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Le Blog de Genma

source: Le Blog de Genma

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Ma maman a voulu un smartphone...

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Lors d'un repas du dimanche, ma maman me dit "J'aimerai bien pouvoir aller sur Internet depuis mon téléphone, je peux ?" Comme ma maman a un téléphone Nokia de base, solide mais de base depuis des années, et voit bien que ses enfants ont eux des téléphones avec un écran "un peu plus grand", ça question sous-entend qu'elle aimerait bien elle aussi, avoir un smartphone. Réaction de mon papa, un ours, qui vit dans son terrier et qui n'a jamais succombé au téléphone avec fil (il ne décroche quasiment jamais) "Pourquoi faire ?". Réponse de ma maman : "Pour aller sur Internet sans avoir à allumer l'ordinateur d'en haut (une tour que je leur ai donné, qui est de ce qui était mon ancienne chambre), pour aller regarder ou chercher des choses rapidement". Ma maman a un forfait Freemobile, sait faire des recherches sur le web et sait donc que son forfait lui permettra d'aller sur Internet sans surcoût. Elle a donc la maturité et surtout l'envie et la volonté d'apprendre et de s'approprier une nouvelle technologie, que je ne peux donc que l'encourager et l'accompagner...

Quel smartphone ?

De part mes activités geek avec feu Firefox OS, j'ai encore dans un coin des ZTE Open C. J'en ai un qui est resté sous la dernière version de Firefox OS. Et un autre que j'avais passé sous Cyanogen Mod version 12 ou 13 (équivalent de Android 6.0 Marshmallow). Conservés avec la batterie chargée, les deux téléphones s'allument et s'en suit alors un dilemme personnel : lequel des deux donner à ma maman ? Celui sous Firefox OS ou celui sous Cyanogen Mod ? Je mets fin rapidement au suspens...

Après réflexion, ce sera celui sous CynogenMod.

Il y a plusieurs raisons à cela. Sous Cyanogen, j'avais mis FDroid, il n'y a aucune couche ou référence quelconque ou application relative à Google. Elle aura donc un téléphone respectueux de ses données personnelles, dans la limite du hardware qui n'est pas libre (mais dans ce cas là, on n'a pas de téléphone). De plus mon idée est qu'elle ait des applications au plus près de celles que j'utilise au quotidien, afin que, si j'ai à faire du support à distance, je puisse lui dicter les manipulations à faire en me référant à mon propre téléphone. Firefox OS a une ergonomie peut être plus simple et intuitive, mais il faudrait alors que je fasse appel à mes lointains souvenirs...

Ma maman pourra s'habituer à l'ergonomie d'Android, du moins les bases et quand elle aura changer de téléphone (le ZTE Open C étant devenu dépassé pour ses besoins). De plus, Firefox sous Cyanogen est le même Firefox (dans sa dernière version) que celui sous Android. Alors que le Firefox de Firefox OS a quelque version de retard et est donc devenu un navigateur obsolète.

Pour les SMS, je lui ai mis Silence, l'application que j'utilise au quotidien. Et de ce fait ma maman pourra enfin échanger des SMS avec moi de façon sécurisé ! MamanGenma se radicalise sur les ZInternet du coup.

La suite

Je ne pense pas rédiger d'ici tôt un article expliquant que j'ai créé un compte pour ma maman sur mon instance personne de OwnCloud pour qu'elle puisse avoir un agenda et des contacts qu'elle synchronise, mais sait on jamais. Peut être qu'en lui donnant ce smartphone, je vais ouvrir une boîte de Pandore ? Seul l'avenir nous le dira. A suivre...

Ce blog a 13 ans

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Ce billet fait suite à mon billet Où sont les passionné.e.s ?.

