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Le Blog de Genma

source: Le Blog de Genma

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Désactiver Symantec Endpoint Protection

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Dans la ligné de je fais des hacks et autre pour avoir des meilleurs conditions de travail, un peu comme le contournement du proxy du boulot, dont il peut être utile de connaitre l'adresse, l'utilisation de l'imprimante professionnelle à des fins personnelles, voici un nouvel article qui résout un des problème que j'évoquais dans mon article sur mes conditions de travail, à savoir les ralentissement régulier liés à Symantec Endpoint Protection, la suite Antivirus etc. qui me mobilise 25% de mon processeur Intel Core I5.

J'ai enfin pris le temps de chercher comment désactiver complètement cette suite de logiciel qui ne me sert à rien, car n'allant pas sur des sites à risques (porno ou warez), utilisant un navigateur on ne peut plus à jour (Firefox) équipé de différents extensions (Ghostery, Adblock...), et ayant toutes les mises à jour de sécurité de faite pour le système d'exploitation. J'ai d'abord essayé en réduisant la priorité des process, en tuant les dits processus mais ils se relançaient automatiquement.

En effet, on un système de vérification régulier qui à chaque lancement et sortie de veille du PC, relance Symantec Endpoint Protection qui est un client d'un serveur auquel je n'ai pas accès. Bien qu'administrateur de mon poste, je ne peux pas désintaller ce logiciel, la solution est donc de le stopper quand il se lance. On ne peut pas le stopper en lui demandant de s'arrêter avec un simple clic droit dessus, il faut l'arrêter via la ligne de commande (c'est ce que m'ont appris des recherches sur Google).

J'ai mis en place un simple .bat qui se lance en tâche planifié et qui contient les instructions suivantes :

cd C:\Program Files (x86)\Symantec\Symantec Endpoint Protection\
smc -stop
net stop "Symantec Endpoint Protection"
net stop "Symantec Event Manager
net stop "Symantec Settings Manager"
taskkill /IM COH64.exe /F

Ca suffit, c'est efficace et je n'ai plus de problème avec ce logiciel. Comme dit plus haut, je ne prends pas grand risque en désactivant cette usine à gaz (je sais sécuriser mon PC autrement). La seule chose que je fais, mais non négligeable, c'est que je ne respecte plus les conditions d'utilisation du matériel fourni par ma société et les règles établies par la DSI. Mais je gagne en réactivité sur le PC et donc en productivité, je pense que ça compense... Et je pense que cette prise de risque me vaudra encore quelques rêves de geek.

Les podcast de MO5.com

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00
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Présentation du podcast

MO5.COM est une association type loi 1901 dédiée à la préservation et la diffusion au public du patrimoine numéique. L'histoire de l'association a commencé avec la création en 1996 d'un site : MO5.COM. Elle a depuis intensifié ses activités d'années en années. Dès sa création elle a réuni des membres aux profils très divers : collectionneurs, conservateurs du patrimoine, journalistes spécialisés, passionnés, ingénieurs, enseignants, chercheurs, lycéens, étudiants, jeunes de tous horizons. Grâce à ces équipes, elle peut désormais organiser à volonté des événements ou des expositions sur les thèmes de l'histoire de l'informatique et des jeux vidéo. A travers eux, elle participe aussi à diverses publications et apporte ses connaissances et son expérience aux institutions patrimoniales nationales qui s'intéressent à ce sujet. http://www.mo5.com

Et maintenant, elle a un podcast !

La critique du Genma

Avant de se lancer eux-même dans leur propre podcast, les membres ont participés à différentes podcasts comme Gameblog, l'apéro du Captain et l'Agence tous geeks, parlant de leur exposition far de 2011 Game Stroy, et se créant une expérience dans le domaine.

Cela prend beaucoup de temps de faire un Podcast régulièrement et les membres de l'association ont déjà suffisamment à faire et avait probablement si peu de temps de disponible pour se lancer dans un nouveau projet. Et pourtant ils l'ont fait.

Le podcast MO5 est court (environ une heure), publier de temps à autre (toutes les 3 semaines/un mois), thématique. Ce Podcast a été de qualité dès les premiers numéros. Les premiers épisodes étaient très prometteur et la qualité c'est confirmer au fur et à mesure des numéros.

Minimaliste avec un générique de début et c'est tout (pas de piste musicale ou de jingle), ce podcast est composé uniquement des interventions des personnes. Les podcasteurs et les invités connaissent très bien le domaine du retrogaming, étant donné leur passion pour l'histoire du jeu-vidéo et leur implication au sein de l'association MO5. Les invités permettent d'avoir des témoignages, une contribution aux débats et sujets abordés. Ce Podcast illustre parfaitement le fait que chaque passionné peut enfin s'exprimer de façon libre. On a peut-être quelques émissions de radios spécialisées sur le jeu vidéo mais le Podcast est libère des contraintes de la radio.

