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Progi1984 : Comment envoyer par email vos derniers posts via Mailchimp ?

lundi 30 décembre 2013 à 09:30

WordPress est un outil puissant de blogging. Mais comment être tenu au courant des nouveaux articles ? Plusieurs solutions existent : les réseaux sociaux, les flux RSS et le mail. C’est cette dernière solution qui nous intéresse dans notre article. Le client email que nous voulons utiliser est Mailchimp.

logo_mailchimp

Qu’est ce Mailchimp ?

Mailchimp est un logiciel de type SAAS qui permet de concevoir facilement des newsletters pour votre site web. Grâce à cet outil, il est possible de les mettre en forme, décider des heures d’envoi et créer des formulaires. Et pour la partie post-envoi, il est possible d’étudier les statistiques sur cette newsletter : lecture, partage, abandon ou transformation.

Mise en place de la newsletter de Mailchimp

Après inscription sur le site de Mailchimp, il faut créer une campagne de mail basé sur un flux RSS (RSS-driven campaign).

Mailchimp : Créer une campagne RSS-Driven

Dans l’étape “RSS Feed”, il faut définir le flux RSS qui générera l’envoi de la newsletter. On définit aussi l’heure et les jours auxquels le flux sera vérifié et les mails envoyés.

Mailchimp : Définir le flux RSS et la périodicité

Dans l’étape “Recipients”, on définit la liste des destinataires de la newsletter.

Mailchimp : Définir la liste des destinataires

Dans l’étape “Setup”, on remplit les informations de la campagne : nom, titre du mail, expéditeur et mail, ainsi que des informations au niveau du tracking et du partage.

Mailchimp : Définir les informations de la campagne

Dans l’étape “Design”, trois solutions s’offrent à nous : choisir un template fourni par Mailchimp ou créer son propre template à partir de son propre code ou du designer maison de Mailchimp.

Mailchimp : Choisir le template de la newsletter

Après choix d’un template, le concepteur permet de modifier le rendu HTML de la newsletter.

Mailchimp : Concevoir le code HTML de la newsletter

Après modification du rendu HTML, le concepteur permet de modifier le rendu Texte de la newsletter.

Mailchimp : Concevoir le code TEXT de la newsletter

Dans l’étape “Confirm”, un compte rendu de la campagne permet de voir ce qu’il avait à modifier. Dans mon cas, on peut voir qu’il manque juste des destinataires à qui envoyer la newsletter.

Mailchimp : Page de résultat de la campagne

WordPress et Mailchimp

Maintenant que l’on a créé la campagne au niveau de Mailchimp, il faut pouvoir, de votre blog, laisser aux utilisateurs la possibilité de s’inscrire à votre newsletter.
Pour cela, j’utilise un plugin : MailChimp List Subscribe Form.
Ce plugin vous permettra de créer un widget qui sera directement connecté à votre liste Mailchimp.

Conclusion

Et voilà, maintenant que les gens peuvent s’inscrire à la newsletter, et que celle-ci se générera automatiquement à chaque nouvel article, notre mission est remplie.

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fgallaire : Arrêtez d’écrire des classes !

lundi 30 décembre 2013 à 05:45

En créant les nouvelles fonctionnalités ASCII art de txt2tags, j’ai été amené à développer un certain nombre de fonctions spécifiques que j’ai donc logiquement fini par extraire dans une librairie autonome nommée aa.py. Pour des raisons historiques, d’habitude des utilisateurs et de facilité de diffusion, Aurélio Jargas – le BDFL de txt2tags – m’a demandé de réintégrer ces fonctions dans le fichier principal, ce à quoi il a ajouté :

Aurélio: move them back to global functions or creating a aa class in txt2tags?
option 2 would be cool

J’ai réfléchi, puis j’ai réintégré mes fonctions, telles quelles, sans créer de classe aa. Créer une classe dans ce cas ne me semblait pas adapté, complexifiant le code sans raison théorique valable ni contrepartie pratique positive.

Peu de temps après, je suis tombé sur une présentation intitulée Stop Writing Classes faite par le core developer Python Jack Diederich lors du PyCon 2012. J’y ai retrouvé beaucoup de choses que je pensais et d’autres que je n’avais pas encore clairement formalisées. Elle est particulièrement intéressante car elle utilise de vrais exemples de code, dont une horreur produite par des ingénieurs de chez Google !

