Crédits image

Si vous tournez sous GNOME Shell ou que vous débarquez sur cette environnement il y a fort à parier que le manque de personnalisation vous choque un peu et à ce titre, GNOME Tweak Tool va très vite devenir l’outil indispensable de votre desktop. Celui-ci va vous permettre d’effectuer des actions telles que d’ajouter ou de supprimer des extensions, de modifier les polices de caractères, de gérer vos thèmes, les boutons, les boîtes de dialogue etc. Tout ce qui comme on l’a précisé dans ce billet sur Unity Tweak Tool, devrait pouvoir se faire sans devoir passer par une application tierce. Mais c’est un autre débat…

La version 3.10 de Gnome Tweak Tool a été publiée embarquant pas mal de nouveautés, à commencer par une nouvelle interface graphique qui est bien plus jolie que la précédente. On notera également l’apparition d’une nouvelle option très intéressante qui va vous permettre de réinitialiser l’environnement de bureau dans son état original, en désactivant (d’un seul clic) toutes les extensions  et en remettant les paramètres que vous avez personnalisés à leur valeur par défaut.

Vous trouverez également une nouvelle option vous permettant d’afficher ou non les applications de votre choix dans le panel, de nouvelles options vous permettant de gérer le comportement des fenêtres au passage de la souris et sans doute encore pas mal de choses très sympathiques. N’ayant pas encore testé Gnome 3.10 je ne peux pas vous en dire plus pour le moment.

Si ça vous tente vous pouvez donc consulter le billet signé Wogue afin d’en savoir un peu plus et (ou) jeter un œil sur quelques captures supplémentaires.

Amusez-vous bien.

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Si vous êtes un gamer invétéré Antimicro est un petit soft récent (janvier 2013) qui va certainement vous plaire et qui va vous permettre de paramétrer facilement vos manettes/joysticks, en leur attribuant au choix une touche de votre clavier/souris ou une combinaison de touches spécifique. Il est très simple à utiliser et pour en profiter, il suffit de brancher votre manette (avant de lancer le logiciel) et de presser simultanément la ou les touches qui vous intéressent et celle(s) de votre manette, pour les attribuer.

Comme vous pouvez le constater sur cette capture, l’interface du logiciel est très sobre et ne contient pas de fioritures.

L’autre aspect sympa de ce soft réside dans les boutons allant de 1 à 8, que vous pouvez voir au bas de la capture ci-dessus. Ceux-ci vont vous permettre de disposer de 8 fichiers contenant des configurations différentes, ce qui peut être très pratique quand vous jouez à plusieurs jeux ou que vous possédez plusieurs manettes. Cela va vous éviter de devoir à chaque fois refaire toute votre config avant de jouer, ce qui peut très vite devenir pénible.

Cette application se place dans la lignée de QJoyPad dont le développement a cessé il y a quelques temps déjà, mais elle contient quelques fonctionnalités supplémentaires. Je suppose qu’avec l’arrivée de Steam sous GNU/Linux, que ce petit soft va très vite devenir (si ce n’est déjà fait) indispensable pour un grand nombre d’entre vous.

Si ça vous tente vous pouvez vous procurer Antimicro 1.0 sur Ubuntu, Debian, Gentoo et Archlinux, en vous rendant sur cette page du site officiel. Vous y trouverez les liens vers les archives deb 32 et 64-bits, ainsi que les sources.

Amusez-vous bien.

source et crédits images (je n’ai pas de joystick :) – webupd8.org

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Pendant les grandes vacances mes enfants souhaitaient jouer avec l’ordinateur. Alors nous avons fouinés dans la section « Jeux » des dépôts de Mint/KDE que j’utilisais à ce moment-là, pour essayer de trouver quelque chose à nous mettre entre les pattes. Je dois dire que nous sommes allez de surprise en surprise avec de belles trouvailles que j’aimerais vous présenter au fil des semaines à venir. Juste un détail mais qui a son importance, la semaine dernière j’ai changé de distribution et maintenant j’utilise une Debian-Jessie/KDE :). Je n’en étais pas sûr mais après vérification les jeux que j’avais installé sur Mint sont tous présents dans les dépôts Debian (c’est presque logique en fait). Ce qui me fait dire que si vous souhaitez les tester vous ne devriez pas avoir de mal à les trouver dans vos distributions respectives, quelle qu’en soit la base.

Sans plus attendre laissez-moi vous présenter Blobby Volley, un jeu développé par Daniel Skoraszewsky et Silvio Mummert. Comme son nom l’indique il s’agit d’un jeu de volley-ball dont la particularité vient de la manière flasque (Blobby) qu’ont les personnages de se déplacer. Au début c’est vraiment déroutant, car il y a comme un manque de répondant qui oblige le joueur à anticiper en permanence la position que la balle aura en arrivant de son côté. Il faudra toujours prendre en compte sa trajectoire initiale. C’est tout un programme et j’avoue que même après plus d’une vingtaine de parties ce n’est toujours pas évident. Précisons également que les règles du jeu sont simplifiées mais néanmoins issues du véritable volley-ball.

Comme vous pouvez le voir sur la copie d’écran ci-dessous Blobby Volley 2 peut se jouer en ligne sans devoir être installé et si ça vous intéresse, il existe même une ligue avec un championnat ouvert à tous.

En cliquant sur Option vous trouverez le menu qui permet de choisir le mode de jeu que vous souhaitez pratiquer, à savoir entre deux « Humain » ou entre un « Humain » et l’ordinateur. Si vous voulez vous mesurer à l’ordinateur il vous faudra choisir un nom parmi ceux qui vous seront proposés, Axji-0-2, Com_11, etc. Les autres options vous permettrons de choisir les touches que vous souhaitez utiliser, de changer la couleur des personnages et dans le menu Misc Options la vitesse d’exécution du jeu et la langue etc.

