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Le Blog de Genma

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Serial Busters - les séries à ne pas regarder

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Présentation

Tous les mois vous retrouvez une série qui n'a pas fonctionné disséquée et maltraitée par vos serviteurs, MaxTroopers et Dkto.
Etant Lyonnais la seule chose que nous avons retenue de Louis et Auguste lumière, c'est qu'on peut survivre en n'ayant pas la lumière à tous les wagons ! En nous basant en grande partie sur le pilote nous noterons et illustrons les incohérences qui ont permis à la série de finir dans le cimetière des projets annulés !

Les liens :
- Le site officiel http://serialbusters.wordpress.com
- Serial Busters sur Facebook
- Serial Busters sur Dailymotion
- Serial Busters sur Youtube

La critique du Genma

Serial Busters est donc un site et une série d'émissions en vidéos qui sont publiés tous les 15 du mois (publication mensuelle donc). Les vidéos durent entre 12 et 20 minutes et ont tendance à s'allonger avec le temps et les épisodes, et l'expérience des présentateurs. On sent d'ailleurs les présentateurs très à l'aise dès le début.

Chaque vidéo commence par un sketch, à chaque fois différent, au sein duquel on a l'utilisation de costumes et d'effets spéciaux
et appel à des amis pour participer et avoir plusieurs personnages. Ces sketchs s'intègrent parfaitement dans la critique et ont parfaitement leurs places dans la vidéo. Dans les qualités, il y a le fait que c'est bien écrit, qu'il y a beaucoup d'humour. Et que c'est souvent de meilleur qualité que la série présentée (ce qui n'est pas dure). Le concept est intéressant et original, c'est jeune, c'est dynamique. Les extraits choisis donnent une assez bonne idée de la série et viennent appuyer l'argumentation. La vidéo se termine sur un bilan des points positifs et négatifs.

Parmi les séries critiquées, on a Stargate Universe (Serial Busters EP07), Aquaman (Serial Busters EP05) ou encore Flash Gordon (Serial Busters EP02), ce qui tourne beaucoup autour de séries américaines de science-fiction ou de super-héros, du moins pour l'instant. On verra avec les numéros à venir si ça change.

Le site http://serialbusters.wordpress.com ne contient pas que des billets contenants les vidéos. On a également de long articles de réflexion (mais avec de l'humour) en rapport avec les thèmes des séries abordés, des articles comme Les super héros : un besoin ?, Les vortex dans les séries télé ou encore Dans l'espace on vote aussi…, article de présentation des différents courants politiques au sein de séries comme Star Trek par exemple.

Le site pour ces billets (à lire) et les vidéos pour leurs qualités (à voir) font que je recommande fortement Serial Busters qui est pour moi le coup de coeur du moment.

Clef GPG - Mise à jour du formulaire de contact

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Il y a bien longtemps j'avais écrit un article sur le chiffrement de mes mails et je m'étais adonné, à l'époque, à quelques échanges expérimentaux de mails chiffrés avec quelques amis. Ca n'avait pas donné suite et ma correspondance par mail n'a jamais été si important que ça, tant dans son volume que dans son contenu.

Nouvelle clef GPG

Mais avec la récente affaire Prism, mon intérêt grandissant pour le chiffrement, je me suis dis que j'allais me remettre à GPG. J'ai donc récrée une clef GPG sur 4096 bits, et j'ai ajouté dans le formulaire de contact et dans les mentions légales la clef publique.

My PGP - Genma Kun

L'empreinte de la de la clef / Fingerprint = F520 6815 EEB3 E0E2 66E9 879D CA1B 3CF6 5AA1 9646. Cliquer ici pour télécharger ma clé publique

Mise à disposition de la clef

Cette clef a été publié sur un serveur de clef GPG, comme on peut le voir sur ces deux liens :
- http://pgp.mit.edu:11371/pks/lookup?op=get&search=0xCA1B3CF65AA19646
- http://pgp.mit.edu:11371/pks/lookup?search=genma&op=index

Comment faire quand on a pas GPG ?

Si on a pas de clef GPG, on peut tout de même avoir la certitude que c'est bien moi qui est répondu/envoyé un mail. Il me suffit de demander et je peux ajouter une signature dans le mail. Ca se fait automatiquement via l'extension Enigmail et on aura alors

Le mail sera donc signé numériquement, attestant que j'en suis bien l'auteur.

La suite ?

Cet article est probablement le premier d'une série d'articles sur le chiffrement, qui viendront compléter la collection d'articles déjà existant. A suivre donc.

Crowdfunding et l'importance de la Fanbase

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

On a eu la mode du crowdsourcing, où l'on demandait aux Internautes de travailler/participer sur le principe qu'une tâche, divisée en plein de petites tâches, réparties entre plein de personnes, permet de faire que celle-ci soit réaliser. Les appels à traductions de Framasoft font partie, par exemple, sont un exemple de crowdsourcing. Depuis quelques temps maintenant, on est entré dans l'air du crowdfunding, ou financement collaboratif.. Le principe est de donner de l'argent pour un projet et en échange, on peut recevoir (ou non) une contrepartie. Selon le montant donné et le type de projet, on a des contreparties de plus en plus importante.

