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Le Blog de Genma

source: Le Blog de Genma

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Le cd est mort, on en doutait encore ?

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Je ne rappelle pas la dernière fois que j'ai utilisé un cd. Une clef USB, je m'en rappelle encore, même si j'ai de plus en plus tendance à faire tout passer par Dropbox pour récupérer un document entre différents ordinateurs. C'est du cloud, avec le pour et le contre (là n'est pas le débat) et comme c'est très simple et efficace, c'est ce que j'ai tendance à utiliser pour des données qui tôt ou tard, se retrouveront sur Internet (à savoir le texte de mes articles de blog).

Une clef USB, je m'en me sert pour visionner des vidéos sur la Freebox ou le lecteur bluray qui a une prise USB… Mais pour tout ce qui est des cd, je ne rappelle pas la dernière fois que j'ai pu utilisé un. Ah si, les cds, j'en grave un réinscriptible une fois l'an pour installer ou réinstaller un PC sous Ubuntu. Mais c'est tout. J'utilise beaucoup les isos pour tester de temps à autres des systèmes et autres distributions Linux dans une machine virtuelle. Mais je ne les grave pas. Des cds à graver, cela fait des années que j'en ai pas acheté. Je ne suis d'ailleurs jamais passé au graveur de DVD. Les O.S. s'installent même depuis des clefs USB depuis quelques temps déjà, signe que graver un DVD, c'est has-been.

La preuve en est les ultrabook (Macbook Air and co) qui n'ont plus de lecteur CD. Et le remplacement des lecteurs cd sur les portables par un deuxième disque dur pour augmenter la capacité de stockage de ces derniers. Car pour le stockage et la conservation, le cd ou DVD c'est fini, c'est tout sur disque dur. Et encore, on peut se demander quel est l'utilité de capacité de stockage énorme, à l'heure du cloud. Si, ça sert pour stocker chez soi, en plusieurs exemplaires, dans des formats ouverts, et avoir une copie du disque externalisé (chez un parent, un ami). Mais le sujet de cet article n'est pas le disque dur mais le cd.

Dans les disques que je manipule encore, disque qui ont un aspect physique, il y a les DVD et maintenant les bluray. J'en ai un certain nombres pour la collection et je les glisse dans le lecteur. Je le lance et il reste en place pendant quelques dizaines de minutes, le temps de voir ou revoir le film, les bonus… Mais pour ce qui est des autres disques, à savoir mes cds de musique ; ils prennent la poussière. Ils sont depuis longtemps abandonnés dans un coin, par manque de côté pratique ; ma bibliothèque de mp3 correspondant à leur encodage (j'en ai passé du temps à renommer et tagger les fichiers) est bien plus pratique dans l'usage et ma consommation de musique que n'importe quel cd. Et encore, cette bibliothèque de musique est de plus en plus inerte sur son disque dur externe. Quand je veux écouter de la musique, j'ai recours à Spotify qui en plus de me proposer tous les cds que j'ai me propose bien d'autres musiques…

Le format Cd, même pour le plaisir de la collection, j'ai arrêté depuis de nombreuses années. Si je voulais collectionner, j'achèterai, comme pour les DVD/Bluray, des formats collector, voir des Vinyles (encore faut il avoir un lecteur adéquat). Mais comme je ne sortirai pas le cd de sa boîte, si c'est pour que ça prenne de la place. Et que ça remplisse les poches d'une major qui veut à tout prix réguler Internet, autant aller voir l'artiste en concert, il gagnera plus et je ne contribuerai pas non plus au financement d'un système dépassé qui veut restreindre ma liberté de surfer, de découvrir, de partager et d'aimer la musique. Mais là aussi, je m'égare du sujet principal.

Le Cd est mort, une phrase qui amène des tas d'autres idées, une discussion qui part un peu dans tous les sens, alors je vais m'arrêter là. Le Cd est mort depuis un moment, on ne fait que le dire et le répéter. Et ce n'est pas cet article qui ira dire le contraire… Et vous, qu'en pensez-vous ?

Oldelaf - Le monde est beau

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Présentation

Oldelaf, de son vrai nom Olivier Delafosse, est un auteur-compositeur-interprète, chanteur humoristique et musicien français.

