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PokerTH, la version 1.0 finale (open-source) est sortie #logiciel

vendredi 4 janvier 2013 à 19:15

NeoSting.net - PokerTH, la version 1.0 finale (open-source) est sortie

Rassurez-vous, cet article n'est en rien sponsorisé, ce n'est pas encore dans mes habitudes. J'aimerais donc vous présenter brièvement le jeu PokerTH, mondialement connu, compatible avec Windows, de nombreuses distributions sous Linux et Mac. Si je vous en parle, c'est parce que PokerTH, qui est open-source, vient de passer dans sa première version (1.0) finale, et ça, c'est une joyeuse nouvelle pour fêter 2013.

Ce jeu de poker, avec Ubuntu, ressemble à ceci par défaut mais vous pouvez ajouter de nouveaux styles de tables ou encore de nouveaux Decks (cartes). Je vous laisse constater en passant que votre serviteur a laminé les 9 autres petits bots. Sachez qu'il est possible de jouer en réseau avec vos amis et en multijoueurs via Internet (il faudra dans ce dernier cas s'enregistrer ici)



Voici la page pour télécharger officiellement PokerTH. Il y a même une version pour Android.

Sachez qu'avec Ubuntu, vous pouvez profiter de ce dépôt afin d'installer la dernière version.

sudo add-apt-repository ppa:pkg-games/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get install pokerth

Sony évoque le DRM anti-location et revente de ses contenus #jeuvidéo

vendredi 4 janvier 2013 à 15:24

NeoSting.net - Sony évoque le DRM anti-location et revente de ses contenus

On le sait, ce n'est plus un secret depuis les années noires du jeu vidéo sur consoles de nouvelle génération : les Majors de cette industrie du divertissement veulent éradiquer le jeu d'occasion et empêcher les joueurs de revendre ou même de prêter leurs jeux. Seulement, si techniquement, c'est facile et rapide à faire, ça ne se fait pas comme ça ; il faut préparer le terrain, et y aller en douceur, pour ne pas frustrer et s'attirer la grogne justifiée des joueurs.

Sony a récemment déposé un nouveau brevet (20130007892) qui va dans ce sens, et qui explique que les galettes rondes pourraient être dotées d'une puce RFID, à l'avenir. Cette puce pourra être "gravée" avec des informations de permissions concernant l'utilisation du disque. Le but est, bien sûr, de rajouter, une fois le jeu installé sur sa console, un identifiant ou un système de tag, permettant d'empêcher le jeu de s'installer à nouveau sur une autre console, et ce, sans passer par Internet.

Je me demandais d'ailleurs quand ce système de DRM serait enfin évoqué ; c'est aujourd'hui chose faite. En effet, un disque classique blu-ray d'un jeu n'est qu'en lecture seule et utiliser une portion "gravable" du disque n'est pas suffisamment et aussi versatile qu'une puce RFID. Il faudra alors sûrement cracker chacun de ses jeux et sa console pour pouvoir les revendre ; sinon, il y a aussi la méthode ultime : ne pas acheter ce genre de merde.

Certes, ce brevet ne signifie pas qu'il sera utilisé sur sa PlayStation 4, tout comme le fait qu'il soit rejeté ne signifie pas qu'il ne le sera pas, mais ce qui est sûr, c'est que cela montre bien les ambitions de Sony. On aura l'occasion d'en reparler, le moment venu, mais il y a fort à parier que le fameux système anti-location cherché par Sony se trouve à ce niveau, en plus d'être implanté via Internet.

Le pire, c'est que ce système pourrait très bien se retrouver aussi sur les films et autres contenus de la firme, empêchant les films d'être vus plus d'un certain nombre de fois ou tout simplement ailleurs que sur le premier lecteur dans lequel il a été inséré. Vive la technologie au service de l'humain...

Benjamin Bayart. Le gouvernement confondrait-il République et féodalité ? #actualité

vendredi 4 janvier 2013 à 13:07

NeoSting.net - Benjamin Bayart. Le gouvernement confondrait-il République et féodalité ?

Suite aux débordements de fin d'année 2012 concernant des propos tenus autour de différents hashtags de type #SiMonFilsEstGay sur le service Twitter, la toile s'est enflammée, comme Paul Da Silva, et le gouvernement s'est exprimé. Le problème n'est en réalité pas du côté de Twitter, ni de ses utilisateurs qui se sont exprimés avec parfois une bonne dose de haine et de violence (sacro-sainte liberté d'expression), mais la réponse dans une tribune dans LeMonde.fr de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits des femmes et porte-parole du gouvernement, titrant ; "Twitter doit respecter les valeurs de la République". La ministre semble vouloir s'entretenir avec Twitter pour trouver une solution et le rendre responsable. Le filtrage n'est alors plus très loin.

