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Comment installer XBMC sur la Ouya #astuce

samedi 10 août 2013 à 14:01

Avant de vous expliquer la procédure qui reste d'une grande simplicité, je tenais à vous rapporter un peu mon expérience avec la Ouya à ce sujet. Pour rappel, je l'avais financée sur Kickstarter, et je l'ai bien reçue. En revanche, j'ai reçu un adaptateur électrique totalement incompatible avec nos prises françaises. Le fabricant m'a même envoyé quelques adaptateurs totalement incompatibles avec la base du transformateur, hormis, heureusement, un modèle sur les trois. L'adaptateur fonctionnel que j'ai reçu à mettre sur le transformateur est dédié aux prises britanniques. Il m'a donc fallu acheter sur amazon un convertisseur UK /FR
, et tout est rentré dans l'ordre.

Avant-propos sur la Ouya et XBMC

J'avais quelques inquiétudes concernant XBMC en application sur Android, mais je dois avouer que jusqu'ici, le media-center est juste impressionnant et lit bien toutes sortes de fichiers. J'avais dans l'idée de remplacer mon vieillissant Popcorn hour A300, qui avait de plus en plus de mal avec l'HDRip moderne. Je dois donc l'avouer maintenant, XBMC s'en sort vraiment très très bien sur Ouya ; c'est fluide, et même plutôt rapide. Si la console Ouya n'est pas encore une grande référence en terme de jeux vidéo, notamment à cause d'une manette relativement "cheap", je l'avais achetée, pour ma part, principalement dans l'espoir de m'en faire un petit media center sur XBMC, et je ne suis vraiment pas déçu. De plus, le petit ventilateur dessous ne fait pratiquement aucun bruit. Si vous voulez donc vous faire un media center pour pas cher, c'est une excellente alternative aux produits du marché qui coûtent trois fois plus chers. Toutefois, je n'ai pas beaucoup apprécié le fait d'être obligé "nativement" de laisser un numéro de carte bleue à l'installation du compte au démarrage de la Ouya. Rien que pour ça, j'ai failli tout faire sauter et profiter du root natif et accessible.

Installer XBMC sur la Ouya

screenshot006-800x450Il y a plusieurs manières d'installer XBMC sur la Ouya. Cette méthode vous permet de ne pas modifier la console et de ne l'utiliser que comme une application android. C'est celle que j'utilise.

Rendez-vous dans le menu "MAKE" de la Ouya, pour rentrer dans le mode développeur. Dans Software, sélectionnez le navigateur "browser". Appuyez sur la touche "Y" de la manette pour écrire et valider l'adresse suivante : goo.gl/gkdvk. Celle-ci pointe vers l'adresse de l'apk http://mirrors.xbmc.org/test-builds/android/xbmc-20130219-32e99c7-android-hwaccel-armeabi-v7a.apk.

Rien ne semble se passer. C'est normal (enfin sans vraiment l'être), mais le téléchargement de XBMC d'une bonne 50aine de Mo sera démarré quand même.

Rendez-vous ensuite dans le menu MANAGE -> Storage -> Downloads pour installer l'APK.

Vous retrouverez alors XBMC dans le menu MAKE, à côté de l'application Browser. Sachez que la navigation dans XBMC n'est pas toujours simple. Il faut savoir qu'il y a un pavé tactile sur la manette de la Ouya au milieu, pour déplacer le curseur de la souris. On l'utilise principalement pour écrire des adresses comme celle de son NAS. Autrement, la navigation via les touches de directions est très bien supportée.

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Le Nexus S avec une batterie Mugen très haute capacité #matériel

mercredi 7 août 2013 à 17:43

Si, il y a bien une chose qui est pénible avec nos smartphones, c'est leur autonomie. De véritables ordinateurs surpuissants aux écrans toujours plus grands, pour téléphoner, c'est sympathique, mais les avancées technologiques des batteries d'origine ne suffisent plus à leur donner une autonomie digne de ce nom.

Début juillet, la batterie de mon Nexus S a rendu l'âme. J'avais des signes qui ne trompaient pas. Malgré des tentatives de calibrages (en root), elle ne chargeait plus qu'à 92%, et malgré une Cyanogenmod, son autonomie ne dépassait jamais plus de 2 jours, alors que je ne le chargeais, avant, que tous les 3 ou 4 jours, suivant l'utilisation. Et puis tout d'un coup, après les dernières charges, mon Nexus S ne tenait plus qu'une journée, sans que je ne change rien de mes habitudes, à savoir couper régulièrement les services lancés et ne laisser traîner presque rien en tâche de fond. Cela ne faisait pourtant que 2 ans que je l'avais...

