Dans l'environnement Xfce, GMusicBrowser (open-source) est bien souvent proposé par défaut. Il faut dire que ce jukebox réalisé par Quentin Sculo et écrit en perl, mérite bien des éloges quant à ses fonctionnalités présentes. Personnellement, je m'en sers souvent au côté de Audacious, non par pour disposer d'une base de données de toute ma musique, mais au contraire pour l'organiser avant de la ranger. Il est prévu pour gérer de grosses bases de données.

GMusicBrowser est pour moi indispensable, même si, il faut l'avouer ses nombreuses interfaces ne me font guère rire. Celle par défaut est toutefois vraiment très bien. Ce que je lui reproche en fait, c'est son interface qui ne s'harmonise pas vraiment très bien avec l'environnement (gtk2). Je trouve aussi les boutons mal placés, les menus ne sont pas intégrés dans la barre d'Ubuntu (et c'est justement problématique pour le configurer par la suite), et le tout donne une sensation d'un logiciel un peu brouillon.

Malgré ces quelques griefs, il y a une chose qu'il faut vraiment très bien, et c'est même pour moi, son point fort c'est le renommage de masse des tags et des titres de musiques, pour peu que l'on sache quel album on a sous ses clics. En effet, encore un petit grief, il n'y a pas de reconnaissance façon CDDB, et parfois, ça manque. On peut tout de même faire des recherches pour trouver les jaquettes manquantes. Les filtres sont suffisamment intuitifs pour personnaliser les dossiers, les sous dossiers et les titres des pistes à sa guise. Les logiciels sous linux qui proposent une telle facilité sont assez rares, et peu m'ont vraiment convaincu.

Si vous voulez installer la dernière version de Gmusicbrowser, il y a, comme toujours, plusieurs moyens. En téléchargeant le paquet officiel (ou en compilant ses sources), via votre centre des dépôts, ou en ajoutant un PPA (avec Ubuntu). Jusqu'à la 13.04, on utilise celui-ci, et pour la toute prochaine 13.10, ce PPA (probablement provisoire) là.

Donc sous Ubuntu et ses dérivées jusqu'à la 13.04

sudo add-apt-repository ppa:shimmerproject/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get install gmusicbrowser

Et pour Ubuntu et ses dérivées à partir de la 13.10 (provisoire)

sudo add-apt-repository ppa:andreas-boettger/gmusicbrowser-daily
sudo apt-get update
sudo apt-get install gmusicbrowser

Bien sûr, si vous aviez déjà gmusicbrowser d'installé, remplacez la dernière ligne par

sudo apt-get upgrade

Sachez toutefois que ces dépôts propose une version un peu modifiée du logiciel originale, avec le github qui va bien. En tout cas, vous pourrez trouver une petite documentation assez sympathique. Apparemment, le site sera bientôt refait aussi. En tout cas, pour un jukebox, il est quand même particulièrement complet, surtout qu'il supporte les plugins.



Enfin, voici une capture personnelle de l'interface par défaut sous Ubuntu 13.04 (en version PPA 1.1.10)

Utiliser des paquets d'une source tierce peut représenter un possible risque de sécurité. Soyez prudent et n'utilisez que les sources en qui vous avez confiance.

Linux. Installer la dernière version de Gmusicbrowser est une publication originale sur le blog NeoSting.net
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Comme, je le sais, vous êtes un fervent utilisateur du logiciel graphique libre Gimp, vous devez donc sûrement connaître le framework G'MIC, écrit en C++ et sous licence CeCiLL v.2.0 (compatible GPL). Cette licence interdit de l'utiliser dans les logiciels qui ne sont pas open-source. G'MIC (Greyc's Magic for Image Computing) dispose de plus de 240 filtres, histoire de se faciliter la tâche pour réaliser des modifications parfois amusantes, et souvent artistiques.

Pour installer ces filtre dans Gimp, que l'on trouve ensuite dans le menu "filtres", je vous renvoie à cet article, ou si ce n'est pas déjà fait, tapotez dans un terminal :

sudo apt-get install gimp-plugin-registry

Sachez qu'il existe aussi une version compatible avec votre navigateur de ce framwork. L'interface ressemble à s'y méprendre à celle que l'on utilise dans Gimp. GMIC On Line pour vous amuser avec vos photos ne devrait pas vous dépayser.

G'MIC (framework de filtres pour GIMP) est disponible en ligne est une publication originale sur le blog NeoSting.net
Article sous licence Creative Commons CC-By

Comment améliorer la précision des résultats de recherches de vos visiteurs ? Vous pouvez par exemple, faire comme moi, en leur proposant des articles qui correspondent exactement à leur terme de recherche. Le problème, avec une recherche classique, c'est que des articles n'ayant que peu de rapports avec ce qu'ils cherchent sont aussi référencés. Un article peut mentionner le terme hadopi, sans pour autant être dédié à la haute autorité. Mais un conseil, tout d'abord, gardez le système d'affichage des résultats par défaut. Utilisez ce Hack qu'en complément.

Le but de ce hack consiste à aller chercher la requête de recherche directement dans votre base de données de mots-clés ; ceux que vous ajoutez à chaque fois que vous écrivez un article.

