PROJET AUTOBLOG


Le Blog de Genma

source: Le Blog de Genma

⇐ retour index

Mise à jour

Mise à jour de la base de données, veuillez patienter...

Je suis chef d'équipe ; tu nous rejoins ?

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

En plus de mon travail d'architecte dans le logiciel libre, ce pour quoi j'ai été recruté, je suis depuis peu chef de l'équipe intégration.

C'est un peu par hasard et très rapidement qu'il a été décidé que je deviendrai le chef d'équipe. Mes méthodologies et mon organisation issue du Lifehacking, ma volonté de transmettre mon savoir (j'ai déjà pour projet de faire des mini-conférences le midi pour partager avec mes collègues mes connaissances et leur apprendre plein de choses que beaucoup ne connaissent pas) ont convaincu et je suis donc chef d'équipe. On me fait confiance, on me délègue des tâches, je prends des initiatives et c'est apprécié.

Actuellement, je suis donc en train de reprendre la gestion des équipes, faire le suivi des projets en cours, préparer les projets à venir en participant à la rédaction de réponses à des appels d'offres pour la partie technique. Je fais des points réguliers avec les membres de l'équipe pour m'approprier leurs projets, comprendre ce qu'ils font et ont à faire. Mon expérience de plus de 12 ans dans une SSII, toute la maturité acquise au fur et à mesure d'expériences parfois difficile, je peux enfin en tirer partie et profit, pour moi mais aussi pour d'autres personnes... En effet, j'encadre des personnes de l'équipe qui sont assez jeunes et peu expérimentées. Je leur apprend donc des bonnes pratiques, je leur donne des conseils, je leur montre comment je m'organise pour gérer en parallèle plusieurs tâches et projets. Je les aide à sortir la tête de l'eau pour reprendre leur souffle, se poser, voir où ils en sont et obtenir de leur part un peu de visibilité sur leur suivi des tâches au quotidien.

Je partage, j'aide, j'essaie de reprendre ce que j'aimais dans leurs façons de gérer les équipes chez des chefs de projets que j'ai et que je considère comme mes mentors. J'applique le contraire des mauvaises méthodes que certains chefs de projets ont pu avoir. J'essaie d'être quelqu'un de conciliant, à l'écoute, tout en montrant que je suis exigeant et des attentes. Je fais confiance, je délègue, je responsabilise mais aide aussi à gagner en responsabilité, à pouvoir répondre à mes attentes... Et ça marche.

J'en profite pour faire le point avec moi-même, voir où j'en suis et le chemin parcouru. Et je repense à toutes ces personnes qui m'ont portées, aidées à grandir durant ma première vie professionnel et en début de carrière. Je repense à toutes ces expériences personnelles et associatives qui m'ont aidée à acquérir de l'expérience dans le monde du logiciel libre et à être à l'aise professionnellement actuellement. Je sais la chance que j'ai eu de rencontrer une équipe dirigeante qui a su comprendre ma bonne volonté, mes envies, mes attentes et mon potentiel. Et je me sens valorisé, compris. Épanoui.

Enfin, je profite de ce billet de blog pour rappeler, comme j'ai déjà pu le dire sur les réseaux sociaux, que mon entreprise recrute. Le site de l'ami Carl Chenet, qui fait des projets super cool qui m'ont permis d'apprendre des choses en Python (merci encore Carl), LinuxJobs, a un certain nombre d'annonces. Et il y a des es postes ouverts pour travailler avec moi ! Jetez un coup d'œil ci sur le site linuxjobs.fr, postulez et si vous êtes une personne motivée, enthousiaste, qui a des projets personnels et qui sait faire la différence, avec un peu de chance (et surtout grâce à vos qualités personnelles et professionnelles), vous serez amener à travailler avec moi. Et c'est là tout le mal que je vous souhaite :)

Vous voulez que vos employés s'épanouissent ?

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Ce billet vient en complément de mon billet Première semaine dans ma nouvelle vie et s'adresse à toute personne ayant à gérer une équipe ou une entreprise. Vous voulez que vos employés s'épanouissent ? Voici un mode d'emploi se basant sur mon expérience personnelle.

Remarque : ces conseils et cette expérience personnelle est très liée au monde des entreprises informatiques et des sociétés de service.

