Dans son rapport sur les pires sites pirates du monde, la RIAA liste plusieurs dizaines de plateformes. Mais entre les lignes, l'association chargée de défendre les intérêts de l'industrie du disque américaine souligne le rôle de certains hébergeurs qui accueillent des espaces accusés de violer le droit d'auteur. C'est le cas d'OVH, qui est cité à quatre reprises.
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