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Le Blog de Genma

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L'élitisme de l'auto-hébergement

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Dans ce billet je voudrais parler de l'élitisme de l'auto-hébergement. Le terme d'élitisme peut sembler un peu fort mais il ne l'est pas tant que ça. En 2016 l'auto-hébergement reste clairement une lubie de geek et une solution qui est tout sauf grand public. Je m'explique et je démontre ça dans la suite de ce billet.

Mon background

Je connais le principe de l'auto-hébergement depuis que je suis sous Linux, au début des années 2000. Dans mes fréquentations de l'époque, j'avais des amis geeks qui laissaient tourner en permanence des PC "serveurs" (comprendre avec un OS en ligne de commande, sans interface graphique contrairement à moi, à l'époque) pour partager des fichiers et autres services (IRC) via le réseau de la résidence universitaire. Tout un monde qui m'était parfaitement étranger à moi, qui n'était pas encore intéressé par l'informatique comme je peux l'être depuis une dizaine d'années maintenant.

Peu de temps après ces premiers contacts avec ce monde inconnu,je suis tombé dans la marmite du logiciel libre, de l'autodidaxie en informatique, j'ai commencé à faire de la veille sur différents domaines au quotidien. J'ai passé et je passe encore BEAUCOUP de temps à faire ça. Avec les années, j'ai donc toujours suivi de plus ou moins loin les évolutions dans le domaine, j'ai vu l'arrivée du Raspberry Pi et de Yunohost, la naissance du projet La brique Internet et la volonté de revenir à un Internet décentralisé pour lutter contre les GAFAM.

Etat des lieux

Nous sommes donc en 2016, il y a des solutions plus faciles qui simplifient beaucoup de choses (la Brique Internet et le système qu'elle utilise Yunohost en sont de très bons exemples), qui automatise les configurations. Mais il y a encore beaucoup à apprendre. L'auto-hébergement demande un certain nombre de connaissances, compétences et pratique au quotidien. Que ce soit pour la supervision/analyse des logs, mises à jour, configuration de la sécurité... Tout cela ne s'improvise pas et n'est pas encore si simple que ça. Et je ne parle pas des problématiques comme la création de sous domaine, d'un hidden service pour Tor, la mise en place de TLS (même avec Let's Encrypt)...

Peut-être que j'ai un regardé biaisé, que j'en attends et demande trop, que je veux aller plus loin que ce n'est prévu pour ces solutions clefs en main. Peut-être.

Des connaissances

Des puristes m'ont dit : "Ton Yunohost c'est bien mais en automatisant, ça cache pas mal de choses". Et je ne peux que dire que je suis d'accord. Même si je fais confiance aux personnes qui sont derrière Yunohost pour être de meilleurs administrateurs et développeurs que moi (et ils le sont sans hésitation), je me penche tout de même sur le code source, je regarde les fichiers générés, j'étudie les fichiers de configuration et les choix qui y ont été faits. Mais c'est un choix et un investissement personnel que je souhaite faire.

Ce que je constat c'est qu'avant de me lancer dans cette aventure de longue haleine, j'avais déjà un certain nombre de connaissances de bases (j'ai un peu plus de dix ans de Linux sous Ubuntu), des notions d'administration système et une curiosité geek d'autodidacte qui me fait apprendre sans cesse de nouvelles choses.

Et plus le temps passe et plus j'en arrive à la conclusion que l'auto-hébergement nécessite d'avoir des prérequis en connaissances dans le domaine de l'administration (et être donc à l'aise avec les commandes shell correspondantes). Il faut par exemple

savoir faire des sauvegardes et surtout les restaurer

Car dès qu'on sort des clous, dès que ça ne marche pas, dès que l'automatisation pose soucis, on se retrouve à devoir comprendre, analyser, chercher dans les forums et devoir formuler de façon technique... D'où le prérequis des connaissances.