On pourrait résumer cette réflexion avec les deux principes les plus importants de la programmation selon moi : KISS (Keep It Simple, Stupid) et DRY (Don’t Repeat Yourself). On peut remarquer que ce qui est pertinemment décrit comme une mauvaise utilisation des classes, correspond globalement à un style de programmation à la Java. Pour ceux qui ne comprendraient pas l’anglais et pour les gens pressés, voici donc les principales recommandations à retenir :

Je finis en donnant la parole à la défense, avec cet article technique d’Armin Ronacher intitulé Start Writing More Classes.

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Influence PC : État des lieux d’un Dell Precision, livré sous Ubuntu

lundi 30 décembre 2013 à 03:21

Je ne peux pas cacher que l’achat de cette nouvelle machine a été motivé par la qualité du matériel et non plus par la puissance affichée. Ma machine est moins puissante qu’un PC de jeu au même prix, mais Asus m’a en effet appris qu’une machine puissante pour sa génération (Nvidia GTX 260M) avec un système de refroidissement sous-dimensionné donnait au final une machine peu puissante, bridée par ses dépassements de température, bruyante et à la durée de vie raccourcie.

Le SAV d’Asus est par ailleurs minable et les finitions globales du produit sont assez grand public : les plastiques craquent un peu, le clavier est un clichet peu confortable). J’ai malgré tout apprécié mon précédent ordinateur si bien que je m’y étais attaché.

Mon nouveau portable dispose d’un double circuit de refroidissement : l’un est dédié au CPU l’autre au GPU. J’ai dans mon entourage des possesseurs de Dell qui ont expérimenté le SAV à domicile ou qui ont pu se faire envoyer directement les pièces à remplacer. Les ordinateurs pro sont en général entièrement démontables et livrés avec des garanties longues (trois ans, pour ma part étendue d’un an à l’achat).

Le choix d’avoir Ubuntu 12.04 LTS pré-installé n’a pas été qu’une question financière : -65€ sur le prix final, c’est aussi l’assurance que tout le matériel soit correctement pris en charge par Linux. Il faut tout d’abord savoir que malgré la multitude de composants personnalisables chez Dell, une machine livrée avec Ubuntu OEM est certifiée compatible par Canonical.

À l’ouverture du carton cependant : le wifi se comporte très bizarrement. C’est l’un des composants que j’ai personnalisé, préférant une carte Intel plutôt que Dell. Les débits sont faibles, le signal se perd après quelques minutes. N’allant pas utiliser une si vieille distribution, j’ai pris le parti de tenter ma chance avec Ubuntu Gnome 13.10.

Le wifi est redevenu parfaitement utilisable. Le pilote Nvidia propriétaire doit être installé à la main, uniquement en version 313 et supérieure si vous voulez du son. Le réglage de la luminosité ne fonctionne pas, il faut installer le paquet xbacklight et utiliser « xbacklight -set xx » en indiquant votre valeur (vous pouvez le placer dans un crontab @reboot pour le lancer à chaque démarrage). Idem pour le touchpad, les paquets gpointing-device-settings et gsynaptics sont nécessaires, et le pinch zoom ne sera pas utilisable. Quand au lecteur de carte SD, il n’est tout simplement pas reconnu.

Si vous disposez aussi d’un lecteur de carte SD O2Micro Device 8520, j’ai extrait pour vous le pilote à l’aide d’un « dpkg -repack oem-sdcard-o2micro » sur la machine à sa livraison. Je l’ai installé et il fonctionne parfaitement, le voici.

Je suis finalement assez triste que Dell ne distribue pas ses pilotes pour Linux, soit via un dépôt, soit sous forme d’archives sur son site car cela m’a bien compliqué la tâche. Ils les ont manifestement adaptés à la machine, le pilote O2Micro est par exemple introuvable sur le web, de même que le logiciel/pilote GlidePoint offrant de nombreuses gestures, même si le pilote des dépôts réagi nettement mieux au scroll à deux doigts. Le pilote Nvidia ne souffrait quant à lui d’aucun bug.

