source: Le Blog de Genma
Le vendredi 15 août, de 12h à 18h, au Jardin du Trocadéro, à côté de l'Aquarium de Paris, 5 avenue Albert de Mun, Paris (Plan d'accès OpenStreetMap), ce sera Apéro Parisien du Libre. Comme chaque 15 de chaque mois, Parinux vous convie à l'Apéro Parisien du Libre (APL), événement informel pour faire se rencontrer toutes les communautés de libristes parisiens. Source.
Je serai sur place et ce peut donc être l'occasion de se voir/se rencontrer et éventuellement de faire une série de discussions/ateliers/débats improvisés de type chiffrofête/cryptopartie si vous le souhaitez. N'hésitez pas à me contacter à ce sujet si vous êtes intéressé et également à cet événement.
J'ai (enfin) un Raspberry Pi en ma possession, reçu via le site http://fr.farnell.com/, site sur lequel vous trouverez le Raspberry pi, tous ses accessoires. Mais également plus de 780.000 produits de 3.500 fabricants, dans le domaine de l'électronique et des composants et autres pièces électriques.
Je ne ferai pas d'unboxing ou de photos, le Net en regorge. Via cet article, je voudrais initier une série de billets à venir sur le Raspberry pi et l'usage que j'en aurais.
Le Raspberry pi en ma possession
Je viens donc de recevoir un kit complet "Raspberry Pi", à savoir : un Raspberry Pi Model B+
un boîtier
une carte SD 8 go avec Noobs de préinstaller dessus
un chargeur USB
Tout le monde doit connaitre ou du moins avoir entendu parler du Raspberry Pi. Le modèle B+ est le dernier né de la gamme (déjà composé des modèle A et B). Il s'agit d'une mise à jour du dernier modèle B, sorti en 2012. Le modèle B faisait passer le Raspberry de 256 Mo de RAM à 512 Mo et ajoutait une prise réseau ; le modèle B+ ajoute 2 prises USB (passant du nombre de 2 à 4), la sortie vidéo composite est supprimée, le lecteur de carte SD est remplacé par un lecteur de carte mini-SD, le nombre de pics du port GPIO passe de 26 à 40... Et la consommation électrique est réduite par rapport aux modèles précédents.
Un Raspberry pi pour quel(s) usages
Un Raspberry pi peut être destiné à différents usages, à savoir : un Raspberry Pi comme ordinateur : il est possible de mettre un OS avec un bureau, un navigateur et en faire un ordinateur d'appoint. Personnellement, je testerai peut-être cet usage mais ce ne sera pas de suite ;
un Raspberry Pi comme mediacenter : je testerai cette fonctionnalité en mettant XBMC, pour tester pendant quelques jours le Raspberry pi derrière ma télévision, mais ce ne sera pas son usage final (si c'est à amener à le devenir, j'en achèterai un dédié à cet usage) ;
un Raspberry Pi comme serveur : c'est là l'usage principal que j'en ferai ;
un Raspberry Pi comme système embarqué : radio-réveil web, sur un robot, système d'arrosage de jardin... Combiné avec différents accessoires (écran LCD, sondes diverses, un Arduino ou autre), le web regorge de projets divers et variés dans lesquels un Raspberry pi est au coeur du projet. Je ne suis pas doué/intéressé par l'électronique, il n'y aura donc pas de projets dans cette catégorie ;
un Raspberry Pi pour faire autre chose... On peut l'utiliser pour le mettre dans une borne d'arcade et faire tourner de vieux jeux en émulations, nettoyer ses clefs USB...
Avec un Raspberry pi, les projets envisageables sont donc nombreux. Mon temps n'est pas extensible et plutôt que de m'éparpiller, j'ai choisi, parmi les usages possibles (que je listais ci-dessous) de me concentrer sur la partie 'Serveur'.
Premier démarrage du Raspberry Pi - Noobs
Le Raspberry était fourni avec une carte SD sur laquelle le système Noobs était présintallé. Une fois les branchements (alimentation, sortie vidéo, clavier et souris en USB) effectué, le Raspberry démarre sur Noobs. Noobs signifie New Out Of Box Software que l'on pourrait traduire oar "Nouveau logiciel qui fonctionne à la sortie de la boite" mais est aussi un jeu de mot avec "Noobs" Débutant. Noobs est un utilitaire conçu pour rendre le premier démarrage d'un Raspberry Pi nettement plus facile, en proposant, au premier démarrage, d'installer un ou plusieurs systèmes d'exploitations parmi Raspbian, Pidora, RaspBMC, RiscOS, Arch Linux ou OpenELEC.
