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J’ai des doutes…

jeudi 17 janvier 2013 à 23:19

bdc-add

Par hasard, en ouvrant mon navigateur (c’est la page par défaut), mon oeil a été attiré par la liste des nouveaux arrivants. Sachant que 70% des salariés ont quitté l’Agence cette année, j’étais curieux de lire la liste des nouveaux qui je l’espérais, venaient remplacer les partants.

Voici ce que l’on pouvait lire sur l’Intranet au fil des dernières semaines:

Nous souhaitons la bienvenue, cette semaine, à quatre nouveaux stagiaires :

IJ au service juridique
AB chez D
RT stagiaire de PV
Et ZD qui rejoint les équipes D.

Cette semaine nous souhaitons la bienvenue chez D à :

FE en tant que Directrice Conseil pour F.
FG, nouvelle assistante de IK
Nous accueillions, cette semaine, TG en tant que stagiaire.

Cette semaine ils arrivent chez D :

DH, contrôleur de gestion.
IO, stagiaire département U.
LD, stagiaire.
OP, stagiaire à la gestion.


Nous souhaitons la bienvenue à :

ML, stagiaire de IH
JI, assistant AD
UO, stagiaire de MR.

Nous souhaitons, cette semaine, la bienvenue au sein E à :

GF en CDD à la direction avec HA.
DF et FI au service création P.
ML, stagiaire au trafic avec QS.
MK et LJ, stagiaires de GB.
Également NK, stagiaire de RT.

Nous souhaitons la bienvenue à :

JJ, coordinatrice en remplacement d’OV chez E ainsi qu’EB, stagiaire de FD chez D.

Il y a des boites où tout le monde est directeur de quelque chose (surtout de soi-même) et d’autres, où tout le monde est stagiaire.

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Aziz Ridouan, il va falloir nous expliquer quelques trucs de #Spanou®

mercredi 16 janvier 2013 à 21:43

bloodyamesys

La discussion entre Bluetouff et Aziz Ridouan hier a de quoi laisser pantois. Imaginez un conseiller com’ d’une ministre expliquer sur Twitter que, en gros, l’AmesysGate, on s’en fout. Que parler d’Amesys, c’est… troller. Pas mal pour un gouvernement de gauche.

Les Droits de l’Homme ? On s’en fout.

Les magouilles de l’Etat français avec des terroristes notoires, dont un condamné en France ? On s’en fout. Il faut dire que les trolls de Reflets sont un peu durs d’oreille. Ils ne comprennent pas, ces imbéciles, qu’Amesys n’entre pas dans le domaine de compétences de Fleur Pellerin. Le Deep Packet Inspection (DPI),  ça ne la concerne pas.

Oui, mais non.

Il se trouve que Reflets est un mix de journalistes et « d’informaticiens  talentueux ». Du coup, en bons vieux old school on a quelques contacts bien placés dans le domaine des nouvelles technologies qui, souvent, partagent notre point de vue. Ça aide pour discuter. Or il se trouve que ces derniers temps, de nombreuses discussions avec des gens en poste chez des FAI nous ont effarés.

Il semblerait que le gouvernement de gauche du changement de maintenant tout de suite ou plus tard ait « oublié » de mettre un terme à quelques projets sur le Deep Packet Inspection du précédent gouvernement de droite décomplexée.

Bien sûr, il est toujours possible que les ministères travaillent chacun dans leur coin, sans se parler, sans coordination aucune. Il est possible que Fleur Pellerin soit complètement écartée du sujet DPI. Qu’elle ne sache rien des actes, manqués ou pas, en la matière, du gouvernement auquel elle appartient. Mais nous en doutons.

Selon nos informations, qui restent à confirmer, le gouvernement précédent (François Fillon/Nicolas Sarkozy) aurait demandé à des FAI de réfléchir à la mise en place de DPI sur leurs réseaux. Et le gouvernement actuel n’a visiblement pas mis un terme à ce voeu.

Elle est pas belle la vie ?

sarkozy-kadhafi-lybie

Mieux, alors que nous sortons de cinq ans de présidence Sarkozy, obnubilé par les terroristes-pédo-nazis d’extrême gauche, mais aussi de plusieurs années du même, au poste de ministre de l’intérieur, on pouvait attendre là aussi, du changement. Et bien non.

Il y a presque mieux que l’histoire du DPI partout (sur le réseau ou dans la box, c’est comme vous voulez) : le gouvernement actuel demanderait aux FAI de conserver pendant la bagatelle de trois ans les traces informatiques de leurs clients. Ca c’est du changement. Du vrai. Du lourd. Attention, accrochez-vous, chez les FAI on parle de ce projet en disant « identité numérique« . Parce que ça concerne les adresses IP (ADSL) mais aussi les traces des GSM pour les opérateurs qui font aussi de la téléphonie.

