Un projet très intéressant monté par un collectionneur acharné de jouets G.I. Joe : 3DJOES. Il s'agit de présenter en 3D les figurines et véhicules de la gamme vintage G.I. Joe ! via Toyzmag.com Ce site, c'est http://www.3djoes.com

Sur ce site, on retrouve la figurine en 3D (elle tourne sur elle-même), en panoramique (la figurine tourne sur elle-même) mais aussi la boite (recto et verso), la notice et ainsi que la fameuse petite fiche descriptive du personnage.
Ainsi que le scans des différentes publicités... C'est la paradis du Nostalgeek, pour toute personne, qui comme moi, a eu (a encore) des jouets de la gamme. TOUT Y EST, c'est complet, un site à visiter d'urgence.

http://www.3djoes.com

Présentation de la série

Cette série relate les aventures du Docteur, un extraterrestre de la race des Seigneurs du Temps (Time Lord) originaire de la planète Gallifrey. Dans la première série, coupé de son peuple, il voyage à bord d'un TARDIS (Time And Relative Dimension(s) In Space, ou Temps à relativité Dimensionnelle inter Spatiale en français), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Particulièrement attaché à la Terre, il est régulièrement accompagné dans ses voyages par des compagnons, pour la plupart humains. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine téléphonique de police britannique des années 1950, le système de camouflage étant resté bloqué lors d'un accident. En effet, la machine se transforme normalement en un élément typique de son environnement et de son époque.

Comme tous les Seigneurs du Temps, le Docteur a le pouvoir de se régénérer lorsqu'il est mortellement blessé, mais cette régénération s'accompagne d'un changement d'apparence et de caractère : il s'agit toujours de la même personne, avec les mêmes souvenirs, mais dans un nouveau corps. Ainsi, à l'heure actuelle, 11 acteurs différents ont joué le Docteur. Dans la suite de l'article, on désignera les différentes apparences du Docteur (appelées incarnations), par leur place dans l'ordre chronologique. Par exemple, "Sixième Docteur" désignera la sixième incarnation (et donc la sixième apparence différente) du personnage du Docteur.
Source

La critique du Genma

Je connaissais Docteur Who de nom, je savais qu'il y avait une grande communauté de fan autour, mais je dois avouer que je n'ai découvert la série que lors de la soirée spéciale de France 4. Cette soirée m'a permis de découvrir le personnage et son passé à travers de très vieux épisodes. Et dans sa version moderne/actuelle, j'ai accroché à la série. Et ce quelque soit le docteur, chaque acteur apportant sa part au personnage. Depuis cette fameuse soirée, j'enregistre chacune des rediffusions et je rattrape peu à peu mon retard (pour connaitre les prochaines diffusions, une seule adresse http://www.france4.fr/doctor-who/).

Alors, pourquoi j'aime cette série ?

Les créatures (surtout les robots) sont à la limite du kitch. Les scènes d'actions sont parfois risible : je vais caricaturer mais on se cache derrière un rideau, on voit les pieds dépassés de dessous, la déformation ne laisse aucun doute sur le fait qu'il y ait quelqu'un de cacher derrière. Mais les ennemis ne le voit pas. Mais on s'en fout. C'est LE Docteur !

Très riche, très complexe mais très abordable et surtout très additif, Docteur Who est une série de science-fiction au scénario parfaitement ficelé qui joue avec le voyage dans le temps, les paradoxes temporels, les lignes de temps temporels. Si Retour vers le futur était déjà trop complexe pour vous, sachez que ce n'était rien. Rien que la relation River Song - Le Docteur qui ont des rencontres qui se passent dans leurs lignes de temps opposées (chaque nouvelle rencontre du Docteur - donc dans le futur de celui-ci - s'est déroulé a un moment antérieur à la précédente donc dans le passé de River Song). Comme le dit River, plus le temps passe, moins elle le connait et plus lui la connait. Sa première rencontre avec lui correspond à la dernière fois que le Docteur la verra. Et la première fois que le Docteur la rencontre, elle l'a déjà vu des centaines de fois et sait tout de lui. Rien que cet exemple montre toute la richesse de l'exploitation du voyage temporel dans cette série. C'est complexe mais si bien fait que l'on ne s'embrouille pas, on a le droit à des cliffhangers et retournement de situations mais ce n'est jamais râté, le scénario ne se rattrape jamais aux branches. Tout est parfaitement maitrisé et orchestré ; les scénaristes savent où ils vont.

Docteur Who, ça ne s'explique pas, ça se regarde. Et ce je comprends enfin pourquoi il y a des tas de gens qui sont fans de cette série. Car il y a de quoi devenir facilement addict, tant cette série est de qualité. Maintenant quand je passe devant des boutiques geeks qui vendent des figurines et autres goodies, je reste à regarder pendant quelques minutes les Tardis et autre Daleks. Je viens à vouloir un tournevis sonique. Je crois que je suis contaminé. De là ce que je construise mon propre Tardis...

Disponible en DVD et à retrouver sur France 4 http://www.france4.fr/doctor-who/

Le mardi 14 février 2012, sur AnonOps (le réseau IRC Anonymous), des internautes proposent la création d'un magazine sur Anonymous. L'idée est la suivante : anons et non-anons se réunissent autour d'un magazine pour relayer le mouvement Anonymous, présenter leurs actions et décrypter les sujets liés directement ou indirectement à leur actualité. https://voxlemag.wordpress.com/

Les Anonymous ne sont pas passés de mode et sont un phénomène durable dans le temps. La preuve en est l'existance de ce magazine, découvert un peu par hasard (en fait pas tant que ça, je suis un blog d'une personne proche des Anonymous). Premier constat à la lecture. Le ton est sérieux. C'est bien écrit et rédigé, sans fautes apparentes. C'est assez pro. C'est tout sauf du kikoolol skybloguesque d'un Kevin. C'est un travail collaboratif, de qualité.

