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Soirée de soutien aux Solidarity Collectives à Montreuil dimanche 3/12

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Rendez-vous le dimanche 3 décembre à partir de 16h à la Parole errante pour une rencontre avec les Solidarity Collectives, le réseau anti-autoritaire qui s'organise en Ukraine depuis le début de l'invasion russe

En février 2022, le régime russe lance une guerre totale contre l'Ukraine. Il poursuit ainsi sa politique d'envahissement et de massacres dont avaient déjà été victimes des territoires comme la Tchétchénie, la Géorgie et la Syrie.

En Ukraine, face aux bombardements et aux attaques quotidiennes, des réseaux de solidarité se mettent rapidement en place pour organiser une résistance par le bas à l'impérialisme.

Des militant•es anti-autoritaires se mobilisent pour créer les Solidarity Collectives (les Collectifs de solidarité). Leurs membres soutiennent des camarades qui ont rejoint le front, mais aussi des habitant•es des villes et des villages particulièrement touchées par la guerre.

Alors que la guerre s'enlise, nous sommes plusieurs à penser que les milieux militants occidentaux ont beaucoup à apprendre des tentatives d'auto-organisation dont cette initiative est un bel exemple.

On vous propose de nous rejoindre dimanche prochain à partir de 16h pour regarder des court-métrages sur la guerre en Ukraine et discuter de la résistance à l'impérialisme russe avec une camarade des Solidarity Collectives.

⚫️ Au début de l'événement, il y aura un petit moment pour rendre hommage à des camarades défunt•es.

Après le film, nous proposerons aussi un bar et une cantine à prix libre.

🎥 Cet événement est co-organisé avec le ciné-club du café-librairie Michèle Firk.

Rendez-vous le dimanche 3 décembre à partir de 16h à la Parole Errante !
9 rue François Debergue, métro Croix de Chavaux (ligne 9)

Manifestation contre la loi Darmanin

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Rendez-vous dimanche 3 décembre à 14h à Montparnasse à l'appel de l'UCIJ (uni-es contre l'immigration jetable) !

Appel contre l'immigration jetable et pour une politique migratoire d'accueil

Quarante ans après la Marche pour l'égalité du 3 décembre 1983, l'intercollectif contre le racisme, pour l'égalité des droits et la justice et Uni-es contre l'immigration jetable, pour une politique migratoire d'accueil (Ucij) appellent ensemble à se mobiliser ce 3 décembre.
Prochaine mobilisation le 3 décembre à 14h depuis montparnasse

Après son passage au Sénat, le projet de loi tel qu'adopté s'inspire des pires idées d'extrême droite sur les personnes étrangères. Au vu de la teneur des débats, la haine de l'autre, le racisme et la xénophobie ont désormais toute leur place dans les enceintes du Parlement. Ce 3 décembre, l'Ucij 2023, pour une politique migratoire d'accueil manifestera avec la Marche pour l'égalité pour obtenir son retrait. Télécharger le tract

Non à l'immigration jetable ! Nous refusons Le nouveau projet de Loi asile et immigration NON À LA LOI DARMANIN !

Il y a 40 ans, des marcheurs issus des quartiers populaires de grandes villes françaises arrivaient à Paris pour dénoncer le racisme et défendre l'égalité des droits. 40 ans après, ce combat est toujours d'actualité, d'autant plus que le gouvernement s'apprête à faire passer ce projet de loi à l'Assemblée nationale dès la fin novembre. Le projet initial était déjà synonyme de précarité aggravée des étranger-e-s y compris celles et ceux ayant des papiers. La version du texte votée par le Sénat a durci considérablement le projet initial. Elle réussit à pousser l'attaque contre les droits fondamentaux des personnes étrangères à un niveau d'inhumanité jamais atteint auparavant, au mépris des textes internationaux, des traités européens et même de la Constitution et de son préambule, dans un élan de surenchère xénophobe.