Reflets se demande si Aziz Ridouan pourrait nous expliquer pourquoi sa patronne souhaite ces deux types de changement très particuliers. C’est joli de faire des tables rondes sur la neutralité du Net, mais demander par ailleurs aux FAI de mettre du DPI partout, c’est un peu antinomique. Non ?

L’identité numérique, c’est, dans les dictatures comme par exemple la Chine, une carte d’identité qui va permettre de s’authentifier pour utiliser Internet. Dans une démocratie oligarchie comme la notre, cela pourrait bien prendre une forme plus pernicieuse.

real-panopticon

Imaginez que demain (après-demain ?) on vous annonce que l’accès à Internet en France devient « universel ». Une promesse client formidable. Vous êtes devant n’importe quel ordinateur en France (ou dans le monde) ? Ouvrez un navigateur, une mire vous est proposée:

Bonjour, vous êtes client Free, SFR, Orange, xxx ? cliquez sur le logo de votre FAI.

Étape suivante :

Bonjour Monsieur Dupont, merci de votre fidélité à Orange, veuillez entrer votre identifiant et votre mot de passe de connexion.

Paf, vous voilà connecté à Internet via votre FAI depuis n’importe quel poste informatique.

Et toutes vos traces sont conservées et associées à votre « identité numérique ».

Miam… C’est apétissant. Et quand le cauchemar sera devenu réalité, que des gens seront accusés à tort de trucs bénins mais considérés comme des actes terroristes par nos dirigeants paranoïaques, il y aura une Fleur Pellerin qui, façon Lou Ravi, nous dira la main sur le coeur : « #Spanou©, on savait pas, ce sont les méchants d’avant qui avaient lancé le truc… Nous on est pas comme ça ».

Fleur, Aziz, sans rire, franchement… Vous insultez notre intelligence de manière tellement flagrante, que ça en devient blessant.

Putain 3 ans… 5 ans

 

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#Onsavépa® : le Amesys nouveau est arrivé

mercredi 16 janvier 2013 à 19:23

Vous connaissiez déjà le Spanou® d’Amesys devenu culte dans nos pages et repris depuis hier par notre ami Aziz Ridouan au sujet du dossier Amesys. Mais qu’arrive t-il donc à tout ce petit monde qui semble pris d’un mal bien étrange ? Au moins au Quai d’Orsay, la réponse est claire « on ne commente pas« , c’est d’ailleurs le seule commentaire officiel qui sortira : « on ne commente pas« .

Chez Amesys le problème, c’est qu’ils sont bien obligés de commenter… quitte à sortir des énormités sur BFM comme c’est le cas ce soir avec un splendide Onsavépa :

« La société ne pouvait pas se douter que son logiciel serait utilisé à des fins répressives« 

Quand on fourgue un Glint chez Amesys, dans de belles démocraties, comme la Libye de Kadhafi, comme le Kazakhstan, « on ne peut pas se douter que c’est à des fins répressives« . Un Glint, un Eagle et hop, tout va mieux ! L’herbe verte pousse dans le desert, votre femme revient et votre penis s’allonge !

Le Spanou® s’était un peu vu, d’ailleurs le PDG de Bull, présent sur le sol libyen pour fourguer un upgrade de son Eagle/Glint à Abdallah al Senoussi quelques jours à peine avant le début de la révolution n’a jamais commenté publiquement l’affaire, il a courageusement envoyé au feu son directeur commercial pendant qu’on le décorait de la légion d’honneur.

Mais Onsavépa® quoi au juste ?

Glint_EN

Mais alors ? Si Onsavépa® chez Amesys, pourquoi nous on l’a su ?

Allez la petite charade du jour.

Ad…

Mi…

E…

Sys…

Nous… onsé® que l’Amesys nouveau est arrivé, que le Eagle nouveau est arrivé, et on attend impatiemment de savoir à qui elle a cédé Eagle, qui va s’occuper de la maintenance des 2 millions d’euros de blades IBM et du software qui va intercepter et archiver les communications de tous les marocains… et oui ! Nous, étrangement, onsé®…

 

 

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Le cynisme de Bercy face au dossier Amesys

mardi 15 janvier 2013 à 22:16

bullshit

Deux événements sont venus ponctuer notre journée. Le premier, nous vous en parlions ce matin, c’est le feu vert donné par la Cour d’appel de Paris à l’ouverture d’une enquête sur le rôle présumé d’Amesys dans le cadre d’une plainte de la FIDH et de la LDH. Le second (non)évènement c’est la reculade de Fleur Pellerin sur la question de la Neutralité du Net annoncée ce jour à l’occasion d’une super table ronde à Bercy. Nous n’allons pas trop détailler ce point vu qu’on se doutait bien que le changement ça a beau être maintenant, en fait ça ne change pas du tout : le pognon, toujours le pognon, les libertés fondamentales pourront bien attendre un avis du Conseil National du Numérique à qui notre ministre a décidé aujourd’hui de refiler la patate chaude. La Quadrature du Net a d’ailleurs parfaitement résumé l’utilité de cette table ronde.

