PROJET AUTOBLOG


Philippe Scoffoni

source: Philippe Scoffoni

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Lectures et humeurs de la semaine du 9-12-2013

dimanche 15 décembre 2013 à 18:26

Retrouvez ou suivez ces Commentaires/lectures “en temps réel” sur mon site de microblogging : http://p.scoffoni.net et sur mes comptes StatusNet ou Twitter.

Logiciel Libre & Open Source

Comparatif LibreOffice vs MS Office 2013 sur le wiki de TDF

Pour l’avoir parcouru rapidement, il est difficile de se rendre compte s’il y a un avantage pour une suite ou l’autre A chacun d’ajouter une case en face de ce qui est important pour lui afin de se faire une vrai opinion.

Feature Comparison: LibreOffice – Microsoft Office – The Document Foundation Wiki

Ha quand même. UbuntuTouch : premier partenariat avec un fabricant de smartphones

Il reste à voir comment sera positionné ce smartphone et surtout diffusé. Mais c’était un pas indispensable pour donner un peu de perspective à ce projet.

Ubuntu Touch : premier partenariat avec un fabricant de smartphones

Ha si c’était basé sur Debian… LinuxMint 16 : cette fois, pour les OEM

Je comprend le choix qui a poussé les créateurs de Mint de choisir Ubuntu. Cependant leur projet aurait d’autant plus de valeurs si il l’avaient basé sur Debian. Bien sûr il est existe Linux Mint Debian Edition, mais elle n’est pas “mainstream” et basé sur la Debian testing.

Linux Mint 16 : cette fois, pour les OEM

Maintenant que c’est une boîte privée… Est-ce que Cyanogen contribue aux tracking de ses utilisateurs?

Un peu de proprio dans du “libre”. Enfin depuis que le projet a été privatisé, va-t-il rester aussi “libre” qu’il l’était ? Ses partisans diront que c’est du FUD à juste raison peut-être. Comme toujours les utilisateurs ne sauront pas…

Est-ce que Cyanogen contribue aux tracking de ses utilisateurs? | Tuxicoman

Informatique & Technologies

Benoît Thieulin (CNNum): “L’attirail pour basculer dans une société de surveillance totale est potentiellement là”

Tout est dans les mains des dirigeants que nous contribuerons à mettre ou laisser au pouvoir.

Benoît Thieulin (CNNum): “L’attirail pour basculer dans une société de surveillance totale est potentiellement là”

L’OS gratuit, on y est presque : Microsoft envisagerait la gratuité des licences WindowsRT et WindowsPhone

Les éditeurs de logiciels sont en train de changer leur modèle de revenus. Appel commence à entrouvrir la porte de la gratuité de son OS, Microsoft semble prendre la même direction… Que va-t-il rester aux logiciels libres ?

Microsoft envisagerait la gratuité des licences Windows RT et Windows Phone

Article 13 LPM, vente liée, deux jours affligeants du Parlement et du gouvernement

Pas mieux…

Article 13 LPM, vente liée, deux jours affligeants du Parlement et du gouvernement

Hackons les marchés publics ! Dijon, le 14 décembre

Reprendre des données publiques, des PDF dont certains sont des scans… Bonjour les bonnes pratiques numériques dans l’administration…

Hackons les marchés publics !

Une croissance portée par le peer-to-peer. Les investissements dans les startups civiques américaines en pleine explosion

Une approche qui n’est pas étonnante du service public par des entreprises au x USA. Et en France ?

Les investissements dans les startups civiques américaines en pleine explosion | L’Atelier: Disruptive innovation

Ca n’a pas été long : “hype cycle peak”. Les MOOC, déjà has-been ?

Les MOOC auraient-ils donc déjà atteint le premier pic du HypeCycle ?

559px-Gartner_Hype_Cycle.svg

Les MOOC, déjà has-been ? – JDN Management

Disparition des classes moyennes : Avons-nous vraiment envie de devenir la Silicon Valley ?

Disparition des classes moyennes, des très riches et des très pauvres. Une illustration de ce phénomène qui se généralise depuis plusieurs années et auquel le numérique selon Google contribue.

