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Sauvegarder une page Web, on fait comment ? #astuce

vendredi 11 octobre 2013 à 16:18

Si vous avez quelques connaissances en informatique, vous savez donc qu'il y a de nombreux moyens de faire une sauvegarde d'une page Web, mais ce n'est pas toujours le cas de tous les internautes. Pourquoi garder une page web ? Pour pouvoir la consulter hors-ligne, par exemple au bureau, si vous n'avez pas accès à Internet ou que ce dernier est filtré. Ensuite, parce que la censure opère parfois pour faire taire la liberté d'expression alors que l'information doit circuler. Dans ce dernier cas, c'est ce que l'on appelle l'effet Streisand ou Flamby.

Je vous propose ici quelques méthodes très différentes, et relativement simples à utiliser. Sachez qu'en cas de perte définitive, la NSA devrait déjà avoir une copie de la page que vous cherchez, mais encore faut-il avoir des connaissances dans le Renseignement américain...

Enregistrer-sous...

Dans le cas d'une sauvegarde pour la consultation hors-connexion, le plus simple reste tout bêtement de faire "enregistrer sous...", par exemple dans Firefox (menu Fichier). Il vous sera alors demandé si vous voulez enregistrer la page web en cours de façon complète partielle ou au format texte. Pratique donc, pour emporter ses pages préférées de longs tutoriels sur une clé USB. Un dossier contenant l'arsenal utilisé par la page sera créé, tout comme le fichier html de base qui sert à appeler la page dans son navigateur hors-connexion. En ce qui concerne l'effet Streisand, d'une page censurée, il faut bien sûr l'avoir capturée avant, et pourquoi pas, mettre le dossier et le fichier html sur son propre serveur... Peu pratique à cause des diverses manipulations à faire, cette méthode reste toutefois simple et très efficace.

Convertir une page web en PDF ou en image

Moins joli mais tout aussi efficace, on peut utiliser le service html2pdf, qui se chargera de créer un document PDF de l'intégralité de la page. C'est moins joli, parce que la page web se retrouve, si elle est "longue" sur plusieurs pages du nouveau document PDF. Dans le même ordre, je vous avais présenté aussi ces quelques services en ligne pour la conversion PDF.

Pour avoir une belle image complète d'une page web, on peut aussi utiliser un logiciel de type capture d'écran, comme Shutter sous Linux ou son pendant libre sous Windows, Greenshot. Une fonction est prévue à cet effet.

Le VroumVroumBlog automatique

Pour le côté "toujours connecté", il existe maintenant d'autres méthodes. J'aime assez celle du projet autoblog (vroumVroumBlog) de Sebsauvage. Un simple script à mettre sur son serveur web, et quelques informations à remplir dans un fichier vvb.ini (à créer) notamment avec l' adresse RSS, et ce dernier se chargera de récupérer les articles pour en faire des copies. Pratique en cas d'effet Streisand, à deux conditions : que le flux RSS ne soit pas tronqué, et que l'autoblog ait généré avant la censure, la copie des articles du site concerné.

Avec Peeep.us

Enfin, pour ne pas faire trop long, voici la méthode la plus simple qui soit : Utiliser le service web Peeep.us proposé depuis 2009 par Cyril Nikolaev. Peeep.us va générer une copie d'une page web dans son intégralité, et l'héberger sur son serveur. Cette dernière sera accessible depuis un lien "raccourci" qu'il ne restera plus qu'à divulguer en cas de besoin. Avoir un compte permet sur ce service de gérer ses pages sauvegardées. D'après la FAQ, une page peut être effacée au bout d'un mois de non consultation pour les copieurs anonymes. Ce qui peut s'avérer intéressant avec ce service, c'est qu'il dispose d'un bookmarklet bien pratique qui permet notamment de copier une page protégée (par exemple par abonnement). Ce peut être pratique pour faire lire un article à un ami qui n'a pas cet abonnement. Dans ce cas, c'est à utiliser donc humblement.


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Projet d'audit public de Truecrypt par financement participatif #actualité

vendredi 11 octobre 2013 à 11:43

Il est aussi possible de faire un don par le célèbre site IndieGogo à cette adresse.