La patate chaude, c’est la soft, on fait quoi de celle qui pue ?

La patate qui pue, c’est évidemment la patate Amesys, Kitetoa vous l’expliquait. Nous avons donc, naïvement profité de l’occasion de cette super table ronde pour poser nos questions à nous, les questions puent.

Capture d’écran 2013-01-15 à 21.34.29

Probablement irrité par le hashtag #MaisOuEstFleur que votre serviteur a lancé pour taquiner notre ministre au sujet son absence, absence d’autant plus remarquée à cette table ronde sur la Neutralité du Net qu’elle est venue en faire la conclusion, Aziz Ridouan répond à nos interpellations en nous taxant de trolleurs.

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Aziz Ridouan n’est pas n’importe qui, c’est le conseiller presse et communication au cabinet de Fleur Pellerin. Et vous allez voir qu’il en connait un rayon sur le sujet. Pour lui, Reflets troll depuis 6 mois. Et bien non Monsieur Ridouan, ça ne fait pas 6 mois, ça fait en fait bientôt 2 ans, peut-être comprendrez vous maintenant notre agacement.

Tweet-libye-fev11

Dans un autre contexte, ceci nous aurait amusé, Reflets est un petit média animé d’un très mauvais esprit, c’est de notoriété publique. Mais étrangement, sur la question libyenne, ça nous a fait moyennement rire. Nous allons vous expliquer pourquoi.

Pourquoi c’est pas drôle ?

En 2006, notre république bientôt irréprochable vend à un monsieur pas super recommandable et surtout à son bras droit encore moins recommandable, un système pour mettre l’ensemble d’un pays sur écoute. Ça a un peu fait des dissident arrêtés, emprisonnés, torturés… et tout ça grâce à nous ! A notre belle technologie made inFrance qu’on nous envie autant que le Beaujolais et les droits de l’Homme et du Citoyen. Une technologie numérique létale qu’une entreprise et notre République irréprochable depuis 2007 ont vendu à un dictateur et à un terroriste. Comme on pouvait s’en douter, ils n’ont pas un instant hésité à utiliser ce système contre l’ensemble de leur population, et particulièrement les dissidents. Aujourd’hui on compte quand même bien plus de victimes de cette technologie chez les dissidents politiques, les blogueurs et les journalistes que chez les pédophiles ou les terroristes. Et franchement monsieur Ridouan, nous ne sommes certes pas des communicants de votre trempe, mais nous, ça ne nous fait pas rire. Regardez attentivement ce petit reportage, vous allez voir ce qui semble provoquer votre hilarité…

Les bons mots d’Aziz Ridouan

Maintenant que nous venons de prendre la mesure de tout le comique du dossier Amesys, nous allons nous pencher un peu sur les conseils avisés de monsieur Ridouan. Commençons par le spanou®.

Le spanou® c’est un grand classique sur Reflets. Quand nous posons des questions qui dérangent, on nous signifie systématiquement que nous nous adressons pas aux bonnes personnes. C’est donc la défense dite spanou® pour laquelle Ridouan a opté.

Le bon interlocuteur selon lui, ce n’est pas le ministre de l’économie numérique avec des libertés fondamentales dedans, c’est le ministre de la défense… ben voyons !

Expliquons lui pourquoi ce n’est pas le bon ministre

1° Jean-Yves le Drian, en ce moment, il est un peu occupé à compter les gros bateaux et les gros n’avions qu’il a mobilisé au Mali.

2° Quand on veut des réponses chez Reflets, on évite de s’adresser à la Grande Muette… On est peut-être un peu idiots, mais nos questions à nous appellent des réponses, on ne les pose pas « pour rigoler » avec monsieur Ridouan.

3° Quand des députés posent des questions sur le dossier Amesys… et bien ces questions restent sans réponse. En fait la dernière réponse date du dernier gouvernement Sarkozy, c’est Gérard Longuet l’a donné en lisant dans l’hémicycle le communiqué de presse de sa fille (par ailleurs directrice de la communication de Bull) et fait nommer monsieur Vannier, principal acteur de l’affaire Amesys, chevalier de la légion d’honneur.

Donc oui monsieur Ridouan peut s’amuser de nos invectives insistantes sur Twitter, les reléguer à du troll. Le fait est que sa ministre est, sur une question qui la concerne, totalement aux fraises. Le fait est que c’est sur Twitter que nous avons justement révélé ce qui est aujourd’hui l’affaire Amesys, une affaire d’État.