Je suis satisfait des finitions, le plastique semble résistant, la coque extérieure est en aluminium, le clavier est doux, le rétro-éclairage intelligent (il s’éteint si inactif), seule la webcam m’a déçu car moins bonne que sur l’Asus. Les trois touches multimédia sont des touches réelles (non pas FN + Touche). Seul le touchpad me semble mal placé, centré par rapport au clavier et donc décalé par rapport à l’écran à cause du pavé numérique, ce qui est un poil agaçant quand on joue à un FPS car la paume a tendance à l’activer (heureusement FN + F5 peut le désactiver pour une session de jeu).

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Artisan Numérique : Debian Wheezy sur NetBook Fujitsu U810

lundi 30 décembre 2013 à 00:43

Récemment, je me demandais si une tablette ne serait pas une bonne idée pour lire mes ebooks ou me mater mes vidéos plutôt que mon gros portable. Mais comme j'ai une sainte horreur d'acheter du nouveau matos "pour rien", je me suis dit qu'au fond, mon U810 et ses 5h d'autonomie ferait largement l'affaire pour ce genre d'usage. Me voilà donc reparti à reinstaller la bête à neuf, avec la dernière version de Debian. Preuve une fois de plus que l'obsolescence est bien plus souvent programmée dans nos têtes.

Présentation de l'U810

Architecture généraleUltra Mobile Platform 2007
CPUIntel Atom A100 - 800Mhz - 512kb cache - FSB 400Mhz
Mémoire1Go DDR2 400Mhz
NorthbridgeIntel 945GM
Affichagepanneau LCD 5"7 en 1024x600
SouthbridgeIntel 82801G (famille ICH7)
Audio82801G et Realtek ALC262 (24bits 100db)
Disque durToshiba MK6028GAL - 60GO - PATA - UDMA 133 - 4200rpm
Lecteur SDOZ711MP1/MS1 d'O2 Micro - PCI
EthernetRealtek 8101L 10/100 - PCI
WIFIAtheros AR5006EG - 802.11a/b/g - PCI - double antenne
BluetoothModule Taiyo Yuden - USB (0c24:000f)
Écran tactileModule Sun Microsystems - 0430:0501
WebCAMFujitsu F01 UVC - 640x480 - USB (05ca:1841)
Lecteur d'empreintesAuthenTec AES25010 - USB - 08ff:2580
Batteries7.2V - 4 cellules 2600mAh ou 8 cellules 5200mAh
Dimensions170x133x25
Poids700g (avec la batterie 8 cellules)

Sorti en 2007, l'U810 (ou U1010 pour le marché asiatique) est un minuscule netbook de 170x133x25 mm3 pour 700g avec sa batterie 8 Cellules. Il dispose d'un écran tactile de 5"7 d'une résolution de 1024x600 ce qui reste aujourd'hui encore assez bon (237 dpi), d'un lecteur d'empreintes et d'un clavier à dome qui n'est pas sans rappeler celui de mon ancien Psion 5 MX avec en plus l'indispensable illumination par deux petites LED bleues. Mon seul regret est sa conception quelque peu idiote avec des combinaisons de touches pour des choses aussi basiques que les flèches de direction. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien si le clavier a été totalement repensé pour la génération suivante.

Installation de Debian Wheezy

L'utilisation d'une clef de stockage USB ne pause aucun souci avec cet appareil. Le seule passage délicat consiste à aller dans le BIOS et à inclure le démarrage sur clef USB en utilisant la touche x.

Côté Debian, il faudra utiliser une architecture i386 pour cette machine. Pour le reste, l'installation se passe sans soucis.

Une fois la Debian installée et démarrée, une grande partie du système est directement fonctionnel. Le processeur graphique est reconnu et le pilote gère l'accélération 2D et 3D. Les performances sont honorables pour une machines âgée de 7 ans, mais ne comptez pas lui faire manger de la HD. Le format DVD en revanche passe sans aucun problème ni réglage particulier. La sortie VGA externe fonctionne aussi très bien en passant par xrandr qui permet aussi d'opérer les rotations d'écran.

L'interface Ethernet est reconnue sans problèmes, ce qui permet de se connecter à la machine via SSH pour finaliser l'installation. La puce audio fonctionne sans soucis, que ce soit par le haut parleur interne comme par la sortie casque.

