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Philippe Scoffoni

source: Philippe Scoffoni

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Virtuel, il ne faudra pas dire que vous ne saviez pas…

lundi 28 mars 2016 à 10:25

Le futur c'est maintenantCela fait quelques années que je vous parle régulièrement au travers de mes articles de la nécessité pour le logiciel libre de s’investir dans le domaine du virtuel 3D et de prendre une position de précurseur en la matière plutôt que de suivre la traditionnelle longue route de la remédiation.

Être précurseur, innover n’est pas chose facile d’une manière générale. L’innovation, c’est parfois un coup de chance ou le fruit d’une longue série d’essais et d’échecs ou encore le résultat d’un travail d’analyse des usages et problèmes que peuvent rencontrer les gens aux quotidiens. C’est parfois aussi (souvent ?) le mélange de tout cela.

De quoi suis-je en train de parler ? Je vous parle d’usages mettant en œuvre un environnement virtuel immersif en trois dimensions comme plaque tournante de toute une série de dispositifs logiciels ou matériels. Pour ne citer que ceux, qui chacun dans leur coin et sans lien entre eux, font le buzz : les imprimantes 3D, les drones, les lunettes de réalité augmentées, les scanners 3D, etc.

Je connais par cœur les contre-arguments de ceux qui disent que cela ne marchera jamais, que cela a déjà échoué. Sur ce dernier point ils n’ont pas tort, si l’on se réfère à Second Life qui connu son heure de gloire auprès du grand public en 2006/2007 en passant de 500 000 utilisateurs à 3,5 millions en 6 mois pour retomber dans un quasi-oubli.

A qui la faute ? Aux usages qui n’étaient pas prêts. Tant et si bien que personne, si ce n’est les joueurs et les amateurs de sexe virtuel, n’y a trouvé d’intérêt. D’ailleurs, c’est mieux ainsi, LindenLab, la société derrière SecondLife est connue pour son peu d’ouverture et sa faible considération envers ses clients.

Près de 10 années se sont écoulées depuis ce premier échec. Un échec qui à mon sens ne remet nullement en cause la pertinence des usages que l’on peut bâtir autour de ce type d’outil. Des usages mêlants réel et virtuel, permettant de développer des activités et des interactions difficiles à réaliser à grande échelle à cause des limitations du monde physique : simulation de catastrophe naturelle, incendie dans des usines ou encore aménagement collaboratif d’un quartier ou d’un village. Les exemples ne manquent pas.

Soyons clairs, je ne propose nullement de transcender notre quotidien pour faire un monde à la Matrix. Loin de moi cette idée. Il s’agit de mettre à disposition de notre quotidien des outils destinés à l’améliorer. Nous ne sommes pas dans la transcendance, l’évolution vers un homo-numericus au détriment de ce que nous sommes aujourd’hui. Je suis même particulièrement méfiant quant aux apports de certaines « nouveautés » technologiques censées nous « augmenter ».

D’autant plus méfiant quand ces innovations sont portées par des industriels dont le seul objectif est de nous enfermer dans un cocon commercial duquel nous ne pouvons pas sortir. C’est tout le combat qui est aujourd’hui mené contre les GAFAM.

Mais se battre sur leur territoire est aujourd’hui peine perdue pour le logiciel libre. Il n’arrivera au mieux qu’à faire naître quelques CHATONS dont l’influence ne viendra que marginalement faire bouger les positions des mastodontes du numérique.

Il faut créer de nouveaux territoires pour y attirer les utilisateurs et surtout le faire à grande échelle. Bien entendu, ce projet se doit de mettre en œuvres des logiciels libres et une approche respectueuse et proche des utilisateurs et de leurs données. C’est ce que propose depuis 2007 Meza|Lab. Mais c’est un projet qui pour ceux qui le découvrent fait peur. Peur, car il ne vise pas à bricoler une petite expérimentation dans un coin. Peur, car il met en avant des usages dont on pense que le commun des mortels trop maladroit avec l’outil informatique ne saura pas se saisir.

