Je viens vous parler d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Un temps, où jadis, je découvrais le langage Basic sur un Amstrad CPC 6128, à coté du Pascal (sur PC). À la manière d'un Windows de Microsoft dont je ne connaissais même pas l'existence, je m'amusais dessus, à créer une couche applicative à la manière d'un système d'exploitation. Je m'étais même amusé à créer ma propre police de caractère "manuscrite" pour remplacer l'originale. C'était fun à l'époque. Rassurez-vous, ça ne faisait pas de moi un développeur visionnaire, la preuve aujourd'hui... Mais ce que je retiens également de cette période où Tilt me faisait rêver jusqu'en 1994, c'est que je jouais aussi assez souvent dessus quand je n'avais pas une Game & Watch dans les mains. Et des jeux, j'en ai vu passer un bon nombre, dont certains resteront gravés dans ma mémoire jusqu'à ce qu’Alzheimer me rattrape.

Peut-être n'avez-vous pas connu le célèbre Commando, le dynamique BombJack, ou les flippants et difficiles Great Gurianos et Ghosts'n Goblins. Parfois, entre Panza Kick Boxing et Barry McGuigan, mon cœur balançait ses jabs et finissait par se noyer dans Blue War. J'en passe tellement d'autres comme Scalextric ou encore Short Circuit (L'ancêtre de Wall-E) car La liste était déjà longue.

Si vous avez envie de revenir quelques décennies en arrière, il existe un site qui vous permet de vous replonger dans vos souvenirs d’antan : CPCBox. CPCBox est un émulateur web pour les Amstrad CPC 464, 664 et 6128. Quelques jeux sont proposés en accès direct, avec quelques démos, mais vous pouvez très bien lui fournir vos vielles ROMs (c'est plutôt facile à trouver sur le net) et il se chargera de les lancer comme un grand. La prise en charge du clavier est très bonne, alors il ne vous reste plus qu'à lâcher quelques larmes.

Vous trouverez sur le lien ci-dessus des émulateurs Amstrad pour de nombreuses plates-formes également, comme pour Android. Amusez-vous bien.

Comme je n'ai jamais réussi à me sortir cette musique de la tête, c'est cadeau !

Revivez l'époque des Amstrad CPC avec CPCBox, un émulateur web. est une publication originale sur le blog NeoSting.net
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La famille de l'open-source s'agrandit. Cette fois-ci, ce n'est autre que le vieillissant codec H264 qui rentre dans la famille, grâce à Cisco Systems, qui dans sa grande bonté, paiera les licences à MPEG LA pour chaque téléchargement sur ses serveurs des binaires qu'elle proposera. Il faut savoir que normalement le codec H264 n'est pas autorisé à être utilisé dans les logiciels libres, ce qui n'est donc plus le cas avec Open H264. Cisco Systems veut d'ailleurs proposer les binaires pour toutes les plates-formes, et même si pour le moment seules les X86 et ARM sont supportées, l'entreprise informatique américaine aimerait que la communauté l'aide à développer cette initiative pour toutes les plates-formes existantes. Le codec openH264 est désormais déployé sous licence BSD.

Ça par probablement d'un bon sentiment, et un codec qui devient open-source est toujours une bonne nouvelle, mais ne vous emballez pas trop vite. Il semble bien que la licence soit accordée uniquement pour le jeune protocole WebRTC, qui sert de passerelle de communication entre navigateurs pour les live-chat (conférences audio/vidéo et partage de fichiers en p2p).

Bien sûr, Mozilla se réjouit de cette initiative et l'implémentera au sein de Firefox et Firefox OS, mais rappelle quand même que ce n'est pas encore une solution complète dans l'HTMl sur les piles TCP/IP et HTTP. Sa priorité reste donc pour le moment l'utilisation de VP8 et continue de développer son propre codec alternatif libre pour la compression vidéo avec Daala qui rentrera en concurrence directe avec les codecs h265 et VP9 de nouvelle génération. Cisco Systems aime d'ailleurs à rappeler qu'elle contribue également à sa création au côté de Jean-Marc Valin, cofondateur d'Opus - le nouveau futur standard des codec audio (du moins, il faut l'espérer) -, Tim Terriberry fondateur du projet Theora, et Jack Moffitt, cofondateur de Xiph et auteur d'Icecast, sans oublier Monty Montgomery, à qui l'on doit l'excellent Ogg Vorbis (bien meilleur en qualité que le MP3.

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facebook continue sa politique de crise identitaire, en devenant toujours plus agressif sur l'identification de ses utilisateurs. Aux États-Unis, pour commencer, fief du réseau social, des milliers d'utilisateurs ont remonté l'information sur Twitter ce 29 octobre 2013, pour expliquer que leur compte avait été "fermé" et qu'il fallait fournir des pièces d'identité officielles mentionnant son vrai nom, sa date de naissance, et une photo pour pouvoir l'utiliser à nouveau.