Côté gestion de l'énergie pas de bugs à signaler. La gestion des fréquence fonctionne comme il se doit, et le paquet pm-utils autorise la mise en veille simple (sudo /usr/sbin/pm-suspend) et par hibernation (sudo /usr/sbin/pm-hibernate).

En bref, une machine dors et déjà très utilisable. Mais c'est bien connue, avec GNU/Linux, c'est dans les vieux pots que l'on fait les meilleurs soupes.

Ceci étant dit, il y a quelques bidules qui résistent à l'installation standard. Voyons cela point par point.

WIFI

La bonne nouvelle est que pour une fois, la puce WIFI est parfaitement reconnue par le module ath5k et sudo iwconfig wlan0 indique bien la présence d'une interface fonctionnelle. Mais pour aller plus loin, il faut injecter un firmware propriétaire que Debian n'installe évidemment pas en standard. Nous devons ajouter les dépôts "non-libre" et installer le paquet "atheros-firmware". Ensuite, pensez à bien mettre le switch radio sur ON et redémarrez. Ceci fait, sudo iwlist wlan0 scanning devrait être bien plus bavard.

Petit détail cependant, une fois le wifi activé, le switch radio ne servira absolument à rien. Pour désactiver les emissions (en avion par exemple), vous devrez placer le switch sur OFF et redémarrer à nouveau.

L'autre option pour couper le wifi (outre désactiver le module dans le bios) est de faire un sudo iwconfig wlan0 txpower off. Mais après il faudra rebooter de toute façon pour le re-activer car même si vous replacez tx-power à 20dBm (valeur d'origine), le module refusera systématiquement de scanner à nouveau (wlan0 Interface doesn't support scanning : Network is down).

À noter enfin que le module ath5k ne semble pas désirer vous permettre de passer la puce en mode "économie d'énergie". Toute tentative de modification du paramètre power d'iwconfig se soldant par un Interface doesn't support scanning. Network down..

Linux et les portable, c'est toujours autant la panique...

Boutons Spéciaux

L'U810 dispose de plusieurs boutons spéciaux non reconnus par le kernel : les 3 boutons dans le cadre de l'écran, les 3 boutons prés de la souris, et le switch indiquant si l'écran est en mode tablette ou portable.

Tous ces boutons sont pris en charge par le module fsc_btns. Téléchargez la version 2.3.2 et décompressez-la. Ensuite, c'est du classique

gastonsudo aptitude install build-essential xorg-dev libhal-dev libxosd-dev linux-headers-3.2.0-4-common linux-headers-686-pae linux-kbuild-3.2 linux-headers-3.2.0-4-686-pae
gastoncd fjbtndrv-2.3.2
gaston./configure
gastonmake
gastonsudo make install

Une fois l'installation achevée, vous disposez d'un module fujitsu_tablet que vous pouvez charger en mémoire. Dés lors toutes les touches seront reconnues à l'exception de la touche "flèche gauche", j'ignore pourquoi.

Après libre à vous d'en faire ce que vous désirez en utilisant xmodmap ou encore xbindkeys.

Les lumières du clavier

Là rien de bien compliqué, tout est dans le kernel. Il suffit d'aller taper dans le fichier /sys/class/leds/fujitsu::kblamps/brightness. La valeur 255 allume, et toute autre valeur provoque l'extinction des feux.

L'écran tactile

La surface tactile de l'écran est gérée par une puce connectée en interne sur un bus USB. Dans le BIOS, il est possible de basculer cette puce en mode Touch Screen ou en mode Tablet. J'avoue avoir un peu de mal à comprendre la différence entre les deux. Toujours est-il que c'est le second qui est utilisé par Windows. Et sans rien faire, cela marchote comme ça peut avec xorg. On arrive à déplacer le curseur avec la le stylet mais ce n'est pas bien précis, c'est très lent, et surtout il semble que l'on perde toute sensibilité près des bordures. Et je ne parle même pas de ce que cela donne une fois l'écran retourné. En bref ce n'est pas bien utilisable.