Du temps

Pour pouvoir s'auto-héberger, il faut du temps. Il y a le temps de l'acquisition des connaissances préalables. Il y a ensuite tout le temps de la mise en place d'un système rôdé. Et ce, même si on utilise des outils pré-configurés et facilitant grandement le travail comme Yunohost. Le temps de tout mettre en place, pour vérifier que tout marche, réparer etc. surtout si l'on veut faire des choses un peu exotique... Dans mon cas, j'ai réinstallé un PC sous Debian (en ligne de commande, sans interface graphique). Et il faut donc du temps pour apprendre à savoir faire ça.

Puis il y aura le temps d'administration, de mettre à jour, de veiller (faire de la veille technologique)... Pour savoir réagir et mettre à jour rapidement si une faille critique est découverte (oui j'ai automatisé les mises à jour avec apt-cron).

Et il y a tout bêtement le temps de l'utiliser. Car avoir un système d'auto-hébergement à soi, avec tout un tas de services cloud, c'est bien. En avoir l'usage, c'est mieux. Combien de temps va-t-on passer à installer des services, à les configurer aux petits oignons, à régler le paramétrage de la façon la plus fine possible, pour finalement ne pas utiliser le service en question ?

De l'argent

Même si on a pris une machine de récupération (un vieux PC que l'on nous donne par exemple), il faut payer son abonnement Internet tous les mois et la consommation électrique de la machine. Il y a l'achat d'un nom de domaine. Éventuellement de pièces détachées (si un élément ne marche plus, un disque dur usb externe pour faire des sauvegardes. Voir à ce sujet mon billet sur le spare matériel

).... Même si on se débrouille assez bien (un nom de domaine, c'est une dizaine d'euros par an, un PC basse consommation ou un Raspberry Pi c'est quelques euros d'électricité par an, on peut utiliser un disque dur qu'on avait déjà...)

Conclusion

Avoir des connaissances avancées en informatique, du temps et de l'argent, ce n'est pas donné à tout le monde. Tout le monde n'a pas la chance de pouvoir réunir ces 3 prérequis. Et c'est en cela que l'auto-hébergement est clairement quelque chose qui reste encore élitiste. Mais via mes billets de vulgarisation, mon retour d'expérience, mon partage de connaissance acquise et les synthèses que je fais, j'espère changer ça, en donnant autres des moyens de compréhension et d'appropriation des connaissances....

Android vs Firefox OS : les applications

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Dans ce billet, je me focaliserai sur une comparaison entre Android (version Cyanogenmod) et Firefox OS au niveau des applications. Le test est fait via deux smartphones identiques, le ZTE Open C, l'un sous Firefox OS 2.5, l'autre sous CyanogenMod 12 (donc Android 5.x). Dans ce billet j'utilise encore l'appellation Firefox OS car le nom est encore valable pour le système d'exploitation qui fait tourner le téléphone. La version communautaire qui fera suite à l'arrêt de Firefox OS pour smartphone par Mozilla, B2G (Boot 2 Gecko) n'est encore qu'un prototype

(Voir au sujet de B2G les billets de la Communauté Mozilla francophoneLe portage de B2G Contribuez à B2G OS pour continuer Firefox OS pour smartphones)

. Sur Firefox OS, j'utilise le marketplace ou des sites webs dans leur version adaptée au mobile que je mets en favori/marque-page/raccourci.

Pour rappel, Android (et donc CyanogenMod) utilisent des applications propres au système. Firefox OS utilisent des applications dites webs basée sur les technologies HTML5/CSS3/Javascript (et elles sont donc également utilisables sur Android si besoin, ce que je n'ai pas encore fait que je n'aborderai donc pas dans ce billet).

Pour pouvoir installer des applications

Quand on commence à s'intéresser aux applications (pour connaître un peu les applications à la mode) qu'il est possible d'installer sur un téléphone Android (ou équivalent dans le cas de CyanogenMod), on s'aperçoit très rapidement que ces applications sont disponibles pour Android via le Google Play ou sur Iphone et sont absentes de Windows Phone. Le marché est donc très clairement trusté par deux systèmes. Sur CyanogenMod j'ai installé deux logiciels permettant d'installer des applications : le Google Play et F-Droid.

