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Le Blog de Genma

source: Le Blog de Genma

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Vacances pendant quelques jours

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Résumé des épisodes précédents

Tout avait commencé il y a quelques mois maintenant avec un article de Réflexions sur mes conditions de travail. J'ai pendant 3 ans travaillé en openspace, ce qui avait conduit à la rédaction de Incivilités quotidiennes en open-space
et Top 6 des choses que je trouve insupportables dans le travail en OpenSpace.

Fin mars, on m'annonçait que je changeais de mission (Je ne suis qu'un pion qu'on déplace), que mes congés d'été était annulé, ce qui avait conduit à Mon CV est en ligne.

Où j'en suis

On est mi-juin et je fais ma mission sur laquelle on m'a affecté. J'ai gagné au change pour certaines choses. J'ai troqué l'open-space pour un bureau à moi. Je suis passé de 1h45 à 0h55 de trajet aller, je gagne donc deux heures de vie par jour. Je dors plus, je rentre plus tôt, je suis moins fatigué.

Cette mission est calme, c'est une TMA en fin de vie. Je travaille moins, je suis moins stressé, je fais moins de choses en même temps ; j'ai le temps de trouver les journées longues... Tout le contraire de ma mission précédente où je n'avais jamais le temps, sans cesse à courir et à chercher à aller plus vite.

J'ai beaucoup perdu en confort Internet. D'une connexion fibre sans restriction (recup d'ISOs Linux, Spotify...) je suis passé à de l'ADSL 2 mega derrière un proxy qui filtre beacoup de choses (les webmails mais pas Twitter... Etrange). Mais j'ai fait du tri dans les fils RSS que je n'avais de toute façon pas le temps de lire avant.

Je suis passé sur une vieille machine (Pentium 4) sous Windows XP.... qui tourne comme elle peut. Mais je n'ai pas le choix.

J'avais cumulé beaucoup de jours de congés que je n'avais pas eu le temps de prendre, j'ai écoulé mes 20 jours de congés en faisant des semaines de 3 jours et en profitant bien des ponts de mai. J'ai pu me reposer et récupérer des trois ans de travail en open-space et des 4 heures de transports quotidiens.

Et alors ?

J'ai réalisé la fatigue et le stress cumulé. J'ai le temps de réfléchir sur moi-même. J'ai du temps pour moi, pour apprendre des choses, réfléchir à des projets que j'aimerais lancer. Je suis dans une grande phrase de réflexion, je me cherche. J'ai besoin de recul. Je sors peu à peu la tête de l'eau.

Mme Genma n'ayant plus de travail fin août, ma nouvelle mission étant pour quelques mois, je ne changerai pas pas de suite d'emploi. J'attends qu'elle en retrouve un pour prendre le risque de changer. Mon CV (le vrai) reste en ligne, j'ai eu quelques contacts auxquels je ne donne pas suite, pour l'instant, je suis en veille et non en recherche active d'un nouveau poste. Je me cherche, je cherche à définir où j'en suis. J'ai peur du changement, de l'inconnu.

Ici, je sais ce que j'ai (et n'ai pas). J'ai du temps, un PC, mon cerveau et mon mon imagination. Je peux donc réfléchir et voir pour me poser et savoir où je vais aller. Partir sous le coup de la colère (comme celle exprimé dans mes articles mentionnés plus haut (Je ne suis qu'un pion qu'on déplace), que mes congés d'été était annulé, ce qui avait conduit à Mon CV est en ligne) n'aurait pas été une bonne idée. J'ai du temps, je me cherche. Et je vais me trouver.

Congés

Je serai en congés pendant quelques jours, jusqu'à début juillet. Je pars dans un pays de l'est (Pologne), voir ma famille, me ressourcer. Je serai dans un tout petit village perdu, sans connexion Internet. Une sorte de cure de sevrage, même s'il y a bien longtemps que je ne suis plus cyber-dépendant. J'aurai un bloc notes et un stylo, pour noter mes idées, mes projets. Et on verra avec cet été et la rentrée si des choses se concrétisent. A bientôt.