Tout est sous nos pieds. Nous disposons des logiciels libres permettant de bâtir une approche décentralisée et libre. Sur le plan financier et humain, le mécénat des particuliers et des entreprises si peu utilisé en France pourrait financer la recherche et développement nécessaire. Il ne manque que la volonté et une masse critique de participants actifs.

Que martèle désormais Facebook dans les grands événements ? Que le temps de la réalité virtuelle est venu. Je vous laisse méditer sur cette simple phrase de Mark Zuckerberg lors d’un récent événement « South By Southwest »

Demain nous n’irons plus SUR Facebook, mais DANS Facebook

Amis libriste, réfléchis, entre deux bouchées de chocolat, au sens et aux implications que je trouve terrifiantes de cette phrase. Que se passera-t-il quand plus d’un milliard d’utilisateurs seront à quelques clics de nouveaux territoires et d’usages, qui s’ils sont bien mis en œuvre, seront bien plus addictifs que ce que pourra proposer n’importe quel réseau social libre et décentralisé. N’oublie pas que le grand public a déjà failli sauter le pas en 2006. Alors les conditions techniques d’accès à ces outils étaient bien plus limitatives. Un simple smartphone suffit aujourd’hui ou presque. Même Amazon recrute pour se lancer à fond dans la réalité virtuelle. Alors ne vois-tu rien venir ?

Il reste encore un peu de temps, mais plus beaucoup, je pense. Le chimpanzé qui hante les commentaires, mais qui est le meilleur ami de l’homme, te montre le chemin et dans quel sens souffle le vent. Il ne tient qu’à toi de le suivre ou au moins de pousser la porte par curiosité. Ne sois pas inquiet, il ne mord pas, sauf ceux, qui sous couvert de défendre une éthique ou des principes, bloquent ou nient toute possibilité de faire autrement 🙂

Joyeuses Pâques, maintenant, tu sais !

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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 28/03/2016. | Lien direct vers cet article

Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons BY à l'exception des images qui l'illustrent (celles-ci demeurent placées sous leur mention légale d'origine).

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Virtuel, il ne faudra pas dire que vous ne saviez pas…

lundi 28 mars 2016 à 10:25

Le futur c'est maintenantCela fait quelques années que je vous parle régulièrement au travers de mes articles de la nécessité pour le logiciel libre de s’investir dans le domaine du virtuel 3D et de prendre une position de précurseur en la matière plutôt que de suivre la traditionnelle longue route de la remédiation.

Être précurseur, innover n’est pas chose facile d’une manière générale. L’innovation, c’est parfois un coup de chance ou le fruit d’une longue série d’essais et d’échecs ou encore le résultat d’un travail d’analyse des usages et problèmes que peuvent rencontrer les gens aux quotidiens. C’est parfois aussi (souvent ?) le mélange de tout cela.

De quoi suis-je en train de parler ? Je vous parle d’usages mettant en œuvre un environnement virtuel immersif en trois dimensions comme plaque tournante de toute une série de dispositifs logiciels ou matériels. Pour ne citer que ceux, qui chacun dans leur coin et sans lien entre eux, font le buzz : les imprimantes 3D, les drones, les lunettes de réalité augmentées, les scanners 3D, etc.

Je connais par cœur les contre-arguments de ceux qui disent que cela ne marchera jamais, que cela a déjà échoué. Sur ce dernier point ils n’ont pas tort, si l’on se réfère à Second Life qui connu son heure de gloire auprès du grand public en 2006/2007 en passant de 500 000 utilisateurs à 3,5 millions en 6 mois pour retomber dans un quasi-oubli.

A qui la faute ? Aux usages qui n’étaient pas prêts. Tant et si bien que personne, si ce n’est les joueurs et les amateurs de sexe virtuel, n’y a trouvé d’intérêt. D’ailleurs, c’est mieux ainsi, LindenLab, la société derrière SecondLife est connue pour son peu d’ouverture et sa faible considération envers ses clients.

