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Framablog : Apprenez à lire une URL (et sauvez des chatons)

vendredi 8 janvier 2016 à 16:31

Vous voulez sauver des chatons ? Nous aussi. Tout le monde aime les chatons. Cet article ne vous dira pas comment faire. Mais il vous apprendra (ou vous permettra d’apprendre à votre neveu) comment lire une adresse web. Ce qui est, n’en doutons pas, indispensable lorsque l’on veut sauver des chatons.

Nous avons donc décidé de piller sauvagement le blog Grise-Bouille de Gee, dessinateur libriste, chanteur yukuléliste, et framasoftien chevronné… parce qu’il a dessiné là un article d’utilité publique qui mérite d’être partagé (rappel : si vous ne le faites pas pour vous, faites-le pour les chatons !)

URL über-lue

Aujourd’hui, parlons de l’une de ces nombreuses choses auxquelles on ne prête pas d’attention parce qu’elles semblent trop compliquées… alors qu’elles peuvent nous aider énormément : l’URL.

Je précise que cet article est une introduction pour novice et qu’il ne vise pas l’exhaustivité (on ne parlera pas de protocoles FTP, de ports ou de résolution DNS). En plus, il est déjà assez long comme ça !

Bonne lecture 😉

tsq_008_url_uberlu

Lien vers l’article original.

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Nicolas Lœuillet : Nouvelle alpha pour wallabag v2

vendredi 8 janvier 2016 à 13:37

Et voila, après 4 mois de travail plus ou moins acharnés, on vient de sortir une nouvelle alpha avec pas mal de nouvelles fonctionnalités bien sympas, comme :

Le billet complet (en anglais) est sur le blog du projet.

Pour installer / tester :

git clone https://github.com/wallabag/wallabag.git -b v2
cd wallabag
composer install
php app/console wallabag:install
php app/console server:run

Amusez-vous bien, on retourne bosser !

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wilfried caruel : Converseen le logiciel opensource

jeudi 7 janvier 2016 à 18:37

Converseen

Je vais vous présenter un logiciel de traitement d’image ou convertisseur d’images.

ce logiciel s’appelle « Converseen »,

Ce logiciel de traitement d’images permet :

Le projet est disponible sous licence « GPL ».

Le logiciel est écrit en « c++ » et épaulé par « QT4 ».

Le logiciel permet de convertir les formats suivants :

Fonctionnalités :

La vidéo

Le logiciel a été créé par « Mondello Francesco ».

Mon avis :

Comme dit « Noireaude » c’est le genre de petit outil que j’aime bien , n’étant pas féru de la « CLI » je préfère les interfaces (symptôme causé par la 10 aines d’année sous windows ?),

Ce n’est pas le  logiciel « usine à gaz » même si la plupart des formats m’est inconnu,

C’est peut-être un bug , mais j’ai mis le logiciel en « français » , mais c’est toujours écrit en anglais , ce n’est pas bien grave , car les termes en anglais sont compréhensibles,

Le logiciel est pour ma part assez rapide , je ne  l’utilise pas de manière intensive

Y a d’autres logiciels , mais pour l’instant celui-là me satisfait amplement

Et vous que pensez vous du logiciel et quel autre logiciel utilisez vous ?

Installation :

Archlinux & dérivée)

su pacman -S converseen

Fedora

sudo yum install converseen
Liens

Site officiel
Page Github

Article La vache Libre
Article Korben

Source

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La bande des Geexxx : Réflexion sur l’accès au contenu pertinent de manière personnalisé sur diaspora*

mercredi 6 janvier 2016 à 23:34

Cet article de blog deviendra certainement une discussion sur loomio lorsque j’aurais le temps de le traduire. Pour l’instant, l’écrire en Français est plus facile pour moi. Comme mes réflexions peuvent tout de même intéresser (et qu’on peut préférer lire en Français), je les partage ici. Voir aussi cet ancien article sur le même sujet.

Il y a trop de messages dans nos flux

Un réseau social sert majoritairement à partager et à échanger. S’il est correctement utilisé, il peut même permettre une veille efficace et devenir la principale source d’informations. Il suffit pour cela de suivre suffisamment de personnes postant du contenu intéressant. Malheureusement, il peut vite devenir compliqué de faire le tri dans la montagne de messages qui s’entassent dans notre flux. Le nombre de messages qui nous semblent pertinent peut décroître, jusqu’à tomber bien bas, ce qui fait perdre un temps précieux voire nous fait quitter le service.

L’automatisation n’est pas la solution

La solution de Facebook (je ne sais pas pour Twitter, mais j’imagine qu’il y a une pratique similaire) à ce problème consiste à étudier notre usage et notre activité pour filtrer de manière automatique notre flux en nous proposant principalement les personnes et sujets avec lesquels nous interagissons majoritairement. Cette approche pose un problème de cercle vicieux : nous sommes bien évidemment moins susceptible de cliquer sur un contenu qui ne nous est pas présenté, comme nous n’interagissons pas avec lui il nous sera moins souvent présenté, etc. De plus, elle implique de faire de l’analyse des usages et des données, ce que nous essayons de limiter dans le logiciel Libre pour des raisons de respect de la vie privée. À cela, il faut rajouter le fait qu’un ordinateur peut se tromper. Finalement, personne mieux que nous même n’est capable de savoir si un contenu ne nous intéresse ou pas.