Si le texte était voté en l'état, ce serait sous prétexte de motivations aussi floues et flottantes que le « non respect des principes républicains » ou de « menace pesant sur l'ordre public » :
– la fin du renouvellement automatique de certains titres de séjour,
– la possibilité de supprimer le titre de séjour, voire d'expulser toute personne étrangère sur simple décision administrative, à la discrétion des préfets.

Les droits des étranger·es en général seraient fortement restreints et aucune solution acceptable ne serait apportée à la situation des milliers de personnes sans-papiers, en particulier grâce à leur régularisation mais les dispositifs disponibles pour les précariser, les réprimer et les expulser seraient renforcés.

  • L'aide médicale d'État pour les sans papiers serait transformée en aide médicale d'urgence et donc supprimée pour l'immense majorité des soins.
  • Le délit de séjour irrégulier (aboli en 2012) serait rétabli et passible de 3750€ d'amende.
  • Des quotas migratoires devraient être votés par le Parlement tous les 3 ans pour fixer le nombre d'étranger-e-s admis-es à s'installer en France
    (hors demandeurs d'asile) : c'est une façon d'exclure de toute possibilité de régularisation des milliers de personnes qui pourraient l'être.
  • La durée du séjour ouvrant droit au regroupement familial passerait de 18 à 24 mois.
  • L'accès aux cartes de séjour et de résident pour les conjoint-e-s de Français-es et les parents d'enfants français serait restreint.
  • Les étudiant-e-s qui effectueraient leur premier séjour en France seraient contraint-e-s d'avoir une somme d'argent fléchée comme « caution de
    retour ».
  • Le droit aux allocations familiales et à l' aide personnalisée au logement (APL) serait conditionné à 5 ans de séjour régulier.
  • L'accès à la nationalité française pour les conjoint-e-s de Français-es serait conditionné à un niveau de français plus élevé qu'auparavant.
  • L'acquisition automatique de la nationalité à leur majorité pour les enfants nés en France de parents étrangers serait supprimée.
  • Le délai de résidence pour demander la naturalisation passerait de 5 à 10 ans de séjour régulier. Et bien d'autres mesures toutes plus inhumaines et restrictives des droits les unes que les autres.

Concernant la régularisation des sans-papiers par le travail :

  • L'article 3 qui prévoyait un titre de séjour de plein droit dans les métiers en tension a été supprimé. Sa logique était de rendre le salarié captif de son employeur pour longtemps. Quant à la prétention du projet d'enlever des mains des patrons la régularisation, le texte sorti du Sénat obligera les préfectures à vérifier la réalité du travail auprès des employeurs. Et aucun d'entre eux n'aura intérêt à avouer à l'État qu'il utilise de la main-d'œuvre sans-papiers.

Et soulignons que tous les pseudo-droits existants ou concédés se heurteront, de toute manière, à la quasi-impossibilité d'obtenir un rendez-vous pour le dépôt de la demande. L'article 3 est remplacé par le nouvel article 4 bis et c'est un véritable recul y compris par rapport au droit actuel.

Enfin, un fichier des mineur·es étranger-e-s isolé-e-s délinquant-e-s serait créé, les jeunes majeur-e-s recevant une obligation de quitter le territoire Français (OQTF) se verraient systématiquement privé·es de la possibilité de bénéficier d'un contrat jeune majeur·e et les OQTF, accompagnées dans un nombre grandissant de cas d'interdiction de revenir sur le territoire (IRTF), seraient rendues encore plus faciles et même systématisés notamment pour les personnes déboutées du droit d'asile sans même vérifier qu'elles sont expulsables ce qui aggravera le nombre de personnes dites ni-ni, c'est à dire ni régularisables et inexpulsables privées de tous leurs droits.

Plus que jamais, nous disons que d'autres politiques sont possibles basées sur l'accueil, le respect et l'égalité des droits. C'est possible quand les responsables politiques le décident comme on l'a vu avec les réfugié-e-s ukrainien-ne-s.