Benjamin Bayart (FDN) a tenu à lui répondre à son tour, en s'exprimant dans une tribune libre, que je me permets de reprendre mot pour mot, et que je ne peux que vous encourager à lire.


Dans une tribune récente, publiée par Le Monde, Najat Vallaud-Belkacem nous a expliqué qu'au nom des valeurs de la République, il était nécessaire d'accorder au Seigneur de Touitteur droit de haut et basse justice sur ses terres. Dans la mesure où ça ne fait pas partie des valeurs habituellement défendues par la porte-parole du gouvernement, essayons d'analyser comment elle est arrivée à ce contresens.

La forme de la tribune

La tribune de la porte-parole du gouvernement est subtilement articulée. Pour les gens qui connaissent bien les questions de droit sur Internet, le billet est même équilibré et relativement juste. Mais pour le reste du bon peuple de France, il est largement faussé.

En effet, la ministre explique de manière claire le problème : des propos racistes, antisémites, ou homophobes sont tenus très ouvertement sur twitter. Elle explique que c'est illégal, mais également dangereux : les problèmes liés à l'homosexualité sont à l'origine d'un grand nombre de suicides chez les jeunes, et laisser impunis des propos de ce type y contribue. Et elle demande donc à Twitter de trouver une solution pour que ce ne soit plus possible.

Ensuite, de manière beaucoup moins lisible, par des allusions à la loi dite de confiance en l'économie numérique, au régime juridique de responsabilité des intermédiaires techniques, aux limites fixées en 2004 par le Conseil constitutionnel à ce régime, elle rappelle le contexte juridique. Twitter ne pourrait agir que dans un certain nombre de cas très précis, et le gouvernement souhaite simplement ouvrir un dialogue.

Quand on connaît les références nécessaires, c'est assez lisible. Le gouvernement veut juste froncer les sourcils en public, mais ne va pas bouleverser le droit. Quand on ne connaît pas ces références, on retient que Twitter va devoir empêcher les gens d'être méchants, en rétablissant l'ordre dans sa cour de récré.

Cette présentation est donc pernicieuse : elle vise à dire des choses fausses à une majorité de gens, tout en calmant d'avance la critique.

Le fond de la tribune

Le fond du propos ministériel, une fois qu'on en a retiré la mauvaise foi de sa formulation, pose cependant problème. Quand des gens se comportent mal, mettons qu'ils volent des mobylettes, ou qu'ils braconnent, ou qu'ils disent des choses interdites, les valeurs de la République nous disent que la police (pouvoir exécutif) et la justice (pouvoir judiciaire) doivent intervenir pour faire respecter la loi (pouvoir législatif), il me semble.

Ce que nous dit la porte-parole du gouvernement c'est que le seigneur des lieux doit se charger de faire la police et de réprimer les débordements quand ils ont lieu chez lui. Le gouvernement appelle donc à ce que sur Internet, on rétablisse les privilèges de juridiction donnant des pouvoirs de police et de justice aux seigneurs locaux.

Neutralité du Net

Vu comme ça, on sent bien que c'est une bêtise. Pour arriver à cette bêtise, la méthode est simple. Première étape, on rend Twitter responsable de ce qui se passe sur son réseau. Il devient donc responsable des bêtises que je peux dire avec mon compte twitter, me supprimant mon statut d'adulte responsable. Pour éviter de s'attirer les foudres de la loi, ou les gros yeux du gouvernement (on est léger en foudre en ce moment), Twitter va donc devoir surveiller ce que font les citoyens pour détecter les comportements problématiques et intervenir (police). Ensuite, il faudra bien qu'il puisse empêcher la publication des messages, puisqu'il en est responsable. Il a donc un droit de censure sur tout le contenu qu'il transporte (justice).

C'est un des nombreux pièges du débat sur la neutralité des réseaux : le rôle des intermédiaires techniques est fondamental. C'est sur ce rôle que repose celle de nos libertés qui est la mère de toutes les autres, la liberté d'expression. Rendre les intermédiaires techniques responsables de ce que font les utilisateurs, c'est rétablir un système féodal, et tuer la liberté d'expression. C'est exactement l'inverse qu'il faut faire : les intermédiaires techniques doivent être responsables du bon transport des propos de tous, sans discrimination. C'est la justice qui se chargera de sanctionner les abus prévus par la loi, pas Twitter.

L'ordre public

Enfin, sur le fond du problème qui n'était pas le fond du billet. Si le gouvernement se préoccupe vraiment du risque que les propos homophobes font courir à notre jeunesse, d'abord c'est une bonne nouvelle, ensuite il faut changer de méthode. Les propos homophobes les plus dangereux ne sont pas ceux qui circulent sur twitter et ne sont relayés par personne, mais ceux qui sont tenus par des élus (on pense à M. Vanneste, par exemple), ou par l'église catholique, et qui sont repris en chorus par presse, radio, et télévision.