Le cadre de travail

Dans l'entreprise dans laquelle je suis, nous travaillons sur ordinateur portable. Cela permet une certaine mobilité, cela permet de se déplacer facilement et d'aller faire une réunion dans la salle dédiée avec sa machine de travail. Mais surtout, on peut changer de bureau. En effet, dans l'openspace dans lequel je suis, il y a des espaces avec des tables qui sont un peu plus hautes et sur lesquelles il est possible de travailler debout. Il y a en a d'autres à mi-hauteur, avec des chaises hautes de type bar. Il y a des tables que l'on peut régler facilement en hauteur. En plus d'une place sur un des bureaux en zone openspace, on a donc un bureau nomade. Le fait de pouvoir travailler debout, au calme, un peu isolé du reste des équipes avec une vue assez sympathique (un beau panorama de Paris vue depuis un étage assez haut d'une tour de la Défense, il y a pire). C'est quelque chose d'appréciable. On n'est ainsi pas toute la journée assis, on peut varier sa position de travail et pour moi qui ai fait plus de 12 ans derrière un bureau assis, pouvoir travailler debout de temps à autre, c'est une première et j'aime beaucoup.

Le recrutement

Pour le recrutement, les conseils que je donnerai seront de ne pas pas juger les gens sur leurs diplômes mais sur leurs motiviations, leurs implications dans le monde associatif, sur les projets auxquels ils participent, leurs centres d'intérêts. Certes, les diplômes valides l'acquisition d'un certain nombre de connaissances théoriques et pratiques. Mais si je regarde mon cas personnel, je suis diplômé en Biologie et 95% de ce que je sais en Informatique, je l'ai appris par moi-même, en autodidacte. Je ne connais pas les écoles d'ingénieurs, si ce n'est pas les discussions avec des personnes ayant suivi ce type de parcours. De fait, pour moi, le plus important, lors des entretiens techniques que je vais être amené à faire, c'est le fait que la personne soit curieuse, fasse de la veille, bidouille, ait des projets personnels plus ou moins rattachés à l'informatique. Entendre "je ne connais pas mais je ne demande qu'à apprendre" est un bon point. Contrairement à un "je n'ai fais pas telles études pour faire ça", "je suis développeur, pas administrateur système donc non"... que j'ai déjà entendu dans ma carrière de la part de collègues, qui se limitait à faire ce pour quoi ils avaient été formés et refusaient d'effectuer toute tâche qui sortait un peu de leur domaine de compétence...

Donner le choix

Avoir une demande de son responsable "que penses-tu de cette mission, est-ce qu'elle t'intéresse ?" Prendre en compte les aspirations, attentes, envies et compétences de ces collaborateurs pour les mettre sur des missions où ils seront le plus épanoui et donc le plus productif. C'est là une bonne pratique manageuriale. Certes on ne peut pas répondre à toutes les demandes et attentes et il y aura forcément des missions et des besoins clients sur lesquels l'équipe ne sera pas dans son domaine d'aisance, ne trouvera pas d'intérêt aux thématiques ou problématiques. Mais le simple fait de demander, de noter et d'essayer de faire au mieux quand c'est possible, c'est déjà une très bonne chose.

Ne pas laisser le collaborateur trop loin de soi

Loin des yeux, loin du coeur dit l'adage. Et mettre son collaborateur pendant plusieurs mois voir années en clientèle, sans aucun contact régulier avec son entreprise, c'est lui faire perdre tout sentiment d'appartenance à son entreprise. En formation, j'avais entendu comme réponse à la question "que représente pour toi l'entreprise XXX ?" "Le logo sur ma fiche de paie, c'est tout". Il faut donc régulièrement créer des moments avec ses employés pour leur donner une appartenance à leur entreprise.

Créer de la cohésion d'équipe

Dans l'entreprise dans laquelle je suis, nous avons des réunions et des points collaborateurs une fois par mois en fin de journée, à cheval sur nos heures de travail et un peu après. Ce n'est pas pratique de finir plus tard que d'habitude. Mais les dates étant clairement annoncées en avance, on s'organise au niveau de la vie familiale. Mais surtout, ce que je vois, c'est l'importance qu'ont pour moi ces réunions. Nous sommes tous sur un même navire, le capitaine parle et montre la direction dans laquelle on va. Il y a quelqu'un qui tient la barre, qui donne la direction. Il y a un leader. Il faut un leader. Et des lieutenants pour gérer des petites équipes. Et ce sont ces réunions nous apportent : nous montrer la direction vers laquelle nous allons, tous ensemble. L'état des lieux des différents projets, les contrats gagnés et les missions à venir. On est impliqué dans la vie de l'entreprise.

