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Les Soulèvements de la Terre - Saison 5

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Depuis janvier 2021, la dynamique des Soulèvements de la Terre ne cesse de grandir. Au fil des épisodes, nous sommes parvenu.e.s à construire un calendrier national d'actions de blocages, de désarmements et d'occupations de terres pour établir sur le terrain un véritable rapport de force à la croisée d'enjeux écologiques, sociaux et paysans.

Chemin faisant, les Soulèvements de la Terre sont parvenus à rassembler une large diversité de composantes qui, lorsqu'elle fait corps sur le même front, est en mesure de produire des basculements. C'est ce qui s'est produit lors de la manifestation contre les méga-bassines à Sainte-Soline le 31 octobre dernier.

Que fleurissent mille Sainte-Soline !

En ces temps de sécheresse historique et de calamités publiques, nous invoquons Sainte-Soline. Ne pas se murer dans la peur et la sidération. Se retrouver par milliers pour prendre d'assaut une infrastructure emblématique de la privatisation de notre bien commun le plus précieux. Ne pas se contenter de tribunes, de pétitions, de manifs-promenades, mais porter ensemble des gestes impactants qui matérialisent notre détermination à ne pas les laisser ravager le monde.

Dans ce petit village du Mellois, des habitant.e.s et des paysan-ne-s, des élu.e.s et des activistes, des personnes de tout âge et de tout horizon, dans une dynamique de désobéissance de masse, bravent les interdictions préfectorales, déjouent un dispositif policier ahurissant, arrachent les grilles et pénètrent le chantier. Elles démontrent ainsi que nous sommes capables de défaire ce qui nous détruit, que nous pouvons retrouver une prise sur la catastrophe, que nous ne les laisserons plus faire. Aujourd'hui, le projet de méga-bassines vacille face à l'explosion des coûts de sécurisation et l'hostilité publique croissante dont il fait l'objet. La victoire est à portée de main. Le 25 mars prochain sera déterminant.

Ainsi, une lutte « locale » contre un projet précis dans les Deux-Sèvres peut peser de tout son poids dans le rapport de force global. Les journées de Sainte-Soline portent une affirmation : pas question de subir les choix gouvernementaux face à la sécheresse ! À nous de rendre incontournables des décisions salutaires sur les usages prioritaires d'une eau qui se raréfie, à nous de restreindre la voracité industrielle qui assèche la terre, à nous d'y opposer de toutes nos forces la défense des communs, de nos besoins et de ceux de l'agriculture paysanne.

Rebonds

Des basculements comme celui de Sainte-Soline, il est urgent d'en opérer sur bien d'autres fronts pour la défense de la terre : empoisonnement généralisé par les pesticides, fermes-usines et agriculture numérique, ensevelissement sous le béton des forêts, des zones humides et des parcelles agricoles, dévastation de la biodiversité... Ces gestes sont partout à notre portée pour peu que nous parvenions ensemble à nous départir de l'impuissance et de l'éco-anxieté, à bâtir de larges alliances et à établir des stratégies de résistance efficaces. C'est là le pari des Soulèvements de la Terre. Et c'est précisément la crainte de ceux qui planifient le désastre et en tirent profit.

Alors, comme à chaque fois qu'ils ont peur, c'est tout l'appareil répressif qui se met en branle. Vient le temps des procès, des mouchards technologiques et de l'espionnage intime, des rapports de la DGSI, des accusations vociférantes d'éco-terrorisme et des menaces de dissolution. Mais nous ne sommes pas une « organisation terroriste ». De même que nous ne sommes pas un « groupuscule d'ultragauche ». Nous sommes bien plus un mouvement de résistance composite et désormais largement soutenu.