Blobby Volley 2.0 est distribué sous licence GNU GPLv2 et il est disponible sous GNU/Linux, Windows et Mac. Si ça vous intéresse vous pouvez le télécharger sur la page sourceforge du projet.

Comme je vous l’indiquais plus haut il est disponible depuis les dépôts officiels, mais si vous souhaitez obtenir les dernières versions, vous pouvez installer le ppa suivant pour Debian, Ubuntu et Linux Mint :

Installer Blobby Volley 2.0 :

sudo add-apt-repository ppa:pkg-games/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get install blobby blobby-server

Désinstaller Blobby Volley 2.0 :

sudo ppa-purge ppa:pkg-games/ppa

ou

sudo add-apt-repository -r ppa:pkg-games/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get remove blobby blobby-server

Amusez-vous bien, et comment dire…

Bon sport :)

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Comme bien souvent ici la loi des séries a frappé et nous allons parler pour la deuxième fois de la journée d’un soft pour KDE, que je ne connaissais pas encore et qui se nomme Krusader. Il s’agit d’un gestionnaire de fichiers fournissant une vue à double panneau un peu comparable à Midnight Commander, que nous avons déjà présenté dans l’étable. A l’inverse de Midnight Commander Krusader contient un très grand nombre d’options, à tel point que pour le moment je dois bien avouer que c’est sans doute le gestionnaire de fichiers le plus complet que j’ai pu croiser.

Krusader prend en charge un très grand nombre d’archives, ace, arj, bzip2, gzip, iso, lha, rar, rpm, tar, zip etc, et il dispose d’un grand nombre d’options réseau. Il soutient des protocoles tels que smb, fish, ssh, il dispose d’un client FTP, d’un moteur de recherche, de toutes les options de gestion et de montage/démontage des espaces disques, de différentes options de manipulation de fichiers, ainsi que d’un module de prévisualisation interne.

Il permet également d’ouvrir des fichiers avec d’autres applications que celles attribuées par défaut (y compris avec d’autres gestionnaires de fichiers), il dispose d’outils de comparaison de fichiers/répertoires, d’un terminal intégré, d’un mode root et j’arrête là car la liste complète serait vraiment trop longue. Je terminerais quand même en précisant qu’il dispose de différents modes de vue dont une horizontale, comme vous pouvez le voir sur la capture d’écran ci -dessous.

Comme vous avez pu le constater Krusader est vraiment un soft très complet, à qui il ne manque vraiment pas grand choses (voir rien du tout) pour faire votre bonheur. Si vous en avez un peu marre de Doplhin et que vous avez envie de tester autre chose, franchement, je vous conseille de le tester.

Foi de bovin!!!

Si ça vous tente sachez que Krusader est disponible dans la plus part des dépôts officiels de vos distributions GNU/Linux. Vous pouvez ainsi par exemple l’installer sur Kubuntu, à l’aide d’un simple :

sudo apt-get install krusader

Si vous tournez sous Archlinux vous pouvez aussi l’installer en passant par AUR.

Si vous voulez en savoir un peu plus vous trouverez plus d’infos (et les sources)  sur le site officiel de ce projet qui disons-le, roxxe du poney!!!

Source – Un grand merci à notre collègue de lamiradadelreplicante.com pour son joli billet ;)

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Même si j´ai toujours trouvé ce genre de soft un peu « gadget » (pour mon utilisation perso), il faut bien avouer que les gestionnaires de téléchargement peuvent parfois s’avérer utile. Il en existe déjà un bon paquet mais si vous n’avez pas encore trouvé votre bonheur, Rexloader est un nouveau gestionnaire de téléchargement multiplateforme écrit en C++, publié sous licence GPLv3 et pourvu d’une interface Qt, qui va peut-être vous convenir.

Bien que très récent, ce soft fournit déjà un certain nombre de fonctions intéressantes comme le support de proxy, la prise en charge et la possibilité de gérer le téléchargement multithread et le calcul de hash MD5, SHA1. Il peut fonctionner avec n’importe quel environnement de bureau et je peux vous confirmer que bien qu’il soit écrit en Qt, j’ai constaté qu’il s’intégrait très bien dans GNOME Shell et donc probablement dans tous les environnements GTK+.

Pour le reste il dispose d’un petit Widget très pratique permettant de contrôler les processus de téléchargement en cours, il supporte l’AppIndicator d’Ubuntu et il dispose d’options plus classiques vous permettant de limiter la vitesse de téléchargement, de lancer des liens de téléchargement depuis le presse-papiers et bien d’autres choses encore.

Le développement de ce projet venant d’être entamé il reste encore un peu de boulot en particulier avec l’interface, qui n’est pas encore tout à fait achevée. Le soutient d’AppMenu doit encore être amélioré et la finalisation de certaines traductions est en cours. Il est néanmoins déjà fonctionnel et si vous voulez le tester, Rexloader peut d’ores et déjà être installé sur Ubuntu (et dérivés), openSUSE, Debian et Archlinux. Vous trouverez tout ce qu’il vous faut sur la page d’accueil du site officiel de ce projet.

Si vous tournez sur Ubuntu et dérivés, vous pouvez également passer par un PPA dédié à l’aide de ces quelques lignes de commande.

Installer Rexloader sur Ubuntu et dérivés :

sudo add-apt-repository ppa:ra9oaj/spolab
sudo apt-get update
sudo apt-get install rexloader

Désinstaller Rexloader :

sudo ppa-purge ppa:ra9oaj/spolab

ou

sudo add-apt-repository -r ppa:ra9oaj/spolab
sudo apt-get update
sudo apt-get remove rexloader

Amusez-vous bien et bon test.

Moo!

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