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Le Blog de Genma

source: Le Blog de Genma

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Changement de mot de passe et testament numérique

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Comme je le disais dans mes article sur le testament numérique et Si je meurs, qu'en adviendra-t-il de ma vie numérique ?, il serait idéal pour toute personne qui a une présence numérique assez importante (moi par exemple, qui est ce blog), de rédiger des instructions pour clôturer/gérer cette vie numérique.

Pour cela, il faut rédiger un testament numérique et indiquer ce qu'il faut faire pour chaque compte ou catégorie de compte, avec éventuellement un message à publier sur les différents sites et réseaux sociaux. Mais idéalement le testament numérique ne doit pas comporter de mot de passe. En effet, on dit souvent que pour une meilleur sécurité, il faut changer ses mots de passe régulièrement (et ne pas utiliser les mêmes pour les différents sites Internet sur lesquels on a un compte). Et donc si l'on applique cette règle et que l'on ne pense pas à mettre à jour systématiquement son testament numérique, celui-ci perd rapidement de son intérêt.

Une solution simple est alors d'utiliser un logiciel comme Keepass, qui est un logiciel disponible sur les différents OS (Windows, MacOS, Linux) et qui est un logiciel libre qui plus est.

KeePassX est une application multiplate-forme libre (distribuée sous licence GPL) qui centralise la gestion de vos mots de passe personnels. Il est utile pour gérer les sécurités relatives à des informations personnelles (nom, mot de passe, URL, commentaires, etc.). Source

Pour la conservation des mots de passe, le plus simple est pour moi, de tout mettre dans ce logiciel, vu que c'est sécurisé (par chiffrement). On met un mot de passe pour verrouiller l'accès et c'est ce mot de passe (ainsi qu'un mode d'emploi et la localisation des données de KeePassX) que l'on mettra dans le testament numérique.

Comme ça, dès qu'un mot de passe est mis à jour, il est l'est dans KeePassX (si on utilise bien ce logiciel au quotidien) et le testament numérique reste valable/utile.

A lire également :
- Testament numérique
- Si je meurs, qu'en adviendra-t-il de ma vie numérique ?

De mon achat des produits dits culturels

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Depuis quelques années, je travaille, j'ai un salaire correct. Je suis propriétaire et j'ai un crédit à rembourser pendant quelques années (je ne compte pas, c'est déprimant, mais c'est un choix). Mais il me reste un peu d'argent que je pourrais consacrer à mes loisirs et à des achats de produits culturels.

Mais je m'aperçois que justement, j'achète très peu de produits culturels, produits dérivés, livres ou autres. Et cela me fait me poser pas mal de questions.

Lorsque j'ai déménagé, j'ai rapatrié tout ce qui restait dans ma chambre d'enfant / d'adolescent de chez mes parents à mon chez moi actuel (Cela m'a d'ailleurs permis de remplir une vitrine de jouets de collections). Mais surtout, j'ai déplacé un certain nombre de cartons de mangas, livres, DVD... J'ai vu que j'en ai accumulé des choses et dépensé de l'argent dans des achats divers et variés, au fil des années... Et en regardant tous ces objets, je me suis donc demandé de comment avait évolué et surtout évoluera ma consommation de produits culturels maintenant que j'ai un chez moi que j'espère définitif (car je ne vais pas déménager de si tôt). En pensant à ça et en méditant sur moi-même, je me suis aperçu que j'avais vieilli et que je n'avais plus de plaisir à collectionner et à cumuler des objets, qui finissent par prennent de la place et la poussière.

Un livre, je le lis. Mais est-ce que je le relirai un jour ? Je ne sais pas. Il y a des solutions comme les bibliothèques qui permettent d'emprunter, si je veux le relire. Pour la musique, il y a Spotify. Cela fait des années que je n'achète plus de cd car cela ne correspond plus depuis longtemps à ma façon de consommer la musique. Je n'achetais pas de musique numérique du temps des Drm et maintenant qu'il y a Spotify, je n'en achète pas plus. Je n'ai pas de matériel hifi haut de gamme et la qualité numérique actuelle me satisfait parfaitement. Ma consommation de la musique a évoluée et est parfaitement adaptée au numérique.

Pour ce qui est des films, il y a le fait de posséder l'objet physique pour les collectors. Les bluray apportent une remasterisation de certains films (même si, comme pour le passage de la VHS au DVD, il s'agit parfois d'une simple transposition sans gain de qualité). Mais je revois rarement les films, à part quelques-uns qui sont cultes pour moi, que je peux revoir de nombreuses fois sans me lasser. Là encore, une consommation du type "je loue un DVD ou e l'empreinte" ou encore "je vais voir le film au cinéma" me convient parfaitement.