J'ai donc décidé de m'acheter une nouvelle batterie, mais cette fois-ci, je n'ai pas lésiné. Je me suis acheté une batterie Mugen à très haute capacité ; une 3900 mAh. Celle d'origine était une 1500 mAh. C'est donc un peu plus épais, et aussi un peu plus lourd, mais une coque d'une assez bonne qualité est fournie avec la batterie. Voici ce que cela donne.



Screenshot_2013-07-10-07-22-24 Screenshot_2013-08-07-17-27-09Je l'ai reçue très rapidement, en seulement quelques jours (5 ou 6 de mémoire) alors qu'elle venait de Hong-Kong, avec les frais de port gratuit pour la France.

La première fois, j'ai eu du mal à le croire, mais j'ai bien tenu 7 jours sans devoir recharger. En vacances alors que je ne captais à peine le réseau, la batterie a tenu un peu plus de 3 jours, le mobile ayant pompé quasiment tout pour le chercher. De retour des vacances, dans des conditions normales, je viens finalement de battre mon record. Plus de 8 jours sans le charger, et il me reste encore 20%, soit de quoi tenir encore au moins 24heures en utilisation "simple" ! À ce propos, une charge complète demande pas moins de 6 heures.

2013080717:40:32-1082x618Sacrifier un peu d'esthétique sur l'épaisseur, finalement pas dérangeante du tout, et se voir attirer quelques moqueries des amis qui ont des mini-tablettes dans la poche pour "téléphoner", n'est bien qu'un moindre mal, comparés au gain obtenu. J'ai clairement multiplié par 3 l'autonomie de mon mobile. Désormais, je ne charge plus mon Nexus S rooté sur une Cyanogenmod 'nightly' (qui permet d'améliorer aussi l'autonomie face à une ROM Stock) qu'une fois par semaine (voire deux dans des conditions difficiles ou d'utilisations plus intensives), et c'est aussi un facteur important à prendre en compte pour user beaucoup moins vite sa batterie. Ça permet même d'améliorer la confiance envers son mobile quand on doit l'utiliser activement lors de sorties prolongées.

Une chose est sûre : la prochaine fois que je dois changer de smartphone, je n'hésiterai pas à m'en acheter une autre de ce type.


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De nouveaux grands jeux vont débarquer sur Linux via Steam #jeuvidéo

mercredi 7 août 2013 à 14:36

Dans un article de OMG! Ubuntu, Joey-Elijah Sneddon rapporte quelques futurs jeux vidéo qui seront bientôt compatibles avec Linux. On peut noter par exemple que le jeu Air Conflicts: Pacific Carriers, sorti en 2012 et disponible sur la Xbox 360, PS3 et PCs devrait prochainement sortir sur Linux, par l'intermédiaire de Steam. Dans un sujet sur les forums de Steam, on peut y apprendre que le jeu est prêt sur Linux et Mac, mais que l'éditeur n'a pas encore fait le choix de l'officialiser. Ce devrait normalement n'être qu'une question de semaines. Voici un test vidéo de ce jeu, plutôt sympathique.

Painkiller Hell & Damnation

À côté de ce jeu d'avion, Painkiller Hell & Damnation devrait normalement aussi débarquer sur Linux, ce qui je l'avoue, n'est pas fait pour me déplaire. Même si, il reste un FPS assez classique, son ambiance est marquante et vide bien la tête ; chose que l'on demande en premier à un jeu vidéo. Un vrai défouloir comme l'atteste le gameplay de la béta.

Worms Reloaded

Un autre jeu, et pas des moindres : Worms Reloaded se fait déjà sentir aussi sur Linux. Le jeu est revenu ici en 2D, comme à la bonne vieille époque.

Natural Selection 2

Enfin, histoire d'avoir une offre toujours un peu plus éclectique, n'oublions pas non plus l'excellent Natural Selection 2, un jeu de stratégie et de combat (RTS + FPS) qui devrait devenir officiel sur linux pour septembre 2013. Ambiance

Petite réflexion sur le futur pseudo-monde du Libre

Avec l'arrivée de Steam sur Linux, et avec un peu de temps, on ne peut qu'imaginer que de nombreux éditeurs tenteront l'aventure de rendre leurs jeux vidéo compatibles avec ce système d'exploitation. Si, pour le moment, l'offre n'est logiquement pas encore très importante, on ne peut douter qu'elle ne fera que se développer. Ça ne peut aussi faire que du bien à Linux, qui verra alors potentiellement de nouveaux utilisateurs s'y intéresser. Mais, si Steam et les jeux sur Steam ne respectent pas toujours cette idée que les véritables libristes se font d'une plate-forme libre, il n'en reste pas moins que l'adoption de Linux par plus d'utilisateurs lui donnera un peu plus d'importance sur le marché, créant un cercle à la fois vicieux et vertueux.