Personnellement, je connaissais la plateforme américaine Kickstarter de nom, mais c'est véritablement avec Babozor qui a lancé deux projets chtemele (dont j'avais parlé ici) et un projet de financement de son podcast La grotte du barbu que j'ai découvert Ulule. J'en ai appris un peu plus avec un épisode du podcast l'Apéro du Captain, L'apéro du Captain #161 dans lequel est interviewé Mathieu Maire du Poset, directeur projet et communication d'Ulule. Et avec le Dossier PCi- Crowdfunding et jeux vidéo : entre risques et belles histoires ainsi que l'interview de William Abisror.

Crowdfunding et podcasts

De plus en plus de podcasts ont recours au crowdsourcing pour avoir le financement nécessaire à leur indépendance. Maintenir le rythme d'un Podcast est une question de volonté, de passion, mais aussi d'argent. Car avec le succès grandissant, il faut investir dans du matériel, l'hébergement, et tout ça coûte de l'argent.

Via les plate-formes de crowdfunding, des projets qui ne pourraient peut être continuer autrement vont le pouvoir. Mais il ne faut pas oublier qu'avant se se lancer, il est important d'avoir su fédérer une communauté de fans autour de soi. Et avoir un projet porteur et intéressant. Croire que l'on pourra lancer un projet si on n'a rien fait avant, que l'on a aucune existence sur Internet et que l'on a aucune communauté, c'est illusoire. Je pense aux personnes qui voudraient financer l'achat de matériel pour lancer leur podcasts : il faut déjà avoir fait le podcast. Car pour pouvoir réussir un projet avec une plate-forme de crowdfunding, il faut déjà avoir une communauté assez forte et bien présente. Quand on voit que le don moyen est entre 30 et 50 euros (pour savoir ça il suffit de diviser le nombre de dons par le nombre de donneurs), on voit que les gens sont prêts à payer pour que perdure leurs podcasts. Cela me semble beaucoup. Mais la somme donnée est pour un an (il y a de forte chance que les podcasts retentent l'aventure l'année suivante). Mais si on compte, cela fait un peu plus de 4 euros par mois, une sorte d'abonnement pour avoir une émission qui nous correspond réellement. On finance donc des émissions qui nous correspondent réellement, des émissions que l'on aurait jamais eu autrement.

Moi et le crowdfunding

J'avoue. Je n'ai pas donné. Et ce bien que j'écoute des podcasts depuis 2006 (le rendez-vous tech depuis le numéro 20, L'Apéro du Captain depuis le numéro 1 (certains Poditeurs ne l'ont découverts que récemment)... Car j'ai eu l'impression que tout le monde lance son projet, pour oui ou pour un non. A tel point que je me suis demandé si je n'allais pas moi-même lancer un projet, dont le but serait de récolter de l'argent que je redistribuerais ensuite.

Je considère que je fais des dons autrement. Je donne de mon temps pour faire de la promotion de ces podcasts à mon échelle, en rédigeant mes critiques et présentations, en parlant d'eux sur les réseaux sociaux et en écrivant tout un tas d'article sur les podcast en tant que nouveau media. Et j'espère avoir eu mon petit rôle dans la croissance de certains podcasts.

L'appel aux dons

A côté des projets de crowdfunding, il y a toujours les appels aux dons. Parmi les différents appels qui existent, je voudrais en relayer deux pour deux sites différents (et complémentaires) que je suis régulièrement :
- La Quadrature du Net https://support.laquadrature.net/
- Reflets.info http://reflets.info/des-dons-pour-reflets-pour-quoi-faire/

En échange de ces dons, on aura pas grand chose, du moins pas de directement. Si ce n'est que ces sites continueront d'exister et les membres les animant pourront continuer leurs actions. Il ne faut pas les oublier car leurs actions sont importantes.

Sarah Connor Chronicles

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Résumé de la série

Cette série est dérivée de la franchise de la trilogie Terminator. L'action est située après Terminator 2 : Le Jugement dernier. À partir de cet instant, le temps n'étant pas linéaire mais constamment modifié, un futur alternatif apparaît, où le troisième épisode Terminator 3 : le soulèvement des machines n'existe plus. La série raconte les aventures de Sarah Connor et de son fils John se cachant du gouvernement américain et des Terminators envoyés par Skynet, et tentant d'empêcher l'avènement de ce dernier, évitant ainsi la guerre nucléaire et la domination des machines.

La critique du Genma

Cette série se déroule donc quelques années après le second film de Terminator et à mes yeux, cette série apporte beaucoup à l'univers de Terminator. Quoique puisse en laisser penser le début de la série, on n'est pas dans une série pour adolescent. Au contraire. Oui, au début, John Connor va au lycée, mais c'est pour montrer que sa mère veut qu'il est une vie normale... Une vie normale mais constamment, elle lui rappelle le poids de son destin, le fait qu'il est le futur leader de la résistance. Et ça lui pèse. John se cherche et flirte avec des filles, il souhaite avoir une existence normale, il a une petite amie... Les scénaristes ont joués là-dessus de façon excellente (Cameron, le Terminator sensée le protéger, a son âge, est à même de le comprendre, mais reste une machine...). Et pourtant plane toujours au-dessus de lui la menace des Terminator.