Heureusement, un gentil s'est attelé à l'écriture d'un pilote qui va aller remplacer notre défaillant. Le module se compile sans problème sous Wheezy ce qui est déjà un petit soulagement. Ensuite il ne reste qu'à installer le tout par un sudo make install qui plante sur la fin... Rien de bien méchant cependant, il suffit d'ajouter une permission d'exécution sur le script d'initialisation du module par un sudo chmod +x /etc/init.d/fujitsu_touchscreen et de démarrer le service pour obtenir une un curseur très réactif, et précis sur tout la surface.

Le module est fournit avec un script de recalibrage (si nécessaire) et un autre permettant de se connecter sur le module fujitsu_tablet pour récupérer les infos de rotation d'écran et ajuster en conséquence. Il est aussi possible de faire tout cela par un petit script fournit, fujitsu_touchscreen_helper.

WebCAM

La aussi il faut installer un module externe.

gastonsudo aptitude install libusb-dev mercurial
gastonhg clone http://bitbucket.org/ahixon/r5u87x/
gastoncd r5u87x
gastonmake
gastonsudo make install
gastonudo r5u87x-loader --reload
r5u87x firmware loader v0.2
 
Searching for device...
Found camera: 05ca:1841
Camera reports negative microcode state.
Sending microcode to camera...
Enabled microcode.
Camera reports microcode version 0x0103.
 
Successfully uploaded firmware to device 05ca:1841!
Reloading uvcvideo module...
Finished.
gastonmplayer -tv driver=v4l2 tv://

Et voilà.

Conclusion

Voilà donc un appareil vieux de 7 ans qui reprend du service et avec cela le plaisir de ne pas avoir à pourrir la planète un peu plus.

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Antoine Millet : Kolekto version 1.2

dimanche 29 décembre 2013 à 22:04
Logo de Kolekto

Je n’avais pas pris le temps d’annoncer par ici la dernière version publiée au début du mois, voila chose faite !

Pour rappel, Kolekto est un gestionnaire de collection de films en ligne de commande, qui utilise des liens symboliques pour les organiser. Il est distribué sous license MIT et les sources sont disponibles sur Github, et je vous invite à consulter mes deux premiers billets sur le sujet pour en savoir plus.

Cette nouvelle version apporte principalement une correction de plusieurs bugs :

Et tout de même quelques fonctionnalités :

Profils de commandes

Certainement le plus gros changement apporté par cette version, et pourtant le moins visible aux utilisateurs. Cette nouveautés est la première étape à l’introduction de la gestion de séries dans Kolekto. En deux mots, il permet d’activer certaines commandes dans certains profils. Un profil est définit par le tree Kolekto (dans sa configuration) et vous permettra de créer un tree avec un profil “tvshows” et un autre avec un profil “movies”.

La prochaine étape dans l’introduction des séries sera l’implémentation de gestion des sous-titres attachées à un fichier. Je suis toujours en cours de reflexion à ce sujet, et n’ai donc pas démarré le développement.

Vues multi-patterns

Il est maintenant possible de créer des vues exploitant plusieurs patterns en même temps, par exemple :

view 'Person' {
    pattern = '{cast}/Actor/{title}.{ext}',
              '{directors}/Director/{title}.{ext}',
              '{writers}/Writer/{title}.{ext}'
}

Cette vue permet de générer une arborescence “par personne” permettant d’obtenir tous les types de contributions (acteur, réalisateur, scénariste) d’une personnes pour les films de votre collection.

Barre de progression lors de l’opération de création des liens

Cette opération (utilisation de la commande link) est parfois un peu longue, j’ai donc ajouté une barre de progression sur cette opération.


Prochaines étapes

Pour la version 1.3, je prévois l’implémentation de la gestion des sous titres, la corrections de plusieurs bugs signalés par des utilisateurs, l’amélioration du mode d’importation automatique en générant un fichier de log des erreurs d’importation et un meilleur nettoyage du tree après la suppression de films.

Une fonctionnalité intéressante est d’ores et déjà développée, et permettra de réécrire les champs des films. Il sera par exemple possible de ne garder que les n premiers acteurs du casting, réécrire le casse du titre de vos films, traduire les genres de TMDB etc. Je reviendrais la dessus lors de l’annonce de la version 1.3.


Comme d’habitude, n’hésitez pas à remonter tout problème que vous rencontrerez, à contribuer au code, ou à exprimer vos idées d’amélioration !

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