Pour les séries télé, j'ai eu l'occasion de revoir des épisodes des séries des années 80 et 90 lors de leurs rediffusions sur la TNT. Et bien ça a vieillit. Tant dans le scénario, la façon de tourner, l'image (en 4/3 sur une télé 16/9...), les effets spéciaux... La nostalgie et les souvenirs embellissent la vision que l'on a de ces séries et c'est souvent un choc quand on est confronté à la réalité. Avoir les coffrets DVD de séries qui ont eu plusieurs saisons permet de revoir la série dans son intégralité. Mais personnellement, une fois la série vue, j'ai du mai à la revoir. Les personnages ont évolués au fil des saisons, et quand je revois d'anciennes saisons, je ne peux m'empêcher de penser à ces versions évolués des personnages. Je n'ai donc pas de coffret de saisons de séries télé.

Je vois donc que la tendance est normalement au cumul (on accumule, on stocke). Mais reverra-t-on ces films et séries. Aura-t-on le temps de revoir tout ça ? Aura-t-on le temps de relire tous ces livres ? Alors, oui, j'ai un peu d'argent que je pourrais consacrer à l'achat d'objets culturels dans leurs versions matériels. Mais je n'en tire pas/plus plaisir à ces achats. Un coup de blues ou de déprime ?

A lire sur un sujet sensiblement identique : L'industrie tech ne me fait plus rêver.

Le Loop, hackerspace de Paris

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Le but de cet article est de présenter Le Loop, un hackerspace situé dans un squat en périphérie de Paris, région parisienne, au sein duquel je me suis rendu un mercredi, en plein mois d'août.

Fablab ou Hackerspace ?

Un Fablab est une appellation précise et Pour être appelé fab lab, un atelier de fabrication doit respecter la charte des fablab, mise en place par le MIT. Source). Un fablab doit posséder un certain nombre et types de machines plus ou moins industrielles qu'il met à disposition de tous, pour que chacun se les approprie et puisse réaliser des projets qu'il n'aurait pu faire autrement.

Le Loop est un Hackerspace. Un hackerspace, hacklab ou media hacklab est un lieu où des gens avec un intérêt commun (souvent autour de l'informatique, de la technologie, des sciences, des arts...) peuvent se rencontrer et collaborer. Les hackerspaces peuvent être vus comme des laboratoires communautaires ouverts où des gens (les hackers) peuvent partager ressources et savoir. Beaucoup de hackerspaces utilisent et participent à des projets autour du logiciels libres, du hardware libre, ou des médias alternatifs.Source

Au Loop, on vient, on se pose, on discute ou on travaille seul dans son coin. On peut faire du code et des projets informatiques, un peu comme on le ferait dans un espace de co-working, sauf que là c'est dans un squat. Et que l'on peut ne pas être un professionnel. Il suffit juste de venir. Du matériel est mis à disposition (il faut penser à le ranger ensuite) pour faire de l'électronique, de la bidouille ou tout un tas de choses. Le plus simple est de venir sur place, de voir, et de participer.

Le Loop - Quoi, quand, comment ?

Comment participer au Loop ? On peut commencer par s'inscrire sur la mailing list, venir sur IRC pour échanger. Mais surtout il faut venir sur place, s'approprier l'espace et y participer. On retrouvera toutes les informations sur le site du Loop http://leloop.org/. A noter que Le Loop a également un wiki (http://wiki.leloop.org/index.php) sur lequel on retrouvera différents projets, ainsi qu'un compte Twitter (@Le_Loop), pour se tenir au courant des différents événements qui peuvent avoir lieu sur place, sachant que le Loop est un espace ouvert en continu.

Ma venue au Loop

C'est avec ArmosFr que je me suis rendu pour la première fois dans ce hackerspace qu'est le Loop. J'avais pris contact sur IRC la veille pour être sûr de trouver quelqu'un sur place, car en plein mois d'août, rien n'étais moins sûr. Bien qu'ouvert tous les jours, c'est un mercredi, jour de la rencontre hebdomadaire, que je me suis rendu sur place. C'est là que j'ai été accueilli par Tom, qui a pris le temps de me faire une présentation du lieu, de l'esprit du lieu....

J'avais préparé ma venue (avant de me rendre au Loop, je m'étais renseigné sur le lieu, consultant les différentes pages du site Internet (http://leloop.org/ et son wiki) sans toutefois lister toute une série de questions alors j'ai improvisé ; je n'ai d'ailleurs pas pris de notes, le but étant d'écrire par la suite un article de présentation de mon ressenti, pas de faire une interview. La discussion avec Tom est venue très naturellement, sujet après sujet. Nous avons donc parlé de logiciel libre, de Raspberry Pi, de bidouille, d'informatique en général, et du Loop, de son histoire... Une personne présente, au vue de toutes les questions que je posais et à la façon que j'avais de les poser, m'a demandé si j'étais un journaliste. J'ai alors répondu que j'étais un blogueur, je me suis présenté, j'ai parlé un peu de ce blog. Et j'ai ensuite repris la conversation sur Le Loop, lui demandant pourquoi il venait ici. La réponse a été simple : pour l'endroit, son accueil, les gens. Je n'en saurais pas plus.

