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agatzebluz : Le poulet à la coriandre et à l’amande

lundi 6 mai 2013 à 12:00

Ça faisait un petit moment que je n’avais pas fait un petit plat indien inédit. C’est résolu cette semaine avec cette recette de poulet à la coriandre (aux coriandres ?? en poudre et en feuilles) et à l’amande, dont les saveurs sont délicates et délicieuses. Doux et fondant, c’est un plat de fête en Inde et je comprends pourquoi. A essayer de toute urgence.

poulet à la coriandre et amande 02

Ingrédients :

  1. Couper le poulet et le débiter en morceaux si ce n’est pas le cas. Retirer la peau.
  2. Hacher finement l’oignon, l’ail, le gingembre, les piments.
  3. Faire chauffer l’huile dans une cocotte. Une fois qu’elle est chaude, y faire revenir le mélange à base d’oignon et les feuilles de laurier jusqu’à ce que ça commence à dorer. Remuer souvent.
  4. Ajouter alors le poulet et laisser cuire environ 10 minutes. L’ensemble doit être coloré.
  5. Ajouter la coriandre en poudre, le cumin, le curcuma, le paprika, le piment, le sel et le poivre. Bien remuer et laisser cuire 3 minutes.
  6. Mouiller alors avec 10 cl d’eau et cuire 5 minutes jusqu’à obtention d’une belle sauce épaisse.
  7. Rajouter 15 cl d’eau, porter à ébullition et laisser cuire à couvert à feu doux pendant 20 minutes.
  8. Ajouter ensuite les 3/4 de la coriandre hachée et bien remuer. A ce stade, vous pouvez laisser mijoter tout doucement pour ne faire la dernière étape qu’au moment de servir.
  9. Avant de servir, mélanger la poudre d’amande et la crème fraîche, puis ajouter ce mélange dans la cocotte et bien amalgamer la sauce.
  10. Servir avec un riz blanc basmati.

poulet à la coriandre et amande 01

Le poulet à la coriandre et à l’amande est un billet du Michtoblog Si vous aimez la cuisine, visitez l'index des recettes classées. Si vous préférez Ubuntu, c'est sur cette page. Pour Firefox, c'est sur cette autre page. Et les archives du blog sont ici.

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K-Tux : Back to Basis : xauth, gestion des Xauthorities

lundi 6 mai 2013 à 11:59

C’est dit dans le man, xauth est un programme gérant les autorisations de connexion au serveur X11. Il est désigné comme le remplaçant de xhost, qui était bien permissif et bien connu pour les détournements de X11.

xauth utilise un fichier qui contient une liste de display names associés à des nombres en hexadécimal qui représentent le magic cookie. Ce fichier est soit sous ~/.Xauthority, soit, lorsque l’utilisateur courant utilise un gestionnaire de fenêtre,  sous l’arborescence de run du gestionnaire. Par exemple, pour Gnome, le fichier est sous /var/run/gdm3/auth-for-bux-*/ et se nomme database.

Le principe est simple : les applications clientes requêtant le serveur X11 lisent et fournissent ce magic cookie, et si la valeur est conforme à celle que le serveur X11 a en mémoire, alors le client est autorisé à ouvrir une fenêtre sur le serveur X11. Vu que le .Xauthority a des permissions en 600, il est théoriquement impossible pour quelqu’un d’autre de lire et d’utiliser ce magic cookie.

Pour voir le contenu du .Xauthority, on peut le cat ou tout simplement utiliser xauth pour nous afficher ce qu’il a dans le ventre :

[bux@lab~]# xauth list
lab/unix:10    MIT-MAGIC-COOKIE-1 1b3f3b17eae0702b9d1972054d857159

[bux@lab~]# xauth info
Authority file:    /var/run/gdm3/auth-for-bux-03kwJ9/database
File new:          no
File locked:       no
Number of entries: 1
Changes honored:   yes
Current input:     (argv):1

En local, pour l’utilisateur, il n’y a donc pas de problème. Là où il faut jouer, c’est lorsque l’utilisateur choisit de solliciter le X11 d’un poste distant, ou bien que l’utilisateur passe root en local en jouant avec su. En effet, il faut alors propager ce magic cookie afin qu’il puisse toujours utiliser le X11.

2 méthodes pour cela. Toutes les 2 partent du même point : il faut récupérer le magic cookie.