À la lumière de ces petites anecdotes, monsieur Ridouan comprendra peut-être pourquoi nous nous tournons vers son ministère, le ministère du pognon d’Internet avec accessoirement de la neutralité et des libertés fondamentales dedans. Et le souci, comme le fait remarquer Laurent Chemla, c’est que quand on fait cohabiter au sein d’un même ministère le pognon et la défense des libertés fondamentales, il y en a toujours un qui passe avant l’autre. C’était comme ça sous Sarkozy, c’est toujours comme ça sous François Hollande, le changement ça a beau être maintenant, ça au moins, ça ne change pas.

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Car il ne faut pas croire que nous nous adressons à ce qui sur le papier ressemble le plus au ministère à même de défendre les libertés fondamentales sur les questions concernant le numérique avec plaisir. Nous savons qu’il y a tromperie sur la marchandise.

Les pages jaunes qui font rire jaune

Mais Aziz Ridouan ne s’en tient pas là, assez fier de sa première vanne « Reflets t’es lourd ça fait 6 mois que tu trolles« , il récidive.

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Reflets explique depuis plus d’un an qu’il tient des documents à disposition de la justice. Ces documents que Fleur Pellerin s’était d’ailleurs à une époque proposée de faire transmettre au besoin. Mais là étrangement, c’est plus elle. Tiens, là effectivement, le changement, c’est maintenant. Pour Aziz Ridouan, pas de problème, puisque la Poste nous fera même des tarifs préférentiels. Et oui, monsieur Ridouan a le sens de la vanne. Sauf que nous aussi chez Reflets on est de gros rigolards, sur des questions un peu plus « légères » en revanche. Un internaute venant de nous débusquer « lespagesjaunes.ayrault.fr », nous avons souhaité les partager avec notre communicant de choc :

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NB: Le cabinet du Premier ministre a été informé de cette fuite de données personnelles

Tout va bien, il est content Aziz Ridouan… pas nous. Encadrer les usages du DPI, c’est une question de Neutralité, encadrer les usages du DPI, c’est une question de respects des droits de l’homme, et à mon grand regret, vous étiez ce qui ressemblait le plus à un interlocuteur sérieux pour nous. Aujourd’hui, nous sommes fixés.

Nous attendrons un ministère du bien commun Internet, nous cesserons d’importuner les gestionnaires du pognon des tuyaux sur ces questions dont vous vous foutez éperdument. C’est à se demander quel gouvernement était le plus cynique, celui qui a vendu ce système à Kadhafi ou celui qui se lave les mains de celui que nous venons de vendre au Maroc.

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Amesys : poursuite d’une enquête de la mise sur écoute de 5 millions de terroristes pédophiles libyens

mardi 15 janvier 2013 à 12:05

pedoBull-sealC’est une surprise. Une bonne surprise. Ce n’est certes pas encore une victoire, mais la justice va peut-être pouvoir faire son travail. Nous apprenons aujourd’hui par le biais d’un communiqué de presse de la FIDH, repris par le Figaro, que la cour d’appel de Paris a ordonné la poursuite de l’enquête pour complicité de torture en Libye  à l’encontre d’Amesys, filiale du groupe Bull.

La plainte conjointe de la FIDH et de la LDH date d’octobre 2011. Il aura donc fallu plus d’un an de procédure pour que la justice donne son feu vert à une enquête sur ce qu’il convient d’appeler une affaire d’État. Une affaire d’État car il s’agit bien là d’un contrat de gouvernement à gouvernement dont le commanditaire et maitre d’oeuvre libyen, Abdallah Al Senoussi n’était pas un inconnu. Ni pour Amesys, ni pour la justice française, ni pour la Cour pénale Internationale. Amesys est responsable d’avoir dealé avec un terroriste notoire, condamné en France par contumace pour actes de terrorisme et recherché par la Cour Pénale Internationale.

Cinq victimes libyennes se sont portées partie civile et demandent à être entendues sur les conditions dans lesquelles elle ont été identifiées, arrêtées et torturées par le régime libyen, et tout ça grâce au petit jouet que Reflets avait été le premier à vous dévoiler.

Rappelons que le système vendu par la société française, par l’entremise de l’homme d’affaire franco-libanais Ziad Takieddine, avait pour fonction d’écouter, d’enregistrer et d’archiver l’ensemble des communications des libyens. Amesys s’en défendra en expliquant que son système a été conçu (NDLR : sur mesure pour le régime de Kadhafi), dans le but de « traquer le pédophile et le terroriste« .

La justice devra donc faire la lumière sur :

L’équipe de Reflets se tient évidemment à la disposition des enquêteurs pour répondre à leurs interrogations sur cette affaire que nous avons révélé le 22 février 2011, il y a presque deux ans, et que nous n’avons de cesse de suivre depuis.

 

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