On voit une Sarah Connor prête à tout. On sent le traumatisme omniprésent qu'a subi Sarah : être pourchasser par LE Terminator, avoir connu et perdu le seul amour de sa vie, qui vit à travers son fils, fils qui est tout ce qui lui reste. Il est sa seule raison de vivre. Elle est investit d'une mission. Et de ce fait, depuis sa plus tendre enfance, John Connor a été entrainé à devenir celui qu'il devra être, à savoir le chef de la résistance.

Il ne faut donc pas s'arrêter à la saison 1 qui se cherche un peu, qui est assez courte et qui pose les personnages. La fin de la saison 1 laissait comme un manque, la saison 2 débute sur un John Connor qui a mûri et dans son regard, on peut voir celui qu'il sera plus tard. Il prend conscience de son destin et est prêt à l'affronter. Cette saison apporte pas mal de choses à l'univers, avec des flash-forward/back avec le futur... On a des futurs et des complexes temporels...

L'univers de Terminator est respecté et complété ; on a des clins d'oeils avec la phrase "viens avec moi si tu veux vivre" lors de la première rencontre John - Cameron. On retrouve le fameux psy des 3 films, celui-là même qui souhaitait comprendre d'où venait la maladie mentale de Sarah Connor. On voit la construction de ce qui deviendra Skynet... Chaque épisode de la saison 2 apporte un élément à l'univers, complétant peu à peu le puzzle...

Parmi les différents personnages, j'ai adoré le personnage de Shirley Manson (chanteuse du grouper Garbage), froide comme du liquide de T-1000, jouants le rôle de Catherine Weaver. Il faut également saluer ici le jeu d'acteur de Summer Glow alias Cameron, qui joue une machine sans émotion. Ainsi que Brian Austin Green, connu pour Bervely Hills, jouant Derek Reese. Il a 20 ans de plus, il est parfaitement crédible en soldat de l'armée de John Connor. Rien à redire.

Sarah Connor Chronicles, c'est l'univers étendu de Terminator et la fin de la saison 2 apportait quelque chose de révolutionnaire. Mais on n'aura malheureusement jamais de saison 3, la Fox ayant décidé de ne pas continuer la série pour manque d'audience... Pourtant cette fin avait un potentiel... Je n'en parlerai pas ici, pour ne pas gâcher la série. Mais cette fin a suscité de nombreuses discussions sur les forums dédiés à la série et les réflexions riches et intéressantes sur cette fin et sa potentialité font d'autant plus regretter l'absence de saison 3...

Cette série complètent, à mes yeux, parfaitement l'univers étendu de Terminator, et mérite d'être vue.

Disponible à la vente :Terminator - The Sarah Connor Chronicles - Intégrale en Blu-ray"

Google propose le chiffrement sur ses serveurs

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Google précise que les données et les méta-données de l'utilisateur sont protégées par leurs propres clés AES 128-bit puis de nouveau avec une seconde clé associée à l'utilisateur. Le tout est encore protégé par une clé principale (master key) modifiée de manière régulière. La société explique qu'il est toujours possible d'ajouter un chiffrement supplémentaire dont les clés sont cette fois prises en charge par les éditeurs eux-mêmes. Source

Google se met au chiffrement. Amazon, quand à lui propose un chiffrement AES 256-bit sur ses serveurs S3 depuis 2011. Mais tous les cas, cela reste un chiffrement par le fournisseur de service. Des acteurs extérieurs comme la NSA (affaire PRISM) ne voit que du contenu chiffré et ont donc besoin de la clef de déchiffrement (on peut espérer qu'elle n'est fournie que dans le cadre d'une décision de justice et non de façon systématique). Mais croire que le fait que Google chiffre nous protège est illusoire. Car le fournissuer de service est celui qui possède les clefs. Et il peut donc à tout moment ouvrir les contenus chiffrés pour y analyser les données et continuer à faire ses profits en se basant sur les données de ces utilisateurs.

Comme il est dit dans la citation que je fais, il faut soit-même ajouter sa couche de chiffrement avant l'envoi sur les serveurs. Que ce soit un fichier, un mail ou autre, on doit le chiffrer avant de le déposer pour profiter de l'espace de stockage cloud qu'offre les serveurs de Google. Mais pour ce qui est des autres services, comme Google Doc, Calendar, les données font partie intégrante du service en ligne. On ne peut pas les chiffrer en local avant de les envoyer sur les serveurs.

Et il ne faut pas oublier que ce qui est chiffré et non lisible aujourd'hui pourra très probablement être décrypté demain. Si l'on ne veut pas que des données soient accessibles à quiconque un jour, on ne le met pas sUr Internet.