Un peu avant la fin de l'année 2013, Football Manager 14 sortira dans les bacs et notamment ceux, virtuels. Celui-ci sera, pour la première fois de la carrière du jeu, compatible avec Linux, et peut-être pré-commandé sur Steam.

Oui mais voilà, les joueurs ne sont pas des vaches-à-lait. Ils attendent toujours des corrections des bug pour la version précédente, FM13. Ces derniers sont d'ailleurs unanimes, Football Manager 2009 reste encore aujourd'hui le meilleur. De plus, il y a deux ans, le jeu coûtait 30€, tandis que Football manager 13 coûtait, lui, 10 euros de plus à sa sortie, soit 40 euros. Aujourd'hui, Football Manager 14 coûtera la modique somme de 50 euros.

Pour ce tarif, les nouveautés sont à peine perceptibles, hormis un nouveau système de sauvegarde dans le cloud de sa carrière d’entraîneur, afin de pouvoir la reprendre partout, à tout moment. Notons de nouvelles interactions plus poussées, tout comme une refonte tactique et quelques améliorations revendiquées sur des transferts plus réalistes. Le moteur graphique 3D a bien sûr été revu à la hausse, mais pour ce dernier point, ce n'est pas vraiment ce que les joueurs ciblés attendent, eux qui naviguent dans d'innombrables fenêtres de statistiques. Ils auraient plutôt besoin d'une interface utilisateur revue visuellement et l'éditeur Sega l'affirme, elle a été améliorée par les développeurs de Sports Interactive Ltd... Hum.

Apparemment, Football Manager 14 semble faire l'impasse sur une sortie allemande, et pas encore de traces non plus, en France d'une version DVD, alors qu'elle existe déjà pour le marché anglais. Patience, c'est prévu. Après une version 2013 catastrophique, et après avoir vu les premiers screenshots des fameuses fenêtres de statistiques. Il n'est pas évident qu'il remporte de nouvelles coupes attribuées par la ligue des joueurs. Il faut quand même avouer que ça ressemble en rien à un jeu doté d'une interface moderne, mais plutôt à un titre so-90'. Pour un peu, ce serait presque de la faute de ces vieilles machines sous Linux...

Football Manager 2014 sortira aussi sur Linux, sans unanimité est une publication originale sur le blog NeoSting.net
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Depuis que le philosophe et mathématicien Blaise Pascal à montré la voie en créant le premier véritable transport en commun à Paris en 1662, avec ses carrosses à cinq sols, il s'en est passé des événements dans ce domaine sur la planète. Mais pour la petite Histoire, ses navettes ont été abandonnées très rapidement, déjà à l'époque, pour des raisons de gros sous. En effet, le Parlement de Paris avait instauré des règles pour faire en sorte que seuls les riches puissent bénéficier de ces carrosses à huit places, tirés par quatre chevaux. À cause de ces nouvelles règles, et lois, il fallait payer très cher pour en profiter, ce que la population des petites gens ne pouvait se permettre de dépenser. L'initiative aussitôt contrôlée par les riches, a été abandonnée quelques années plus tard en 1667, au grand désarroi du roi Louis XIV.

Aujourd'hui, la technologie inventée et même parfois seulement imaginée, permet de créer des projets fous, à l'initiative d'Elon Musk, l'entrepreneur milliardaire co-fondateur de Paypal, SpaceX et de Tesla Motors (les fameuses voitures électriques). Son projet fou ? L'Hyperloop, un système de navettes capable de relier Los Angeles à San Francisco en 30 minutes seulement, alors qu'aujourd'hui, il faut un peu plus de 5 heures pour un trajet mesuré à un peu moins de 650km. Par avion, il faut encore compter 1h20 de trajet.

Elon Musk explique que son projet à huit avantages - et non des moindres - par rapport aux transports classiques, avec en ligne de mire notamment les TGV, mais aussi les avions. L'Hyperloop serait plus sûr, plus rapide, moins cher, plus pratique, résistant au temps et aux tremblements de terre, durable (car auto-alimenté par l'énergie solaire via des capteurs sur toute la longueur du tube), et le tout sans perturber les accès routiers. L'énergie solaire serait stockée de la même manière que la technologie employée par Lightsail, et donc, d'après Elon, Musk, ça fonctionnerait aussi la nuit. Ça laisse rêveur. Imaginez un Paris - Marseille en 45 minutes et relativement plus écologique...



