PROJET AUTOBLOG


Matronix.fr

source: Matronix.fr

⇐ retour index

Val-de-marne : à villejuif, le dealer fanfaronne avec son immunité diplomatique – Le Parisien

mardi 19 décembre 2017 à 21:46

Arrêté pour deal jeudi par des policiers de Paris et relâché deux heures plus tard, il a de nouveau joui de son statut protégé le lendemain en se déclarant « intouchable ».

Source : Val-de-marne : à villejuif, le dealer fanfaronne avec son immunité diplomatique – Le Parisien

A lire évidemment avec du recul mais quand même bordel…

Parce que Bouygues, c’est aussi ça la magie de Noël

mardi 19 décembre 2017 à 20:14

C’est pas obligatoire la mention « Stop » Bouygues chez toi ?

La pédagogie par le jeu vidéo

mardi 19 décembre 2017 à 20:06

J’ai réussi à me simplifier énormément ma gestion de classe par le jeu vidéo. J’ai un système de comportement où s’ils se comportent bien, ils sont tout en haut. Et s’ils sont tout en haut, ils peuvent faire des trucs en plus. Parmi ces trucs j’ai un coloriage géant (ils adorent !), divers petits jeux et coloriages, le Katamino (c’est trop bien) :

mais aussi un synthé et un ordi. Ils peuvent aller à deux sur l’ordi (ils ont chacun un casque !), un au piano (casque aussi), histoire que ça tourne et que ça se batte pas. Ils peuvent faire ces activités en accueil en classe (ils rentrent avant les heures « officielles » dans la classe).

Donc ça se bagarre pour être tout en haut dans le comportement !! C’est génial les enfants pour ça. J’ai plus de gros durs (ils ont pas tenu devant l’évermeillement (?) des copains sur un truc qu’ils pouvaient même pas voir hahaha).

Le jeu vidéo me permet une gestion facilité de ma classe, si c’est pas beau, ça :) ?

Pour le moment ils peuvent jouer à Peggle :

Et à Little Inferno (bon un peu déprimant au niveau de l’histoire mais ils lisent pas ils veulent brûler des trucs lol) :

Ils peuvent aussi jouer à ça de temps en temps :

Et enfin Botanicula :

Ils manipulent la souris OU le clavier, mon jeu au clavier est un peu trop dur mais j’ai pas de meilleure idée, c’est top pour leur apprendre à se servir d’un matériel informatique, parce que qu’est-ce que c’est dur, la tablette est vraiment plus ergonomique mais c’est pas ça l’informatique !! Coup de gueule du vieux con pardon.

(6) David Bowie Space Oddity Lyrics – YouTube

mardi 19 décembre 2017 à 19:43

Tellement puissante… écoutée correctement.

Xenoblade Chronicles

samedi 16 décembre 2017 à 17:39

Depuis quelques temps j’ai bloqué sur un jeu vidéo, à savoir Xenoblade Chronicles, ou Monado en version japonaise.

Il s’agit d’un jeu de rôle (RPG) japonais, sorti initialement sur Wii, puis réédité sur 3DS. Une « suite » est sortie sur Wii U, Xenoblade Chronicles X, et la vraie « suite » (oui, encore entre guillemets), vient de sortir sur Switch (Xenoblade Chronicles 2). Entre guillemets puisqu’il s’agit d’un tout nouveau monde, avec une autre histoire. C’est plus une suite spirituelle, alors que la version X est plus un spin-off.

Quand je joue à un jeu solo, en particulier un RPG, j’attend principalement d’être transporté. Je dois oublier que je joue à un jeu vidéo. Mine de rien, ça exclue déjà beaucoup de jeux.  Si je vous parle de Monado aujourd’hui, c’est parce que ce jeu m’a littéralement transporté, comme rarement un jeu avant lui ne l’a fait.

Sans plus attendre, on lance cette musique pour lire la suite de l’article :

Il y a très longtemps, deux titans se sont affrontés, jusqu’à leur immobilisation complète, sans que l’on sache trop vraiment pourquoi. Les années ont passé, la faune et la flore se sont développés sur ces titans. Un titan a été peuplé par les Homz, des humains. L’autre titan a été peuplé par les Mekons, des robots. Tout ce monde vivait en équilibre, jusqu’à l’invasion des Mekons chez les humains. Les Mekons sont très développés technologiquement, tellement que les humains ne peuvent lutter, et se font littéralement manger par les Mekons. Oui mais voilà, il existe une arme, Monado, une sorte d’épée d’énergie, qui se trouve capable de combattre les Mekons.