Garder une structure à taille humaine

Avant, dans mon ancienne entreprise et dans mon ancienne carrière, il m'est arrivé plusieurs fois le fait que la personne qui me faisait faire l'entretien annuel n'était pas la même d'une année sur l'autre. La nouvelle personne ne me connaissait pas et ne me voyait qu'une fois par an. Et du coup, étant en mission longue chez un client, n'ayant pas de contact avec ma hiérarchie, malgré mes demandes de rendez-vous, le suivi étant fait par quelqu'un qui ne me connaissait pas, je ne sentais plus appartenir à l'entreprise dans laquelle j'étais depuis si longtemps...

Dans ma nouvelle entreprise, plusieurs fois par semaine, je croise mon responsable direct et ma hiérarchie Je discute avec eux, ils savent où j'en suis, où je vais, qui je suis... Travailler dans une entreprise qui a su gardé une échelle à taille humaine, c'est appréciable. Pourquoi vouloir créer des grands groupes de dizaine de milliers de personnes... si ce n'est pas pour satisfaite avant tout des actionnaires... et avoir une liste d'employés qui ne deviennent que des noms dans une longue liste...

Conclusion

Avec une approche un peu différente, je confirme que mon choix de changer d'entreprise a été le bon. J'ai enfin pu comparer deux modes de gestion, deux structures et environnement différents et le constat est sans appel : je peux enfin m'épanouir et surtout, j'ai les moyens de le faire... Tout comme j'ai également les moyens de transmettre mes connaissances, aider des juniors à s'épanouir en leur partageant ma propre expérience et ma maturité acquise avec les années... Mais tout ça, ce sera le sujet d'un prochain billet dans lequel je parlerai du fait que je suis passé chef d'équipe. A suivre donc...

Le podcast Badass

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Présentation du podcast

Le podcast geek féminin et féministe animé par Pia Jacqmart, consacré aux figures de femmes dans la pop culture.

On retrouvera des thématiques comme "C'est quoi, une anti-héroïne ?", "Princesses Disney : règlement de comptes" ou encore "Ragnagnarok !" qui parle de menstruations sans tabou !
A écouter sur
- https://soundcloud.com/badass-show
- https://twitter.com/badasslepodcast

La critique du Genma

Personne Badass : personne qui déchire.

Animé par des femmes et uniquement des femmes (et tant mieux, trop souvent les podcast Geek sont animés par des hommes), mais à écouter par tou.te.s, le podcast Badass fait partie de ces agréables découvertes où dès les premières minutes de la première écoute, je sais que je m'abonnerai au podcast, rattraperai autant que possible les épisodes antérieures et prendrai le temps d'écouter chaque nouvel épisode.

Je trouve que ce podcast est un bon complément au podcast Abcd animé par Force Rose et Diraen, dans lequel Pia était intervenue et a fait sa pub (merci à elle) et dans lequel ça parle de parentalité geek. Dans Badass, c'est la condition féminine qui est abordée.

En tant qu'homme cis etc. mais sensibilisé à la cause féministe (j'ai le sexisme ordinaire en horreur), j'ai BEAUCOUP aimé ce podcast. C'est avant tout un moment de détente, de complicité, de partage, de geekerie. Mais c'est aussi du féminisme bienveillant. Çà dénonce le sexisme, ça explique les problèmes du patriarcat, tout ce que l'on est en droit d'attendre d'un bon podcast féministe.

Pour les hommes qui se aurait des réticences ou des doutes, je vous rassure. A aucun moment je me suis dit "mais on est pas tous comme ça" (not all men) ou "ah c'est quoi ces extrémistes feminazi...". Vous ne serez pas blesser dans votre masculinité. Quoique. Et si c'est le cas, remettez-vous en question et prenez conscience de vos privilèges.