Le magazine contient différents types d'articles : sur les actions d'Anonymous (ce magazine est à ce titre un recueil historique et une référence dans le domaine, centralisant différents articles et faits historiques en un même endroit), sur l'Anonymat dans l'Histoire. Et surtout, dans les différents numéros sont expliqués les risques au niveau justice et pénal dans les différentes actions que l'on peut être amené à faire en tant qu'Anonymous : DDOS, manifestation masqué, fax bombing ou technique de hacking plus avancé. On n'a jamais de texte incitant à le faire, on est au contraire dans la mise en garde constante. On n'est pas dans la propagande pro ou anti Anonymous (comme n'importe qui peut être Anonymous on aurait pu imaginer une volonté de désinformation ; bien au contraire).

Ces magazines contiennent également des articles détaillés sur la censure, les volontés de contrôle de l'Internet, les différentes lois comme ACTA... Ces magazines sont des bons moyens de s'informer sur ces différents sujets.

Je recommande ces magazines en complément de l'excellent livre de Anonymous - Peuvent-ils changer le monde ? de Frédéric Bardeau et Nicolas Danet. Car ces magazines sont un très bon point de départ pour se plonger dans l'univers d'Anonymous, à l'opposé de tous ces reportages télé qui faisaient dans le sensationnel (bouh les méchants hackers qui savent installer LOIC). Ce magazine redonne ses lettres de noblesse à Anonymous, en rentabilisant une vérité (car il n'y a pas un Anonymous mais des Anonymous et des vérités).

Les magazines sont disponibles en pdf ou article par article sur le site
https://voxlemag.wordpress.com/ et VoX__mag sur Twitter

Retrotaku - Le JT du retrogaming

Sur le retrogaming, il y a les podcasts de MO5 et l'excellent CazRetro. Mais il y aussi tout un tas d'association et l'une d'elles s'est lancée. Retrotaku - Le JT du retrogaming

Au programme, actualité du retrogaming (car oui il y en a, des fans continuent de créer des jeux pour des anciennes consoles, la scène retro est encore bien vivante), présentation et critique d'un jeu rétro, présentation d'une console et définition d'un mot du vocabulaire du retrogaming ; cette émission a donc pour volonté de vulgariser le monde du retrogaming et c'est réussi.

Les liens< :
Retrotaku - Le JT du retrogaming
http://www.retrotaku.com

Super Marcus World de JeuxActu TV

Est-il nécessaire de présenter Marcus, zeboulet, le roi de la grosdoititude, le fan inconditionnel de Star Wars et Mario Kart, journaliste de jeux vidéos depuis plus de 20 ans, présentateur aimé de tous les petits amis de Nolife quand ils les invitent chez lui, connu pour son histoire du jeu vidéo sur Game One...

Marcus profite de ce formidable média qu'est Internet pour diffuser de façon régulière de courtes vidéos tout simplement intitulé Super Marcus World. Avec toujours le même entrain, la même sympathie et le même humour, Marcus nous fait découvrir des petits secrets, objets, figurines et goodies de son chez lui. Il nous raconte de petites anecdotes qui permettent d'encore mieux le connaitre.

Si vous aimez Marcus, vous connaissez probablement déjà ces vidéos. Mais au cas où, il est encore temps de vous abonner à la chaîne YouTube : Super Marcus World de JeuxActu TV

Décrits comme « crus », « politiquement incorrects » et teintés d'humour noir10, les textes de Giedré abordent des sujets comme la prostitution et la pédophilie Ils contrastent avec son apparence physique et ses costumes de scène. Giedré estime que ses chansons ne sont pas provocantes, elle dit retranscrire la réalité, qui est selon elle « souvent choquante ». Au sujet de ses textes, la presse évoque les chansons parfois crues de Pierre Perret ou encore Georges Brassens, que la chanteuse a beaucoup écouté. Source

Re-découverte via le Podcast de l'Adc (L'apéro du Captain 135 : GiedRé Et le bRaS FisTEur dE MoNsiEuR FauChEusE) (car je l'avais deja vu dansJ'irais loler sur vos tombes et dans le Golden Show), j'ai accroché à l'humour noir second degré, scatophile, impertinent, choquant mais drôle. Ce n'est clairement pas à mettre dans toutes les oreilles. C'est choquant mais drôle. Car ça pose les bonnes questions. C'est tout en innocence et en même temps plein de sagesse. Et je trouve que les paroles de ces chansons sont des textes très bien écrits. Et en plus c'est musicalement bon.

Amie de Oldelaf, non associée à un major, ne passant pas dans les émissions de télé conventionnelles, vendant ses chansons via son site Internet avec des modes de distribution inédit (l'album Panini qui nécessite d'acheter des images, ces images donnant des codes à gratter permettant de récupérer des chansons - l'industrie du disque devrait en prendre de la graine), le bouche à oreille, les réseaux sociaux et son talent ont fait que Giedré s'est consitué un public de fans fidèles qui vont la voir dans ses concerts dans toute la France. Et ce succès est grandement mérité.

Je ne vous en dis pas plus et vous invite à découvrir Giédré via la série de liens suivants :
Le site officiel http://www.giedre.fr
Twitter de Giédré @GiedReLaLaLa avec ses fameuses lettres qui dansent
Clips sur Youtube GiedRé : Pisser Debout
Différentes vidéos de ses interviews et ses clips donnent un bon aperçu de l'univers de Giédré
L'apéro du Captain 135 : GiedRé Et le bRaS FisTEur dE MoNsiEuR FauChEusE
Page Fan de Giédré sur Facebook
Ses chansons étant disponibles à l'achat sur Amazon