Ce titre n'a rien d'ironique. Je ne vais taper sur PluXmL, bien au contraire.

Alors que j'essayais de mettre en place un plugin pour ajouter le flux public de ce que je raconte sur Diaspora* , j'ai tout cassé. Ne me demandez pas comment, je ne sais toujours pas.

Le fait est que je me suis retrouvé avec une erreur 403 et que je ne pouvais plus m'en débarrasser. Après plusieurs tentatives sans la moindre influence sur la situation, je décide de refaire une installation propre et de repartir sur de bonnes bases.

Je sauvegarde les fichiers de l'ancien blog dans un coin du serveur,
Je dézippe PluXml que je renomme en "blog" pour qu'on retrouve la bonne adresse,
Je copie/colle les fichiers XML des articles, des commentaires, des catégories, des paramètres, des mots clés, des plugins, etc,
Et c'est terminé.

Autant dire que cette manipulation m'a pris 15min et que j'avais retrouvé l’intégralité de ce blog. Parfait.

Je me souviens de l’époque de Dotclear. Le rapatriement des fichiers, de la base de données et tout le tralala.

PluXmL, c'est vraiment chouette.

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Cassidy James, community manager officiel et membre de l'équipe d'elementary a lancé sur Google+ le tag #elementaryInAction visant à faire partager le témoignage d'utilisateurs sur la façon dont ils utilisent elementary OS au quotidien. En voici une sélection:

Eddie utilise ElementaryOS dans un cadre scientifique, en particulier, dans le domaine de la génomique et la bio-informatique. Il utilise quelques languages comme le «R» pour faire des analyses statistiques sur les données de séquençage de l'ADN / ARN (environ 30 Go de données à analyser). Il utilise également des langages de script comme perl ou python pour la conversion rapide et analyse de fichiers, mais aussi des logiciels de bio-informatique. La légèreté d'elementary OS lui permet de se concentrer pleinement sur le travail.

Cassidy James utilise elementary OS pour jouer, heberger et gérer un serveur du célèbre jeu Minecraft avec Daniel et Cory Swotek.

Remi utilise elementary OS pour rédiger sa thèse en Master. Selon lui, Scratch pour l'édition et TexLive en terminal font une superbe combinaison.

Kayolan, bulgare, utilise elementary OS pour tout, et en ce moment, pour écrire sa thèse. Il adore le multitâche.

Et pour terminer ce billet, c'est sur elementary OS qu'Alexander conçoit des ROMs du sytème Android. Il s'en sert aussi pour développer des applications pour Android de personnalisation (gestion fréquences CPU/GPU, tension...etc). Il a également mis en place un système de mise à jour Over-The-Air afin que les utilisateurs de la ROM puissent mettre à jour à la dernière version de la ROM sur leur appareil mobile. Avec elementary OS, il suit la gestion du serveur qui construit tout les jour une version daily de la ROM en développement. Au final, il a surtout besoin d'un Terminal, d'Android Studio, de Sublime Text et de Chrome (avec telegram pour discuter en ligne avec son équipe).

Le billet elementary en action ! a été publié sur elementary OS Fr - Communauté francophone d'elementaryOS

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Si vous aimez votre navigateur Web, la virtualisation, Javascript et les trucs un peu dingues, Virtual x86 est un projet qui va sans doute vous plaire. Pour vous la faire courte il s’agit d’un émulateur de système d’exploitation x86, à partir duquel vous allez pouvoir émuler des systèmes d’exploitations comme vous pourriez le faire avec Virtualbox (ou d’autres alternatives du même style), mais dans votre navigateur web. Vous pourrez choisir parmi des systèmes proposés tels que KolibriOS (image ci-dessus), FreeDOS, OpenBSD, SolarOS, Linux et même Windows 1.01, ou encore émuler le système de votre choix depuis une image ISO présente sur votre disque dur. C’est assez bluffant et ça tourne plutôt pas mal. Si ça vous tente voyons tout de suite quelques captures d’écran.

Sur la capture ci-dessous vous pouvez voir tourner un système Linux classique, avec Busybox, un interpréteur LUA et un noyau issu de la branche 2.6.

La capture suivante ne concerne pas les libristes, car si vous avez bien regardé (oui vous ne rêvez pas) il ne s’agit ni plus ni moins que d’un Windows 1.01.

Sur celle-ci nous retrouvons le droit-chemin avec une base Debian, remixée à la sauce Tails. Le boot est d’ailleurs en train de s’effectuer depuis une ISO présente sur mon disque dur.

Sur cette capture vous pouvez voir les options de base disponibles, avec les différents réglages possibles.

Alors je ne vous le cache pas je viens tout juste de découvrir ce projet (qui date apparemment de 2013) et tout ne semble pas encore parfait. J’ai testé ça un peu rapidement et dans pas mal de cas tout ne se déroule pas comme il le faudrait. Tantôt la souris n’est pas correctement prise en charge, ou l’interface graphique plante et ne se lance pas. En revanche comme je l’ai dit plus haut, les systèmes proposés fonctionnent plutôt pas mal et dans tous les cas c’est déjà largement suffisant pour bien s’amuser. C’est un projet vraiment très très très sympa.