La première méthode concerne le cas de figure où, par exemple, l’utilisateur souhaite juste utiliser le X11 d’une machine distante. Pour ce faire, il lui faut extraire les données d’autorisation et les propager à l’hôte distant. Fait simplement, ça donne ça :

[bux@lab~]# xauth extract - lab/unix:10 | ssh remotelab xauth merge -

Comme le Xauthority est en 600, seul l’utilisateur en question ou root peut utiliser merge.

La seconde méthode est plus dans l’optique d’un su – de l’utilisateur qui souhaiterait du coup continuer à utiliser les services du X11 de l’hôte sur lequel il est connecté. Le merge fonctionne aussi, mais comme on sait déjà le faire, on va plutôt jouer avec add :

[bux@lab~]# xauth add lab/unix:10 MIT-MAGIC-COOKIE-1 1b3f3b17eae0702b9d1972054d857159

Après le add, et vu qu’on est toujours sur le même host, et qu’on a juste su – , il suffit alors d’exporter le DISPLAY conformément à ce qu’il y a dans le Xauthority :

[root@lab~]# export DISPLAY= localhost:10

And voilà…

[Photo par Jeroen Bennink]

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TheLinuxFr : Script post-installation Debian Wheezy

lundi 6 mai 2013 à 11:16

Pour fêter la sortie de Debian Wheezy je me permet de vous partager mon petit script de post-installation.

Vous allez me dire c’est pas très propre etc etc… Donc n’hésiter pas à utiliser les commentaires pour vos suggestions, bugs…

Téléchargement

Le script permet :

The post Script post-installation Debian Wheezy appeared first on TheLinuxFr.

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Julien : Quoi de neuf dans Debian Wheezy ?

lundi 6 mai 2013 à 10:30

Comme environ tous les deux ans, le projet Debian sort une nouvelle version stable de sa distribution appelée à remplacer à remplacer l’actuelle (Squeeze). Et c’est ce week-end que Debian GNU/Linux 7.0 (aka Wheezy) est née. La première conséquence est que la future version 8.0 (Jessie) commence déjà à recevoir ses premiers paquets et compose désormais la branche Testing de Debian. La deuxième est que Squeeze est désormais passée en Oldstable dont les mises à jour de sécurité seront disponibles pendant 1 an environ.
Si votre fichier sources.list comporte le nom de la suite (testing) vous allez bénéficier, au fur et à mesure de vos mises à jour, des nouveautés à sortir de Jessie. Si au contraire vous utilisiez le nom de code Wheezy, votre système fonctionne désormais avec la version Stable.

La sortie d’une nouvelle version stable de Debian étant toujours plus ou moins un événement, qu’y-t-il au menu de Wheezy ?
Tout d’abord on y trouve l’adoption de multiarch (au passage très gros paquet que j’ai traduit). Multiarch est la possibilité de faire cohabiter sur son système des paquets en 32 ou 64 bits. Cette avancée majeure représente sûrement le point le plus majeur de cette nouvelle version.

Au sein du projet Debian, nous veillons toujours à ce que les nouveaux domaines de l’informatique ne soient pas cannibalisés par les solutions propriétaires et privatrices de libertés. Il en va donc de même pour les technologies dîtes Cloud.C’est à cet effet que Debian/Wheezy intégrent des outils permettant de mettre en place des architectures cloud privées, avec la présence de paquets « prêts à l’emploi » comme Openstack et Xen Cloud Platform. Nous vous encourageons vivement à déployer vos solutions Cloud avec Wheezy et à participer à la liste de diffusion idoine.

Debian Wheezy est désormais compatible avec les systèmes UEFI de dernière génération, mais pas encore avec le démarrage sécurisé (Secure Boot). Ce qui signifie que vous aurez la possibilité d’installer Debian sur les derniers ordinateurs sortis à condition que le mode de démarrage sécurisé soit désactivable (si tel n’était pas le cas, n’hésitez pas à revendiquer vos droits et à vous associer aux différentes actions luttant contre cette tentative de fermeture de Microsoft).

Debian/Wheezy propose désormais ext4 comme système de fichiers par défaut, ainsi que le kernel 3.2 toujours débarrassé des firmwares non-libres. En option il est désormais possible d’installer systemd mais sysvinit reste le gestionnaire de services par défaut. Rendez-vous sur le wiki si vous souhaitez l’installer.
KfreeBSD propose également une nouvelle version (9.0).
La nouvelle version stable de Debian rompt avec la lignée 2 de Gnome et propose désormais Gnome 3 comme environnement de bureau par défaut (en version 3.4). Bien entendu il vous est toujours possible d’installer ce que vous voulez comme gestionnaire de fenêtres (KDE, XFCE, Awesome …). Sachez également que la nouvelle version de l’installeur propose un moteur de synthèse vocale.