A chaque installation d'application, la liste des autorisations nécessaires au bon fonctionnement de l'application est consultable. Pour les applications à la mode, les applications recommandées ou considérées comme indispensables par la plupart des billets de blogs et articles de journaux qui ressortent dans les premières réponses dans les moteurs de recherche, les autorisations nécessaires font peur... Comme je le disais dans mon billet Android ou CyanogenMod ?, ces applications nécessitent un accès à quasiment à toutes les données du téléphone (dont aux données personnelles). Mon choix est donc simple : je m'en passe, je n'installe pas. Et je cherche un équivalent en logiciel libre sous F-Droid.

Les applications non disponibles sous Firefox OS

Avec CyanogenMod, j'ai toutes les applications que je n'avais pas sous Firefox OS et des fonctionnalités qui me manquaient. Il y a CozyCloud pour ne citer qu'elle (voir Test de l'application CozyCloud sous Android). Il y aussi l'application Freebox officielle fournie par Free qui permet de gérer sa Freebox depuis son smartphone (fort pratique et utile pour moi). Ce sont des applications que j'ai récupéré via le Google Play. Ainsi que SMSSecure/TextSecure (devenu Silence et Signal ; un billet sera écrit prochainement spécifiquement sur ces applications). Certes il existe des façons de récupérer ces applications et d'installer les différents "apk" (le format d'application d'Android) sans passer par le store (et donc la nécessité d'avoir un compte Google). Mais je n'ai pas encore testé cette façon de faire.

En fouillant un peu le Google play par curiosité, ce que je remarque aussi c'est qu'il y a des applications pour tout. Chaque service public et entreprise a son application. Chaque site web a son application. L'expression There's an app for that Il y a une application pour ça n'existe pas pour rien. Là où une simple version mobile du site suffirait, on a une application. Avec des demandes de droits et récupération de données personnelles...

Par conséquence, j'évite donc au maximum les applications du Google Play, préférant des logiciels libres disponibles sur F-Droid. Via F-Droid, j'ai pu installer un client OpenVPN, le TorBrowser via Orbot... Soit des applications qui n'existe pas et pour lesquelles il n'y a pas d'équivalent sous Firefox OS. Et que j'avais très clairement identifiées comme nécessaire à mon usage/mes besoins. Cf mon billet FirefoxOS - Quelles sont les applications manquantes ?

Pour les autres applications que j'installe et je teste, ce sont plus des tests d'applications dispensables, toujours trouvées via F-Droid.

Les usages communs aux 2 OS

Je consulte mes mails depuis mon Smartphone. Niveau mail, j'utilise K9Mail sur CyanogenMod ; le logiciel de mail par défaut (en existe-t-il d'ailleurs un autre pour Firefox OS). K9Mail est plus complexe et a plus de fonctionnalité mais ce n'est pas un mal.

J'utilise un client Owncloud. Sous CyanogenMod le client Owncloud officiel ; sous Firefox 0S, j'utilise TFE Drive. Il faudra que je compare ces deux applications via des tests (vitesses de récupération du même fichier, réactivité de l'application, ergonomie etc.) pour pouvoir juger et me faire un avis plus poussé.

Là où Firefox OS est peut-être gagnant c'est sur l'usage du navigateur Firefox en lui-même. Les pages s'affichent un peu plus rapidement. Est-ce lié au fait que le moteur de Firefox est part intégrante du système et que l'on gagne une couche applicative. Sûrement. Ou au fait que dans le Firefox sous CyanogenMod, comme il est possible d'installer des extensions, j'ai ajouté µBlock Origin, ce qui alourdirait Firefox ?

De même pour Twitter et Diaspora. Sous FirefoxOS, ce sont des versions mobiles/adaptées des sites webs. Sous CyanogenMod, ce sont des applications. Les applications apportent des fonctionnalités comme les notifications (même lorsque l'application n'est pas lancée), mais cela alourdit l'ensemble.

