en tant qu’agrégateur ne crée pas d’articles. Certains utilisateurs se plaignent de ne pas voir suffisamment d’articles sur certains sujets/thèmes. Il y a par exemple actuellement 30 articles avec la marque « centos » et 299 avec la marque « debian ». Il y a 44 articles avec la marque « bsd » mais plus de 532 pour « linux ». Les personnes qui contribuent à remonter des infos sur le Jdh n’ont certainement pas une dent contre CentOS ou BSD. Le Jdh reflète simplement les contenus créés par les différentes communautés. Plus de personnes parleront de CentOS, plus il y aura d’articles sur CentOS sur le Jdh.

Tri et modération

Pour information un article soumis sur le Jdh n’est envoyé sur Diaspora*, Twitter, la page d’accueil et le flux RSS principal du Jdh qu’à partir de deux votes sur l’article.

Une critique récurrente porte sur le tri des infos soumises sur le Jdh : Trop d’infos sont remontées, certaines ne sont pas de qualité, trop courtes, pas assez claires/explicites/vérifiées. La valeur d’une information, la qualité d’un article sont très difficiles à définir et quantifier. Nous n’y arriverons pas. Le Jdh a des limites et des défauts. En se voulant accueillant, en prônant la diversité, le Jdh se cogne à un plafond de verre. Exiger une certaine « qualité » (qu’il faudrait définir au plus près et au mieux pour modérer et soumettre correctement des infos sur le Jdh), c’est d’abord choisir une communauté avant une autre puis exclure certaines personnes à cause de leurs niveaux, leurs connaissances, les thèmes abordés, la longueur de l’article ou des qualités rédactionnelles.

J’ai actuellement remonté plus de 3700 articles sur le Jdh et j’assume la totalité des articles que j’ai remonté. Je fais des choix, je fais du tri. Pas assez, trop, sur quels critères ? Me demander de les définir n’a aucun sens pas plus que définir ensemble des critères objectifs de tri. Mon « vote » compte pour 1, je n’ai pas plus de « poids » qu’un autre utilisateur sur le Jdh. La modération est simple (simpliste ?) : 1/ Le thème rentre dans le cadre du Jdh 2/ Il n’y a pas d’embrouilles (un article copier/coller de chez quelqu’un d’autre par exemple, article en doublon sur le Jdh). Alors ça sera publié.

Je lis régulièrement des articles que je ne remonte pas sur le Jdh et que je vois finalement soumis par d’autres contributeurs du Jdh. Je dois me remettre en question, questionner mes centres d’intérêt, tout remonter ? Non ce sont mes choix personnels, que j’assume et en cela je respecte le A propos du Journal du hacker : « une vraie communauté responsable ». Le dernier article en date que je n’ai pas remonté c’est l’article le plus voté de la semaine dernière ! Le fonctionnement du Jdh ne se base pas sur la perfection de l’objectivité et du jugement de chaque contributeur du Jdh mais sur la résilience de sa communauté. Je fais une connerie, quelqu’un passe derrière. Plus il y aura de contributeur, plus il y aura de votes et de commentaires sur un article, plus fin sera le tri.

Une remarque cependant, le Jdh est un outil participatif qui s’appuie sur ses contributeurs pour trier, voter, commenter. Avant d’avoir un tri pertinent et réclamé par de nombreuses personnes… il faut trier. Il faut que certains le fassent en acceptant de « perdre » de leur temps en lisant de nombreux articles « non triés » et « pas intéressants », il n’y a aucune automatisation pour le faire. Exiger un tri pertinent, c’est exiger que quelqu’un d’autre le fasse à votre place. Si vous ne voulez pas contribuer à trier et « perdre » de votre temps, vous placez le curseur et la critique au mauvais endroit, c’est au paragraphe sur les différents moyens d’utiliser le Jdh qu’il faut se rendre.

Désaccord

La semaine dernière j’ai remonté un article de Tanéléo. Je l’ai remonté car j’ai trouvé certaines de ses idées intéressantes. L’article a fait un beau score sur le Jdh, je l’ai donc remonté dans les 5 articles de la semaine 04 sur le blog du Jdh.