Près de 10 années se sont écoulées depuis ce premier échec. Un échec qui à mon sens ne remet nullement en cause la pertinence des usages que l’on peut bâtir autour de ce type d’outil. Des usages mêlants réel et virtuel, permettant de développer des activités et des interactions difficiles à réaliser à grande échelle à cause des limitations du monde physique : simulation de catastrophe naturelle, incendie dans des usines ou encore aménagement collaboratif d’un quartier ou d’un village. Les exemples ne manquent pas.

Soyons clairs, je ne propose nullement de transcender notre quotidien pour faire un monde à la Matrix. Loin de moi cette idée. Il s’agit de mettre à disposition de notre quotidien des outils destinés à l’améliorer. Nous ne sommes pas dans la transcendance, l’évolution vers un homo-numericus au détriment de ce que nous sommes aujourd’hui. Je suis même particulièrement méfiant quant aux apports de certaines « nouveautés » technologiques censées nous « augmenter ».

D’autant plus méfiant quand ces innovations sont portées par des industriels dont le seul objectif est de nous enfermer dans un cocon commercial duquel nous ne pouvons pas sortir. C’est tout le combat qui est aujourd’hui mené contre les GAFAM.

Mais se battre sur leur territoire est aujourd’hui peine perdue pour le logiciel libre. Il n’arrivera au mieux qu’à faire naître quelques CHATONS dont l’influence ne viendra que marginalement faire bouger les positions des mastodontes du numérique.

Il faut créer de nouveaux territoires pour y attirer les utilisateurs et surtout le faire à grande échelle. Bien entendu, ce projet se doit de mettre en œuvres des logiciels libres et une approche respectueuse et proche des utilisateurs et de leurs données. C’est ce que propose depuis 2007 Meza|Lab. Mais c’est un projet qui pour ceux qui le découvrent fait peur. Peur, car il ne vise pas à bricoler une petite expérimentation dans un coin. Peur, car il met en avant des usages dont on pense que le commun des mortels trop maladroit avec l’outil informatique ne saura pas se saisir.

Tout est sous nos pieds. Nous disposons des logiciels libres permettant de bâtir une approche décentralisée et libre. Sur le plan financier et humain, le mécénat des particuliers et des entreprises si peu utilisé en France pourrait financer la recherche et développement nécessaire. Il ne manque que la volonté et une masse critique de participants actifs.

Que martèle désormais Facebook dans les grands événements ? Que le temps de la réalité virtuelle est venu. Je vous laisse méditer sur cette simple phrase de Mark Zuckerberg lors d’un récent événement « South By Southwest »

Demain nous n’irons plus SUR Facebook, mais DANS Facebook

Amis libriste, réfléchis, entre deux bouchées de chocolat, au sens et aux implications que je trouve terrifiantes de cette phrase. Que se passera-t-il quand plus d’un milliard d’utilisateurs seront à quelques clics de nouveaux territoires et d’usages, qui s’ils sont bien mis en œuvre, seront bien plus addictifs que ce que pourra proposer n’importe quel réseau social libre et décentralisé. N’oublie pas que le grand public a déjà failli sauter le pas en 2006. Alors les conditions techniques d’accès à ces outils étaient bien plus limitatives. Un simple smartphone suffit aujourd’hui ou presque. Même Amazon recrute pour se lancer à fond dans la réalité virtuelle. Alors ne vois-tu rien venir ?

Il reste encore un peu de temps, mais plus beaucoup, je pense. Le chimpanzé qui hante les commentaires, mais qui est le meilleur ami de l’homme, te montre le chemin et dans quel sens souffle le vent. Il ne tient qu’à toi de le suivre ou au moins de pousser la porte par curiosité. Ne sois pas inquiet, il ne mord pas, sauf ceux, qui sous couvert de défendre une éthique ou des principes, bloquent ou nient toute possibilité de faire autrement :-)

Joyeuses Pâques, maintenant, tu sais !