Les premiers épisodes, très bons, mettent en avant l'association et son but. Et c'est une très bonne chose. Sur le coté nostalgie et retrogaming, beaucoup de retrogamers semblent dire que c'était mieux avant. Mais ce n'était pas mieux avant. Il y a de très mauvais jeux avant et de très bons jeux maintenant et à venir. Toutes ces machines, ces jeux constituent un patrimoine culturel. Mais c'est et ça reste le passé ; ça a vieillit et ce ne sont que les souvenirs qui embellissent ces jeux. Quand on y rejoue, on voit que les textures, la 3D, le gameplay ont évolués depuis et le jeu est moche et injouable alors qu'on a passé tant d'heures dessus durant l'enfance.

Je ne me lasse pas de les écouter car ils sont intéressants : pas de troll, de fanboyisme, de blagues douteuses. Juste un amour du jeu-vidéo et une volonté de partager son histoire. Si vous voulez en savoir plus sur l'histoire des jeux-vidéos, que vous êtres Nostalgeek ou juste nostalgique, si vous vous intéressez au retro-gaming ce Podcast est fait pour vous. A recommander.

La série de liens :
- MO5 sur Facebook
- le Twitter de MO5
- http://mag.mo5.com/
- http://www.mo5.com
- MO5 sur Itunes

Quelques réflexions rapides sur les commentaires sur les blogs...

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Commenter

Quand j'avais (je prenais) le temps d'en rédiger, les Actualités geek de la semaine reprenaient souvent les commentaires que j'avais mis aux articles cités, voir parfois même c'étaient les commentaires que j'aurais dû mettre sur ces site. Mais comme je les rédigeais après coup, je n'avais pas toujours le temps de faire un copier-coller de mon texte pour aller commenter un article souvent noyer au fond du site, de nouveaux articles étant apparu depuis sa publication… Le fait de les publier sur mon propre blog me permettait de les mettre en valeur d'une certaine façon. Sinon, ces remarques sont noyées dans la masse et le flot des commentaires, chacun donnant son propre avis sans écouter celui des autres, exception faite des fils de commentaires où sont instaurés des débats (parfois des trolls, mais parfois de vrais débats pertinents et enrichissants). Le problème de commenter directement sur un site et aussi que je ne fais pas (par manque de temps) de suivi de mes commentaires et de véritable discussion dans les commentaires. Je commente et je passe à autre chose. Pour moi, les discussions suivies, ça reste les topics de forum. C'était dans le web 1.0, avant les blogs et encore plus avant les réseaux sociaux où chacun donne son avis sur tout en 140 caractères. Si je veux parler à sens unique, je peux le faire via ce blog. Et ce que j'aime c'est que même si j'ai assez peu de commentaires à mes articles, ils son toujours assez intéressant (et le peu de spam est assez bien filtré).

Commenter mais ne pas oublier la gestion de son identité numérique

Quand je commente, j'utilise souvent le système d'identification fourni par Facebook. Je me logue avec mon compte Facebook, Facebook sait tout de moi. Mais je peux signer selon "Genma" j'ai une cohérence dans ma gestion de mon identité numérique, "Genma" sur le web, c'est moi. Je reste anonyme et en même temps je crée une véritable identité que j'assume, voir ma schizophrénie sur le sujet. Je n'oublie qui je suis, je ne raconte pas n'importe quoi. Et je me respecte moi-même en tant que Genma comme je respecte les site sur lesquels je commente : jamais de promo diffamatoire, de troll de bas étage ou autre.

Commenter sur les réseaux sociaux

L'avènement des réseaux sociaux est étroitement lié à celui des smartphones. Je ne serai pas catégorique avec cette affirmation mais il y a une certaine corrélation non ? Et à l'heure de la tablette et autre smartphones, le clavier virtuel étant beaucoup moins confortable qu'un clavier physique, on n'écrit pas/plus pendant des heures. En étant connecté de n'importe où, on peut publier des statuts et réagir dans l'instant aux statuts des autres. Mais on ne rédige pas de longs commentaires et on entre pas dans des débats. On réagir rapidement, brièvement et on passe à autre chose. Niveau contenu, on échange, on partage mais ce sont souvent des images, des vidéos, des phrases que l'on n'a pas produit soit-même. Ou si c'est du contenu que l'on produit soi-même, ce sont des photos ou vidéos prises avec son smartphone (on y revient). Mais il n'y a pas de long texte intéressant, que des futilités... Peut-être pas que, mais beaucoup. Et c'est dommage... Je déplore la fin des commentaires de qualités.