L’apparition d’une nouvelle version de Debian signifie également le désormais non-support de certains logiciels. Ainsi parmi les plus connus, ne sont désormais plus supportés :

sun-java6, OpenVZ, php5-suhosin, xserver-xorg-video-nv, 
xserver-xorg-video-radeonhd, zabbix, portmap ...

Certains n’existent tout simplement plus, d’autres sont remplacés par de nouvelles versions.
Il existe d’autres nouveautés que vous pouvez consulter sur la page NewInWheezy.

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Noireaude : Installer le navigateur de fichiers Pantheon Files sur Ubuntu 12.04, 12.10, 13.04 (PPA)

lundi 6 mai 2013 à 07:00

Pantheon-1

Plop les bovins,

Nombreux sont les déçus de Nautilus, dont l’amputation de certaines fonctions n’ont pas vraiment fait l’unanimité. Nous avons parlé la semaine dernière de Nemo dans ce billet, une des nombreuses alternatives à Nautilus et nous allons commencer la semaine avec Pantheon Files, qui en est une autre. Bien que moins connue celle-ci n’en est pas moins intéressante.

Panthéon Files est un gestionnaire de fichiers *développé par l’équipe d’Elementary OS, qui arbore une interface Minimaliste mais très belle, dont les point forts résident dans son excellent système de previews, d’affichage des propriétés et de recherche avancée.

Outre les fonctions de base évoquées plus haut, Pantheon Files permet l’utilisation de plugins prenant en charge des plateformes telles qu’Ubuntu One ou Dropbox et il permet d’attribuer des couleurs spécifiques à différents types de fichiers, ce qui peut être très pratique.

Si ça vous branche je vous ai fait quelques captures d’écran :

Menu contextuel :

menu-contextuel

Vue normale :

vue-normale

Vue en liste :

vue-en-liste

Vue scindée :

vue-scindee

Propriétés 1 :

proprietes

Propriétés 2 :

proprietes-2

Aperçu :

apercu

Extensions, Général :

extensions

Conclusion :

J’ai testé brièvement Pantheon Files et niveau interface, rien à redire. C’est propret, lisse, très joli à regarder et très stable. Au niveau des fonctions de base c’est pas mal non plus, même si pour le moment je lui préfère encore Nemo ou Thunar qui sont un peu plus complets.

Il y a quand même une chose très importante qui de mon point de vue fait de Panthéon un navigateur de fichiers « à part ». Celui-ci m’a vraiment donné l’impression d’être « l’alternative » qui pour le moment, allie le mieux les concepts minimalistes introduits pas Nautilus 3.6 et ceux plus complets d’autres navigateurs comme Nemo, Dolphin, Thunar etc…

Il se situe vraiment à mi-chemin entre ces deux concepts et peut-être qu’avec quelques extensions bien pensées, celui-ci pourrait parvenir à marier « Minimalisme » et « Fonctionnel ».

*À suivre de très près d’autant plus que le bel animal n’a apparemment plus de mainteneur officiel. Si des gens veulent s’investir dans un projet, sachez que Pantheon Files se cherche un nouveau « papa ». Vous pouvez en savoir un peu plus sur le sujet en vous rendant sur la page Google+ de Daniel Foré (merci à Devil505 pour l’info).

Si vous avez envie de tester Pantheon Files, rien de plus facile. Il suffit de passer par le PPA suivant, à l’aide de ces quelques lignes de commandes :

Installer Pantheon Files sur Ubuntu 12.04, 12.10 et 13.04 :

sudo add-apt-repository ppa:elementary-os/daily
sudo apt-get update
sudo apt-get install pantheon-files

Si vous voulez installer les extensions Dropbox et Ubuntu One entrez les commandes suivantes :

Dropbox :

sudo apt-get install pantheon-files-plugin-dropbox

Ubuntu One :

sudo apt-get install pantheon-files-plugin-ubuntuone

Désinstaller Pantheon Files :

sudo add-apt-repository -r ppa:elementary-os/daily
sudo apt-get update
sudo apt-get remove pantheon-files

sudo apt-get remove pantheon-files-plugin-dropbox pantheon-files-plugin-ubuntuone

Pantheon Files peut être installé sur Archlinux via AUR et pour les autres distributions, vous pouvez vous procurer les sources sur cette page.

Amusez-vous bien.

Moo!

Source

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