Je disais un peu plus haut que j'y suis allé en plein mois d'août et qu'il ny avait personne (enfin presque, il y avait deux personnes en plus de Tom, un dont je n'ai pas su le nom qui m'a posé la question et Rhaamo, que j'avais déjà rencontré sur le stand du GCU Squad au salon Solutions Linux). Mais en temps normal, quelque soit l'heure, l'espace est toujours occupé. Le Loop partage son espace de squat avec d'autres groupes (plus axés sur l'artistique, l'événementiel, la musique), mais c'est essentiellement le côté Hackerspace qui m'intéressait. Et dans cet espace dédié, il y aura toujours un "hacker" qui sera présent. Plus ou moins social, plus ou moins ouvert à la discussion. Et vous pourrez rencontrer Tom, un gars sympa, qui a pas mal de vécu, pas mal de choses et d'anecdotes à raconter (Tom, j'attends ton livre), mais qui sera surtout là pour vous aider à concrétiser vos projets, à leurs donner vie.

Si vous êtes à la recherche d'un coin sympa, non conformiste, où vous ne serez pas juger pour ce que vous semblez être mais sur ce que vous valez et ce que vous faîtes, sur ce que vous avez à apporter/donner ou à prendre (en connaissance, sympathie, temps ou tout autre chose), si vous avez l'esprit Hacker (dans le sens noble du terme, pas dans celui journalistique de vilain pirate informatique), le Loop est fait pour vous.

Quand à moi, je ne sais pas si j'aurais le temps d'y repasser (et encore moins celui d'y repasser de façon régulière), mais une chose est sûre, la visite de ce hackerspace était une chose que j'avais planifié depuis un moment. Et ça a été une découverte tel que je l'imaginais, voir mieux !

Pour le Loop, une seule adresse : http://leloop.org/.

Le Datalove

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

La notion de « datalove » est apparue pour la première fois dans l'un des manifestes écrits par Telecomix, l'objectif étant « de donner envie au corps politique d'être créatif en leur envoyant des datalove comme s'il en pleuvait »33,34. Le concept de datalove a été le leitmotiv de plusieurs projets initiés par Telecomix, comme le site datalove.me Source

Love data
Les données sont essentielles
Les données doivent circuler
Les données doivent être utilisées
Les données ne sont ni bonnes, ni mauvaises
Il n'y a pas de données illégales
Les données sont libres
Les données ne peuvent être possédées
Aucun homme, machine ou système ne doit interrompre le flux de données
Verouiller les données est un crime contre la datanité
Love data
Issu du site
Datalove.fr

Un exemple concret de ce qu'est le datalove est sans doute le projet Clés Datalove pour réformer le droit d'auteur : Invitons les élus européens à adapter le droit d'auteur à l'ère numérique, en leur envoyant des clés USB pleines de Datalove ! lancer sur Ulule par La Quadrature du Net.

Un autre est peut-être, même si ce n'est pas dans cet esprit que ça a été fait, les Dead drops, ces clefs USB dans les murs.

Toute forme de partage des données est une forme de Datalove. Le Datalove reste toutefois un concept assez difficile à appréhender. Il peut sembler être un délire d'hackers qui sont dans leurs mondes...

Telecomix semblent avoir comme idée de Datalove le fait de donner les moyens à des blogueurs et autres dicidents la possiblité de dénoncer les régimes dictatoriaux dans lesquels ils vivent. La liberté de la presse, c'est du Datalove.
Pour moi, les Leaks, le fait de dévoiler des secrets comme ont pu le faire Julian Assange, Edward Snowden (Prism) est une forme de Datalove. Le PeerToPeer et les échanges non marchands sont du Datalove. On échange des données, on échange des choses que l'on aime. On partage. Mettre les textes de ce blog sous licence Creative Commons, les publier sur Internet en les rendant accessibles à tous est, pour moi, aussi, une forme de Datalove.

Les ennemis du Datalove sont alors les DRM, la non-neutralité des réseaux...

Le Datalove est un concept que j'ai encore un peu de mal à cerner, mais j'y travaille...

Pour en savoir plus sur le DataLove :
- Datalove.fr
- Datalove.me

Contact - Mentions légales

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Date de dernière mise à jour : 09/08/2013

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Pour toute remarque, critique, suggestion, droit de réponse, autre... Une seule adresse : genmaAROBASEfree.fr (remplacer AROBASE par @)

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A propos de moi

- Je suis Genma sur le net et Jérôme dans la vraie vie. Le pseudonyme de Genma venant du manga Ranma 1/2, comme je le disais dans mon article.
- J'ai 33 ans. Mais ça change tout les ans… Je suis né le 06 octobre 1979 (c'est ma vraie date de naissance)
- Je suis geek.
Pour en savoir plus, deux articles complémentaires :
- Logo Genma : copyright et origine
- Présentation de Genma

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