Avons-nous vraiment envie de devenir la Silicon Valley ? | InternetAct


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 15/12/2013. | Lien direct vers cet article

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Un éditeur de logiciel libre condamné à cause d’une contribution externe

mardi 10 décembre 2013 à 20:27

L’affaire est suffisamment rare pour ne pas se sentir interpellé par le sujet. Un éditeur de logiciel libre a été condamné pour une contribution effectuée par un tiers. Complot, mauvaise gestion des contributions, etc, toutes les hypothèses sont possibles. J’ai demandé à Benjamin Jean, spécialiste bien connu des licences de logiciel libre son avis sur le sujet.

L’affaire est dévoilée par Numerama. En cause Appwork, l’éditeur du logiciel JDownloader, un utilitaire bien connu par les accros au téléchargement de contenus divers et variés. Un contributeur extérieur à cette société et qui plus est anonyme aurait inséré dans le logiciel du code destiné à enregistrer en local des vidéos en streaming malgré une protection anticopie.

Cependant ce code a été retiré de la version distribuée au final par l’éditeur. Cela n’a pas suffi pour convaincre le tribunal qui a maintenu la condamnation de l’entreprise éditrice en la jugeant responsable de tous les codes sources déposés sur le projet, quelle que soit la version de ce dernier.

benjamin-jean-inno3J’ai demandé à Benjamin Jean son avis de spécialiste des questions juridiques concernant les logiciels libres. Je vous livre ici ses réponses en précisant qu’il n’a pas lu de traduction de la décision. Il s’agit donc d’une réflexion sur le fond et pas d’une opinion sur les faits précis de cette condamnation.

Philippe : Tout d’abord une telle condamnation est-elle possible en France ?

Benjamin : Il faudrait regarder les motifs de la décision afin d’être certain de comprendre sa portée/ses implications. J’ai l’impression qu’il s’agit de la transposition de EUCD : concernant la protection des mesures techniques de protection et la diffusion/édition/mise à disposition de logiciels permettant de casser des MTP (NDLR : Mesure Technique de Protection).

Sur la base du premier point, et en imaginant que les juges s’appuient sur cette transposition, une décision similaire pourrait bien être possible en France :

Cela dit, rien de très nouveau : de tout temps les intermédiaires qui utilisent, en l’état ou modifiés, des contributions de tiers (c’est le principe de l’open source) assument des responsabilités plus ou moins grandes selon le contexte (en dehors du contrat négocié, celui qui vend un logiciel est soumis à certaines garanties & responsabilités légales que n’aurait pas celui qui n’en fait qu’une diffusion gratuite).

La décision récente contre Fantec (Landgericht Hamburg, 14/06/13) allait aussi dans ce sens : est responsable celui qui vend un matériel qui contiendrait des logiciels développés par un tiers, même si celui-ci s’était engagé à respecter les licences open source des composants utilisés. A leur charge ensuite de se retourner contre les contributeurs/fournisseurs fautifs.

Philippe : Cette action n’est-elle possible que pour des éditeurs de type entreprises ? Cela pourrait-il arriver à The Document Foundation par exemple ?

Benjamin : Cela concerne aussi les projets communautaires organisés en association ou fondation, même si, ne faisant pas de commerce sur la base de ces logiciels, ils peuvent plus facilement prévoir des limitations/exclusions de garantie/responsabilité (obligatoire en matière de vente).

Cela renforce la nécessité d’organiser la contribution à un projet (mais c’est quelque chose qui me semble aller de soi) afin de contrôler qui contribue et, surtout, qui contribue quoi. Je trouve assez étrange qu’une société ne valide pas les contributions apportées sur sa branche principale. L’intérêt de s’appuyer sur une personne morale est justement de ne pas faire reposer la responsabilité sur les contributeurs eux-mêmes.

Philippe : Penses-tu que ce type « d’attaque » puisse être utilisé pour pénaliser les logiciels libres ou open source ?

Benjamin : Je pense qu’il faut relativiser cette décision :

Philippe : une dernière question, l’utilisation des contributors agreement (on aime ou on n’aime pas…) permet-elle d’éviter ce genre de problème ?

