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Tanguy Ortolo : Nouvelle planète auto-hébergement

jeudi 28 mars 2013 à 13:17

Comme prévu, je viens de remplacer l'ancien Planet auto-hébergement par une nouvelle version basée sur Planet Venus sur mon propre serveur.

La Terre entourée d'un petit maillage de fibres optiques

Vous pouvez donc maintenant venir découvrir la nouvelle Planète auto-hébergement, qui propose :

Si vous tenez un blog ou vous parlez d'auto-hébergement, il n'est pas trop tard pour me l'indiquer !

La configuration de Planet Venus est intéressante, et il faudra sans doute que je rédige un article synthétisant mon expérience avec ce logiciel, mais j'attends d'abord que les débats actuels se calment un peu pour pouvoir finaliser un autre projet de Planète Catholique…

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Nicolargo : Utiliser votre Raspberry Pi comme borne Airplay

jeudi 28 mars 2013 à 10:04

Airplay est une technologie, mise en avant par Apple et par un nombre croissant d'acteurs du monde de la Hifi, permettant de déporter les flux audio, photo et vidéo d'un device (PC/Mac, tablette, téléphone) sur des périphériques externes (Ampli, Enceintes...). Basée sur un protocole propriétaire (heureusement cassé par reverse ingenering), il n'a malheureusement en face de lui aucune alternative stable et libre: Miracast est uniquement dédié aux devices Wifi et Google qui planchait sur une alternative à Airplay ne semble pas très pressé de la sortir.

Dans ce billet nous allons voir comment transformer un Raspberry Pi (23€ chez votre épicier) en une borne Airplay connectée à votre chaîne Hifi (ou encore mieux en passant par un DAC) afin de disposer d'une chaîne de streaming de bonne qualité entre vos "idevices" (iPhone, iPad, Mac OS mais aussi Android) et vos enceintes.

Dans le jargon Airplay, nous allons donc transformer un Raspberry Pi en "Airplay receiver". Shazam...

Ma configuration de test

Ce billet a été validé sur la configuration suivante:

Ma chaine Hi-Fi Cambridge

Raspberry PI B 512

Configuration système du Raspberry Pi

J'ai utilisé le système d'exploitation Raspbian "Wheezy" dont j'ai déjà détaillé l'installation dans un précédant billet. Comme ma chaîne Hifi est loin de mon réseau Ethernet filaire, j'ai utilisé un dongle USB Wifi (attention la liste des dongles supportés est ici) que j'ai connecté au Raspberry et configuré en suivant ce tutoriel.

Ma configuration réseau est la suivante pour le fichier /etc/network/interfaces:

auto lo
iface lo inet loopback
auto eth0
iface eth0 inet dhcp
auto wlan0
allow-hotplug wlan0
iface wlan0 inet manual
wpa-roam /etc/wpa_supplicant/wpa_supplicant.conf
iface default inet dhcp

et celle-ci pour le fichier /etc/wpa_supplicant/wpa_supplicant.conf:

ctrl_interface=DIR=/var/run/wpa_supplicant GROUP=netdev
update_config=1
network={
ssid="MONWIFI"
scan_ssid=1
key_mgmt=WPA-PSK
proto=WPA
psk="MACLEWIFI"
}

Shairport, le coeur de la borne Airplay

Shairport est une implémentation libre d'un serveur RAOP qui est lui même à la base des Airport Express d'Apple. Il n'implémente, pour l'instant, que la version 1.0 d'Airplay (prise en charge des flux audio mais pas de vidéo ni de photo).

L'installation se fait en 5 commandes:

sudo aptitude install git libao-dev libssl-dev libcrypt-openssl-rsa-perl libio-socket-inet6-perl libwww-perl avahi-utils
git clone https://github.com/albertz/shairport.git shairport
cd shairport
make
sudo make install

Pour tester Shairport, il suffit de lancer:

/shairport.pl -a ShairPort

Si, comme moi, vous avez l'erreur suivante qui s'affiche:

Can't locate Net/SDP.pm in @INC (@INC contains: /etc/perl /usr/local/lib/perl/5.14.2 /usr/local/share/perl/5.14.2 /usr/lib/perl5 /usr/share/perl5 /usr/lib/perl/5.14 /usr/share/perl/5.14 /usr/local/lib/site_perl .) at ./shairport.pl line 48.
BEGIN failed--compilation aborted at ./shairport.pl line 48.