Pour en savoir plus http://www.oldelaf.com

La critique du Genma

Découvert avec la chanson Nathalie Mon Amour Des JMJ conseillé par Bazingcast dans sa rubrique Culture : Les chansons humoristiques (avec entre autre, les Fatal Picards) j'ai écouté différentes chansons d'Oldelaf et est particulièrement apprécié la chanson Le monde est beau.

Cette chanson qui parle de notre usage de l'Internet moderne et des réseaux sociaux.

Oh le monde est beau,
Ils font partie du même réseau
Oh le monde est beau,
Chaque jour on est plus nombreux
A être seul dans le bateau

Je ne vais pas reciter le texte, je vous invite à la découvrir via une écoute sur
Spotify. Moi qui avait écrit un article intitulé n'a-ton jamais été aussi seul, je ne peux que me sentir concerné par ces paroles...

On l'a également vu interprété La tristitude une autre chanson du même album en live dans un des Golden Show, il a du avoir une couverte médiatique un peu plus grande (j'espère pour lui), mais je ne pense pas que c'est le genre de musique à passer sur les grandes radios nationales. C'est dommage.

Sinon, pour en revenir à la chanson mentionnée, vu qu'en ce moment je prends, une fois de plus, du recul avec les réseaux sociaux et Internet en général, je ne sens assez concerné par son texte. Et je ne sais pas si c'est une bonne chose. Surtout que je suis capable de passer les chansons de cet album en boucle plusieurs fois de suite. Ca s'écoute en fond, ça se chante, on peut ou non se concentrer sur les paroles... Je n'achète pas souvent des albums Cd (ça fait bien longtemps), mais là je me suis laissé tenté et je pense avoir eu raison. Et je ne regrette pas.

A lire également, une critique plus professionnelle mais beaucoup moins enthousiaste, pour avoir un avis opposé.

Écrivez moi

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Je reçois trop peu souvent des mails et de messages me faisant un retour sur mon blog. Il y a quelques lecteurs réguliers, certains que j'ai rencontré en vrai et d'autres que j'aimerais rencontrer. Mais je n'ai pas vraiment de retour régulier sur ce que j'écris.

J'aimerais prendre le temps d'écrire et répondre à des lecteurs, de correspondre avec eux, les rencontrer, tisser des liens... Je dis ça et j'ai tout juste le temps de mettre en ligne des articles écrits depuis un moment et n'en ai pas pour en rédiger de nouveau. J'aimerai prendre le temps de vous voir, de de vous découvrir vous qui êtes derrière un écran...

Vous laissez parfois des commentaires à mes articles et ça le fait toujours plaisir. Le problème est que je ne sais pas comment y réagir. Répondre ? Mais vous qui avez laissé un commentaire, revenez vous sur les articles pour voir si il y eu d'autres réponses ? Je ne pense pas. Il n'y a guère que les sites et blogs à forte audience qui fédèrent une communauté, sur lesquels les commentaires sont nombreux, souvent trollesques...

Me contacter peut se faire via les réseaux sociaux comme Twitter et Facebook sur mon compte ou sur la page du blog (que je n'anime pas par manque de temps). Ou par mail.

Je ne promets rien, je ne prends pas d'engagement. Mais j'aimerai prendre le temps de répondre, de parler avec vous. Et peut-être que de recevoir des mails me forcera, m'incitera à le trouver ce temps qui me manque. Et les conséquence de cet article donnerons sûrement lieu à un article !

Critique du podcast Barbucast de Babozor

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00
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Présentation

Podcast audio de Babozor de la Grotte du Barbu, avec au programme des épisodes :
- des News
- un dossier sur les outils
- un site web
- un matériau
- la rubrique N00b
- quelques remerciements

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La critique du Genma

Babozor, celui-là même que j'ai interviewé, nous livre avec Barbucast un très bon podcast qui vient en complément de la version vidéo (la Grotte du Barbu) dont le rythme de publication est assez fluctuant.

Ce nouveau Podcast de Babozor a plusieurs qualités et est très prometteur, dès les premiers numéros. Tout d'abord le fait qu'il soit très bien structuré avec des rubriques bien définies. Le coté monologue (que je dénonçais dans mon article ce qui fait un bon Podcast n'est pas gênant car Babozor a des choses à dire, il a un charisme qui transparait même dans l'audio. Il a des heures de Podcast d'expérience, il a un bon rythme avec ses rubriques et niveau longueur, la demi-heure est un bon choix. Le format de ce Podcast est donc bon.