Les hashtags, une solution partielle

Nous avons vu que suivre des personnes intéressantes n’est pas une solution suffisante. Ces personnes peuvent parfois poster du contenu qui ne nous intéresse pas. Pire, certaines personnes peuvent parfois poster un contenu qui nous intéresserait, mais poster majoritairement du contenu sans intérêt. Nous pouvons aussi ignorer complètement l’existence d’une personne qui nous intéresserait beaucoup et ne jamais la découvrir. La solution de Twitter et diaspora* à ce problème est le système de hashtag. On peut ainsi se mettre à suivre non pas des personnes mais des sujets, ce qui résout le problème évoqué ci-dessus. Malheureusement, certaines personnes peuvent squatter un hashtag, voir en ajouter systématiquement des dizaines pour tenter de donner de la visibilité à leur message (cas moins régulier sur Twitter où les tweets sont limités à 140 caractères pour le moment). De plus, il est aussi possible d’utiliser un hashtag pour parler de son contraire. Par exemple, une personne postant un article parlant d’un problème sous #windows pourra accompagner son message d’un commentaire comme « Ca ne serait pas arrivé sous #linux ! ». Si nous sommes intéressé par les messages parlant de #linux et donc nous suivons ce hashtag, ce message apparaîtra dans notre flux, alors même qu’il ne parle que du système de Microsoft.

Les expressions booléennes, une suggestion pour diaspora*

Cette idée me trotte dans la tête depuis des années. En fait, je la décris déjà dans la première suggestion de cet article qui date de 2012 ! Il s’agirait de permettre à l’utilisateur d’écrire une requête avec trois entités différentes : les utilisateurs, les aspects et les tags, ainsi qu’avec trois opérateurs (en plus des parenthèses pour déterminer la priorité) : le ou, le et et le non. Un utilisateur pourrait ainsi rechercher #linux && !#microsoft. La réponse à cette requête serait un flux de tous les messages contenant le tag #linux et ne contenant pas le tag #microsoft. Si on se rend compte en plus qu’un utilisateur spamme le tag #linux, on peut aussi l’enlever de ce flux en rajoutant && !@userSpammer. Et voilà, un flux tout propre avec juste ce qui nous intéresse !

Ces requêtes doivent ensuite pouvoir être épinglées pour se retrouver dans la colonne de gauche de la page des flux, afin de pouvoir être sélectionnée facilement sans avoir à réécrire la requête. On pourrait même vouloir lui donner un nom et la définir comme flux par défaut, et, pourquoi pas, combiner les requêtes entre elle toujours avec les trois opérateurs.

Les questions qu’il reste à trancher pour avoir des spécifications complètes :

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Dimitri Robert : GIMP : détourage par extraction de premier plan

mercredi 6 janvier 2016 à 21:01

Dans un logiciel de retouche photo comme GIMP, les outils de sélection servent surtout à détourer des éléments, c’est-à-dire, à les isoler pour les exporter dans une autre image ou un autre logiciel. GIMP propose plusieurs outils pour détourer et nous pouvons utiliser diverses techniques combinant elles-mêmes plusieurs outils. Dans ce tutoriel nous utilisons l’outil « Extraction de premier plan » (à noter qu’il n’existe pas d’équivalent dans Photoshop).

L’outil « Extraction de premier plan » s’utilise en deux étapes. Vous ne pouvez pas revenir en arrière (annuler la dernière action) tant que vous n’êtes pas arrivé à la fin de la seconde étape. Vous pouvez annuler en cours de route en pressant la touche « Echap » ou en changeant d’outil.

  1. définissez votre zone de travail, de manière grossière, autour de l’élément que vous souhaitez détourer. À cette étape l’outil fonctionne comme la sélection à main levée.
  2. recouvrez toutes les teintes que vous voulez conserver dans la sélection finale. À présent, l’outil se comporte comme l’outil pinceau. À ceci près que changer la taille de la brosse est moins pratique : elle est constante quelque soit le niveau de zoom, donc, il est conseiller de zoomer ; cela augmente votre précision et a pour effet de rendre la brosse plus petite par rapport à l’image. Passez donc bien sur les teintes que vous voulez garder en évitant soigneusement celle dont vous ne voulez pas. Presser la touche « Ctrl » pour inverser le comportement.

À chaque fois que vous relâchez le bouton de la souris GIMP recalcule la zone choisie. Vous pouvez recommencer la seconde étape autant de fois que vous le souhaitez. À la fin validez en pressent « Entrée ».

La vidéo montre également comment exporter l’image obtenue au format PNG (rappel, le format Jpeg ne gère pas la transparence).

Dans un prochain tutoriel nous verrons comment utiliser le fameux masque de calque qui permet d’obtenir le détourage parfait ! Nous verrons également commet utiliser ce palmier détouré pour l’insérer dans un nouveau décor. Et peut-être même comment le transformer en brosse et créer une forêt de palmiers !

Si vous voulez soutenir l’auteur, l’inciter à publier de nouveaux tutoriels plus rapidement, vous pouvez mettre une pièce dans le jukebox (bouton « Faire un don »). Vous pouvez aussi donner des idées de tutoriels en posant des questions sur comment faire ceci ou cela. Sinon, vous pouvez simplement partager ces vidéos.

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