Alors, il faudra en plus saisir une sixième commande pour finaliser l'installation:

sudo cpan install Net::SDP

Pour automatiser le lancement de ShairPort au démarrage de votre Raspberry Pi:

sudo cp ./shairport.init.sample /etc/init.d/shairport
sudo chmod a+x /etc/init.d/shairport

Note: il est possible d'éditer le "nom" de votre borne Airplay en modifiant l'option -a dans le script:

DAEMON_ARGS="-w $PIDFILE -a ShairPort"

Il ne reste plus qu'à lancer le démon:

sudo update-rc.d shairport defaults
sudo service shairport start

Premier test: bien mais peut mieux faire

Arrivez à ce stade (bravo si vous êtes encore là), vous devriez pouvoir détecter votre borne Airplay ShairPlay à partir de votre iPhone:

Airplay Spotify photo

Configuration de l'iPhone pour utiliser la borne Airplay (Spotify à gauche et iTunes à droite)

En branchant votre casque | chaîne sur la sortie analogique (prise jack) du Raspberry, vous allez entendre le son émis par votre iPhone.

Avec un  Glances  lancé sur le Raspberry, on peut constater, avec une liaison réseau filaire la faible consommation CPU en utilisation et un débit de streaming audio de 1Mbps:

capture_064

Par contre cette consommation grimpe à plus de 60% si vous utilisez un dongle Wifi. En effet, le protocole WPA implique un déchiffrement des données non négligeable pour le Raspberry.

Si fonctionnellement on est arrivés à notre objectif, ce n'est pas cas pour la qualité audio. En effet, la sortie analogique est incompatible avec une écoute Hifi.

Raspberry + USB + DAC = Bonheur

Heureusement pour moi et pour mes oreilles, mon DAC (Cambridge Audio DacMagic) dispose d'une entrée USB. Si ce n'est pas votre cas, il existe pas mal de solutions plus ou moins chères sur le marché.

Pour forcer le Raspberry à utiliser le DAC (sortie USB) comme carte son, il faut éditer le fichier /etc/modprobe.d/alsa-base.conf en commentant une première ligne et en ajoutant une deuxième:

#options snd-usb-audio index=-2
options snd-usb-audio nrpacks=1

Après un dernier redémarrage, votre borne Airplay est enfin prête !

Conclusion

Ma configuration fonctionne maintenant sans problème depuis quelques jours. Je suis justement en train d'écouter ma Playlist Spotify 2013 en rédigeant ce billet.

Seul problème rencontré: il faut que je redémarre mon Raspberry quand je désactive et réactive le Wifi sur ma Freebox. Si vous avez des idées, je suis preneur.

Quelques liens en bonus:

Cet article Utiliser votre Raspberry Pi comme borne Airplay est apparu en premier sur Le blog de NicoLargo.

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Articles similaires

Nicolas Lœuillet : Un read it later open source avec des morceaux de Shaarli dedans

jeudi 28 mars 2013 à 09:44

Depuis quelques mois maintenant, j’utilise quotidiennement Pocket (anciennement Read-it-later). Vraiment pratique, entre le PC, la tablette et le téléphone, tout fonctionne très bien. Pour ne pas devenir « pocket dépendant », j’ai regardé s’il existait un read it later open source qui pourrait le remplacer.

J’ai trouvé 2/3 ébauches de choses pas inintéressantes (notamment Goose qui pourrait servir de base pour un tel outil), mais rien de fini et d’opérationnel.