Quelques mots au sujet de ce billet... Suite à la publication de mon article, j'ai eu différentes candidatures spontanées par mail, que j'ai étudié avec attention, j'ai fait les entretiens et ai transmis les candidatures qui correspondaient à mes critères aux ressources humaines. J'ai eu des beaux retours qui m'ont permis de très belles rencontres suite à ce billet. Et j'ai pu déniché de très beaux profils. J'ai même, je pense trouvé "la" personne que je cherchais, les prochaines semaines confirmeront ça. Cette personne, je lui envoie deux trois liens issus de ma veille, je reçois un SMS le lendemain pour me dire qu'elle a déjà commencée à appliquer et apprendre via les tutoriels envoyés... À noter que la plupart des personnes rencontrées sont des autodidactes, ayant fait des cours du soir pour avoir un diplôme dans le domaine de l'informatique...

Si je regarde en arrière ma propre situation... J'ai beaucoup travaillé pour en arriver ou j'en suis. Je sais ce que c'est qu'être autodidacte. J'ai eu le soucis de ne pas avoir été dans la bonne entreprise pour le début de ma carrière, on n'a pas reconnu ma vraie valeur ajoutée et cette autodidaxie malgré mes remontées à ma hiérarchie. Mais ces longues années m'ont permis de grandir, mûrir et arriver à celui que je suis aujourd'hui... Et ont aboutis à mon changement de carrière. Voir tous les billets à ce sujet de ce début d'année.

Quand j'ai débuté et encore aujourd'hui et donc depuis plus de 14 ans je passe au moins une heure par jour (et plus le week-end) à lire mes fils RSS. J'apprends, je fais de la veille, je suis l'actualité... Je trie, je bookmark vu que depuis j'ai des outils comme Wallabag ou Shaarli, ou encore un wiki pour garder des articles... Et j'en attends de même des candidats... On peut avoir une vie de famille et être très pris quand on rentre chez soi. Mais durant le temps de transport, on peut faire cette veille. Une heure de transport en commun c'est courant en région parisienne. Une liseuse pour lire des epub de compilation d'articles issus de Wallabag, écouter des podcast comme le Comptoir sécu ou Nolimitsecu ou autre... Un smartphone avec une connexion 4g et les applications qui vont bien. Tout cela permet de faire bien plus de veille de façon facilité que lorsque j'ai débuté il y a une dizaine d'années. Les moyens techniques sont là. Alors l'excuse de "j'ai pas le temps chez moi" n'en est donc pas une pour excuser l'absence de toute veille dans la journée.

Je juge donc les candidats sur les compétences et la connaissance technique, mais aussi sur la motivation et les petits plus. Pour être un bon candidat, il faut avoir une très bonne motivation et avoir un bon niveau (réel) et un peu de chance. Faire des cours du soir est signe de motivation supplémentaire. Un blog qui montre ce que l'on sait faire. Du code sur Github. Participer de façon régulière à des projets libres... Ce sont là mes critères de sélection qui révèlent les vrais passionné.e.s.

Pour en revenir au titre, car il fallait que j'en trouve un, oui ça fait 13 ans que ce blog existe. il a Beaucoup évolué depuis les débuts...
Ce blog m'a permis de poser par écrit pas mal de choses, de chercher à en apprendre beaucoup d'autres pour ensuite les expliquer et les repartager. L'année dernière j'avais fait un petit billet rapide, Bon anniversaire mon blog ce qui j'y ai dit viendra compléter ce texte. Tout ça pour dire que étant moi-même passionné et autodidacte, je sais ce que j'attends des passionné.e.s et il en existe encore !

Enfin pour finir, merci à vous d'être là, de passage, fidèle depuis les débuts (Cyroul me suis tu encore), ou nouveau venu... Merci à vous anonymes et personnes qui m'envoyer un mail une fois, juste pour réagir à mes billets intimistes. Merci à tous.

Les interactions sociales

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Dans ce billet, je voudrais partager des réflexions sur moi-même et sur les interactions sociales que je peux avoir.