Au contraire, j'apprends des choses, je confirme mes connaissances sur d'autres, je reçois un partage d'expériences et de vécues que de part ma condition biologique, par chance, je ne connais pas (comme les menstruations ou le harcèlement de rue). Et je remercie l'équipe pour tout ça. Vous faites un très beau travail de vulgarisation, de sensibilisation sur fond de thématique geek et ça c'est Badass. Vous êtes Badass.
Et le remix de la chanson de Pocahantas version féministe dans l'épisode Princesses Disney : règlement de comptes est juste BADASS !!!!

Pour en revenir aux thématiques, j'apprends encore plus à relativiser et comprendre l'importance des figures de la pop culture pour l'identification des petites filles. J'espère que plus grande, ma petite nièce sera fan de Rei ou Jyn Erso pour ne citer qu'elles. Avec le podcast Badass, je développe un nouveau regard sur ma culture pop. Et je ne peux donc qu'encourager l'équipe à continuer. Et vous, lecteurs, allez écouter Badass le podcast !

Lifehacking - Mes méthodes actuelles

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Depuis quelques années, je suis adepte du lifehacking et j'ai testé différentes méthodologies, adapté les méthodologies existantes, partagé mes expériences pour enfin arriver l'année dernière, en début d'année, à mettre en place un système sur base de fichier OpenOffice Calc qui me permettait de faire un suivi des mes activités au jour le jour. En août, je présentais cette méthodologie dans mon billet Lifehacking et vacances et à la fin de mes vacances, j'en étais arrivé à écrire mon billet Redéfinir mes priorités. Tout cela a porté ses fruits vu qu'en début d'année, j'écrivais 2017 - Mes projets pour cette année ? dans lequel j'évoquais mon changement de vie.

Pourquoi ce nouveau billet pour parler Lifehacking ? Parce tout simplement, je voudrais faire un nouveau retour, un an plus tard, sur l'usage de mon fichier et la méthodologie associée. Je pense qu'il y aura de la redite avec ce que j'ai présenté ici, mais ce n'est pas grave. Je vous renvoie vers ce billet, celui-ci étant son complément.

Dans le présent billet, je parle de projet. J'ai deux fichiers de suivi OpenOffice Calc : un personnel avec mes projets et mes todo-listes personnels, que je consulte sur mon temps libre. Et un fichier au format sensiblement identique que j'utilise dans le cadre professionnel (et qui contient donc mon suivi et mes todo-listes liés à mes projets pro), que j'utilise lors de mes journées de travail.

Todo-liste

Mon fichier OpenOffice Calc a un onglet dédié qui est une sorte de longue todo-liste avec les tâches à faire en priorité, à faire quand j'aurai un moment et celles que je ferai un jour. Et, réparti pour mes différents projets. J'applique encore la méthode GTD Getting Things Done. Si il y a quelque chose que je peux faire et qui prend moins de 5 minutes, je le fais dans la foulée. Sinon, je le note dans ma todo-liste et je le ferai plus tard, comme une tâche qui prend un ou plusieurs quart d'heures. En parlant de Getting Things Done, j'ai toujours un système de pochettes, mais elles sont représentées par des onglets dans le fichier Calc.

Smartphone ?

Le fait que tout soit géré via un fichier Calc (

) fait que, par conséquence, je ne gère rien par smartphone. Si je n'ai qu'un smartphone à portée de main, c'est que je n'ai pas un outil de productivité (un ordinateur) devant moi. J'ai donc toujours un outil pour me vider l'esprit (ah oui il faudrait que je fasse ça ou que je pense à ça) à portée de main et je l'utilise. Mon smartphone me sert juste pour prendre des notes pour ma todo-liste, synchronisées sur mon NextCloud. Ensuite, de temps en temps, je prends la liste des notes et réparties ces différentes notes et actions à faire, dans les différentes catégories pour mes projets personnels, toujours dans mon fichier Calc.

Optimisation du temps

Quand on a plusieurs projets à gérer en parallèle, pour ne pas se laisser déborder, ce que j'applique comme méthode, c'est une sorte de pomodoro sans le chronomètre, sur une durée plus courte, le quart d'heures. Pour rappel, la méthode Pomodoro c'est une technique qui se présente sous la forme de cinq étapes :
- décider de la tâche à effectuer ;
- régler le pomodoro (minuteur) sur 25 minutes ;
- travailler sur la tâche jusqu'à ce que le minuteur sonne et la noter comme faite ;
- prendre une courte pause (5 minutes) ;
- tous les quatre pomodori prendre une pause un peu plus longue (15-20 minutes).