BattleStar Galactica

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Présentation de la série

Dans une partie éloignée de l'univers, une civilisation d'humains vit sur des planètes appelées les Douze Colonies. Dans le passé, les Colonies ont été en guerre contre une race cybernétique, les cylons. Grâce à l'aide d'un humain appelé Baltar, les cylons lancent une attaque-éclair sur les Colonies, laissant les planètes et leur population dévastées. Quelques milliers de survivants fuient dans l'espace à bord du premier vaisseau spatial disponible. De toute cette flotte coloniale, le battlestar Galactica semble être le seul vaisseau militaire ayant survécu à l'attaque. Sous le commandement d'un célèbre chef militaire, le commandant Adama, le vaisseau et son équipage prennent en charge le convoyage de la flotte de survivants vers un refuge mythique, la Terre.

La critique du Genma

Sortie il y a quelques années à la télévision américaine puis sur des chaînes privées (Sci Fi), la série est disponible depuis quelque temps en coffrets DVD et Bluray. Mon but dans cet article n'est pas de parler pendant des pages et des pages de cette série (il y a beaucoup à dire), mais de dire en quelques mots en quoi j'apprécie cette série, en quoi je la trouve intéressante.

Me basant sur la réputation de la série, j'ai pris le risque de me la procurer, un peu par hasard... Et j'ai enchainé les épisodes les uns après les autres, ne regardant plus que ça, des jours durant.

La série est une série de science-fiction de qualité. On a les éléments que l'on attend d'une telle série : des robots, des humanoïdes et les machines ne sont pas toujours celles que l'on croit... Les machines veulent détruire l'humanité qui les a crées et les hommes tentent de survivre en luttant contre le fruit de leur création.La progression de la série est intéressante, chaque saison apporte son lot de nouveauté, d'évolution des personnages et son lot de rebondissement.

Les humains vivent en huis-clos et tentent de reconstruire une société avec un chef d'état, un parlement. Mais étant en guerre, l'armée est très présente et a son mot à dire dans la fragilité de ce gouvernement. Les intrigues se passent sur le Galactica, un vaisseau de l'armée, on a donc essentiellement le point de vue de l'armée ; le peuple lui reste pour la plupart du temps résumé à un chiffre sur un tableau velleda.

Vaisseaux spatiaux, combats dans l'espaces et huis-clos, intrigue politique et scénario développé, tout est là pour en faire une série de science-fiction de référence.

Que dire de plus si ce n'est que Battlestar Galactica est une série devenue culte pour moi et que je comprends pourquoi elle l'est également pour de nombreux fans.

Disponible à la vente :
- Battlestar Galactica : L'intégrale de la série, Saison 1 à 4 - Coffret 25 DVD
-
Coffret Intégrale Battlestar Galactica [Blu-ray]

Evangelisateur - Evangelist en anglais

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

A l'origine, un évangelisateur est quelqu'un qui évangélise, qui prêche l'Évangile. Ce terme a été détourné en informatique pour décrire quelqu'un qui prêche pour sa paroisse, ou plus exactement pour les technologies dans lequelles il croit et qu'il défend.

Parfois, on peut même assimiler certains aspects l'Informatique à une religion, tant les personnes sont impliquées dedans comme c'est le cas, par exemple, des Fanboys Apple ou pour le logiciel libre, avec Richard Stallman et son Saint IGNUcius.

Il est fréquent de voir des technologies associées à Evangelist, comme Microsoft Evangelist. Pour l'instant, ça me semble assez américain comme concept et pas encore très importé en France, même si Louis Nauges, auteur sur son blog et sur O1Net et fondateur de la sociétéRevevol se définit lui-même comme un Chief Cloud Evangelist. Mozilla a ses évangelistes comme Tristan Nitot et Paul Rouget, et a tout un wiki dédié à l'évangelisme du web mobile.

Wikipedia a une page conscrée aux Évangélistes technologiques, je vous invite à lire pour compléter cet article.

Attention à ne pas se promouvoir Geek Evangelist, quoique. Dans ce cas, ce serait promouvoir la culture Geek. Encore faut-il s'entendre sur la définition du geek (dans le sens culture pop-corn (cinéma, série, jeux de rôles, jeux vidéos) et non pas cantonné exclusivement aux nouvelles technologies. Non un fan d'Apple qui a tous les produits de la marque n'est pas un Geek s'il n'a pas la culture Geek).