Et je me suis en fait souvenu de shaarli, un delicious open source. Je vais donc le détourner de sa fonctionnalité principale — partager et sauvegarder ses favoris — pour en faire mon Read it later open source. Par défaut, tous les liens ajoutés sont privés. Pour l’instant, je leur ajoute tous le même tag (comme ça, je peux continuer à utiliser shaarli pour faire autre chose) et je récupère le flux RSS de ce tag que j’ajoute dans mon lecteur de flux.

Et là, Ô magie, je retrouve dans mon agrégateur les liens vers les articles que je souhaite lire. Elle est pas belle la vie ?

Tout n’est pas parfait, car l’intérêt d’un service à la Pocket, c’est qu’un article lu n’apparaît plus. Là, je dois coupler shaarli à un agrégateur pour retrouver cette fonctionnalité. L’intégration avec la tablette sera également à voir (je me souviens qu’il existe une application android pour partager vers shaarli, à voir si elle fonctionne toujours).
Mais au moins, je gère mes données, je ne suis pas dépendant d’un service en ligne.

J’en ai profité pour demander à sebsauvage une petite évolution de shaarli : pouvoir ne pas ouvrir la popup lors de l’ajout d’un lien depuis le bookmarklet. L’intérêt ? Sauvegarder des liens encore plus rapidement.

Mais en rédigeant ce billet, je me rends compte qu’une autre évolution serait peut-être sympa : avoir un tag par défaut pour les liens. À voir si c’est pertinent, je verrai à l’usage.

Bref, si vous cherchez un pocket / instapaper / read it later open source, utilisez Shaarli.

À la recherche d'un read it later open source

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Yannig : Mise en place d'un bridge sous Debian/Ubuntu

mercredi 27 mars 2013 à 23:05
Dans ma quête perpétuelle de la mise en place de truc qui fonctionne à moitié, j'ai eu la chance de me frotter aux bridges ethernets et aux interfaces ethernets virtuelles de l'ami Linux.

Mais qu'est ce qu'un bridge ethernet allez-vous me dire et pourquoi vouloir en mettre un en place ?

Un bridge ethernet est l'équivalent d'un switch virtuel au niveau système. L'idée est d'utiliser une interface réelle (mettons eth0) pour faire transiter du trafic des interfaces virtuelles (généralement tap0, tap1 etc.).

Pour ce qui est de l'utilité, vous en avez plusieurs avec notamment les deux exemples suivants :
Dans mon cas, je fais ça pour openvpn mais on peut également l'utiliser pour kvm par exemple.

Mise en place d'un bridge

Avant toute chose, il va nous falloir installer deux packages qui vous serons utiles pour gérer les bridges et les interfaces virtuelles (et puis, que serait un article sur Debian sans l'utilisation d'apt-get) :

apt-get install uml-utilities bridge-utils

Ici, rien de bien extraordinaire, nous allons d'abord déclarer un bridge (br0) dans le fichier /etc/network/interfaces, y ajouter notre interface ethernet (eth0) et enfin rattacher l'adresse dhcp au bridge. Ci-dessous, vous trouverez un exemple de fichier avant modification :

auto lo
iface lo inet loopback

auto eth0
iface eth0 inet dhcp

Après modification, le fichier devrait ressembler à ça :

auto lo
iface lo inet loopback

auto eth0
iface eth0 inet manual

auto br0
iface br0 inet dhcp
        bridge_ports eth0
        bridge_fd 9
        bridge_hello 2
        bridge_maxage 12
        bridge_stp off

Faîtes ensuite un restart networking pour prise en compte. La commande ifconfig devrait vous renvoyer ce qui suit :