Dans mon cas, je me lance sur une tâche et je la fais, sans vraiment regarder l'heure. Je me mets en mode mono-tâche et je ne disperse et je n'ai pas à me forcer pour ça. Je ne jongle pas entre les fenêtres et les tâches. Je me consacre à une seule tâche à la fois. Je ne fais qu'une tâche mais je la fais bien et à fond. Je n'ai pas la contrainte du stress du temps (le tic-tac du minuteur ou le compte à rebours). Je ne planifie pas les pauses. Je les prends quand je peux le faire, l'envie de le faire. Quand je suis lancé, je peux travailler pendant un petit moment (et je ne vois pas le temps passé parfois).

Durant l'exécution de ma tâche, je ne réponds aux mails, sollicitations ou autres. Pour les mails, je prends du temps pour les lire et les rédiger, c'est une tâche comme une autre. Et ensuite je referme la boite mail. Les réseaux sociaux ? Je prends un peu de temps pour faire de la veille, répondre ou autre, c'est une tâche comme une autre.

Si je suis dérangé ou sollicité pendant un temps assez long, je le note comme si c'était une tâche, ça en devient une. Cela me permet de tracer et de savoir combien de temps la vraie tâche a prise comme temps. Parfois, je peux intercaler une tâche qui dure 5 minutes pour finir le quart d'heure.

Je compte le temps passé sur mes tâches en unité de temps qu'est le quart d'heure.

Traçabilité

Une fois ma tâche finie, je remplis mon tableau de suivi du temps. Je sais combien de temps j'ai passé sur ma tâche, je trace. Remplir ce fichier, c'est une vraie discipline. Il faut le faire régulièrement pour ce que ce soit utile. Mais comme je remplis ce fichier au quotidien, en semaine et en week-end, je sais combien de temps j'ai passé sur chacune de mes tâches perso ou pro. Je vois que j'ai une vie bien remplie, bien riche et quand je me dis que je n'ai rien fait, je vois qu'au contraire, j'ai fait plein de choses et ai eu des journées bien remplies, efficaces et productives.

Enfin, cette traçabilité est très pratique pour rendre rencontre des comptes à un supérieur (et ce dernier apprécie le fait que je puisse lui faire un état d'avancement aussi précis, c'est donc une bonne chose).

Conclusion

Voilà un nouveau billet sur le Lifehacking un peu brouillon à la relecture, mais comme je ne vois pas trop comment mieux organiser ça, je publie. Et il reste toujours les autres billets écrits au cours des années

pour venir compléter le présent texte.

Yunohost - Surveiller l'état de son disque dur

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

C'est le billet de l'ami Seb0S666 Petit inventaire des disques dur à jeter dans lequel il parle de la vérification de l'état de différents disques durs avant de les mettre au recyclage qui m'a fait pensé qu'il serait peut être important que moi-même je regarde régulièrement l'état du disque dur qui fait tourner mon instance Yunohost sur mon PC maison.

Mon objectif est simple : anticiper la panne physique du disque pour le remplacer avant de perdre des données. A côté de celà, bien sûr, il y a le fait qu'il faille Faire des sauvegardes régulièrement, vérifier qu'elles sont correctes car ce n'est pas le jour où on aura besoin de la sauvegarde qu'il faut s'apercevoir qu'elle ne marche pas, n'est pas valable et qu'on ne peut pas récupérer ses données.

Pour tester l'état du disque dur, il y a l'outil Smartmontools. Un tuto rapide a été fait ici MemoInfo - Comment tester son disque dur pour éviter les pannes et il nous dit que la commande est :

smartctl -a /dev/sda1

Le lancer de temps à la main c'est un bon début, aller plus loin en automatisant tout ça c'est mieux et du coup, comme Yunohost est et reste une surcouche à Debian, on a toute la base Debian. On peut donc suivre le tutoriel Smartmontools - Wiki debian-fr pour automatiser tout ça et avoir le mail qui va bien pour prévenir les erreurs.