L'Ucij appelle à se mobiliser sur tout le territoire dimanche 3 décembre 2023
À Paris départ de Montparnasse, à 14h

L'Ucij appelle également à se mobiliser devant l'Assemblée nationale le 11 décembre 2023

Le tract en version pdf

Communiqué de soutien à l'inter-orga de la manifestation #NousToutes suite au harcèlement de sionistes de droite et de suprémacistes

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Le 25 novembre et tous les jours : le féminisme n'est pas à (l'extrême) droite !

Nous, féministes juives, françaises et israéliennes présentes dans le cortège le 25 novembre, avons été témoin d'une action-flash de l'extrême-droite voulant qualifier la manifestation féministe d'antisémite. Nous apportons notre soutien aux manifestant.es présent.es et aux personnes organisatrices et sujettes à du harcèlement sexuel et à des menaces de mort depuis.

Un groupe organisé d'une cinquantaine de personnes est venu perturber rapidement la manifestation avant d'être encerclé par les CRS. Ces personnes sont arrivées en masse en chantant la marseillaise ; elles étaient entourées d'hommes en cagoules avec des gants à coques, certaines femmes portaient un jogging gris tâché de sang à l'entrejambe.
Leur attitude menaçante a effrayé une partie des personnes présentes sur la place de la Nation qui se sont éloignées rapidement par peur d'être au milieu d'affrontements violents.
Ces personnes ne sont pas des « femmes juives venues manifester » et rejetées par la « foule aux drapeaux palestiniens ». Ce sont des réactionnaires réunis en une flash-action de perturbation, certes, mais de propagande avant tout. De nombreux médias et organisations, de Libé jusqu'à la Ligue Des Droits de l'Homme, ont suivi le narratif proposé : les juives, en termes généraux, représentant à elles seules les victimes israéliennes, ne seraient pas admises en manifestation féministe en France !

La suite logique du 12 novembre, pendant lequel ce même collectif a saisi l'occasion de perturber la rassemblement contre l'antisémitisme au Vel d'Hiv, réclamant protéger le lieu de la récupération de la gauche, qui serait, elle aussi, accusée d'antisémitisme.
« Hamas terroristes, féministes complices ! », « Lgbt-Q, vous seriez pend-Ues, Avec le Hamas ! » on les entendait scander ; « Metoo pour toutes, sauf les juives ! » Ce dernier slogan est une reprise d'un collectif israélien qui affirme aussi : « mieux vaut morte que violée »... Alors que tous les ans, des 'fémilistes — activistes de droite « pour le droit des femmes », à la ligne transphobe et islamophobe — se déplacent insulter les manifestantes en préparant une action, cette année un groupe a consacré son temps à une autre faille trouvée. Il s'agit de l'absence de lutte dédiée à la reconnaissance des viols perpétrés lors des attaques et massacres du 7 octobre. Ce 25 novembre, ce sont donc des activistes fémilistes de droite, des sionistes convaincues de la communauté juive parisienne et des ultra suprémacistes qui se sont unis. Cela ne nous étonne pas : l'union des extrêmes-droites fait partie de l'historique des luttes que nous avons traversées.

L'injonction autoritaire à se justifier perpétuellement sur les actes du Hamas est une stratégie argumentaire qui vise à tétaniser, freiner, et diaboliser les prises de paroles publiques. Personne n'a envie d'etre identifié à des actes sanglants. C'est une chasse aux sorcières et une posture du monde patriarcal, bien identifié par les minorités de genre et de race en lutte. En marche à Berlin, et en Israël, où les amalgames servent en ce moment le pouvoir pour écarter, censurer, et enfermer les dissident.es. Il en faut, de la pression, pour détourner notre regard d'un génocide en cours. Un génocide télévisé, documenté, et financé par l'armement occidental. Une responsabilité laissée, malheureusement, à notre génération. Oui, le gouvernement actuel que nous prenons à partie sur son désengagement du combat contre les féminicides et les aides aux femmes subissant des violences, est le même qui entretient des contrats économiques mortifères.
La vente d'armes va de pair avec le pouvoir capitaliste et impérialiste.