# ifconfig
br0       Link encap:Ethernet  HWaddr 7e:68:47:11:36:c9  
          inet adr:192.168.0.34  Bcast:192.168.0.255  Masque:255.255.255.0
          adr inet6: fe80::7c68:47ff:fe11:36c9/64 Scope:Lien
          UP BROADCAST RUNNING MULTICAST  MTU:1500  Metric:1
          Packets reçus:3193 erreurs:0 :0 overruns:0 frame:0
          TX packets:1289 errors:0 dropped:0 overruns:0 carrier:0
          collisions:0 lg file transmission:0 
          Octets reçus:273039 (273.0 KB) Octets transmis:331151 (331.1 KB)

lo        Link encap:Boucle locale  
          inet adr:127.0.0.1  Masque:255.0.0.0
          adr inet6: ::1/128 Scope:Hôte
          UP LOOPBACK RUNNING  MTU:16436  Metric:1
          Packets reçus:312 erreurs:0 :0 overruns:0 frame:0
          TX packets:312 errors:0 dropped:0 overruns:0 carrier:0
          collisions:0 lg file transmission:0 
          Octets reçus:32926 (32.9 KB) Octets transmis:32926 (32.9 KB)

eth0      Link encap:Ethernet  HWaddr c8:60:00:e2:c9:2b  
          UP BROADCAST RUNNING MULTICAST  MTU:1500  Metric:1
          Packets reçus:4925 erreurs:0 :0 overruns:0 frame:0
          TX packets:1289 errors:0 dropped:0 overruns:0 carrier:0
          collisions:0 lg file transmission:1000 
          Octets reçus:679553 (679.5 KB) Octets transmis:331151 (331.1 KB)

On voit ici que c'est le bridge qui a une adresse IP. Ceci est important pour permettre le fonctionnement correcte de notre machine. Dans le cas contraire, on pourrait avoir des comportements bizarre de notre ami le serveur. Il faut bien voir que notre interface ethernet est simplement considéré comme un connecteur vers le monde réel.

Pour les plus curieux, il est possible de consulter l'état de notre bridge avec la commande brctl :

# brctl show br0
bridge name     bridge id               STP enabled     interfaces
br0             8000.7e68471136c9       no              eth0

Passons maintenant à la déclaration d'une interface virtuelle.

Déclaration d'une interface virtuelle et rattachement au bridge

Maintenant que notre bridge est fonctionnel, nous allons rattacher une interface virtuelle (tap0). Pour se faire, rien de plus simple, modifions de nouveau notre fichier /etc/network/interfaces de la manière suivante :

auto lo
iface lo inet loopback

auto eth0
iface eth0 inet manual

auto tap0
iface tap0 inet manual
        pre-up tunctl -t tap0
        up ifconfig tap0 up
        down ifconfig tap0 down

auto br0
iface br0 inet dhcp
        bridge_ports eth0 tap0
        bridge_fd 9
        bridge_hello 2
        bridge_maxage 12
        bridge_stp off

Les lignes concernant tap0 contiennent l'utilisation de la commande tunctl qui va déclarer l'interface. Une fois déclarée, cette interface sera rattachée automatiquement au bridge à l'aide de la ligne bridge_ports.

Pour s'en convaincre, une fois que le réseau a été redémarré (restart networking), il suffit de relancer la commande brctl show br0. Ce dernier devrait renvoyer le résultat suivant :


# brctl show br0
bridge name     bridge id               STP enabled     interfaces
br0             8000.1c6f65217bc0       no              eth0
                                                        tap0

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Framablog : Former la prochaine génération de bidouilleurs libres

mercredi 27 mars 2013 à 19:27

Comment des hackers adultes peuvent-ils s’assurer de faire émerger une nouvelle génération de hackers libres ?

La réponse d’un père de famille dynamique et avisé ;)


See-Ming Lee - CC by-sa


Former la prochaine génération de bidouilleurs open source

Growing the next generation of open source hackers

Dave Neary (Red Hat) - 26 février 2013 - OpenSource.com
(Traduction Framalang : Antoine, cherry, psychoslave, Jeff_, Eijebong, biglittledragoon, goofy, Vero, mathilde, tcit, Quentin, Metal-Mighty, jtanguy, Penguin, Pat, Asta, arnaudbey + anonymes)

En tant que père de trois enfants de 5, 7 et 10 ans, j’ai hâte de partager avec eux les valeurs qui m’ont attiré vers l’open source : partager et créer ensemble des choses géniales, prendre le contrôle de son environnement numérique, adopter la technologie comme moyen de communication plutôt qu’un média de consommation de masse. En d’autres termes :

Comment des bidouilleurs adultes peuvent-ils s’assurer de faire émerger une nouvelle génération de bidouilleurs open source ?