Benjamin : Ce contrat aurait au moins l’avantage d’éviter les contributions anonymes. Le processus est généralement assez formaliste et doit permettre de connaître avec certitude l’identité du contributeur — ce qui permet d’ailleurs parfois de savoir que celui-ci a moins de 16 ans et qu’il est nécessaire d’obtenir aussi l’autorisation de ses parents.

En revanche, l’impact juridique sera faible (quasi inexistant pour un professionnel — justement en transposant la décision rendue contre Fantec –, peut être un peu plus pour un projet communautaire sans but lucratif).

Par ailleurs, le contributors agreement a pour conséquence de renforcer la responsabilité de l’éditeur en termes de garantie d’éviction (qui consiste à garantir qu’on est bien titulaire de droits) puisque la contribution tombera alors directement dans cette garantie (légale) alors qu’elle peut être (au moins partiellement) aménagée contractuellement lorsqu’il en s’agit que d’un composant Open Source utilisé en l’état.

Merci, Benjamin, pour ta contribution à nous éclairer sur cette récente affaire.


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 10/12/2013. | Lien direct vers cet article

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Lectures et humeurs de la semaine du 2-12-2013

samedi 7 décembre 2013 à 20:12

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Logiciel Libre & Open Source

Comme un écho à mon dernier article… Quand éducation rimera avec pognon alors peut être …

Manque les propositions, mais sur les conclusions on est en phase. Pour une solution, voir par ici

Quand éducation rimera avec pognon alors peut être … | Cyrille BORNE et Associés.

Interview vidéo de Francois Aubriot Président de Ploss-Ra sur les RRLLSP Lyon

▶ Francois Aubriot Président de Ploss-Ra – YouTube.

Le fouillis des licences opendata s’éclaircit

Pour y voir un peu plus clair

Le fouillis des licences open data s’éclaircit [Fiche pratique] – Lagazette.fr.

Moby : après la musique gratuite, la musique open source

Je doute que beaucoup le suive… Un luxe que seule peut se payer une Star des hit-parades dans notre contexte économique…

Moby : après la musique gratuite, la musique open source.

Informatique & Technologies

Pas d’avenir dans ces usages ? Sketchfab lève 2 millions de dollars pour son site dédié à la 3D

Quand je parle, des usages du Web3D certains me répondent qu’ils ne voient pas d’opportunités de futur business… Certains sont probablement plus visionnaires que d’autres…

Sketchfab lève 2 millions de dollars pour son site dédié à la 3D

Quand on y passe 2 à 3 h par jour dedans….Grand Paris Express : 4G, Wi-Fi et datacenters dans ce futur métro numérique ?

Pauvres parisiens dont on organise désormais le travail au sein même de leurs moyens de transport. Le plus simple ne serait-il pas qu’ils restent chez eux pour travailler ? Du moins une partie de leur temps de travail ? Ne serait-ce pas autant d’énergies économisées et de projets pharaoniques et inutiles comme celui-ci d’éviter ?

Grand Paris Express : 4G, Wi-Fi et datacenters dans ce futur métro numérique ?

Faut-il s’en réjouir ? La gratuité, premier critère de choix pour la culture en ligne

Je ne pense pas. C’est le triomphe de l’internet gratuit qui cause plus de dégât qu’autre chose sauf pour ceux qui tirent les ficelles de ce mécanisme gigantesque.

La gratuité, premier critère de choix pour la culture en ligne

Ne pas oublier le recyclage… 85 % des ordinateurs usagés peuvent être reconditionnés (mais iront à la casse…)

Rien de très surprenant. Mais il faudrait aussi développer les filières du recyclage, car tôt ou tard ses machines iront “à la casse”.

Recyclage › 85 % des ordinateurs usagés peuvent être reconditionnés › GreenIT.fr

Petite vidéo marrante :L’obsolescence programmée et les robots

Les fans d’Apple ne vont pas aimer. Qu’ils se rassurent ce que l’on voit dans cette vidéo s’applique à bien d’autres cas.

L’obsolescence programmée et les robots | TIC-logs par Tangi

Economie

L’économie collaborative est-elle aussi sociale et solidaire ?

Une bonne question. Mais la réponse n’est pas oui systématiquement loin de là.