Essayer Linux, c'est souvent l'adopter, et si le jeu devenait une porte d'entrée convaincante ? Certes, à n'en pas douter, cela ne fera que diminuer la part du code libre sur Linux, mais il y aura toujours de vraies distributions pour ceux qui préfèrent suivre cet état d'esprit. Il reste juste à espérer que les industriels du code propriétaire ne finiront pas par verrouiller Linux avec leur logiciels "indispensables". Cependant, l'open-source à cela d'intéressant que les développeurs peuvent se rassembler pour créer des alternatives libre à ces logiciels. Cela dit, le commercial est doté de beaucoup plus de moyens pour convaincre, à l'effigie des DRM dans l'HTML5.


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Linux. Sayonara, un lecteur audio léger de qualité #logiciel

mercredi 7 août 2013 à 01:56

Si, il y a une chose qui ne manque pas dans la logithèque de nos PCs, tout système d'exploitation confondu, ce sont bien les lecteurs de musique. On ne les compte plus. Certains sont très légers et d'autres sont garnis de fonctionnalités faisant d'eux de véritables usines à gaz boguées. Alors pourquoi se priver d'essayer une nouvelle alternative, surtout quand cette dernière est libre et gratuite ?

J'aimerais donc vous présenter ma dernière trouvaille, en la présence de Sayonara. Il s'agît bien sûr d'un énième lecteur de musique, mais je viens d'avoir un véritable coup de cœur avec, et j'ai pu m'entretenir avec son auteur, Lucio Carreras. Mais avant de vous rapporter quelques-uns de ses objectifs, passons d'abord à la présentation de ce logiciel, open-source.

Une interface très bien pensée

2013080701:26:10-1050x684Sayonara est écrit en C++ et utilise un framework Qt. Il se veut très léger et très peu consommateur de ressources, ce que je peux confirmer (~150Mo pour + de 50.000 titres). Ce qui m'a séduit dans ce logiciel, c'est son interface ; à la fois classique mais extrêmement bien finie, et visuellement aussi propre que bien organisée. Elle n'est pas modifiable, hormis la possibilité de choisir un fond classique "système" ou noir et se compose de plusieurs sections. Sayonara respire visuellement la qualité, et Lucio semble porter une attention particulière et rigoureuse à l'aspect qualitatif ; un objectif prioritaire au cours du développement des nouvelles fonctionnalités. Vous l'aurez compris, ça se voit, et l'aspect fonctionnelle de son interface est aussi pratique que bien pensée. Toutefois, la langue française n'est pas encore incluse dans son lecteur, même si une traduction réalisée par Bruno Veilleux a été achevée rapidement après la sortie de la version 0.4.

Quelques fonctionnalités

2013080702:07:34-793x482Pour le moment, Sayonara dispose de pas mal de fonctionnalités. Il est possible de lire et sauvegarder des stream audio (des flux radio...), d'accéder à son compte last.fm, ou encore de lire des podcasts. On peut aussi créer des playlists et on peut enregistrer le stream actuel, avec la fonction "stream recorder". Il est aussi doté d'une fonction de tagging assez simple, mais qui se fait pour le moment, principalement, titre par titre. ENfin, il est même possible de récupérer des Lyrics et des pochettes.

Lucio lui a donné ce nom, "Sayonara", parce que comme beaucoup, et malgré les innombrables offres, aucune ne lui allait. Sayonara est donc un adieu personnel aux autres logiciels du genre, et c'est aussi son expression face au monde, quand il veut se relaxer en musique. Son développement a débuté en 2011 et se fait toujours sur son temps libre. C'est même son premier logiciel.

Sayonara, dans le futur

Du côté du futur, Lucio Carreras ajoutera bientôt le streaming de libre.fm. Il prévoit d'ajouter quelques plugins audio de type replay gain, gapless et crystaliseur dans sa feuille de route. À noter que le support de plugins externes n'est pas à l'ordre du jour, surtout par manque de temps. En revanche, il m'a avoué avoir déjà bien entamé le code pour une gestion bien plus complète autour des tags et des renommages. Un plugin pour Spotify est aussi en cours d'écriture, mais comme avec Spotify, c'est payant : sans dons, il ne l'implémentera pas. On peut voir les changelogs ici. Pour un peu, avec de telles promesses, il finira clairement par être mon lecteur audio par défaut.