Les amis de longue date

Un ami, pour moi, c'est une personne avec laquelle je suis proche. Non pas proche au sens où je la vois tous les jours, mais au sens où si j'ai un souci personnel, s'il y a quelque chose de grave ou d'important dans ma vie ou dans la vie de cette personne, nous serons là l'un pour l'autre et réciproquement. Un ami est une personne pour laquelle je peux avoir un attachement très fort, parfois même plus fort qu'un membre de ma famille. Car comme le dit l'adage, on choisit ses amis, on ne choisit pas sa famille.

J'ai donc quelques amis très proches, que je connais depuis des années. Des personnes connues du temps où j'étais étudiant et avec qui je suis resté très proche, car nous avons fait l'effort de continuer nous voir, malgré nos évolutions personnelles respectives. Ces évolutions qui font que ce qui nous reliait au départ a bien changé. Parfois on retrouve une personne que l'on n'a pas vue depuis des années, on se raconte ce que l'on est devenu, on parle des bons moments que l'on a pu passer, de souvenirs communs. Et à partir du moment où un silence s'instaure, l'on se rend compte que la personne en face de soi a changée, évoluée, vieillie, et que l'on ne partage plus rien avec cette personne que des souvenirs. On s'aperçoit qu'au final, on est tellement différent que la seule chose qui nous relie et cette nostalgie et ce passé commun.

Comme la vie est courte, que mon temps est compté et que je n'ai que peu de moments de loisirs, que j'ai autre chose à faire que de passer de mauvais moments, il y a eu des personnes avec qui j'ai rompu les liens, volontairement ou de fait, car nous étions trop différents...

Dans le petit groupe d'ami qu'il me reste de ma vie étudiante, il y a mon meilleur ami, qui a été là pour moi (et j'espère avoir été là pour lui) dans une période difficile de ma vie, il y a des années. Ces amis et en particulier ce meilleur ami, savent que je suis Genma, mais ne partagent pas mes passions. Nous sommes lié par autre chose d'une certaine façon. Et cela a son importance.

Ce petit groupe d'ami constitue donc une partie de mes interactions sociales. Ces interactions sont peu nombreuses, peu fréquentes. Nous n'échangeons pas de message régulièrement. Nous nous voyons une soirée tous les 2-3 mois. Mais nous nous voyons. De temps à autre, un petit mail pour aller aux nouvelles, en demander et en donner.

Les copains copines

Les copains copines, ce sont toutes ces personnes que je ne peux pas considérer comme des amis car je n'ai pas encore pu leurs apporter du soutien. Il y a différents degrés dans les copains copines, des connaissances aux personnes avec lesquelles je suis assez proche, certaines savent même des choses que mes propres amis ne connaissent pas. Ces copains copines connaissent avant tout mon personnage public, Genma, qui est à la fois mois mais aussi un costume, un rôle que j'endosse… De part ma présence en ligne sur les réseaux sociaux et mes activités associatives liées à mon pseudonyme, je discute et interagis avec beaucoup de personnes. J'ai tissé des liens assez forts avec certain-e-s d'entre eux-elles, que j'ai rencontré une fois ou que j'essaie de voir dès que possible. Je ne peux pas dire qu'on se connaît, je ne peux pas les appeler des amis car je n'ai pas (encore) été là pour eux dans des moments difficiles. Et pourtant, quand un coup de blues s'exprime, un message de soutien, en public ou en privé, un mail parfois montre que même si on ne se connait pas, comme nous avons des affinités, qu'on a appris à connaître la personne publique, il y a une forme d'amitié qui s'est mise en place. Et de ce fait, certain-e-s de ces personnes savent même des choses sur moi que ma famille, mes ami-e-s, ignorent sur moi.

Ces personnes, je les ai choisies d'une certaine façon et elles correspondent à celui que je suis en ce moment. Elles évoluent avec moi, en fonction de mes affinités, de mes passions, de mes activités associatives. Je passe du temps avec elles, plus qu'avec mes amies et nous évoluons donc conjointement.

Ces personnes, il y a quelques années je ne le connaissais pas, il est probable que dans quelques années, si j'ai changé de passion, de centre d'intérêt ou autres, je passe à autre chose. C'est la vie et c'est ainsi.

