Non je vais pas vous parler de gros hits du moment (beaucoup ne sont pas opensource) mais plutôt un jeu pour passer le temps.
En effet, aujourd’hui je vais essayer de vous présenter non pas 1 jeu mais 2 jeux.
Les jeux en question s’appellent « Neverball » et « Neverputt ».
Si je vais vous parler de 2 jeux c’est pour 2 raisons :
le jeu a été développé en partie par le même développeur
les 2 jeux sont livrés ensemble
Ces jeux sont multiplate-forme
Ces jeux sont sous licence « GPLv2 ».
« Neverball » est un jeu qui met en scène une bille très instable sur des parcours plus ou moins durs.
Il faut incliner le plateau pour faire bouger la boule pour arriver au point d’arrivée.
On peut créer ses propres niveaux.
Vous avez différentes billes à votre disposition :
Blincky (fantome dans pac-man)
Earth
Eyeball
Lava
Majic-Eightball
Reactor
Saturn
Snowglobe
Sootsprite
Atom
On a de quoi s’amuser.
« Neverputt » est un mini jeu de golf, avec des parcours plus ou moins compliqués.
Il faut faire comme tout jeu de golf ou mini golf un minimum de coups pour réussir le niveau.
Présentation
Tilt the floor to roll a ball through an obstacle course before time runs out. Neverball is part puzzle game, part action game, and entirely a test of skill.
Also found here is Neverputt, a hot-seat multiplayer miniature golf game, built on the physics and graphics engine of Neverball.
Neverball is known to run under Linux, Windows, FreeBSD, and Mac OSX. Hardware accelerated OpenGL is required. A modern processor is recommended.
Les vidéos
Neverball
Neverputt
Ces jeux vidéo sont développés par « Jānis Rūcis »
Mes avis :
J’aime bien ces jeux . J’ai un faible pour « Neverputt » car j’aime bien les jeux de golf.
Merci à l’ami « Noireaude » de m’avoir fait connaître ces jeux.
« Neverball ».
Niveau design . Je le trouve très joli (suivant le pc et les réglages).
Sur un ordinateur portable avec un touchpad, je trouve « Neverball » très difficile à jouer
J’aime bien le nombre de billes disponibles . Je regrette une chose à ce sujet , c’est qu’on ne peut pas débloquer petit à petit les billes.
« Neverputt »
Très bon jeux . Le graphisme est simple mais pas moche pour autant.
Je le trouve peu facile (peut-être c’est le touchepad qui fait ça)
J’aurais bien voulu un mode « level editor » pour « Neverputt » (pas disponible selon moi)
Et vous connaissez-vous ou jouez- vous à ces jeux ?
L'idée d'un système d'exploitation français revient sur la table avec cet article de nextinpact. S'il semble que la question de fond porte sur les logiciels libres, ce qui est très bien, j'aimerais tout de même revenir sur l'idée de base.
L'objectif est de rendre notre pays indépendant en ayant un contrôle total sur les logiciels afin d'éviter tout espionnage par un pays tiers, et même garantir le respect de la vie privée des utilisateurs. L'idée est bonne, en revanche le projet est mauvais, c'est même une bêtise. En effet je vois les objections suivantes :
Le système d'exploitation d'un ordinateur n'est qu'un maillon de la chaîne. Computrace démontre que le matériel d'un PC lui-même n'est pas digne de confiance. OpenBSD et FreeBSD se méfient des générateurs de nombres aléatoires implantés dans le matériel Intel. Donc avoir un OS 100% libre et maîtrisé ne garantit pas que la machine est digne de confiance. Il faut également du matériel et des firmwares libres. Après la machine, c'est le réseau internet lui même qui est potentiellement compromis. Les routeurs peuvent contenir des backdoor introduites volontairement pour espionner ce qui transite.