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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 28/03/2016. | Lien direct vers cet article

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Rendez-vous aux JDLL 2016 de Lyon pour découvrir Dolibarr

mardi 22 mars 2016 à 21:18

JDLL2016Comme toutes les années se tiennent les Journées du Logiciel Libre de Lyon. Durant deux journées, les 2 et 3 avril à la Maison pour tous — Salle des Rancy à Lyon vous pourrez venir découvrir au travers de conférences et d’ateliers les diverses facettes de logiciels libres et surtout comment ils peuvent au quotidien répondre à vos besoins informatiques.

Se déroulant un week-end, les JDLL sont essentiellement destinées au grand public. Les conférences et ateliers abordent des thématiques variées et pas forcément destinées aux geeks avertis. Il y a moyen d’y trouver son compte.

En ce qui me concerne, je serais présent sur les JDLL à deux titres : en tant que membre du Ploss Rhône Alpes sur le stand de ce dernier et en tant que conférencier et animateur d’un atelier sur le logiciel libre de gestion Dolibarr. Je serais accompagné de Romain Deschamps des Patas Monkey et auteur du guide Dolibarr pour les consultants et sociétés de services.

La présentation commencera à 15 h au « Salon ». Nous y ferons une présentation de Dolibarr et une rapide démonstration des principales fonctionnalités. A 15 h 30 en salle EPN, vous pourrez installer Dolibarr sur votre ordinateur ou votre hébergement et faire vos premiers pas avec notre aide. Une instance de démonstration sera disponible pour ceux qui souhaitent manipuler Dolibarr sans l’installer.

Vous pourrez bien évidement en profiter pour poser toutes vos questions sur ce logiciel de gestion simple aussi bien destiné aux autoentrepreneurs, TPE/I et PME/I qu’aux associations.

A très bientôt peut-être 🙂


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 22/03/2016. | Lien direct vers cet article

Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons BY à l'exception des images qui l'illustrent (celles-ci demeurent placées sous leur mention légale d'origine).

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Rendez-vous aux JDLL 2016 de Lyon pour découvrir Dolibarr

mardi 22 mars 2016 à 21:18

JDLL2016Comme toutes les années se tiennent les Journées du Logiciel Libre de Lyon. Durant deux journées, les 2 et 3 avril à la Maison pour tous — Salle des Rancy à Lyon vous pourrez venir découvrir au travers de conférences et d’ateliers les diverses facettes de logiciels libres et surtout comment ils peuvent au quotidien répondre à vos besoins informatiques.

Se déroulant un week-end, les JDLL sont essentiellement destinées au grand public. Les conférences et ateliers abordent des thématiques variées et pas forcément destinées aux geeks avertis. Il y a moyen d’y trouver son compte.

En ce qui me concerne, je serais présent sur les JDLL à deux titres : en tant que membre du Ploss Rhône Alpes sur le stand de ce dernier et en tant que conférencier et animateur d’un atelier sur le logiciel libre de gestion Dolibarr. Je serais accompagné de Romain Deschamps des Patas Monkey et auteur du guide Dolibarr pour les consultants et sociétés de services.

La présentation commencera à 15 h au « Salon ». Nous y ferons une présentation de Dolibarr et une rapide démonstration des principales fonctionnalités. A 15 h 30 en salle EPN, vous pourrez installer Dolibarr sur votre ordinateur ou votre hébergement et faire vos premiers pas avec notre aide. Une instance de démonstration sera disponible pour ceux qui souhaitent manipuler Dolibarr sans l’installer.

Vous pourrez bien évidement en profiter pour poser toutes vos questions sur ce logiciel de gestion simple aussi bien destiné aux autoentrepreneurs, TPE/I et PME/I qu’aux associations.

A très bientôt peut-être :-)


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 22/03/2016. | Lien direct vers cet article

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Simplifier vos recherches dans Dolibarr

mercredi 16 mars 2016 à 08:50

Dans l’utilisation quotidienne d’un logiciel de gestion d’entreprise, la recherche d’informations occupe une place privilégiée dans le quotidien de l’utilisateur. Ce dernier doit en permanence, et souvent le plus rapidement possible, retrouver la dernière commande pour le client X qui vient d’appeler ou vérifier si une facture fournisseur a bien été réglée. Nous allons voir comment simplifier cette activité dans le logiciel libre Dolibarr.