Je n'ai pas souvenir que les évêques et curés qui ont dérapé récemment sur ce sujet-là aient passé la nuit au poste et aient été conduits au tribunal le plus proche. L'enseignement catholique invite à utiliser les écoles de la République (les écoles privées sous contrat, l'immense majorité, sont des écoles de la République) pour endoctriner les jeunes, pour les inciter à aller manifester contre le mariage pour tous. C'est un danger bien plus grand pour des jeunes fragilisés.

Mme la ministre, faites appliquer la loi. Demandez aux procureurs d'agir systématiquement contre les propos homophobes, racistes ou antisémites. Twitter se fera un devoir de répondre à toutes les demandes d'identification des auteurs, j'en suis certain.

Mais ne rendez pas l'outil responsable de l'usage, c'est la première étape de la sortie de l'État de droit.

Il a free qui bloque les publicités, il va tout péter le web ? #AdGate #actualité

jeudi 3 janvier 2013 à 19:31

NeoSting.net - Il a free qui bloque les publicités, il va tout péter le web ? #AdGate

Et bien si le début de l'année commence aussi fort, j'ai déjà hâte de fêter le réveillon de la saint Sylvestre 2013. Après une Irlande pointée du doigt pour son attitude face aux liens Web payants de sa Presse, c'est au tour de Free, notre entreprise bien française de chez nous les fromages qui puent, de dégainer un énorme pavé dans la marre du réseau.

Free, dans la nouvelle version 1.1.9 du firmware de sa nouvelle Freebox Server Revolution (cela concerne donc pour le moment exclusivement les V6) vient d'ajouter dans ses services un bloqueur de publicités, à la façon d'Adblock, ou de Ghostery... Le problème, c'est que ce bloqueur est activé par défaut et impacte tous les périphériques connectés à la Box. Heureusement, les freenautes révolutionnaires, peuvent le désactiver dans la gestion de leur compte ; un modèle fonctionnant donc sur de l'Opt-out et non en Opt-in.

La probable cause de ce délire ?

Free ayant de façon récurrente des soucis pour s'entendre avec Google (pour investir dans l'infrastructure), à cause du gros consommateur en bande-passante qu'est Youtube, on peut se demander si ce n'est pas un moyen pour la société de montrer que le FAI peut aussi avoir son mot à dire et qu'il a son rôle à jouer. Une méthode qui permettrait de tenter une intimidation et de faire pression face au géant, mais faisant trinquer les internautes qui n'ont rien demandé...

Sur la face visible ?

Tous les sites (enfin presque) qui fonctionnent sur un modèle gratuit, vivent ou même simplement survivent grâce à la publicité. C'est même mon cas, dans le sens où la publicité affichée sur ce blog - que j'ai placée selon moi de façon à ne pas gêner la lecture (j'attends votre avis) - me permet de simplement rembourser mon petit serveur dédié (une Dedibox chez free, justement...). Si je devais me passer de ce petit dédommagement, ce ne serait pas non plus la fin du monde, même si ça reste aussi une motivation supplémentaire pour écrire. En revanche, si je devais avoir un blog influent en auto-entreprise, ou gérer une société de presse, avec des charges et des salaires à verser, c'est certain que ma mine joyeuse ne serait plus la même.

Sans publicité sur Internet, c'est aussi tout un modèle économique à revoir, en faisant comme Mediapart, par exemple, qui vie uniquement grâce aux abonnements payants. Un modèle qui ruinerait quand même, il faut l'avouer, la face du web actuel, qui a toujours vécu sur ce modèle. Ce serait même le début d'une épuration webique où tout ce que vous voudriez consulter serait payant, ou presque. Si free voulait faire le jeu de la Presse française qui déchabotte du rouleau en France, en ce moment, elle ne s'y prendrait pas mieux.

L'activation par défaut sans information

Je n'ai bien sûr rien contre l'utilisation de bloqueurs de publicités, tant que ces derniers proposent un système de contrôle intelligent, façon listes blanches, et autre désactivations manuelle et volontaires. Mais il est certain qu'une grande majorité d'internautes chez ce FAI (free), ne toucheront pas à leur compte, en le laissant par défaut. Pire, cette grande majorité ne sera pas forcément informée qu'un blocage de publicité est activé par défaut, et je doute que cette fonction fasse l'objet de publicités télévisuelles et informatives en ce sens. Les autres, les geeks ont déjà changé leurs DNS pour ceux de Google ou ceux de Telecomix, et ne sont donc pas concernés. La part de marché de ce FAI reste légère en France, mais ce serait tellement drôle si tous - Orange le premier - faisaient la même chose. La théorie du complot sous l'égide des lobbys de la presse française deviendrait même une option à envisager.