Ce qui est donc bien pratique pour commencer. On choisit le ou les systèmes à installer, on clique et on attend que l'installation se déroule. Personnellement, je suis parti sur OpenELEC (un concurrent de RaspBMC, fournissant XBMC, plus rapide/plus véloce que ce dernier) pour le tester un peu. Et ensuite, j'installerai Raspbian, connaissant un peu l'univers Debian, pour faire du Raspberry pi un serveur en vue d'un projet d'auto-hébergement de certaines de mes données/de certains services (comme un agenda par exemple).
Conclusion
Ce billet est donc le premier d'une série de billets sur le Raspberry pi et ce que j'en ferai. Pour indication, voici les titres de quelques-uns des articles à venir : Quelques sites de références sur le Raspberry Pi
Un Raspberry derrière une Freebox V6
Sauvegarder son Raspberry pi
Yunohost
A suivre donc...
Dans ce billet, je voudrais partager quelques liens vers les sites de référence sur le Raspberry Pi. Ce billet sera mis à jour régulièrement en fonction de mes découvertes, recherches, me permettant de bookmarquer différents sites
Le site officiel du Raspberry pi http://www.raspberrypi.org
Des sites d'actualités http://www.framboise314.fr, un site d'actualités et de tutoriaux
http://planet.raspfr.org qui regroupe différents sites de blogueurs ayant un Raspberry pi et relatant leurs projets associés
http://www.raspfr.org/fr/ site de l'association francophone des utilisateurs de Raspberry Pi, qui a pour but la promotion du Raspberry Pi, l'entraide entre utilisateurs, et la mise en avant de projets citoyens basés sur le Raspberry Pi.
Pour installer un OS sur le Raspberry Pi https://github.com/raspberrypi/noobs/, le Github de Noobs, qui facilite le choix et l'installation d'un OS pour le Raspberry Pi
http://www.raspberrypi.org/downloads/ qui liste les différentes images à mettre sur sa carte SD sur laquelle le Raspberry pi démarre
http://www.raspbian.org, le site de Raspbian
http://raspbian-france.frle site français sur Raspbian
SliTaz ARM, un environnement bureautique léger, permettant également de faire des programmes utilisant la caméra (accessoire du Raspberry pi) ou des modules connectés aux ports GPIO.
Site de tutoriaux Le Blog de KZL Mes expériences, mes activités, mon réseau...
Raspberry PI & Arduino, domotique, robotique, et pleins de trucs en “ique”
J'ai (enfin) un Raspberry Pi en ma possession, reçu via le site http://fr.farnell.com/, site sur lequel vous trouverez le Raspberry pi, tous ses accessoires. Mais également plus de 780.000 produits de 3.500 fabricants, dans le domaine de l'électronique et des composants et autres pièces électriques.
Je ne ferai pas d'unboxing ou de photos, le Net en regorge. Via cet article, je voudrais initier une série de billets à venir sur le Raspberry pi et l'usage que j'en aurais.
Le Raspberry pi en ma possession
Je viens donc de recevoir un kit complet "Raspberry Pi", à savoir : un Raspberry Pi Model B+
un boîtier
une carte SD 8 go avec Noobs de préinstaller dessus
un chargeur USB
Tout le monde doit connaitre ou du moins avoir entendu parler du Raspberry Pi. Le modèle B+ est le dernier né de la gamme (déjà composé des modèle A et B). Il s'agit d'une mise à jour du dernier modèle B, sorti en 2012. Le modèle B faisait passer le Raspberry de 256 Mo de RAM à 512 Mo et ajoutait une prise réseau ; le modèle B+ ajoute 2 prises USB (passant du nombre de 2 à 4), la sortie vidéo composite est supprimée, le lecteur de carte SD est remplacé par un lecteur de carte mini-SD, le nombre de pics du port GPIO passe de 26 à 40... Et la consommation électrique est réduite par rapport aux modèles précédents.