Voilà bien le genre d'informations que l'on retrouve facilement sur un permis de conduire, un passeport, une carte d'électeur ou tout autre document gouvernemental officiel. Ça tombe bien, c'est ce que facebook veut. Il s’agit soit-disant de permettre à vos amis de vous retrouvez plus facilement et de s'assurer que c'est bien vous derrière ce compte... Une excuse plus que facile à trouver pour aider la police à identifier plus rapidement et sereinement les internautes, tout en s'offrant l'assurance de les piéger avec des publicités toujours plus ciblées. La certification d'identité pour les publicitaires n'a pas de prix.

Le site ghacks a fait quelques captures d'écran de ce phénomène de nouveau de retour, et le site The Blaze en a rajouté une autre couche. On se souvient en effet, qu'en janvier 2013 déjà, Facebook et même Instagram (un service acheté par facebook) réclamaient ce genre d'informations de la part de ses utilisateurs.

Visiblement, il n'y a pas qu'aux États-Unis que ça s'est passé. Les tunisiens ont aussi été touchés. En ce 29 octobre 2013, ils ont donc été nombreux, apparemment un peu partout dans le monde, à voir ce message et à devoir suivre les instructions pour envoyer une photocopie d'un papier officiel justifiant leur identité.

Bien sûr, pour résoudre ce problème, presque sous la forme d'un message de satisfaction propagandesque, certain ont expliqué ce qu'il fallait faire.

Donc, pour poster de simples messages sur ce réseau social, il faut désormais fournir des justificatifs inutiles, alors que le réseau connaît déjà tout de vous, quand vous le connetez à vos mobiles et autres aplications. Mais c'est ainsi, ce sont les règles, et la politique d'une société privée qui a réussi son pari de devenir influente sur le web auprès des entreprises... Si vous n'êtes pas d'accord, le mieux est de ne pas l'utiliser du tout ; ce n'est pas comme si le Web et plus généralement Internet n'était pas doté de services et de protocoles destinés à communiquer : c'est même pour cela qu'il a été inventé.

Facebook repasse à l'offensive et veut voir votre carte d'identité est une publication originale sur le blog NeoSting.net
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Je ne sais pas si je le garderai longtemps, mais puisque j'ai retiré la possibilité d'émettre des commentaires sur le blog (même si vous pouvez retrouver une grande partie de mes articles sur Seenthis), je me suis dit que ce serait pas mal, peut-être provisoirement, d'ajouter un système de Live Chat sur le blog, histoire de vous donner la possibilité de me dire tout le mal que vous pensez de mes articles, ou pour venir me faire un coucou.

Si cela vous intéresse de venir communiquer un peu avec moi et les visiteurs de ce blog, le Live-Chat du blog est à cette adresse. Si ça fonctionne bien, que vous êtes intéressés, je rajouterai le lien en bas de chaque page pour vous rappeler que vous pouvez aussi commenter dessus.

Pour l'instant, il est "provisoire" (parfois le provisoire dure longtemps), et j'ai simplement décidé d'utiliser le système de Widget de Kiwirc. L'idéal serait de se passer de cette dépendance, mais pour l'utilité que l'on peut en avoir, c'est plutôt déjà suffisant. Vous pouvez faire la même chose sur votre blog, il suffit juste de créer un channel et de copier le code du Widget dans une page de WordPress.

En ce qui me concerne, je vais essayer d'avoir toujours cette page ouverte, histoire de ne pas rater vos commentaires. Voilà, à toute à l'heure, si vous le voulez bien !

Édito du 29 Octobre 2013. Mise en place d'un Live Chat. est une publication originale sur le blog NeoSting.net
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Depuis la version 3.7 de WordPress, les mises à jour intermédiaires se font automatiquement. On passe donc automatiquement de la version 3.7 à la version 3.7.1, 3.7.2... Ce n'est pas une mauvaise nouvelle, puisque ces mises à jour n'apportent que des corrections de bugs et de sécurités et n'ajoutent jamais de nouvelles fonctionnalités, qui ne sont proposées que sur les versions majeurs, comme pour la prochaine 3.8.

Toutefois, si vous préférez garder le contrôle et ne pas utiliser cette fonction de mise à jour automatique, il est tout à fait possible de le faire. Pour cela, il faut juste ajouter une ligne dans le fichier wp-config.php, à la racine de votre installation.

define( 'AUTOMATIC_UPDATER_DISABLED', true );

Pourquoi ne pas laisser tout en automatique ? Ce peut être utile si vous préférez suivre de très près ces fameuses corrections et leurs effets, et si vous préférez créer une sauvegarde avant de mettre à jour votre moteur de blog. N'oubliez jamais de le faire ! De plus, même si on peut en douter, certains plugins pourraient ne plus être compatibles d'une version mineure à l'autre. Vous l'aurez donc compris, le mieux reste d'utiliser un contrôle manuel des mises à jour et d'avoir toujours un œil sur ce qui a été corrigé.

Sachez que même en désactivant les mises à jour automatiques, vous serez quand même avertis des nouvelles versions, et normalement, en cas de plantage d'une mise à jour automatique, vous devriez être prévenus par email.

Désactiver les mises à jour automatiques de WordPress 3.7+ est une publication originale sur le blog NeoSting.net
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