Mais, rappelons un élément historique essentiel : la lutte contre l'antisémitisme ne date pas du 7 octobre. Elle est quotidienne. Et ne saurait être réduite à la verbalisation des violences sexuelles traumatiques de ce fameux samedi d'il y a deux mois.
La pression, si forte qu'elle paraît nouvelle pour certaines camarades, est subie familièrement par les minorités. Croyons-les, donc, quand iels nous disent : ne pliez pas. Ce sont des attaques. Restons soudées. Les menaces de viols et les appels à la haine dirigés contre les organisatrices de la marche sont révélateurs de la pensée profonde de ces individuEs. Rima Hassan en fait l'expérience depuis plus d‘un mois.

Cultiver la critique des politiques sionistes comme un antisémitisme, c'est couper le débat, c'est salir la mémoire des juifves mort.es contre les autoritarismes et de par leur faute. Les politiques sionistes ne protègent pas les juifves, ni ici, ni là-bas : nous sommes leur boucliers humains, leurs soldates, leurs sacrifices, des otages, leur garde-frontières. Nous affirmons : il y a des communautés judéo-musulmanes, palestino-israeliennes, qui cohabitent déjà.

Notre critique de l'antisémitisme va au-delà de la justification d'un combat contre l'antisémitisme.
Les tentatives de réhabilitations de Pétain, ou l'habitude au lycée de séparer l'œuvre de l'artiste quand il s'agit de Céline, sont les visages d'un antisémitisme de pouvoir en France. Que l'antisémitisme traverse tous les champs de la société est un fait. Mais cette année, c'est bien pour renforcer le bloc islamophobe français que l'instrumentalisation du combat contre l'antisémitisme tente de s'installer dans la durée. Nous ne sommes pas dupes.

En tant que féministes, nous amplifions la voix des personnes concernées. Nous créons des ponts, aux intersections des expériences. Nous amplifions la voix des palestiniennes et israéliennes pour la fin de l'apartheid, du système colonial qui rend l'armée obligatoire pour les unes, et emprisonne les autres. Nous amplifions le droit au retour des familles palestiniennes. Ainsi, la libération de toute oppression, militaire et systémique, impactant tout cercle de vie, n'est plus un idéal : mais bien un chemin choisi, affirmé, par des millions de personnes. Ces voix ne datent pas du 7 octobre. Nous luttons alors pour la justice et la reconnaissance des viols et de la violence sexuelle sous un régime d'occupation, et refusons une lecture amnésique à double standard de l'histoire.

Nous disons notre solidarité avec les collectifs et associations féministes qui ont défié la morale jusqu'à celle de l'État actuel, écoutant la rue qui chante depuis des semaines, en incluant la lutte pour la libération de la Palestine lors de la manifestation féministe du 25 novembre. Oui, de New-york à Manille, de Oakland à Buenos Aires, nous portons la même musique. Nous le répétons : libérer la Palestine, ce n'est pas « jeter les juifves à la mer ». Arrêtons avec ce mythe poussiéreux ! Etre décoloniales, c'est travailler la chute du système qui divise, oppresse, affame, et tue des personnes voisines. Des personnes habitant parfois de l'autre côté de la rue, mais que des lois différentes légifèrent. Libérer la Palestine, c'est aussi se reconnecter avec les réalités indigènes, avec les judéités multiples, avec les ressources naturelles à la hauteur de besoins communautaires, avec la reconnaissance des résiliences des minorités de genre, avec les prises de décisions populaires face à l'agression d'une machine capitaliste. N'ayons donc pas peur de nous positionner aux côtés de nos adelphes palestiniennes : leurs résistances quotidiennes sont une boussole.

Ensemble, nous refusons la déshumanisation. Nous refusons la criminalisation et la récupération de nos luttes féministes - contre les racismes et les Guerres.