En témoignent les vastes coalitions qui organisent localement chacune des actions, mais aussi la tribune de soutien de janvier dernier signée en 48h par plus de 3000 personnalités, dont une myriade de syndicalistes, d'élu.es, de scientifiques ou d'universitaires[1]. Même la récente note de la DGSI le concède, nous décrivant comme un mouvement « transcendant les appartenances d'origine et les divergences de stratégie », capable « de fédérer le plus grand nombre possible de militants et groupes issus d'horizons idéologiques différents. »

Dans les Soulèvements de la Terre, les liens se forgent au gré des luttes, des rencontres, des voyages et des aventures. Au fil des saisons d'actions se tissent de solides alliances entre territoires et collectifs. Et cela rien ni personnes ne pourra le dissoudre. Notre identité politique est sans cesse renouvelée par l'enchevêtrement de nos sensibilités et de nos pratiques concrètes. Elle échappe à toute étiquette. Fort.e.s de ces ancrages, nous ne nous laissons pas impressioner par les invectives et les menaces d'où qu'elles viennent et lançons la cinquième saison d'action !

[1] lessoulevementsdelaterre.org, « Tribune - « "Eco-terrorisme" : Les luttes écologiques dans le viseur du ministere de l'interieur »

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Invitation à rejoindre le cortège festif du 23 mars !

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Le 23, continuons de construire ensemble un espace de solidarité dans le cortège de tête, un espace défensif, de fête et de soin !

Depuis lundi le mouvement social contre la reforme des retraites connait un nouvel élan, un regain d'espoir. Leur passage en force parlementaire n'a fait qu'accentuer notre détermination à faire reculer le gouvernement. Maintenant l'offensivité change de camp alors que nous nous retrouvons par milliers dans les rues, par petits ou grands groupes pour occuper l'espace d'une ville qui nous était étrangère. Oui, maintenant la rue est vraiment à nous.
Les blocages s'accentuent, les différents corps de métiers se rencontrent dans un même espace pour tenir front et font reculer les forces armées de l'état.
Le dispositif policier devient de plus en plus violent, soit par fatigue, soit parce que, tout simplement, c'est dans son ADN. Face aux intimidations qui ont pour but de neutraliser et d'empêcher la poursuite de la lutte, la solidarité est notre arme. C'est pour cela que nous appelons une nouvelle fois à rejoindre ce jeudi 23 mars le cortège festif, qui se veut un espace de défense contre la repression policière, mais aussi (et surtout) un espace où l'on souhaite rendre la manifestation un espace vivant, rejoignable et désirable.

Le cortège festif se place par principe entre le cortège syndical et le cortège de tête, puisque nous savons tous qu'il est rare de compter avec le Service d'Ordre des syndicats pour protéger celles et ceux qui défendent le cortège de tête en première ligne. Dans ce sens il constitue un espace de repli, où les manifestants peuvent faire une pause, reprendre des forces (nous avons un caddie avec de la nourriture, du serum phy, des masques), Neanmoins nous sommes mobiles et nous nous adaptons en fonction de comment la manifestations se déroule. Nous souhaitons que la manifestation ne soit pas un rituel funèbre, mais un espace offensif et créatif d'entre-aide.

Le soin du groupe nous permettra de tenir dans ce mouvement qui s'annonce long et qui arrachera au gouvernement peut être plus que le retrait d'une loi. Nous devons rester ambitieux et combattants. Nous voulons la fin de ce monde, pour qu'enfin, d'autres, déjà là, puissent fleurir.
La joie n'est pas un affect qui se situe à côté de la lutte, la joie fait partie intégrante de la lutte.

22 mars : Rassemblement contre DANONE à Saclay !

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Venez nous rejoindre ce mercredi 22 mars à partir de 17h sur le plateau de Saclay, où vient d'être inauguré son nouveau centre de recherches, pour dénoncer les saccages de DANONE au Mexique et sur toute la planète !

Depuis près de trente ans, la multinationale française DANONE pille les nappes phréatiques du territoire des villages nahuas de la région de Cholula, État de Puebla au Mexique, au travers de sa filiale mexicaine BONAFONT, principale marque d'eau en bouteille de ce pays.

Sur le plateau de Saclay, le groupe DANONE vient d'inaugurer « In'cube », son nouveau centre de recherches international. Mais malgré le greenwashing et les déclarations de bonnes intentions, les plaintes se multiplient contre Danone à cause du pillage des nappes phréatiques et de l'augmentation incessante de la production de plastique par la multinationale (716 500 tonnes en 2020, 751 000 tonnes en 2021).