Ami(e)s développeurs, si vous êtes soucieux de la qualité du code, n'hésitez pas à lui proposer votre aide, sinon un forum est à disposition. Et pour la petite anecdote, son logiciel ne devait pas devenir open-source. Ce sont ses amis qui l'ont incité à le faire. Lucio est aussi devenu linuxien en 2006 grâce à un français qui lui présenté Linux, et qui lui a shooté son Windows. Mais cela ne l'empêchera pas de compiler ses sources pour que Sayonara soit utilisable aussi sur Windows et Mac OSX. En attendant, vous pouvez le télécharger ici, grâce à un .deb ou un .rpm. Un dépôt AUR (pour Arch Linux) est aussi disponible. Rien n'empêche les autres de l'installer par SVN.


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Utiliser des fontes spéciales sur son site, sans l'API de Google #astuce

mardi 6 août 2013 à 18:06

Comment installer une police de caractère pour votre blog ou site web, en passant par la propriété CCS3 @font-face dans votre feuille de style CSS ? Ce n'est pas trop compliqué. Sans utiliser cette propriété, il y a la méthode Google avec sa super API, mais quid du jour où le géant voudra arrêter ce service (gratuit) qui mange de la bande passante sur ses serveurs ? Il est donc hautement préférable d'avoir ses propres fontes (ou polices de caractères) hébergées directement sur son serveur. De plus, ça permet d'éviter une sortie de redirection supplémentaire, qui plombe toujours un peu les performances de son site.

Mais, si la méthode manuelle n'est pas très répandue, c'est parce que les différents navigateurs ne sont pas tous encore logés à la même enseigne, en ne supportant pas tous les mêmes types de fontes... Internet Explorer est, comme toujours pointé du doigt - juste pour l'exemple. Alors à quand une réelle universalité sur un format de fonte au sein de tous les navigateurs ? Le format woff (Web Open Font Format) créé par Mozilla et validé par le W3C devrait juste devenir aujourd'hui un format normalisé et utilisé par tous les navigateurs du marché, pour télécharger nos polices de caractères. SI, en prime, ils en supportent d'autres, tant mieux...

Pour rappel, même si aujourd'hui, le format .ttf semble bien être le plus répandu, il faut aussi le convertir en Eot (End of Time ?), svg et woff pour faire en sorte que le rendu typographique de son site soit le même à peu près partout. Un vieil article de référence fait le tour des formats de polices typographiques.

Comment fait-on ?

En utilisant la propriété @font-face dans sa feuille de style CSS, afin de déclarer toutes les fontes désirées pour son site, en fonction de leurs styles (gras, italique, normal...), on doit pouvoir s'en sortir un minimum. Mais comme, vous n'avez sûrement que le format ttf sous la main, il faut donc le convertir dans les autres formats pré-cités. Pour cela, il y a au moins deux services web qui font ça. Tout d'abord, l'excellent FontSquirrel, et son générateur. Ensuite, il y a aussi font2web. Ces deux services gratuits proposent également la création d'un fichier CSS adapté. Pour un peu, il n'y a plus qu'à copier. Voici un exemple, avec la police Ubuntu que l'on peut récupérer sur le Font Directory de Google, chez Squirrel, ou bien évidemment et de préférence, sur le site officiel. Une fois les fontes générées, on obtient ce genre de code. Dans cet exemple, on place toutes nos polices de caractères dans le sous-répertoire "fonts".

@font-face {
    font-family: 'ubunturegular';
    src: url('fonts/ubuntu-r-webfont.eot');
    src: url('fonts/ubuntu-r-webfont.eot?#iefix') format('embedded-opentype'),
         url('fonts/ubuntu-r-webfont.woff') format('woff'),
         url('fonts/ubuntu-r-webfont.ttf') format('truetype'),
         url('fonts/ubuntu-r-webfont.svg#ubunturegular') format('svg');
    font-weight:normal;
    font-style:normal;
}

Il ne reste plus qu'à activer nos fontes sur les parties de nos sites, comme les titres, mais il ne faut pas oublier de déclarer une seconde et même une troisième fonte, au cas où le navigateur de l'utilisateur ne les téléchargerait pas. Ce serait dommage que le navigateur utilise une police par défaut.

h1 {font-family: ubunturegular, Georgia, serif;}

Un peu plus loin

En passant, si vous voulez identifier une fonte dans un site web, vous pouvez passer par l'outil whatfont. Je vous propose aussi quelques articles à lire sur les polices de caractère. Enfin, pour trouver de magnifiques fontes libres (ou gratuites), voici une petite sélection de sites qui en proposent.


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