Les collègues

Les collègues, ce sont les personnes avec qui je passe plus de 8 heures par jour dans un même lieu. Là encore, il y a des affinités qui se crée, et il m'est même arrivé de voir certaines personnes en dehors du cadre professionnel, ces personnes passant alors dans la catégorie copain-copines. Là encore, ces collègues représentent une bonne partie de ma vie sociale.

Les podcasteurs

Dans un autre groupe, je voudrais classer les podcasteurs. Etrange de classer ici des personnes que j'écoute pour parler d'interaction sociale, car l'écoute d'un podcast, c'est avant tout une communication unidirectionnelle. Mais il faut savoir que je passe à minima deux heures par jour à écouter des podcast, que j'en écoute un certain nombre depuis des années. Et de ce fait, j'ai une relation un peu particulière au podcast. Quand je lance un podcast, je me retrouve alors avec un groupe d'amis, que j'ai appris à connaître, à apprécier, à détester. Eux ne me connaîtront jamais (même si j'interagis parfois avec certains d'entre eux pour leur dire à quel point j'aime ce qu'ils font, je parle d'eux dans des billets de critique / hommage, je les rencontre) mais avec eux, je me sens bien. Je me sens comme avec des amis.

Je voudrais d'ailleurs profiter de ce billet pour dire que je ne remercierai jamais assez tous ces geeks qui partagent leurs passions via des podcasts. J'en ai passé des centaines d'heures à votre écoute dans les transports en commun, à sourire, à rire, à être en désaccord ou au contraire à vouloir vous applaudir...

Cette interaction sociale unidirectionnelle en est pourtant une pour moi. Je passe du temps avec des personnes que j'apprécie, je suis dans ma bulle, avec des copains copines et je suis bien.

Conclusion

Voilà, la nouvelle séance d'auto-psychanalyse est finie et je quitte le divan de psy qu'est ce blog en ce moment. Jusqu'au prochain billet de ce type ?

Des discussions structurées

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Les discussions dans la vie non numérique sont un souci pour moi... et les relations sociales que j'ai parfois dans le monde non-numérique me frustrent et parfois même s'avèrent être un souci pour moi.

J'ai l'habitude de faire des monologues par écrit (ce blog) ou à l'oral (via mes conférences). Si j'interagis via des réseaux sociaux, via un forum ou autre, dans le monde numérique, c'est de l'écrit, j'ai le temps de réfléchir, de relire, de choisir mes mots. Il y a une notion de temporalité qui est différente, je peux prendre le temps d'analyser, de réagir, de commenter. C'est quelque chose d'asynchrone, que je peux gérer comme je veux. Je mets de côté les interactions en direct de type chat, car je dois alors me concentrer sur la discussion pour suivre et interagir.

Dans le monde non numérique, lors d'une discussion entre amis ou en famille, ce n'est pas la place pour un long monologue ou développer des idées personnes. La preuve est simple : lors d'un repas, la moindre pause dans un sujet laissera place à un autre sujet... Les discussions se mélangent, chacun parle de son sujet. Le pire pour moi, c'est lorsque que je m'arrête au milieu d'une phrase et que personne ne relève, ne demande de continuer, ne pose une question. Cela m'est déjà arrivé plusieurs fois et c'est généralement signe que personne n'écoutais.

Ces discussions sont alors pleines de sujets différents et au final, ce ne sont pas des discussions mais des bribes de discussions. Et j'en ressens alors une certaine frustration.

Ce que j'aime dans une discussion, et il m'arrive d'en avoir avec des personnes comme moi, des amis proches, ce sont les discussions structurées, qui suivent presque un plan. On laisse le temps à l'autre de s'exprimer. On a une vraie discussion sur un sujet donné, pendant un long moment (plusieurs heures parfois).
Chose impossible avec des membres de ma famille lors d'un repas : vous avez déjà essayé de parler sur un même sujet, de débattre ? Moi oui. Et ce n'est pas possible.