DIY (Do It Yourself), Hack en tout genre sont au programme de ce podcast que je vais écouter régulièrement (à chaque sortie d'un nouveau numéro), je ne peux que recommander de vous abonner et de l'écouter si ce n'est pas déjà fait. Car c'est du bon, c'est du podcast, c'est du Babozor. Que demander de plus ?

La série de liens :
- Twitter https://twitter.com/barbucast
- Itunes
- http://www.lagrottedubarbu.com/audio_mp3.xml
- http://www.lagrottedubarbu.com/category/barbucast/

Prise de recul avec les réseaux sociaux

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Depuis le mois d'août, vous avez peut-être remarqué que je suis beaucoup moins présent sur les réseaux sociaux. Je ne parle pas de Google plus où je suis inscrit mais je ne suis presque jamais allé, Facebook où chaque message/statut que je poste est une copie automatique des twitts que je fais. Je suis moins présent sur les réseaux sociaux et même si je me suis récemment inscrit sur Pinterest mais je n'ai pas pris le temps de me consacrer du temps. Car une fois de plus je prends du recul avec Internet et plus encore avec les réseaux sociaux. Ce n'est pas la première fois que je prends du recul avec les réseaux sociaux, ce ne sera pas la dernière fois. Moins de présence sur les réseaux sociaux c'est moins de visibilité pour ce blog, indéniablement... Mais tant pis. Je me recentre de nouveau. La série de liens que j'ai fait sur les propositions précédentes montrent bien le retour d'expérience que j'ai sur le délaissement des réseaux sociaux.

Je me détache des réseaux sociaux où je suis pourtant connecté à des geeks qui ont des centres d'intérêts communs avec moi. Après deux semaines de vacances déconnecté à réfléchir sur moi-même et à me demander si je continuerai à écrire pour ce blog (vu que vous lisez cet article et pouvez lire ceux précedemment posté, la réponse a été oui), j'ai repris le boulot et je n'ai pas lancé mon client Twitter. Dans la semaine, je l'ai lancé une ou deux fois, histoire de. Le soir et le week-end, je suis très peu connecté au Net, juste pour faire quelques recherches rapides. Et je ne m'en porte pas plus mal. Il en de même avec les fils RSS, dans lequel j'ai de nouveau fait un peu de tri.

Pour en revenir au réseau sociaux, pourquoi cette prise de distance ? Je dirai ça dans une simple phrase : Twitter c'était mieux avant. Je vais développer un peu. Comme je le disais dans mon article sur le arobase n'est plus le signe du mail, tout le monde se met au Twitt, les stars comme les politiques, le journal de TF1 en parle... Les jeunes l'utilisent comme une messagerie instantané. Il suffit de ne pas suivre ces comptes pour ne pas être spammer. Twitter c'est beaucoup d'instantanéité mais beaucoup de futilité. On est au courant de plein de choses qui se passent dans le monde, on sait les sorties des tous derniers produits de nouvelles technologies que l'on achètera jamais. Beaucoup d'informations se retrouvent dans les fils RSS et peuvent attendre d'être lu. On n'a pas besoin d'être devant son écran au moment pour être au courant. A-t-on vraiment beosoin de savoir toutes ces choses, de tout lire dans l'instant présent ? Je ne pense pas. D'où ma prise de recul. Pour réfléchir, encore, à tout ça.

Les fils RSS et les Shaarli me suffisent pour la curation et pour découvrir des choses intéressantes et sympa. Et tant pis si je manque des choses, si je ne les apprend pas dans l'instant. Prendre du recul, choisir quand je veux lire des informations et ne plus être scotché à ma timeline me rend un peu de mon temps et de la liberté. Enfin, si on mesure sa popularité à la taille de son klout ou du nombre de follow friday dans lequel on est mentionné, je suis en grande perte popularité. Moins on se montre et moins on pense à nous. Mais ce n'est pas grave. Je ne cherche pas la popularité, juste à m'amuser. Et Twitter ne m'amuse plus. Pour l'instant du moins.