Conclusion à ce billet

Pour les anglophones, j'avais écrit un billet Still A Firefox OS user, will I migrate to Android ? que je pourrais traduire en français par utilisant toujours Firefox OS, est-ce que je migrerai sous Android ?.

Ce billet est donc un pas de plus vers une migration envisageable/envisagée, apporte quelques éléments de ma propre réflexion et expérience pour que chacun-e se fasse son propre avis. Le fait que l'on retrouve tout ce que l'on a sous Firefox OS et surtout des applications nécessaires (voir indispensable) qu'on a pas sous Firefox OS, le fait qu'il faille encore attendre plusieurs mois avant de voir la viabilité de B2G OS (nouveau nom de Firefox OS), tout cela penche de plus en plus dans la balance... A suivre...

Sur le même sujet
- Android ou CyanogenMod ?
- Android, Cyanogen et ZTE Open C

Et sur le sujet de B2G OS, les billets de la Communauté Mozilla francophone :
- Le portage de B2G
- Contribuez à B2G OS pour continuer Firefox OS pour smartphones

Clonezilla et disque chiffré avec Luks

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Clonezilla est live cd/usb qui permet de créer des images de partition et de disque pour clonage (comme son nom l'indique). C'est pratique pour copier un disque vers un disque plus grand (par exemple), faire des sauvegardes, installer tout un parc de machine à la configuration identique (une fois la première machine préparée, on la réplique sur le reste du parc). On trouve un certain nombre de tutoriaux sur Clonezilla, je vous renvoie vers eux.

Attention à bien utiliser Clonezilla quand on est en forme, à bien réfléchir et de poser plusieurs les bonnes questions à savoir : est-ce que je prends le bon disque en source et en cible et à avoir des sauvegardes avant. Ce pour éviter de tout perdre si on fait une mauvaise manipulation.

Je cherchais donc, comme le titre l'indique, à avoir un clone d'un disque dur chiffré avec Luks. J'avais deux disques de taille identique, je voulais faire une sauvegarde du premier sur le deuxième disque. J'ai installé une iso de Clonezilla sur une clef USB, branché les deux disques dans un PC (deux marques différentes, ce qui est bien pratique pour les identifier au moment du choix de la source et de la cible). Une copie bit à bit du disque dur entier a été faite et la copie est belle et bien le clone du premier, avec saisie de la phrase de passe au démarrage.

La copie se faisant bit à bit, le chiffrement ne gène en rien le clonage. Peut être évident pour certain, mais c'est toujours bon à savoir et à dire.

Serial Busters - les séries à ne pas regarder

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Présentation

Tous les mois vous retrouvez une série qui n'a pas fonctionné disséquée et maltraitée par vos serviteurs, MaxTroopers et Dkto.
Etant Lyonnais la seule chose que nous avons retenue de Louis et Auguste lumière, c'est qu'on peut survivre en n'ayant pas la lumière à tous les wagons ! En nous basant en grande partie sur le pilote nous noterons et illustrons les incohérences qui ont permis à la série de finir dans le cimetière des projets annulés !

Les liens :
- Le site officiel http://serialbusters.wordpress.com
- Serial Busters sur Facebook
- Serial Busters sur Dailymotion
- Serial Busters sur Youtube

La critique du Genma

Serial Busters est donc un site et une série d'émissions en vidéos qui sont publiés tous les 15 du mois (publication mensuelle donc). Les vidéos durent entre 12 et 20 minutes et ont tendance à s'allonger avec le temps et les épisodes, et l'expérience des présentateurs. On sent d'ailleurs les présentateurs très à l'aise dès le début.

Chaque vidéo commence par un sketch, à chaque fois différent, au sein duquel on a l'utilisation de costumes et d'effets spéciaux
et appel à des amis pour participer et avoir plusieurs personnages. Ces sketchs s'intègrent parfaitement dans la critique et ont parfaitement leurs places dans la vidéo. Dans les qualités, il y a le fait que c'est bien écrit, qu'il y a beaucoup d'humour. Et que c'est souvent de meilleur qualité que la série présentée (ce qui n'est pas dure). Le concept est intéressant et original, c'est jeune, c'est dynamique. Les extraits choisis donnent une assez bonne idée de la série et viennent appuyer l'argumentation. La vidéo se termine sur un bilan des points positifs et négatifs.