Pourtant, et c’est très important de le comprendre, je ne suis pas d’accord avec l’article. Pourtant, et c’est très important de le comprendre, je remonterais l’article sur le Jdh 10 fois, 100 fois, 1000 fois. Pourquoi ? Certaines personnes sont d’accord avec l’article. Certaines personnes trouvent l’article intéressant. Les votes sont là pour le démontrer. On peut être en désaccord avec l’article mais avoir suffisamment de recul pour trouver certains arguments intéressants.

Le Jdh n’a pas pour but de juger si l’article a raison ou tort mais de présenter, mettre en valeur et en lumière certains contenus. L’article a reçu 7 votes et 4 commentaires sur le Jdh, 7 commentaires sur Diaspora* et 40 commentaires (en comptant l’auteur) sur l’article. Le Jdh a parfaitement rempli son rôle.

On peut évidemment être en désaccord avec un article mais il est important d’écouter et de laisser sa place à la critique ainsi qu’à d’autres manières de voir les choses.

Solutionnisme technologique

Suite à l’article de nIQnutn l’idée d’un bouton de downvote (voter négativement) a été reprise dans les commentaires du Jdh. Je ne sais pas d’où vient cette idée qu’un bouton ou une pirouette technique va solutionner des problèmes bien humains. Il y a 3000 followers sur Twitter, 446 utilisateurs inscrits et la moyenne des articles les plus votées doit tourner à 8. Je vous laisse faire le calcul de combien de personnes veulent participer et votent.

Il n’est pas question de dire que le bouton de downvote est une mauvaise idée mais de dire que le problème est bien humain avant d’être technique. Personnellement je suis très fier de l’équipe du Jdh et j’apprécie énormément la communauté autour de cet outil. Cependant nous ne sommes pas mieux lotis que de nombreux autres projets, peu de contributeurs. A mon sens l’outil offre de quoi amener l’utilisateur à contribuer : Gamification avec des points si on remonte des articles ou si on fait des commentaires, possibilité d’échanger dans les commentaires ou via messagerie interne, contributeurs sympas et respectueux, communauté responsable et modération cool.

Il faut du temps, il faut être patient, la communauté autour du Jdh va continuer à grandir et davantage de contributeurs arriveront. L’équipe du Jdh est sensible à ce sujet et guette les contributeurs importants/motivés. Plus nous serons nombreux, plus l’équipe du Jdh et sa communauté seront résilients, plus les idées de chacun pèseront dans les choix et l’avenir du Jdh.

Le Jdh, un outil parfait ?

Évidemment non. Comme tout outil il a des défauts et des limites qu’il faut percevoir et accepter. Le Jdh ne répond pas aux besoins de tout le monde mais il est suffisamment souple et hackable pour contenter la majorité.

J’ai essayé d’expliquer le fonctionnement, le but et les réflexions que traversent le Jdh dans cet article. Moi-même j’ai des critiques à formuler sur cet outil. Je le trouve bien trop abrupt pour les débutants et sympathisants du Libre cherchant juste à s’informer et pas à faire de la veille professionnelle. J’ai conscience que la majorité des contributeurs qui poussent le Jdh sont des professionnels. Devrions-nous abandonner notre volonté de diversité ?

Je pense également que l’équipe du Jdh est trop présente dans les infos soumises, nous devrions lever le pied pour que d’autres contributeurs trouvent leur place. Certains sortiront alors du lot, cela rendra le Jdh plus résilient à l’absence des membres de son équipe.

Il est peut-être également temps de revoir à la hausse le nombre de votes faisant passer un article en page d’accueil et l’envoyant sur Diaspora*, Twitter et le flux RSS principal.

Je pense que le plus important c’est de comprendre que le Jdh n’est pas l’outil principal que vous devez utiliser, c’est un outil complémentaire. Il vous permet de « découvrir » des contenus que vous ne connaissiez pas. Il faut « piocher » une info qui semble intéressante dedans et accepter que ça soit du temps perdu si la pêche est mauvaise. Qui d’autre que vous peut définir la qualité d’un article, les thèmes qui vous intéressent, une astuce/application que vous ne connaissiez pas ? Il faut accepter le risque car c’est là que naît la découverte et la bonne surprise.

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