Avec les podcasts, dont je parlais comme type d'interaction sociale dans mon billet sur le sujet, même si je ne peux pas participer à la conversation, je retrouve ce côté discussion thématique et structuré qui me plaît.

C'est peut être en cela que les réunions me plaisent. Une réunion, généralement, suit un plan, est structurée. Il vaut mieux pour la bonne tenue de la réunion que chacun parle à son tour et s'exprime sur le sujet. Il y a un fil rouge, un certain ordre, un temps de parole. Et ça a un but. On n'est pas là pour dire des banalités, des futilités. Il faut être efficace. Alors qu'à un repas de famille, il faut parfois parler de tout et de rien, car il y a des sujets qui fâchent, des sujets à polémique...

La vie est trop courte pour que l'on perde du temps à parler de tout et de rien et je préfère les discussions pertinentes et intéressantes à des discussions futiles et sans intérêt... Et la subjectivité aidant, ce que je trouve pertinent et intéressant ne l'est pas toujours pour les autres...

Alors heureusement que j'ai ce blog pour coucher par écrit mes réflexions, discuter avant tout avec moi-même et de façon indirecte avec les lecteurs.

PSES2017 - Passage en Seine 2017

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

PSES aka Passage en Seine est un festival qui existe depuis quelques années. D'abord tenu sur Paris à la Cantine, puis à Numa, il a été décentralisé en 2016 à la médiathèque de Choisy le Roi, pour ne plus être situé en plein coeur de Paris, mais aller au delà du périphérique, en banlieue, pour toucher un public plus divers, s'ouvrir aux autres et ne plus être un festival hacker...

Depuis 2017, une association a été montée comme l'indique la page Association du siteDepuis début 2017, l'équipe organisatrice de Pas Sage en Seine a créé l'association « White Rabbit - PSES » garantissant son indépendance pour organiser et gérer le festival. « Cette association a pour objet l'organisation d'événements dans le domaine du numérique, de l'activisme, du hacking, de l'hacktivisme, de la protection de la vie privée et d'une manière générale, l'ensemble des opérations visant à favoriser son développement. L'association a notamment pour objet l'organisation du festival Pas Sage En Seine (PSES) dont ses membres fondateurs en sont les créateurs et/ou les organisateurs historiques. » Extrait des statuts (article 2)

Cette année, le festival aura lieu du jeudi 29 juin au dimanche 2 juillet inclus et a pour Slogan "Faites preuve de curiosité". Le site officiel est en ligne et à jour ici https://passageenseine.fr

Pendant 4 jours, des conférences et des ateliers auront lieu, avec un programme très divers et varié, avec plein de sujets tous plus intéressants les uns que les autres. Chaque conférence ayant son intérêt, je ne ferai pas de liste, ce ne serai pas juste pour les un et les autres, je ne peux que vous inviter à y assister ou à les voir par la suite en vidéo (les conférences sont filmées et mises en lignes).

Le programme en détail : https://passageenseine.fr/programme/

Un petit village associatif sera là pour que vous puissiez vous reposer un peu et découvrir des projets, faire des rencontres.

Pour le lieu, Le festival a lieu aux abords de la Médiathèque Aragon et de la Salle le Royal à Choisy-le-Roi, à 5 min à pied de la Gare de RER « Choisy-le-Roi » sur la ligne C. et pour l'hébergement, voir ici

Enfin, je voudrais dire ici quelques mot sur PSES. C'est PSES, qui, entre autre, m'a donné envie de me lancer dans les conférences. J'ai appris plein de choses et j'en apprends encore, chaque année, via les conférences qu'on y trouve et à chaque édition, le festival s'enrichit et se bonifie. Chaque année, c'est l'occasion de retrouver les copains.copines des Internet, de faire de nouvelles et belles rencontres et de passer un excellent moment. Alors bloquez les dates dans votre agenda, posez des RTT et venez nous rejoindre.