Notre pays a lui aussi des services de renseignements, on peut donc supposer que le gouvernement n'a pas intérêt à lui compliquer la tâche, surtout que ce domaine s'étend bien au delà des frontières. Ne risque-t-on pas de se faire taper sur les doigts par les autres pays si on ampute nos services de renseignements de ces outils ? En gros, pourquoi devrait-on faire d'avantage confiance à un logiciel français qu'à un logiciel américain ?
Enfin, créer un OS de A à Z et une tâche insurmontable, ou alors le coût et la durée de développement seraient prohibitifs. On imagine donc que cet OS français va essayer de "customiser" une distribution existante, en payant au passage grassement de nombreuses sociétés de services, et que l'ensemble sera abandonné lorsque le gouvernement changera. A partir de là il semble plus judicieux de soutenir des projets existants et crédibles. Pourquoi ne pas encourager le développement de matériel de confiance, constitué de composants et firmware libres, fonctionnant sous Debian, ou n'importe quelle distribution capable de fonctionner sans blobs propriétaires ?
Le système d'exploitation français est donc une idée pompeuse et ridicule, qui fait bien rire les milieux spécialisés. Rien de concret n'en sortira. Les solutions sont déjà là, il suffit d'avoir les bonnes idées et les mettre en place. Utiliser des systèmes d'exploitation et du matériel libre dénués de firmwares propriétaires, rappeler à l'ordre les acteurs du réseau et des différents services pour interdire l'inspection du trafic (DPI), et promouvoir le chiffrement et les bons comportements serait déjà plus crédible et plus efficace.
Je réalise que je parle comme un libriste de la FSF, ce qui est plutôt effrayant...
Ces dernières semaines furent passablement dures et mouvementées : dernières balades en Inde sur fond de The Doors et retour en France. Cela va bientôt faire 4 jours que je suis rentré et le choque des cultures n'est pas encore passé. Un an en Inde, ça marque un peu quand même.
Malgré tout, je reviens doucement à la vie européenne. Dans les choses importes que je m'étais promises de faire à mon retour, il y avait le passage sous FirefoxOS et l'abandon d'Android.
C'est chose faite !
Je me lance dans un changement de cap qui me rappel mon passage de Microsoft Windows à GNU/Linux dans les années 2006. Je quitte Android que tout le monde connait pour me nicher au cœur de FirefoxOS avec le Flame.
Les caractéristiques de la bête ne semblent pas impressionnantes, d'après les dires de mes amis accro aux téléphones dernière génération mais elles me conviennent parfaitement.
Photo : arrière : 5MP with auto-focus avec flash / Avant : 2MP
Fréquence : GSM 850/900/1800/1900MHz
UMTS 850/900/1900/2100MHz
8GB de mémoire, MicroSD slot
256MB – 1GB RAM (ajustable par le développeur)
A-GPS, NFC
Dual SIM Support
Batterie: 1,800 mAh
WiFi: 802.11 b/g/n, Bluetooth 3.0, Micro USB
Autant dire que, personnellement, après des années avec un Samsung Galaxy Ace première génération, ça fait un choque.
J'avais dit que je prendrais certainement le ZTE Open C, mais le Flame me permettra de développer pour FirefoxOS, et ça, ça n'a pas de prix.
Anecdote : lorsque je suis allée voir sur le site de précommande, WOT m'a carrément sauté à la figure en me disant qu'il n'était pas fiable. A priori, la commande c'est bien passée et j'espère que je recevrais mon nouveau jouet d'ici juillet, comme prévu. J'vous tiendrais au courant et n'hésitez à suivre Fla : il a aussi commandé la bête.
CLibre sera présente tout au long du festival avec un stand permanent et une exposition des photos du concours Wiki Loves Monuments 2013. De plus CLibre assurera 3 ateliers :
Présentation Wikimedia Commons, le samedi 14 juin de 14h00 à 16h00, par Habib M’henni.
Édition Wikipédia, le samedi 14 juin de 16h00 à 18h00, par Yamen Bousrih.
Ubuntu et les logiciels libres, le dimanche 15 juin de 09h00 à 11h00, par Nizar Kerkeni.