Manuel Valls reste droit dans ses bottes. Comme l'été dernier, le premier ministre s'est encore une fois dit défavorable au fait d'accueillir Edward Snowden comme réfugié politique, alors qu'il a rendu public l'espionnage massif dont ont été victimes, notamment, la France et les Français. De son côté, une pétition en faveur de l'asile diplomatique de Snowden a dépassé les 28 000 signatures.
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