Dans un document de 57 pages en PDF ( un autre lien scribd ici), Elon Musk explique la technologie qui serait employée, et elle n'a rien, ni de révolutionnaire, ni de complètement infaisable. Les rames ou capsules seraient propulsées par électromagnétisme (où l'énergie est transformée par des moteurs classiques) sur des coussins à air comprimé à la vitesse quasi ultra-sonique de 1220 kmh/h ; la vitesse du son étant de 1224 km/h. Le transport par Hyperloop serait semble-t-il étudié pour les trafics denses, et idéal pour des trajets de moins de 1500km. Ce projet coûterait la bagatelle de 6 à 10 milliards et pourrait être réalisé en 2 ans. L'Hyperloop coûterait donc 10 fois moins cher qu'une ligne californienne de TGV classique, récemment approuvée mais délicate à accepter. Le prix du billet serait même de l'ordre de 20 dollars pour un aller-simple.





La belle histoire un peu surréaliste de ce projet, c'est que l'Hyperloop est un projet open-source, car Elon Musk a expliqué qu'il n'aura pas le temps de le créer lui-même, même si, il compte créer un jour un prototype, car il préfère se concentrer sur ses entreprises SpaceX et Tesla Motors. Libre donc aux entreprises de se lancer dans la nouvelle aire des transports modernes.

Pas de doute, on est encore en plein rêve, mais c'est aussi l'une des idéologies de l'open-source. En revanche, le réveil risque d'être, lui, bien plus douloureux.

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En ce qui me concerne, pour le moment, l'environnement Unity d'Ubuntu, c'est fini. Je suis revenu à mon premier environnement de cœur, à savoir Xfce. Pourquoi ? Pour de multiples raisons, mais surtout pour son manque de stabilité, et non d'ergonomie. Pour tout vous dire, j'ai en fait installé à la fois la dernière Manjaro en version Xfce et, pour de bêtes facilités de simplifications, j'ai aussi installé la dernière Linux Mint 15 Olivia (basée sur une Ubuntu 13.04). Si je vous dis en plus que j'ai toujours ma partition Windows qui traîne quelque part, vous risqueriez de me prendre pour un fou. Mais qu'importe, car entre les deux distributions libres, mon cœur balance, avec toutefois une préférence pour la Manjaro, pour le simple fait que c'est une rolling-release sur une base Arch Linux.

Mais il faut l'avouer, si Xfce est un environnement très personnalisable et particulièrement léger, il est un peu moins, de base, ergonomique, sans mettre la main au terminal. Ce que je lui reproche surtout, c'est le thème de base. Même si Linux Mint propose le sien, et que ce dernier reste sympathique, il ne me convient pas, tout comme la quinzaine de thèmes proposés avec. J'ai donc cherché un thème qui me plaise sur Xfce-look, et je suis tombé sur le magnifique "Ambiance Crunchy" de Benoît THIBAUD, qui n'est logiquement pas sans me rappeler celui d'Ubuntu que j'affectionnais. Ambiance Crunchy est opérationnel pour les environnements Openbox, Lxde, Xfce, Gnome2/Mate & Gnome3 (Cinnamon...), et est proposé avec quelques modifications de couleurs.

J'ai donc décidé de l'installer, et je dois vous avouer que j'en suis particulièrement satisfait. Je vous laisse d'abord voir la capture d'écran de mon bureau sous Linux Mint. Sympa, non ?



Alors, si vous voulez l'installer, ce n'est pas très dur. Téléchargez l'archive avec votre clickodrome (je vous épargne un wget dans le terminal). Ensuite, dans un terminal, placez vous dans votre répertoire de téléchargements et faites une simple extraction. Oui, c'est tout. Vous pourrez ouvrir le "Gestionnaire de fenêtres" et la fenêtre "Apparence" pour l'activer.

cd Téléchargements
sudo tar -zxvf 136162-Crunchy-themes.tar.gz -C /usr/share

Vérifiez quand même avant que les dépendances soient satisfaites. Sous Linux Mint, elles étaient déjà installées.

sudo apt-get install gtk2-engines-murrine gtk2-engines-pixbuf gtk3-engines-unico

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Un outil sous Android, que j'avais utilisé, il y a quelques mois m'a été rappelé lors de ma veille quotidienne. Il s'agît de Wifi Analyser. Ce logiciel gratuit permet de connaître quel canal wifi est le moins encombré, afin de choisir le vôtre pour optimiser la connexion local de vos terminaux, et peut-être même de réduire la demande en énergie de vos petites batteries. Même si votre box dispose d'un mode automatique qui est censé faire ce travail pour vous, ce n'est jamais une mauvaise idée d'y jeter un œil.