L’économie collaborative est-elle aussi sociale et solidaire ? | Le Labo de l’économie sociale et solidaire


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 07/12/2013. | Lien direct vers cet article

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A part Canonical (?) qui pour libérer l’informatique dans l’éducation ?

mercredi 4 décembre 2013 à 14:22

educationLe Framablog nous livre la traduction d’une communication de Canonical relatant la livraison à l’éducation américaine d’ordinateurs portables Asus équipés d’Ubuntu. Une façon de prouver que GNU/Linux dans l’éducation c’est possible tout en regrettant que Canonical en soit à l’origine. Cependant, peut-il en être autrement ?

L’introduction de l’article montre toute l’ambivalence dans le cœur des libristes que peut générer ce genre d’informations.

On nous en voudra peut-être, pour ne pas dire sûrement, d’avoir traduit ci-dessous un communiqué de Canonical faisant la promotion d’offres Ubuntu de son partenaire Asus sur Amazon (uniquement aux US)

Canonical, c’est le vilain petit manchot du libre. Sécessionniste, sa distribution GNU/LInux Ubuntu devient au fur et à mesure des versions un système d’exploitation “à part”. Canonical est doté de son propre bureau Unity, bientôt de son propre système de rendu graphique Mir ; du coup, la liste des divergences ou des spécificités s’allonge un peu plus chaque jour. Pourtant c’est toujours du logiciel libre au moins au sens de la licence.

Voilà donc que Canonical s’associe avec ASUS pour proposer des ordinateurs portables équipés de son OS à l’éducation américaine. Il est possible d’imaginer que cette stratégie s’accompagne d’une démarche de prix cassés et de lobbying intense auprès des autorités concernées. Visiblement cela fonctionne. Alors pourquoi pas en France ?

Tout d’abord, il faudrait que Canonical s’intéresse à ce marché. Il y a peu de chances à mon avis, notre marché n’est probablement pas assez “gros”. Mais qui donc alors ? Aka nous suggère l’offre de ThinkPenguin.com avec la distribution Trisquel dedans par défaut, certifiée 100% libre par la FSF. Je suppose que c’est un trait d’humour.

Pour être plus réaliste, il vaudrait mieux se tourner vers une Debian ou encore Mageia voire, soyons fou, vers Archlinux. Mais au-delà des considérations techniques qui ont au final peu d’importance, pourquoi ces distributions ne peuvent-elles réussir ce que Canonical a fait ?

La raison est simple : leur modèle économique ne le permet pas. Dans les communautés Debian, Magieia ou encore Archlinux personne ne montera de partenariat avec un constructeur comme Asus avec toute une opération de communication et de lobbying en direction “des élus qui vont bien”.  On me répondra sûrement que ce n’est pas leur rôle. Soit, mais qui alors ?

Les enseignants ? Je doute fort que le salut vienne de ce côté-là, même si certains n’hésitent pas à mettre les mains de le cambouis pour introduire le plus possible de logiciels libres. Mais ils sont minoritaires et sans aide de leur administration et de la très grande majorité de leurs collègues. N’oublions pas non plus pour faire bonne mesure le peu de maîtrise de l’outil informatique en général.

L’état, les collectivités ? Je crois que c’est plutôt mal parti de ce côté déjà largement victimes du lobbying intensifs des poids lourds.

Des associations ? Elles n’en ont pas les moyens. Il n’existe pas de Mozilla de la distribution GNU/Linux. C’est bien là une des faiblesses du logiciel libre qui ne sait pas s’organiser de façon transversale pour assembler ses innombrables composants dans une suite cohérente et finalisée. La faute revient aussi à notre système économique où l’on ne prête qu’aux riches. Le privilège de la création monétaire est aujourd’hui la chasse gardée des grands groupes.

Le logiciel (et matériel) libre ne pourra percer dans l’éducation que le jour où “quelqu’un” aura réalisé l’assemblage d’une suite complète allant d’un Open Sankoré en passant par une gamme de tablettes, ordinateurs portables, PC fixes pour les salles de travaux pratiques sans omettre les indispensables contenus et j’en oublie sûrement. A cela doivent s’ajouter une communication et un travail de lobbying sans faille. Bref un chantier titanesque.