Parmi les séries critiquées, on a Stargate Universe (Serial Busters EP07), Aquaman (Serial Busters EP05) ou encore Flash Gordon (Serial Busters EP02), ce qui tourne beaucoup autour de séries américaines de science-fiction ou de super-héros, du moins pour l'instant. On verra avec les numéros à venir si ça change.

Le site http://serialbusters.wordpress.com ne contient pas que des billets contenants les vidéos. On a également de long articles de réflexion (mais avec de l'humour) en rapport avec les thèmes des séries abordés, des articles comme Les super héros : un besoin ?, Les vortex dans les séries télé ou encore Dans l'espace on vote aussi…, article de présentation des différents courants politiques au sein de séries comme Star Trek par exemple.

Le site pour ces billets (à lire) et les vidéos pour leurs qualités (à voir) font que je recommande fortement Serial Busters qui est pour moi le coup de coeur du moment.

Babymetal

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Ce billet est dédicacé à NotPatrick et à SebOS666

Présentation du groupe

Je ne vous ferai pas l'affront d'un copier-coller de Wikipedia, la page est assez complète. En résumé, c'est un groupe de J-pop et de metal, composé de trois jeunes idoles (des adolescentes)

Pourquoi j'aime ce groupe ?

Avec Babymetal, les otakus seront ravis et auront leur dose d'idol, de kawai et de loligoth. Personnellement, j'ai longtemps été et je suis encore fan de JMusic (J-Pop, J-Rock, VisualKey) de fin des années 90 à courant des années 2000. J'ai vieilli et ai passé le cap du fantasme des idoles (y a 10 dans sur ce blog, j'avais écrit un billet sur Le fantasme de la copine japonaise, on doit le retrouver dans des archives), j'ai plus de deux fois l'âge des chanteuses de ce genre de groupe. Ce n'est pas parce que je ne collectionne pas les posters et fonds d'écrans à l'effigie d'un groupe que je ne peux pas en apprécier la musique.

Oui la musique de Babymetal est commerciale, ce groupe est monté de toute pièce. On a un mélange de différents genres et styles (pas que du métal)... La production fait tout ce qu'il faut pour que le groupe marche et rapporte de l'argent. Mais comme on le sait... Et c'est comme beaucoup de la musique japonaise que j'ai écouté et que j'écoute. Les concerts sont des shows de lumière, avec toute une ambiance bien définie associée au groupe. Toute est chorégraphié, bien orchestré pour que ça marche. ET CA MARCHE ! La musique est entrainante, rythmée et la chanteuse a une voix que j'aime beaucoup. Sur scène et dans leurs prestations lives, les filles bougent et sont très dynamiques. Je retrouve dans leur son tout ce j'aimais dans le rock japonais, en version moderne et actualisée. Bref, je suis fan.

Je n'ai aucune connaissance sur la musique métal et je ne connais pas de puriste et encore moins d'intégriste de ce genre (ces genres) musical. Donc je ne pourrais juger que de façon subjective. Pour moi c'est et ça reste de la musique japonaise version métal. Toutefois je vous ai trouvé une petite critique bien trash qui donne le ton.

Le plus simple reste encore je pense de se faire son propre avis en regardant en gardant en tête que ça vient du Japon. C'est là le mot clef. Avec le mot Japon, tout est dit.

les clips sont offficiellement mis à disposition sur la chaine Youtube du groupe. Essayez les chansons Megitsune et Gimme Chocolate !! vous m'en direz des nouvelles.

Des versions pirates (comprendre le rip du bluray) du concert au Nippon Budokan complet se trouve également assez facilement sur les sites de diffusion de vidéo en ligne (Dailymotion pour ne pas le nommer) pour aller plus loin. Et si vous aimez, le cd etc. sont trouvables très facilement.