Le plus important : la neutralité du réseau

Pour finir, il faudrait un jour, un début de législation autour de la neutralité du réseau Internet, ne serait-ce que pour que ce genre d'options soient en opt-in, ainsi que pour définir la place du modeom-routeur proposé par les FAI, et faisant partie de l'équipement quasi "obligatoire" pour disposer de services comme la télévision. Car, c'est bien le modem-routeur qui ne respecte pas la neutralité du net, pas le FAI, au final.

Enfin, et si à l'avenir tous les FAI filtraient par défaut les sites qui ne leur plaisent pas sur ce modèle (Youporn, Google, facebook, twitter...) ? On serait tous obligé d'acheter un modem-routeur personnel. Un FAI est censé apporter les paquets tels qu'ils ont été créés sur Internet, pas les modifier, ni les empêcher de débarquer chez vous. En ce sens, free est bien un fai qui menace directement cette neutralité. Il est temps d'agir, avant que du plus sérieux, comme le DPI arrive.

Galerie Web Piwigo. Le modèle open-source gratuit et payant #logiciel

jeudi 3 janvier 2013 à 17:52

NeoSting.net - Galerie Web Piwigo. Le modèle open-source gratuit et payant

En tant que vieux Geek, j'imagine que vous avez des souvenirs du fameux script PhpWebGallery, du temps des forums PhpBB ? En ce moment, alors que tout le monde déposent ses jolies photos chez des prestataires de services généralement gratuits dans le cloud (instagram et consorts), la résistance de l'auto-hébergement continue de fournir des offres dédiées pour garder le contrôle de ses images. C'est le cas de scripts comme Coppermine, Zenphoto, de PhotoShow présenté ici, ou bien encore de Piwigo, créé le 15 février 2009 remplaçant la version 2.0 de PhpWebGallery.

La version gratuite "débrouille-toi".

Piwigo est géré principalement par Pierrick Le Gall, développeur de l'ancêtre PhpWebGallery. Il a choisi de continuer sur sa lancée avec son script en le laissant toujours gratuit et open-source, et propose donc à chacun d'installer chez eux ou sur leurs propres serveurs une galerie photos avec des fonctionnalités personnalisables, et même relativement poussées. Piwigo gère en effet, les extensions (près de 500 sont disponibles) ainsi que les thèmes personnalisés que chacun peut venir proposer ou utiliser, de la même manière qu'avec WordPress. La version pour les débrouillards se trouve sur Piwigo.org, gérée par une association présidée par Damien Thomas, dont le but est de maintenir les finances du site,et bien sûr lui donner une véritable existence.

Le modèle payant

Pour pouvoir en vivre, Pierrick a trouvé un modèle économique simple, efficace et plutôt logique autour de son logiciel gratuit et open-source : proposer à tout le monde et surtout ceux qui ne veulent pas mettre la main dans le cambouis, d'héberger leurs photos, mais de façon automatique en payant 39€ par an, un abonnement annuel pour un espace illimité. Cette gestion est réalisée par sa société SAS PigoLabs via Piwigo.com. La version payante couvre donc surtout les prestations de services et d'hébergement car le logiciel reste le même, même si, il comprend "seulement" une soixantaine d'extensions choisies pour leur stabilité et la propreté de leurs codes. Pour installer une extension ou un thème, il faut demander. Pierrick et sa petite équipe se chargent alors de faire les mises à jour et les installations, et sont capable de répondre aux besoins spécifiques des utilisateurs. Enfin, il n'y a pas d'accès FTP, mais il est possible de récupérer ses photos et même la base de données complète pour passer d'un hébergement payant à un auto-hébergement sans rien perdre..

En pratique

J'ai donc installé facilement une galerie avec son script sur mon serveur, et voici une petite collection d'images et de fonds d'écran (pour changer ? :P). Il faut encore mettre la main dans le cambouis pour obtenir de jolies adresses URL réécrites, et je ne suis pas non plus sûr que le côté référencement a été une partie beaucoup optimisée.

Le transfert des photos se passent depuis l'administration en flash (bientôt en HTML5 ?), ou via différents logiciels sur son ordinateur, comme Shotwell, lightroom... Piwigo peut aussi gérer des albums virtuels, et à la manière de PhotoShow des albums "physiques", mais il faudra créer les répertoires via FTP, que la version payante ne propose pas. Attention aussi aux espaces et caractères spéciaux dans les noms des images en galerie physique. On peut sinon, grâce à l'extension Batch Downloader, créer un zip de chacune des galeries, afin de la proposer aux internautes. Bien sûr, la gestion des droits est complète et parfaitement maîtrisée (privé/public)

Voilà à quoi ressemble Piwigo dans sa version 2.4



Si vous voulez en apprendre davantage sur l'auteur, le script, et la société autour de Piwigo, je vous conseille ces lectures instructives :