En réponse aux convocations venues du Mexique pour une journée globale d'actions le 22 mars, retrouvons- nous ce mercredi à partir de 17 heures place du Moulon sur le plateau de Saclay, où vient d'être inauguré son nouveau centre de recherches, pour dénoncer les saccages de DANONE au Mexique et sur toute la planète !

Rdv à partir de 17h place du Moulon sur le plateau de Saclay (à côté de l'ENS), à deux pas du nouveau siège scientifique de Danone sur le campus, arrêt "Moulon" (bus 91-6 ou 91-10 depuis la gare rer B Massy-Palaiseau)

Là où ceux d'en haut détruisent, nous construisons !

Depuis près de trente ans, la multinationale française DANONE pille les nappes phréatiques du territoire des villages nahuas de la région de Cholula, État de Puebla au Mexique, au travers de sa filiale mexicaine BONAFONT, principale marque d'eau en bouteille de ce pays. Chaque jour, du fait de l'intoxication des eaux et de la spoliation de leurs ressources naturelles, des dizaines de millions de Mexicains doivent acheter des bidons d'eau en bouteilles à ces mêmes multinationales.

Face au pillage de leurs nappes phréatiques et à l'assèchement de leurs puits artisanaux, les villages aux alentours de l'usine ont décidé de ne plus se laisser faire. Après en avoir bloqué les accès et le fonctionnement pendant plusieurs mois, en août 2021 vingt villages ont décidé par le biais d'assemblées générales tenues selon les us et coutumes des communautés de procéder à l'expropriation des installations pour les transformer en « maison des peuples », « un espace communautaire pour la reconstruction intégrale de nos peuples, sur la base des 13 revendications zapatistes ». En février 2022, la maison des peuples a été expulsée, mais depuis, la lutte continue de payer car l'usine est toujours à l'arrêt.

Ces peuples toujours mobilisés, après avoir organisé une caravane pour l'eau et la vie en 2022, appellent à des actions coordonnées et de solidarité contre Danone autour du 22 mars 2023 prochain, à l'occasion de la journée mondiale de l'eau :

Assemblée nationale (mexicaine) en défense de l'Eau et de la Vie :

INVITATION A SE JOINDRE A L'ACTION GLOBALE DE CE 22 MARS 2023 CONTRE LA SPOLIATION DE L'EAU ET LE DROIT A LA VIE

Fais connaître ton activité avec le mot-clé #AguayVida

Nous invitons les peuples, communautés, collectivités et individus à participer à une journée globale en défense de l'eau et de la vie, et chacun dans ses géographies et selon ses calendriers à continuer à nous organiser en défense de l'Eau et de la Vie pour faire face à la crise hydrique qu'affronte l'humanité et articuler les luttes et résistances globales face au système capitaliste et patriarcal.

Dans la ville de Mexico, aura lieu une marche de l'ange de l'indépendance auZocalo le 22 mars à 4h de l'après-midi

Rendez-vous à Saclay ce 22 mars pour les soutenir !

plus d'infos sur la lutte contre Danone au Mexique ici

L'Envolée N°56 censuré (encore) en prison : présentation-Débat à la Librairie Publico

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Vendredi 31 Mars | 19H | L'Envolée N°56 |Présentation-Débat d'un numéro (encore) censuré en Prison |LIBRAIRIE PUBLICO |
Ils et elles, membre du collectif éditeur, viendront nous présenter leur dernier numéro le 59e et discuter des censures qu'ils subissent de la part de l'administration pénitentiaire puisque c'est le troisième numéro interdit en détention depuis les deux dernières années.

Vendredi 31 Mars | 19H | L'Envolée N°56 |Présentation-Débat d'un numéro (encore) censuré en Prison |
Ils et elles, membre du collectif éditeur, viendront nous présenter leur dernier numéro le 59e et discuter des censures qu'ils subissent de la part de l'administration pénitentiaire puisque c'est le troisième numéro interdit en détention depuis les deux dernières années.