Qu'importe que le mot clé de votre visiteur soit composé de plusieurs mots, on cherche dans ses propres tags par nom (quelque soient les majuscules) et si, il existe, pour leur donner le bon lien, qui lui doit se trouver sous la forme d'un "slug", on le transforme à la volée. Ainsi, si leur requête de recherche ne correspond à aucun tag, la phrase contenant le lien de redirection vers les "nouveaux" résultats ne s'affichera pas.

L'idée, ici, consiste simplement à donner la possibilité d'afficher les articles contenant un tag précis via une URL généralement sous la forme http://mondomaine.com/tag/motclé

Enfin, pour finir, ce petit hack fonctionne hors de la boucle (outside the loop) de wordpress. En effet, il est rare que le moteur de recherche se trouve dedans. Voici donc le code source vraiment très léger que j'ai réalisé. Pour l'apparence, je vous laisse personnaliser la classe "yellowbox" à votre guise dans votre feuille de style (CSS).

Vous pouvez sinon, le tester en effectuant quelques recherches sur ce blog. Écrivez, par exemple "Audio Recorder" (sans les guillemets) ou un autre terme comme "PPA"....

// Hack pour Wordpress by NeoSting
// From http://neosting.net/
$terms = get_term_by('name', $searchkeys, 'post_tag');
if ($terms) {
$terms = $terms->slug;
echo '<div class="yellowbox center"><p>Un Tag correspond à votre recherche. Voir les articles sur ';
echo '<a href="http://neosting.net/tag/';
	echo $terms;
echo '" title="Voir les articles avec ce mot clé précis">';
	echo htmlspecialchars($searchkeys);
echo '</a> ? (moins de résultats)</p></div>';
}

* corrigé l'echo de $searchkeys pour éviter une faille xss potentielle. Merci à Xavier pour l'info.

Hack. Aider vos visiteurs à trouver plus précisémeent vos contenus est une publication originale sur le blog NeoSting.net
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Une petite info pour vous dire que les thèmes officiels d'Ubuntu pour la version 13.10 sont en train de subir quelques modifications graphiques. Et ce n'est pas pour me déplaire, contrairement à la pudibonderie américaine (ne cherchez pas, ça n'a rien à voir). Le thème Ambiance, par exemple, gagne un petit changement de couleurs, notamment en ce qui concerne Nautilus et quelques fenêtres du système vont aussi profiter de ce petit fix.

Miracle de la technologie, vous pouvez déjà en profiter sur votre version buguée de la 13.04. Rassurez-vous, la prochaine sera très probablement pire.

Voici donc ce que l'on avait avant.



Voici donc ce que l'on peut avoir aujourd'hui et qu'on aura officiellement bientôt.



Si vous voulez en profitez, installez donc ce joli petit .deb. Relancez votre session, et... c'est tout.

Bien sûr, si ça devait mal se passer pour votre version Rare, ou ne pas vous plaire, tapotez dans un terminal :

sudo apt-get install ubuntu-themes/raring

Un fix graphique est disponible pour les thèmes officiels d'Ubuntu est une publication originale sur le blog NeoSting.net
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Si vous avez modifié vos mobiles Android Nexus officiels de Google, pour installer une Cyanogenmod ou une Aokp, ce peut être utile de les remettre à l'état d'origine, bootloader compris, pour les revendre, ou pour demander un retour de garantie, par exemple. Si vous avez donc besoin de flasher votre Nexus, récupérez les ROMs Stock (le système d'exploitation d'origine). Sachez que cela effacera la totalité des données qui s'y trouvent, y compris celles sur la "carte" SD.

Pour cela, la procédure est sensiblement la même que lorsque vous aviez changé votre ROM et votre bootloader. Rendez-vous sur les "Factory Images" de Google à cette adresse. Téléchargez l'archive en fonction de la référence de votre mobile, et décompressez-là, pour trouver à la fois le bootloader officiel et la Rom Stock officielle. 3 autres fichiers flash-all (.sh et .bat) et flash-base se trouvent également dans l'archive. Sur Linux, vous pouvez les mettre dans un répertoire de votre choix sur votre PC, tant que vous vous placez dedans avant de lancer vos commandes fastboot. Pour Windows, il est préférable de placer ces fichiers dans le même répertoire que fastboot et ADB dans les Android-Tools.

Il ne vous reste plus qu'à les flasher, d'abord en commençant par le bootloader, et ensuite en faisant une update de la ROM Stock. Fastboot et ADB sont nécessaires, et présents dans les Android-Tools. Avec Linux, et notamment Ubuntu, on peut les installer facilement pour les utiliser directement dans un terminal.

Avec la commande fastboot -h, vous pouvez voir une liste d'options disponibles.

Voici ce que l'on peut commander - en fastboot-mode sur le périphérique Nexus mobile - pour tout effacer. Forcément, ça pique un peu.

fastboot erase boot
fastboot erase cache
fastboot erase recovery
fastboot erase system
fastboot erase userdata

Ensuite, pour installer le bootloader d'origine, ici sur Nexus 7 (wifi) :

fastboot flash bootloader bootloader-grouper-4.23.img

Pour flasher la ROM Stock, utilisez par exemple toujours pour la Nexus 7 (wifi) en version 4.3, cette commande

fastboot -w update image-nakasi-jwr66v.zip

Vous pouvez aussi jeter un œil à ce guide (en anglais).

Comment flasher un Nexus (Google) en ROM Stock d'origine est une publication originale sur le blog NeoSting.net
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