Etat des lieux

Zone de recherche Dolibarr 3.8Que propose Dolibarr par défaut ? Regardons dans la version 3.8 les outils disponibles. Les plus accessibles sont des zones de recherche que l’on peut activer dans les paramètres d’affichage en fonction des modules que l’on utilise. C’est déjà un début.

Par contre si votre recherche porte sur un numéro de facture ou de commande, il vous faut d’abord aller sur la page du module concerné : Compta/Tréso ou Commercial selon le cas. Un ensemble de zones de recherche sont alors disponibles.

Zonne de recherche commercialVous avez ensuite la possibilité d’affiner vos recherches en utilisant les filtres disponibles dans les différentes « Listes ». D’une manière générale, c’est suffisant pour travailler, mais pas forcément idéal, car il faut enchaîner les clics et sélectionner les bons contextes. Peut-on faire mieux ?

Dolibarr 3.9

Cette version vient d’être officiellement publiée. Une des nouveautés de cette version est une nouvelle zone de recherche.

Recherche globale Dolibarr 3.9

Entités dans la zone de recherchComme vous pouvez le constater, elle est déjà idéalement positionnée et s’affiche en haut du menu latéral gauche toujours bien en vu. Deuxième point important, elle permet de rechercher dans bien plus d’entités qu’auparavant. Vous commencez à saisir quelques caractères et une liste déroulante s’affiche pour vous permettre de sélectionner l’entité sur laquelle vous souhaitez lancer la recherche.

Il ne vous reste plus qu’à valider par la touche « Entrée » pour lancer la recherche. Le résultat vous est affiché dans une liste. L’augmentation du périmètre de la recherche dans les entités et la profondeur au sein de ces entités permet de gagner pas mal de temps. Quand je parle de profondeur, il s’agit des informations associées à l’entité. Ainsi lorsque je sélectionne « Tiers », la recherche s’effectue sur les champs suivants du tiers : Nom du tiers, Nom alternatif, Code client, Code fournisseur, Email, URL, Numéro de TVA, Identifiant professionnel 1, Identifiant professionnel 2, Identifiant professionnel 3, Identifiant professionnel 4.

Bref, cette nouvelle recherche va bien optimiser l’usage de Dolibarr. Mais peut-on faire encore mieux ?

Modules complémentaires

J’en ai retenu deux :

Le premier de ces modules ajoute une zone de recherche dans le menu de droite appelée « Recherche globale ». Une fois la recherche lancée celle-ci affiche un tableau avec les différentes entités pour lesquelles la valeur a été trouvée.

Sélection_232Il vous suffit de cliquer sur l’information qui vous intéresse.

Recherche instantanéeL’approche proposée par le second module est différente. L’objectif est de vous proposer en « temps » réel une liste de résultats dans laquelle vous allez piocher celui qui vous intéresse. Une fois activée, une zone de recherche façon Dolibarr 3.9 s’affiche au sein du menu de gauche. Lorsque vous commencez à saisir les premiers caractères, le module fait immédiatement une recherche dans les entités pour vous proposer un résultat. Vous pouvez alors cliquer sur l’élément qui vous intéresse. Vous pouvez également afficher les résultats sur une page récapitulative comme le propose le module Recherche globale.

Personnellement, j’apprécie l’approche ergonomique proposée par le module Recherche avancé en temps réel. À noter que ce dernier présente quelques dysfonctionnements avec la version 3.8 que j’ai remontés au développeur avec les corrections à apporter.

Le module Recherche globale propose par contre une recherche plus étendue sur les entités Agenda, Projets et Tâches.

À noter que je n’ai pas pu faire fonctionner ces deux modules sur la version 3.9 de Dolibarr.

À vous de privilégier la solution qui répondra le mieux à votre besoin. J’aurais rêvé de la fusion des deux, mais qui sait cela viendra peut-être 🙂

 


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 16/03/2016. | Lien direct vers cet article

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