Communiqué du journal L'Envolée, trois fois censuré en deux ans.

L'Envolée, c'est une émission de radio et un journal qui portent depuis 2001 la parole de ceux et celles qui subissent et affrontent l'enfermement. Pour la troisième fois en deux ans, le dernier numéro de notre journal a été officiellement interdit en prison par l'administration pénitentiaire et son ministère. Ce qui leur déplaît ? Que les prisonniers et prisonnières s'expriment, communiquent, et puissent recevoir un journal dans lequel la violence – trop souvent mortifère – du système carcéral est démontrée… Ce qui gêne l'administration, c'est qu'ils et elles racontent leurs bagarres et solidarités (voir les citations ci-dessous).

Pourtant, les prisonnier·e·s ont théoriquement le droit de lire des journaux.
Dans certaines prisons, le journal L'Envolée est régulièrement censuré au bon vouloir des matons ou leurs hiérarchies. Déjà en 2005 et 2006, l'administration pénitentiaire (AP) avait mené des procès contre L'Envolée, puis menacé de le refaire en 2013, 2018, 2020… Depuis 2021, c'est répétitif : le journal est distribué aux abonné·e·s, puis peu de temps après, il est officiellement interdit dans les prisons françaises et retiré aux concerné·e·s. Avec en bonus des coups de pression envers nos lecteurs et lectrices enfermé·e·s. Ainsi, les journaux numéros 52, 55 et maintenant 56 ont été interdits.

Ce dernier numéro se voulait avant tout un hommage à notre correspondant et lecteur Romain Leroy, prisonnier longue peine, dont nous avons salué les combats et la solidarité. Il est mort en août 2022, des suites de problèmes de santé causés par la répression carcérale après des refus de soins. Cet hommage, il faut croire que l'AP refuse que ses compagnons de détention puissent le lire ? Cette décision nous motive d'autant plus : notre journal est un porte-voix pour les prisonnier·e·s, il est lu et discuté en prison, c'est pour ça qu'on le fait et qu'on continuera à le faire. Ils ne condamneront pas les prisonnier·e·s au silence !

En somme, on reproche à L'Envolée d'écrire que la prison torture et tue, que les uniformes bénéficient d'un permis de tuer, que la censure existe en France, que c'est un pays de flics, qu'une guerre sociale est menée contre les pauvres, que le fascisme gagne du terrain et que l'institution judiciaire est complice. Mais surtout, on nous censure pour que les prisonniers, prisonnières et leurs proches ne puissent pas dire, écrire et lire ces réalités… qu'ils et elles connaissent trop bien.

Nous ne pouvons laisser passer cette énième attaque contre une parole déjà si rarement publiée au-delà des murs. Des recours juridiques sont en cours contre cette censure infondée. Vous pouvez soutenir ces paroles en les faisant circuler, en rappelant leur existence, par tous les moyens, dedans et dehors. Depuis vingt ans, les abonnements payés par les gens qui ne sont pas en prison contribuent à financer les abonnements gratuits pour les enfermé·e·s. Donc pour soutenir L'Envolée, abonnez-vous !

Aux prisonniers et prisonnières concerné-e-s, à leurs proches : contactez-nous pour nous dire si vous avez reçu le journal ou pas, donnez-nous des détails sur les circonstances (anonymement ou pas), afin d'alimenter notre recours. Vous pouvez aussi mener des recours individuels contre l'AP pour cette censure, contactez-nous, nous vous soutiendrons.

Retrouvons-nous chaque semaine sur les ondes ou sur les plateformes de podcast en attendant le prochain journal !

