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L'avertissement en corse de la mairie de Puteaux

mardi 12 septembre 2017 à 12:31

IMG_4869La ville de Puteaux, dirigée par la maire Les Républicains Joëlle Ceccaldi, dispose d'une résidence en Corse, à Caprone. La revue municipale présentant ce lieu de vacances s'ouvre par une expression présentée comme un proverbe corse : "Garde la bouche fermée et les mouches de rentreront pas".

Dans le contexte putéolien, où toute contestation est bannie et où l'opposition doit subir des procès à répétition, le choix de cet article n'est pas anodin. Il vaut sans doute comme avertissement...

Rappelons donc à la maire Ceccaldi que nous sommes en République, à Puteaux comme en Corse. Et qu'en République, c'est la liberté d'expression qui fait loi.

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Tribune Puteaux au futur : la nature en ville

lundi 11 septembre 2017 à 12:27

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Voici la tribune de l'opposition à paraître dans le journal "Puteaux infos" d'octobre 2017. Elle est consacrée à la nature en ville : 

La municipalité n’arrête pas de faire, défaire et refaire un morceau de la rue Saulnier dans le vieux Puteaux (photo ci-contre). Pourquoi ces travaux inutiles ? Les explications du maire ne sont pas convaincantes. Si au moins ces réaménagements étaient ce qu’il fallait faire… 

Minéralisées, bétonnées et goudronnées, nos villes sont de véritables puits de chaleurs, aux surfaces imperméables et à l’air non renouvelé. Elles deviendront de moins en moins vivables avec le changement climatique. 

Dans ce domaine, comme dans beaucoup d’autres, l’Etat ne peut pas tout faire. Les communes ont aussi une responsabilité et les moyens d’agir.

Nous devons reverdir les espaces publics de Puteaux, recréer un maximum de surfaces en pleine terre, y faire pousser des arbres et des plantes. En reconstituant des continuités vertes, la biodiversité sera augmentée et la ville rafraîchie en été. La végétation, plus présente, atténuera la pollution et les bruits. 
Nous devons également gérer l’eau de manière écologique, notamment en récupérant les eaux de pluie pour l’arrosage.
Il nous faut aussi encourager la création de toits végétalisés.
La nature en ville n’est pas un concept théorique, c’est la condition de notre bien être futur.

11913017156_1b4520c924_oPensons Puteaux au futur !  
Rejoignez-nous : 
Christophe Grebert (grebert@gmail.com)
Bouchra Sirsalane (bouchra_sirsalane@hotmail.com)

La maire de Puteaux Joëlle Ceccaldi-Raynaud veut siéger au Sénat comme son papa

mercredi 6 septembre 2017 à 14:30

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La maire de Puteaux Joëlle Ceccaldi-Raynaud est candidate aux élections sénatoriales du 24 septembre dans les Hauts-de-Seine. Elle se présente sur une liste de droite dissidente menée par le maire du Plessis-Robinson Philippe Pemezec.

Joëlle Ceccaldi veut siéger au sénat comme papa : Charles Ceccaldi-Raynaud a été sénateur de 1995 à 2004. Si elle élue sénatrice, elle devra céder son poste de maire... Elle le donnerait à son fils Vincent Franchi, déjà super maire-adjoint et conseiller départemental. La politique est souvent une affaire de famille dans les Hauts-de-Seine. En voilà une belle démonstration !

La liste sur laquelle figure Joëlle Ceccaldi est composée de maires conservateurs du 92 en dissidence avec la liste officielle Les Républicains :

1. Philippe Pemezec, Maire du Plessis-Robinson
2. Christine Lavarde, Adjointe au maire de Boulogne
3. Georges Siffredi, Maire de Châtenay-Malabry
4. Joëlle Ceccaldi­-Raynaud, Maire de Puteaux
5. Rémi Muzeau, Maire de Clichy
6. Nicole Goueta, Maire de Colombes
7. Grégoire de la Roncière,  Maire de Sèvres
8. Anne-Christine Bataille, Adjointe au maire de Châtillon
9. Yves Coscas, Adjoint au maire de Clamart

Sur leur site de campagne, Joëlle Ceccaldi affirme que l'Etat veut l'"achever" financièrement. Et dans leur propagande, les candidats parlent d'"assassinat". Autant dire que ces gens ne sont pas très bien dans leurs baskets.