BD - Le sabre & l'épée

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Résumé

Wu Gang défie tous les guerriers passant par son village. Mais quand un vieil homme armé d'une épée brisée se présente, il doit le laisser partir. Objet des quolibets des villageois, Wu Gang part en jurant de ramener la tête du voyageur. Ce dernier, aux prises le même soir avec trois démons, va l'emmener dans une très longue aventure... Source

Scénario : David Chauvel
Dessins : Hervé Boivin

- Tome 1 : La Yesha (2006)
- Tome 2 : Au cœur des rivières et des lacs... (2006)
- Tome 3 : Les Brumes du vieil immortel (2007)
- Tome 4 : Le Mont des neuf merveilles (2009)

La critique du Genma

Se lisant assz vite, colorée, rythmée, les 4 tomes constituent une histoire complète. Se passant au coeur de la Chine ancestrale, durant la période des grandes guerres en vue d'unifier le royaume, l'histoire mélange des évènements qui semblent historiques à des élements du folklore chinois. On retrouve par exemple des démons, de la magie et du kung-fu. Beaucoup de kung-fu avec de nombreuses armes de combat de l'univers Shaolin. Les combattants peuvent voler et faire des acrobaties que l'on voit dans les films de wuxiapian (film de sabre chinois). Cette bande-dessinée ferait d'ailleurs un scénario honnête pour un film de Zhang Yimou (Hero, le Secret des Poignards volants), même si on aurait forcément un air de déjà-vu.

J'ai été un peu perdu à un moment où on a des sortes de flash-back/reprise de l'histoire quelques heures auparavant, avec la vision d'un autre personnage. Mais l'explication (logique) valide la pertinence de ce choix. On regrettera un combat final trop rapide (deux pages), le côté quête initiatique du héros qui passe de jeune rebelle intrépide, querelleur à un adulte mûre, calme et maître de ses émotions, qui sont sont très classiques. On appréciera le côté "Chine historique" et la recherche documentaire (la variété des armes de combats).

A lire si vous en avez l'occasion. Disponible sur Amazon

Streetfighter le film avec Jean-Claude Van Damne

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Résumé du film

1995. Le Shadaloo, pays du sud-est asiatique, est en proie à la guerre civile depuis 7 mois. Après avoir pris 63 membres d'une organisation humanitaire en otages, le général renégat M. Bison impose un délai de 72 heures à l'Organisation des Nations Alliées pour le versement d'une rançon de 20 milliards de dollars contre leur libération. De son côté, le colonel William Guile monte une opération afin de mettre M. Bison hors d'état de nuire...

La critique du Genma

Ado, j'avais vu ce film au cinéma et je l'avais revu une fois lors de sa diffusion sur M6 il y a de cela des années. Puis plus rien. Ce film est resté enfoui dans mes souvenirs jusqu'à ce que je le retrouve, un peu au hasard, à la vente en DVD. J'ai craqué, je me le suis procuré.

Je ne vais pas dévoiler et détailler tout le film, Nanarland l'a fait dans un article assez long, décortiquant le film presque scène par scène.

Après l'avoir revu, voici ce que je retiendrais de ce film. On a du fan service et une volonté de faire une bonne adaptation. Pas un bon film (quoi qu'à l'époque, je pense que c'était la volonté, mais ça a un peu vieilli). On a un scénario, qui permet de retrouver tous les personnages de Super Street fighter, plus ou moins bien exploités et mis en valeur. On frôle parfois le Cosplay, mais pour ne citer que lui, Véga est bien mieux que le Véga de Street Fighter : Legend of Chun-Li... On a des costumes qui permettent d'identifier de suite les personnages et ce, bienavant Dead or Aliveou Tekken arriveront bien plus tard (plus de dix ans après).

Le côté jeu-vidéo n'est pas renié au contraire, la preuve en est celle de Bison qui lance des bombes via une console qui a tout d'une borne d'arcade. Ajouté à cela son "Game over" prononcé en fin de partie...Pour en revenir au fan service, la présence de Jean-Claude Van Damne (connu autant pour ces films de karaté, avec Kickboxer en tête que sa musculature), est bien mise en valeur, avec un Jean-Claude au top de sa forme. Avec un gros plan sur le tatouage du drapeau américain sur le haut du biceps (comme Guile dans le jeu),

Toujours aussi bon, toujours aussi nanard mais dans le haut du top des nanards, je conseille de voir ou revoir ce film, pour passer un bon moment. Personnellement, revoir ce film m'a donné envie d'en revoir d'autres de la même époque. Et donc, pour la prochaine critique, j'hésite entre Double Dragon et Mortal Kombat. A suivre donc.

Disponible à la vente en DVD sur Amazon.