BloodRayne, un film d'Uwe Boll

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00
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Roumanie, XVIIIe siècle. Mi-humaine mi-vampire après le viol et le meurtre de sa mère par le roi des vampires Kagan (Ben Kingsley) , Rayne (Kristanna Loken) est élevée dans un cirque. Elle y découvre sa vraie nature, mais refuse de tuer des innocents pour étancher sa soif de sang : elle décide alors de se nourrir de vampires et devient BloodRayne. Approchée par Sebastian et Vladimir, deux chasseurs de vampires, elle se joint à la société secrète Brimstone pour tenter d'éliminer son père. Ce dernier convoite trois reliques légendaires qui permettraient aux vampires de prendre le contrôle de la Terre…

C'est en voyant ce film que j'ai appris le terme de Dhampire, connaissant plus celui de Diurnambule issu de Blade.Un dhampire (souvent dhampir, d'après l'anglais, bien que le terme « francisé » ait déjà été employé par Scott Baker) est une créature fantastique mi-humaine et mi-vampire. Nés d'un père vampire et d'une mère humaine, ils sont souvent des tueurs de vampires.

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Raine l'heroine est donc jouée par Kristinna Loken connue pour son rôle de Terminatrix dans le film Terminator 3. On la retrouve toujours aussi bien proportionnée et athlétique (elle fait d'ailleurs quelques mouvements de combats digne des coups de kick-boxing utilisé dans les cours d'aerobic). Au bout d'une heure de film on a le droit à la scène un peu chaude de ce film où l'actrice nous dévoile sa poitrine durant un coït violent lui permettant affirmer le coté domination et amazone (comme la position du même nom) de son personnage. Cette scène étant peut-être la scène où elle a son meilleur jeu d'actrice. Ce qui donne le niveau du film... (Le film a eu six nominations aux Razzie Awards 2006 sans en remporter aucun).

Jeu d'acteurs, chorégraphie des combats et doublage, les décors parfois très années 90 pour les châteaux en carton pâte, les longues chevauchées à travers des plaines de montagne... Tout ça c'est du vu et revue. Il n'y a pas d'innovation dans ce film, si ce n'est les épées tonfa de l'héroïne.

Rien de bien innovant dans le monde des vampires. Les vampires masculins ont des têtes comparables aux vampires dans la série Buffy. Quand aux quelques vampires femmes qu'il y a, elles servent d'esclaves dénudées entourant un vieux vampire lubrique sur un lit, joué par Meat Loaf. Le méchant dans sa jeunesse a une coiffure qui n'est pas sans rappeler celle de Dracula mode vieux dans le film de Copolla. Les vampires mordent et ont des canines pointues, on a du sang qui coule à flot mais c'est grossier...

0n a quelques noms connus au générique du film : Géraldine Chapelin, la petite fille de, Michelle Rodriguez vu dans Avatar et Machette... Mais ça n'aide pas à relever niveau du film.

Il sera dispensable, on pourra le voir en remplacement de Beowulf, le nanard de Christophe Lambert, ou, sur le thème des Vampires, des films comme Lesbian Vampire Killers ou encore .

Critique du podcast de Comicsblog.fr

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00
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Présentation

COMICSBLOG.fr est avant toute chose votre site d'actualité Comics. Créé et animé par une rédaction 100% amateur, COMICSBLOG se propose de vous faire découvrir l'actualité des plus grandes maisons d'éditions Américaines et Françaises (Panini, Delcourt...), des plus grands auteurs de Bande-Dessinée Américaine ainsi que des auteurs de French Comics.

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La critique du Genma

Je ne suis pas fan de comics car il y a largement plus fan que moi. J'en ai lu quelques-uns, plus que je n'ai critiqué et je n'ai pas attendu les films Marvel pour commencer à m'intéresser à cet univers, je connais depuis assez longtemps et j'ai un certain nombres de connaissances dans ce domaine. Les limitations qui font que ce centre d'intérêt ne soit pas une passion sont comme d'habitude l'argent et le temps, dont je manque cruellement pour les deux (surtout pour le deuxième). Un peu comme pour les jeux-vidéos pour lesquels je suis tout sauf un gamer (ah le manque de temps et d'argent).

Comme pour Gameblog et son Podcast sur les jeux-vidéos, je ne suivais pas l'actualité des comics jusqu'à ce que je tombe sur ce Podcast. Et je suis devenu un auditeur régulier suivant chaque semaine ce Podcast avec assiduité. J'apprends des choses qui m'intéressent sur l'histoire des comics, les auteurs, les techniques (colorisation, épaisseur du trait).

Le son est de bonne qualité, les podcasteurs sont des passionnés, ils savent de quoi ils parlent. Ils reconnaissent quand ils ne maitrisent pas le sujet, quand ils ne connaissent pas.

Un podcast de qualité que j'écoute avec assiduité chaque semaine et que je recommande.

La série de liens :
- Twitter
- Facebook
- Itunes
- Site officiel