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Logements insalubres : la mairie de Puteaux RÈGLE LE PROBLÈME en jetant les gens à la rue

lundi 4 septembre 2017 à 16:14

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Je suis très choqué par la lecture du "Puteaux infos" de septembre. Selon le journal municipal, les expulsés du 19 rue Collin auraient été pris en charge par l'association Soliha et relogés. En réalité, les familles ont été jetées à la rue, en plein mois de juillet, sans aucune solution de relogement.

La police a débarqué le matin du 11 juillet : "Vous devez évacuer immédiatement. Ne prenez que le minimum d'affaires". Les habitants - vieillards, femmes et enfants - ont du quitter leur logement en un quart d'heure, après avoir rassemblé quelques vêtements dans une valise ou des sacs en plastique. Dès que j'ai été averti de la situation, je suis arrivé devant l'immeuble : j'ai découvert des personnes, certaines en larmes, assises à même les trottoirs, désemparées.

"La municipalité règle le problème" (sic) : le titre de "Puteaux infos" est donc d'autant plus violent quand on connait la réalité des évènements !

Des familles avec enfants et des personnes âgées ou malades ont effectivement été relogées, mais après plusieurs jours, voire plusieurs semaines passés dans l'angoisse chez des amis ou à l'hôtel, et après avoir été forcées de partir de chez elles comme des voyous. 

D'autres habitants de la rue Collin - des hommes adultes et sans enfant semble-t-il-  sont toujours à la rue. Pour eux, c'est la débrouille depuis 2 mois, alors que la municipalité doit aussi les reloger. Ces gens ont été des victimes de marchands de sommeil ; la mairie en fait des coupables.

La préoccupation de la municipalité de Puteaux n'est donc pas de "régler les problèmes" des gens, mais d'afficher une belle image d'elle-même dans son journal de propagande. Une belle hypocrisie surtout.

Lors du prochain conseil municipal, je demanderai au maire de respecter les lois de la République, à défaut de ressentir un peu d'empathie pour le genre humain, et donc de reloger ces expulsés.

La ville de Puteaux achète pour 144.000 euros de chocolat

jeudi 31 août 2017 à 15:52

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C'est une réforme récente : les appels d'offres lancés par les communes sont désormais librement accessibles en ligne et consultables par tous les citoyens. La gabegie de la ville de Puteaux s'étale donc désormais au grand jour.

Ainsi, ce mois-ci on découvre sur la centrale des marchés un appel de Puteaux pour "la fourniture et livraison de chocolats de gamme classique pour la mairie, le C.C.A.S. et la caisse des écoles" d'un montant annuel de 144.000 euros (!) dont 48.000 euros pour la prochaine fête de Noël.

Une partie de cet argent est prélevé sur le budget du CCAS et sur la caisse des écoles. Ce qui fait autant d'argent en moins pour aider des familles en difficultés (les expulsés de la rue Collin n'ont rien à faire de ballotins de chocolat !) ou pour payer du matériel dans les écoles (d'où les professeurs qui régulièrement dans l'année demandent aux parents de verser 10 euros pour financer des photocopies ou d'autre dépenses...).

Et ce n'est qu'un marché parmi des centaines d'autres du même genre passés tout au long de l'année par la commune. Nous évaluons à 30 millions d'euros le surcoût annuel de la politique clientéliste du maire Les Républicains Joëlle Ceccaldi-Raynaud. 

Voir aussi ma rubrique CLIENTELISME à Puteaux

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