Si vous avez aussi envie de vous amuser un peu et de tester tout ça, rien de plus facile. Il suffit de cliquer sur le lien suivant et de lancer la machine.

Vous pouvez également vous brancher sur la page Github du projet pour en savoir plus et suivre l’évolution de Virtual x86.

Amusez-vous bien.

via lamiradadelreplicante.com

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Si avec l’arrivée d’Ubuntu les systèmes GNU/Linux ont gagné en visibilité et sont désormais un peu plus connus du grand public, les utiliser suffit souvent à faire de vous quelqu’un de « différent », auprès de votre entourage. À ce titre et en véritable geek vous avez une image à tenir et modifier le volume de votre machine comme le commun des mortels n’est plus envisageable. Ça serait presque blasphématoire. Ça tombe bien si vous tournez sur Arch Linux  ou Manjaro, car je viens de tomber sur un petit soft rigolo qui se nomme volumectl et qui comme son nom ne l’indique pas forcément va vous permettre d’agir sur le volume de votre PC depuis votre terminal. Volumectl est écrit en GO (le langage de programmation open source Google) et cerise sur le gâteau, il dispose d’un très bon niveau d’interaction avec le système de notifications OSD.  Si ça vous tente nous allons voir tout de suite à quoi ça ressemble.

Pour commencer il vous faudra passer par AUR pour installer la bête, à l’aide de cette simple commande :

yaourt -S volumectl

Une fois que c’est fait il suffit d’ouvrir un terminal et d’entrer la commande suivante, afin de prendre connaissance des options disponibles :

volumectl -h

Comme vous pouvez le voir ce n’est pas bien compliqué et vous avez en gros deux possibilités.

Vous pouvez opter pour une commande simple via les options « up », « down », « mute », « unmute » etc …

Ou ajouter « set » et la valeur de votre choix pour affiner la chose.

Par exemple la commande suivante va augmenter le volume de 2%, ce qui est la valeur par défaut :

volumectl up

Si vous voulez maintenant utiliser un valeur précise, il va falloir procéder ainsi :

volumectl set 7%+

Et si vous souhaitez placer le curseur du volume à 50% par exemple, vous pouvez le faire comme ceci :

volumectl set 50%

Sympa non ?!!

Alors je ne vais pas m’attarder sur les exemples car comme vous l’avez sans doute constaté, les commandes à entrer sont très simples et ne vous poseront pas de problèmes. Précisons quand même que côté geek mis à part, ce soft peut s’avérer super pratique pour la gestion du volume à distance, via SSH par exemple.

Amusez-vous bien et faites péter le son, mais en ligne de commande !!

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Les logiciels de création 3D sont nombreux sous GNU/Linux, à commencer par Blender qu’on ne présente plus. OpenSCAD est un logiciel de création 3D qui se démarque un peu des autres solutions, dans le sens où il se concentre moins sur le côté artistique que sur l’aspect CAO. Il ne vous servira donc pas à créer des animations, mais des solides qui soit dit en passant pourront être aussi complexes que vous le souhaitez. Ce qui est très intéressant avec ce logiciel, c’est que vous allez bénéficier d’une sorte de compilateur 3D, qui va en gros lire le script que vous aurez écrit dans la partie gauche de l’interface avant de vous retourner le résultat (en temps réel) dans la partie droite. Ça peut paraître très rudimentaire comme méthode et dans les faits ça l’est, mais cela signifie aussi que vous serez en mesure de garder la main sur le processus de création à la virgule près. En gros, si vous avez besoin d’un outil de création 3D pour concevoir des pièces spécifiques complexes, il constitue un outil puissant qui moyennant quelques aptitudes en programmation (quand même) va vous être très utile et ce dans pleins de domaines différents.

Alors cette fois vous devrez vous contenter de l’image d’illustration pour vous faire une idée de la bête, car la CAD/CAO ce n’est pas mon truc et la programmation encore moins. Même si j’essayais je pense qu’il n’en sortirait que des conneries. La seule chose que je peux vous dire (et que j’ai trouvé très sympa au passage) c’est que si vous n’êtes pas très fortiches mais que vous en voulez, des exemples sont disponibles directement depuis l’application et pourront vous aider au niveau de la syntaxe. Vous pourrez vous en inspirer et les modifier histoire de voir ce que ça donne, avant de vous lancer pour de bon.

Si ça vous tente et que vous avez envie d’en savoir un peu plus, vous pouvez aussi faire un tour sur le site officiel du projet.

OpenSCAD est disponible sous GNU/Linux, Windows et Mac OS X depuis la page de téléchargement et si vous vous lancez, n’hésitez pas à consulter la doc qui contient pas mal d’exemples.

Installation sur Debian, Ubuntu et dérivés :

sudo apt-get install openscad

Installation sur Fedora :

sudo yum install openscad

Installation sur Archlinux, Manjaro et dérivés :

sudo pacman -S openscad

Amusez-vous bien et qui sait, peut-être qu’il vous sera utile si vous gagnez notre pack de livres sur l’impression 3D :D

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