Une des choses que j’ai apprise est qu’il ne faut pas aller trop vite. J’ai mis mes enfants devant Scratch et Sugar à l’âge de 5 et 8 ans, et, bien qu’ils se soient amusés à changer les nombres sur un petit programme que je leur ai montré et aient aimé dessiner leurs propres voitures pour ensuite les diriger sur l’écran, ils étaient trop petits pour comprendre le concept de lier des fonctions entres elles pour arriver à obtenir des comportements plus sophistiqués.

Voici quelques-unes des leçons que j’ai apprises en tant que parent qui, je crois, peuvent être adaptées selon l’âge et les centres d’intérêt de vos enfants.

Un espace à vivre bidouillable

Nous avons encouragé nos garçons à décorer leur chambre, à organiser leurs meubles comme ils voulaient et à avoir leurs propres petits fiefs. Parfois cela nous rend complètement dingues en tant que parents, et, régulièrement, nous devons les aider à ranger, mais leur espace leur appartient.

De même, chaque enfant de plus de 7 ans peut avoir un vrai couteau qu’il peut utiliser pour tailler du bois et couper de la ficelle.

Ingénierie préscolaire

J’adore les jouets qui permettent aux enfants de donner libre cours à leur imagination. En plus c’est génial, parce qu’en tant qu’adulte, je prends autant de plaisir qu’eux à jouer ensemble ! Mes jeux de construction préférés (achetés à peu près au moment où les enfants ont l’habileté nécessaire pour les manipuler) sont les Kapla, les trains en bois, les lots de Duplo, Playmobil, Lego et les voitures Meccano.

Lego et Meccano notamment font un super boulot pour faire des kits adaptés aux enfants de tout âge. Une autre petite astuce est d’encourager le mélange et d’assembler différentes marques de jouets. Nous avons des ponts Kapla passant par-dessus des trains Ikea et des camions Lego qui transportent des personnages Playmobil.

Les Kapla aussi sont très intéressants. Ce sont des planchettes en bois découpées selon des proportions très précises ; elles sont trois fois plus larges qu’épaisses, et cinq fois plus longues que larges. Avec ces simples proportions et la précision des découpes, il est possible de construire des objets très complexes, comme la Tour Eiffel ou une maison Kapla.

Se lancer dans l’électronique

Nous avons un kit Arduino, et mon aîné commence à avoir le niveau pour comprendre comment câbler un circuit, mais il n’a pas encore découvert comment programmer dans le dialecte C propre à Arduino.

Mais même avant quelque chose de ce genre, les arts et les activités artisanales sont un excellent entraînement pour le DIY (NdT : Do It Yourself, c’est-à-dire « Faites-le vous-même »), et nous avons toujours quelques bâtonnets de glaces ou des pinces à linge et un pistolet à colle pour des cadeaux « faits main ».

Puis vous pouvez laisser traîner des tournevis, pinces, multimètres et autres fers à souder, pour que les enfants puissent désosser leurs vieux jouets, ou des appareils électroniques cassés, réparer les choses par eux-mêmes avec de simples circuits électriques, lorsque que quelque chose ne marche pas, et récupérer des pièces détachées pour les intégrer dans leurs futurs projets. Une supervision parentale est recommandée avec le fer à souder jusqu’à ce qu’ils maîtrisent son utilisation.

Apprendre aux enfants à bidouiller

J’adorerais entendre parler de ressources pour que les enfants apprennent à maîtriser la programmation ! Je connais l’existence de la Code Academy et la Khan Academy qui apprennent aux enfants à coder ; et Scratch and Sugar, que j’ai déjà mentionné.

Merci de partager vos propres conseils sur la manière d’endoctriner la prochaine génération de bidouilleurs open source !

Crédit photo : See-Ming Lee (Creative Commons By-Sa)

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