Pourtant tout est là, libre et sous nos pieds. La question des moyens reste entière et il n’est pas étonnant de constater qu’à ce jour seul un Google ou un Microsoft a la capacité de réaliser une telle opération. Le logiciel libre (le vrai) est-il désarmé ? Oui tant qu’il continuera à s’enfermer dans des modèles qui n’ont aucune chance de fonctionner dans notre économie actuelle. L’associatif basé sur le bénévolat, à moins de créer un grand front uni et d’associer toutes les énergies, n’en aura pas la capacité.

Point de salut alors ? Pas sans changer le système économique ce qui prendra probablement des années ou sans le “hacker” en utilisant les possibilités qu’il offre à ce jour et développer une économie d’intérêt général favorable au développement du logiciel libre (le vrai). Sur ces deux aspects, des propositions existent, j’en ai déjà parlé sur ce site ; d’autres mènent leur combat. Mais visiblement, elles n’attirent pas les foules probablement peu conscientes. Encore moins ceux qui se satisfont de façon égoïste des limites de l’environnement dans lequel ils évoluent pour en tirer un profit personnel.

C’est le sens de ma série d’articles en cours sur l’économie de la rareté et les logiciels libres : essayer de faire comprendre et d’éveiller (en toute modestie et à ma petite échelle) les consciences à la nécessité de mettre en place une économie spécifique aux vrais logiciels libres. Il n’y a guère de solutions miracles, mais si nous sommes réunis, il existe des moyens.

Sur le Framablog : GNU/Linux dans l’éducation : il n’y a plus d’excuses là !

Post-scriptum : pour celles et ceux qui se demandent ce que pourrait être un “faux” logiciel libre, je les invite à suivre ma série sur l’économie de la rareté et les logiciels libres. Il y sera question d’open source ;-)


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 04/12/2013. | Lien direct vers cet article

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Lectures et humeurs de la semaine du 25-11-2013

dimanche 1 décembre 2013 à 12:07

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Logiciel Libre & Open Source

Pour que Winamp vive, une pétition appelle AOL à rendre le logiciel open source

J’ai un peu des doutes que cela arrive…

Pour que Winamp vive, une pétition appelle AOL à rendre le logiciel open source.

Agritux : histoire d’une (belle) rencontre entre un agriculteur et un artisan du libre

J’ai une affinité particulière avec l’agriculture. L’AMAP que j’ai eu présidé pendant 5 ans et les relations qui se sont tissés avec nos producteurs sont autant de liens qui m’ont “enraciné” à nouveau dans l’importance de la “terre”. Voilà une solution “verticalisé” que je ne connaissais pas.

Agritux : histoire d’une (belle) rencontre entre un agriculteur et un artisan du libre – Framablog

Logiciels libres dans l’ administration : le préfet de l’Isère s’en mêle

Toujours satisfaisant de voir que le travail de fond a porté ses fruits…

Logiciels libres dans l’administration : le préfet de l’Isère s’en mêle

Informatique & Technologies

Intéressant pour un laptop : WD Black² Dual Drive : un SSD et un disque dur distincts dans 9,5 mm d’épaisseur

J’aime bien le concept, même si ce n’est pas donné à prêt de 300€. Mais cela permet de bénéficier du meilleur des deux mondes.

WD Black² Dual Drive : un SSD et un disque dur distinct dans 9,5 mm d’épaisseur.

Economie & Politique

Spéculation, maintenant vol, finalement une monnaie comme les autres le Bitcoins ?

Spéculation, et maintenant vol, le Bitcoins devient de plus en plus une monnaie “normale”… En tout cas je n’y toucherais pas. Une vraie pyramide de Ponzi 2.0

Bitcoins : victime d’une cyberattaque, BIPS perd un million de dollars

Supprimons le Sénat, ils ne servent à rien ou presque : Le Sénat adopte le brevet unitaire sans sourciller

Puisque le temps est aux économies, il suffit de supprimer le Sénat et de diminuer de moitié le nombre de députés. Ils continueront de faire ce qu’ils veulent, mais au moins ça coûtera moins cher aux contribuables.

Le Sénat adopte le brevet unitaire sans sourciller


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 01/12/2013. | Lien direct vers cet article

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