L'Envolée se veut un porte-voix pour les prisonniers et prisonnières qui luttent contre le sort qui leur est fait. Le journal publie des lettres, des comptes rendus de procès, et des analyses sur la société et ses lois.
Le journal prolonge le travail mené par des émissions de radio qui maintiennent un lien entre l'intérieur et l'extérieur des prisons, hors du contrôle de l'administration pénitentiaire .
Le journal est réalisé par des ex-prisonnier·e·s, des proches de prisonnier·e·s et d'autres qui savent que la prison plane au-dessus de nos têtes à tous.
Une parole qui sort de la prison constitue un acte politique qui dérange l'ordre des choses, surtout quand cette parole est collective.https://lenvolee.net/

SLAP - Festival du livre queer féministe

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Samedi 1er et dimanche 2 avril 2023 à la Parole Errante, à Montreuil (93).
La première édition de notre festival du livre queer et féministe, à l'attention d'un public adulte et enfant.

Au programme : des tables rondes, des stands d'éditeur·ices queer et féministes, des ateliers, des lectures, à boire et à manger, des performances et des soirées.

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Ouverture samedi de 10h30 à 00h et dimanche de 12h à 22h.

Stand de sandwichs vegan (option possible sans gluten) à prix libre, samedi de 12h à 15h et dimanche de 12h à 14h.

Pas de CB, pensez à amener du cash !

🔥 Les stands 🔥
Les maisons d'éditions qui seront présentes : Cases Rebelles, Collectif Editer en féministe (avec Hystériques & associé.es, Editions daronnes, Le Passager clandestin, Premiers Matin de Novembre, Gorge Bleue), Ixe, La Ville Brûle, les Grillages, On ne compte pas pour du beurre, Sorcières (Cambourakis), Terrasses, Talents hauts, YBY, Tou·tes et Chaos.

Les revues présentes : Censored, Les Ourses à Plumes, Panthère Première, Well Well Well, PD la revue.

Trois bibliothèques : une bibliothèque jeunesse Queer Féministe avec un espace garderie, ouvert le samedi de 14h à 19h et le dimanche de 14h à 18h ; une sélection de fanzines et livres par la collection BBQ (bibliothèque itinérante lesbibiqueer) ouverte samedi de 13h à 18h ; un stand de bibliothèque par l'association Diivines LGBTQI+ (association afrocaribéenne), présente samedi de 13h à 17h.

🔥 Tables rondes 🔥

Samedi 1er avril

📚11h-13h Traduire les pensées féministes et lesbiennes : autour de Joan Nestle et Ellen Willis. Avec Noémie Grunenwald et Fanny Quément, modéré par Lucile Dumont.

📚14h-16h Queeriser la science-fiction. Discussion avec Sabrina Calvo, Saul Pandelakis et Eva Sinanian.

📚17h-19h Quelles archives, quels usages ? Avec Hajer Ben Boubaker, Pascale Obolo et Régis Samba Kounzi, organisé et modéré par le collectif Cases Rebelles.

Dimanche 2 avril

📚14h-16h Le couple, pour quoi faire ? Entre refus du couple et absence de désir. Avec Marie Kock et Mélanie Fazi

📚16h-18h Le processus de création d'un livre. Avec Joanna Foliveli et Nantene Traore, présenté par Mélodie Preux.

🔥 Les ateliers 🔥

Samedi 1er avril
📚11h-13h Les Parleuses, autour de Mary Prince : atelier d'écriture avec Gerda Cadostin, ou atelier de lecture par arpentage avec Aurélie Olivier.
Gratuit, inscriptions par mail à inscriptions.slap@gmail.com

📚15h-17h Lectura Fabulosa : lectures de contes inclusifs par Enza Fabulosa et Shammy des Vices Jr (15h-16h), puis maquillage (16h-17h), 3-9 ans
Prix libre

🔥 Performances et soirées 🔥

Samedi 1er avril

📚19h30-21h Scène ouverte Textape (lecture, chant, …)
Prix libre
📚21h30-23h30 DJ ALX

Dimanche 2 Avril

📚18h-18h40 ElectriK ColZa : performance poétique et électronique, par Al Baylac et MoonkiMoonki
Prix libre
📚19h-22h Drag Show, hosté par Power Beautom et Lewis Raclette.

Notre festival est entièrement bénévole, autogéré et fonctionne sans subventions !