Un Raspberry pi pour quel(s) usages
Un Raspberry pi peut être destiné à différents usages, à savoir : un Raspberry Pi comme ordinateur : il est possible de mettre un OS avec un bureau, un navigateur et en faire un ordinateur d'appoint. Personnellement, je testerai peut-être cet usage mais ce ne sera pas de suite ;
un Raspberry Pi comme mediacenter : je testerai cette fonctionnalité en mettant XBMC, pour tester pendant quelques jours le Raspberry pi derrière ma télévision, mais ce ne sera pas son usage final (si c'est à amener à le devenir, j'en achèterai un dédié à cet usage) ;
un Raspberry Pi comme serveur : c'est là l'usage principal que j'en ferai ;
un Raspberry Pi comme système embarqué : radio-réveil web, sur un robot, système d'arrosage de jardin... Combiné avec différents accessoires (écran LCD, sondes diverses, un Arduino ou autre), le web regorge de projets divers et variés dans lesquels un Raspberry pi est au coeur du projet. Je ne suis pas doué/intéressé par l'électronique, il n'y aura donc pas de projets dans cette catégorie ;
un Raspberry Pi pour faire autre chose... On peut l'utiliser pour le mettre dans une borne d'arcade et faire tourner de vieux jeux en émulations, nettoyer ses clefs USB...
Avec un Raspberry pi, les projets envisageables sont donc nombreux. Mon temps n'est pas extensible et plutôt que de m'éparpiller, j'ai choisi, parmi les usages possibles (que je listais ci-dessous) de me concentrer sur la partie 'Serveur'.
Premier démarrage du Raspberry Pi - Noobs
Le Raspberry était fourni avec une carte SD sur laquelle le système Noobs était présintallé. Une fois les branchements (alimentation, sortie vidéo, clavier et souris en USB) effectué, le Raspberry démarre sur Noobs. Noobs signifie New Out Of Box Software que l'on pourrait traduire oar "Nouveau logiciel qui fonctionne à la sortie de la boite" mais est aussi un jeu de mot avec "Noobs" Débutant. Noobs est un utilitaire conçu pour rendre le premier démarrage d'un Raspberry Pi nettement plus facile, en proposant, au premier démarrage, d'installer un ou plusieurs systèmes d'exploitations parmi Raspbian, Pidora, RaspBMC, RiscOS, Arch Linux ou OpenELEC.
Ce qui est donc bien pratique pour commencer. On choisit le ou les systèmes à installer, on clique et on attend que l'installation se déroule. Personnellement, je suis parti sur OpenELEC (un concurrent de RaspBMC, fournissant XBMC, plus rapide/plus véloce que ce dernier) pour le tester un peu. Et ensuite, j'installerai Raspbian, connaissant un peu l'univers Debian, pour faire du Raspberry pi un serveur en vue d'un projet d'auto-hébergement de certaines de mes données/de certains services (comme un agenda par exemple).
Conclusion
Ce billet est donc le premier d'une série de billets sur le Raspberry pi et ce que j'en ferai. Pour indication, voici les titres de quelques-uns des articles à venir : Quelques sites de références sur le Raspberry Pi
Un Raspberry derrière une Freebox V6
Sauvegarder son Raspberry pi
Yunohost
A suivre donc...
Torify est une commande qui, placée devant le nom d'une commande/d'un programme qui utilise le réseau, permet que ce dernier/cette dernière fasse passer son trafic par TOR. Ainsi, n'importe quelle application pourra passer par TOR au lieu de se connecter directement à Internet, et ce, à la demande de l'utilisateur.
Prérequis
Il faut que Tor soit installé sur la machine, ce qui sous Debian, Ubuntu et dérivé se fait par :
sudo apt-get install tor
Une fois installé, dans le fichier de configuration /etc/tor/torrc, on décommente (on enlève le #) la ligne
In this example we'll keep all the standard configuration but 2 things, in the file /etc/tor/torrc you should uncomment the directive :
ControlPort 9051
Et on met la valeur de CookieAuthentication à 0
CookieAuthentication 0
Avec ces deux options, on fixe le port sur lequel Tor écoute pour les connexions locales et on dit à Tor qu'il n'y a pas besoin d'authentification. Ainsi n'importe quel programme peut contrôler Tor (il ne faut donc pas faire ça sur un ordinateur partagé ou un serveur. Noté qu'il est également possible de fixer un mot de passe pour Tor, toujours via le même fichier de configuration). Il faut alors relancer Tor avec la commande :
sudo /etc/init.d/tor restart
Pour tester la commande, on pourra faire, par exemple
$ torify elinks http://genma.free.fr
Ce qui aura pour conséquence de lancer le programme Elinks dont la navigation sur le web passera par le réseau Tor.
Tutoriel inspiré de la page How to anonymize the programs from your terminal with torify en anglais.