Ainsi, si vous n'habitez pas à la campagne, mais dans un immeuble où les ondes wifi de vos voisins se croisent avec celle de votre box Internet, créant donc de nombreuses interférences, vous devriez vérifier quels sont les canaux les moins fréquentés.

L'utilisation de Wifi Analyser reste très simple. Une fois installé, et lancé, vous pourrez afficher différents graphiques qui vous aideront à voir quels canaux wifi, vos voisins utilisent, et bien sûr lequel vous utilisez vous-même. Un graphique permet même de déterminer une note pour chaque canal pour faciliter et conforter son choix. L'auteur de Wifi Analyser, alias Farproc, propose très sympathiquement dans les options de configuration de retirer la publicité, si vous préférez. C'est assez rare pour être souligné.

Y'a du monde dans les ondes

Pour rappel, le wifi européen fonctionne principalement sur la fréquence libre de 2,4 Ghz (2.402 à 2.483), qui a été découpée en 14 canaux. Elle est utilisée par la norme IEEE 802.11n qui supporte aussi la fréquence de 5Ghz. À noter que le canaml 14 n'est pas autorisé en France. Sachez aussi que les micro-ondes et les radios fonctionnent sur cette bande de fréquences de 2,4Ghz, alors si vous avez la possibilité d'utiliser la récente fréquence de 5Ghz, ne vous privez pas. Un routeur ADSL comme le Linksys EA3500-EW autour des 90€ le permet. Pour info, actuellement la Box OVH ne pratique pas le 5Ghz ; dommage, car les performances wifi sont quand même meilleures.

Comment changer de canal manuellement ?

Une fois votre spectre local analysé, vous devrez aller dans la configuration de votre routeur ou Box, afin de choisir le canal wifi désiré. Normalement, le changement dans vos périphériques est ensuite automatique.

La petit vidéo officielle

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Voilà à quoi ressemble l'impact de The Pirate Bay sur la population mondiale. Après avoir proposé et déployé pour la première fois le 10 août 2013, le désormais célèbre navigateur anti-censure, The PirateBrowser, The Pirate Bay affirme qu'en 3 jours, son logiciel a été téléchargé plus de 100.000 fois et ce, uniquement via le lien direct. Si on ajoute à cela que ce navigateur est aussi proposé par liens torrent et Magnet officiels, et qu'il est disponible grâce à 4892 seeders à travers le monde, à l'heure où j'écris ces lignes, on ne peut qu'imaginer à quel point la demande est importante.

Pour rappel, the PirateBrowser est une version modifiée du navigateur Firefox 23, dans laquelle ont été ajoutées quelques extensions. FoxyProxy, qui permet d'utiliser un proxy est inclus, mais faut-il le rappeler : cette extension est payante. The PirateBrowser est aussi doté du client Vidalia Tor, et propose dans la barre personnelle différents favoris.

Maintenant, il faut savoir plusieurs choses à son sujet. D'abord, ce navigateur n'est pour le moment disponible que pour Windows. Il semble être promis une version pour Mac et Linux prochainement, mais pour le moment, et alors que Firefox est open-source, ce dernier ne l'est pas. Ça a son importance, et elle est de taille, même si TPB affirme n'avoir rien modifié, hormis les quelques ajouts. Ensuite, notez bien que The PirateBrowser n'est pas un navigateur pour surfer de façon anonyme, ni véritablement une solution sécurisée. Il faut donc le prendre comme un navigateur capable simplement de permettre l'accès à des sites censurés dans certains pays comme la Grande-Bretagne, les Pays-Bas, la Belgique, l'Italie... En France, il n'y a en fait, pour le moment, aucun intérêt à l'utiliser. Les sites principalement concernés par ces censures, parmi les plus populaires, sont des sites de torrents, comme Kat, 1337x, fenopy, EZTV, H33t, Isohunt, qui sont justement proposés en favoris...

Mais, si j'ai un conseil très personnel à vous donner : ne l'utilisez pas, et concentrez vous plutôt sur la solution nettement plus saine qu'est TBB (Tor Browser Bundle). Alors que je vous en avais parlé un peu il y a quelques années, mon ami SwissTengu a récemment fait un article à son sujet.

Par contre, comme le rapporte Torrentfreak, il semblerait que The Pirate Bay continuera sur sa lancée, en proposant d'autres logiciels, et notamment un système décentralisé de client bittorent de son site, dont le but sera de permettre d'héberger The Pirate Bay directement sur son ordinateur. Une initiative plus que louable, puisque cette dernière permettrait de contourner plus efficacement les censures.

The PirateBrowser fait un carton, et TBB vous attend est une publication originale sur le blog NeoSting.net
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