Cease-fire now ! Cessez-le feu immédiat !
Plus jamais ça, c'est plus jamais ça pour personne

Collectif KESSEM

Projection et colloque - No name kitchen

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Rendez-vous jeudi 30 novembre à 19h 20 rue du Couëdic (14e), pour une projection documentaire et un colloque sur la route des migrant-es. Entrée libre, vente de boissons et de vêtements au profit de l'association d'aide aux migrants No name kitchen.

Projection documentaire et colloque "Shadow game, un voyage dans le côté obscur de l'Europe avec des adolescents réfugiés comme guides"

Qu'est-ce que le "shadow game" ?

« Le jeu du camion, le jeu du train, le jeu du taxi », Sajid (d'Afghanistan, 15 ans) énumère les "jeux" qu'il a dû affronter pour entrer en Europe. Surtout le "jeu du piéton" : marcher, beaucoup, beaucoup marcher.

Chaque jour, des adolescents qui ont fui leur pays déchiré par la guerre, tentent de franchir les frontières de l'Europe en quête de protection et d'une vie meilleure. Ils traversent un monde de l'ombre que nous ne voyons jamais : un monde de champs de mines, d'ours, de rivières au débit rapide, de passeurs et de gardes-frontières. Le "jeu" est le terme amèrement ironique pour désigner la traversée des frontières qui est devenue monnaie courante chez ces jeunes réfugiés. Au péril de leur vie, ces adolescents entreprennent un voyage périlleux qui dure souvent des mois, voire des années. En cours de route, ils grandissent vite.

Shadow Game est un voyage à travers le côté obscur de l'Europe avec des adolescents réfugiés comme guides.

"Shadow Game" est un projet transmédia d'Eefje Blankevoort et Els van Driel. Il se compose d'un long métrage documentaire, d'une websérie, d'un jeu d'aventure et d'une exposition photographique en collaboration avec Cigdem Yuksel. »

« Princess Békille et les grands méchants loups », une conférence gesticulée* d'Aurélie Rolland

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

« Princess Békille et les grands méchants loups », une conférence gesticulée d'Aurélie Rolland
ou le parcours d'une victime d'un pédocriminel. Rendez-vous au Café Social (20e) mercredi 6 décembre à 19h30.
Thèmes : pédocriminalité, victimologie, justice, accès aux soins, et résilience.

Les Femmes Ont de la Voix ! en partenariat avec Les Conférences Gesticulées d'IDF proposent :

Mercredi 6 décembre à 19h30 : Princess Békille et les grands méchants loups, une conférence gesticulée [1] d'Aurélie Rolland [durée : 1h30 à 2h]

« Plus de paillettes, moins de trauma, voici bien le leitmotiv de Princess Békille ! De son récit de vie qui commence comme un conte de fée au pays de l'état providence, Princess Békille va vous donner à voir le parcours du combattant des victimes de violences dans les institutions patriarcales. Princess Békille et les grands méchants loups ou le parcours d'une victime d'un pédocriminel est une conférence gesticulée sur les thèmes de la pédocriminalité, de la victimologie, de la justice, de l'accès aux soins, et surtout de la résilience. Avec humour, chansons et poésies, laissez-vous conter la fabuleuse histoire de Princess Békille ! »

Café social Belleville (75) : 7 rue Pali Kao 75020 Paris

Rémunération au chapeau ; prévoir du liquide.
réservation : educpopfemmes@gmail.com


[1] Une conférence gesticulée est une forme de spectacle qui mêle le théâtre et la conférence. Elle se caractérise par l'association d'expériences vécues par le « conférenciergesticulant » (savoirs chauds) et des connaissances théoriques, universitaires (savoirs froids), avec souvent de l'humour et de l'autodérision.
Dans une démarche d'éducation populaire, la conférence gesticulée cherche à apporter des éléments de compréhension de la politique ou de la société tout en développant l'esprit critique des spectateurs.