Voilà pour l’histoire principale. Viendront se greffer énormément de petites histoires, avec toujours énormément de rebondissements.

Vous découvrirez que Monado recèle plusieurs pouvoirs, comme des visions de l’avenir, permettant d’influencer le futur, et sauver des personnages qui devraient mourir.

L’histoire est captivante, c’est un vrai moteur qui vous pousse à avancer. L’histoire se retrouve régulièrement boulversée. Elle m’a personnellement procuré beaucoup de frissons, de moments épiques comme rarement j’en ai vu, et ce, régulièrement tout le long de l’histoire. Les personnages sont attachants, l’histoire est simple à comprendre, mais très bien mise en scène. Il y aura des cinématiques régulières.

Au niveau du gameplay, c’est un nouveau genre de jeu à appréhender. Les débuts sont un peu rudes. Les combats sont automatiques, vous ne gérez que les compétences spéciales. Les compétences sont à cooldown, pas de points de magie ici. Le gameplay change complètement suivant le personnage que vous désirez incarner : le tank, qui doit à tout prix garder l’aggro ; le DPS, agile, qui enchaîne ses compétences spéciales suivant sa position : il faudra être sur le côté pour taper les jambes et immobiliser, de dos pour faire le maximum de dégâts, etc ; la soigneuse qui garde ses distances et fournira divers buff à votre équipe. Vous ne pourrez jouer qu’un personnage à la fois, vous pourrez en changer à la volée hors des combats. L’IA gère très bien les autres personnages. Monado fait partie de ces jeux où faire des combats est plaisant, où jamais on a l’impression d’enchaîner les combats pour enchaîner. Les personnages font régulièrement des remarques sur le combat. Les voix sont de très bonne qualité, que ce soit en anglais ou en japonais pour un maximum d’immersion.

Les musiques sont splendides. Il n’a pas été rare que je m’arrête carrément pour écouter les somptueuses compositions, à base de violons, de riff de guitare, de cœurs… L’OST a rejoint ma bibliothèque de musiques.

Je n’ai pas encore parlé des graphismes ! Il faut savoir que je joue au jeu sur 3DS, qui fourni une bouillie de pixels. Cela ne m’a pas gêné outre mesure, j’ai pu largement me laisser emporter par la profondeur de champ particulièrement bluffante. Monado fait partie de ces jeux qui marque par ses graphismes, par son monde immense à parcourir, par ces titans que l’on voit au loin, imposants, par sa diversité de faune et flore.

Les quêtes maintenant. Le jeu regorge de quêtes. Des quêtes fedex pour la plupart, mais toujours un minimum scénarisées. Vous récupérez les quêtes aux PNJ du coin, mais nul besoin de retourner les voir pour valider la quête, elle se valide automatiquement lorsque les conditions sont remplies. Beaucoup de quêtes FedEx donc, mais qui se complètent sans trop y faire attention. Beaucoup comparent le jeu à un MMO hors ligne, je partage également cette impression.

Je n’ai pas parlé encore parlé de toutes les autres mécaniques qui existent, comme l’exploration récompensée, des encyclopédies à compléter, du craft, le sociogramme, les points de compétence, les gemmes, les boss, les enchaînements, la mécanique de chute des ennemis, la demie douzaine de héros jouables.

Monado (ou Xenoblade Chronicles), est un grand jeu. Le genre de jeu qui vous marque, le genre de jeux que l’on n’arrive pas à lâcher avant de l’avoir fini. Il faut y jouer au casque, dans le noir.

Pour les courageux qui ont lu jusqu’ici, sachez qu’il est très simple (comptez 20 minutes) pour faire tourner la version Wii sur PC, avec une manette 360/One, avec des textures améliorées et la résolution native de votre écran. J’ai fait le test, ça tourne très bien, jugez plutôt :

Si vous êtes amateur de JRPG, ne passez pas à côté de ce jeu. Je n’ai pas ressenti autant de vibrations depuis Final Fantasy X. J’ai qu’une hâte, le terminer pour enchaîner avec le 2 sur Switch.

Le jeu vidéo à l’état d’art.