Voilà une initiative plutôt intéressante. Vous connaissez tous Truecrypt, le fameux logiciel open-source, qui permet de chiffrer des disques, soit en entier, soit dans des conteneurs que l'on peut, par exemple, faire passer pour des vidéos HD afin d'améliorer la discrétion de ses documents numériques sensibles. Il est relativement facile à utiliser, mais grâce à son énorme popularité mondiale, de nombreux tutoriels sont disponibles sur le net pour apprendre à s'en servir.

En passant, pour ma part, lorsqu'il s'agît de chiffrer un disque, je préfère utiliser cette méthode très simple et largement suffisante pour chiffrer une clé USB ou un disque sous Linux.

L'initiative intéressante, ici, consiste à rassembler des fonds pour réaliser un audit complet de Truecrypt, ceci, afin de s'assurer, entre autres, que la NSA n'a pas mis un pied dans l'étrier du code avec d'éventuelles backdoors, et plus sérieusement, de voir si cette nouvelle version 7.1a n'a pas de vulnérabilités connues. Il faut dire que depuis les révélations de Snowden, la paranoïa s'est très vite amplifiée dans tous les domaines de l'informatique. Truecrypt est sinon réputé inviolable, lorsque bien utilisé, mais cette précaution reste très importante pour améliorer davantage la confiance que les utilisateurs peuvent avoir dans ce logiciel. Pour rappel, l'audit de la version 6.0a avait été concluant, comme l'atteste ce document PDF de la Direction centrale de la sécurité des systèmes d’information.

L'audit ou l'analyse complète de son mécanisme de chiffrement, notamment dans sa dernière version 7.1a sous licence v3, n'a pas encore été faite de façon totalement indépendante et publique, que ce soit sous Linux, Windows ou MAC. Voici donc, pour la bonne cause, ce projet d'audit de type crowdfunding pour Truecrypt. Pour plus de détails sur ce projet, la page officielle est ici. Si le projet est mené à son terme, espérons que l'on y trouvera pas de mauvaises surprises, mais cela n'empêche pas non plus de faire un don aux développeurs, car rappelons-le, Truecrypt est gratuit.


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Bittorrent Chat, la messagerie sécurisée de confiance ? #actualité

mardi 1 octobre 2013 à 11:55

L'affaire Edward Snowden, dévoilant le programme PRISM ce que tout le monde savait, au moins les hackers et les geeks, aura fait évoluer plus rapidement que prévu les logiciels de communications sur Internet. De nombreux projets, suite à ses révélations se concrétisent ou du moins, ont tendance à obtenir plus de visibilités sur la toile. Je vous avais parlé de Bitmessage ou encore de Threema, mais de nombreuses autres solutions continuent de voir le jour, à l'instar du projet de Peter Sunde, heml.is sur lequel j'aurai sûrement l'occasion de revenir.

Bittorrent Inc. lance son projet Bittorrent Chat

C'est aussi pour cette raison que la société Bittorrent Inc. s'est engouffrée dans la brèche et tente de faire naître un nouveau système de (t)Chat sécurisé et privé, tout simplement nommé Bittorrent Chat. Ce "nouveau" système de messagerie instantanée se veut décentralisée, à savoir que les messages envoyés ne seront pas stockés sur des serveurs. Toutefois, chaque client devra quand même se connecter à un tracker pour signaler sa présence en ligne. Les messages vont logiquement être chiffrés, mais pour le moment, peu d'informations sont révélées, et surtout Bittorrent Chat n'est pas annoncé comme un logiciel open-source, ce qui fait une grande différence, non pas pour la confiance, mais pour la transparence. Le projet Bitmessage, de son côté, a choisi de jouer cette carte de l'open-source et la différence est importante. Pour le moment, pour pouvoir tester Bittorrent Chat dans sa version alpha, il faut s'inscrire avec... une bonne partie de ses coordonnées privées, ce qui rend difficile la confiance que l'on peut lui accorder.

La confiance vis-à-vis des logiciels américains n'existe plus

Edward Snowden n'aura pas fait que du bien au marché américain, malgré les tentatives d'entreprises sur le territoire de se racheter une conduite basée sur la création d'applications chiffrées et plus généralement sur la communication, comme on l'a vu pour Google ou Microsoft. En effet, aujourd'hui, et toujours d'un point de vue des geeks et des hackers, il n'est plus possible de faire confiance à ces entreprises américaines qui sont sous l'égide de la NSA et des lois du territoire. Chaque logiciel "américain", même doté d'un mécanisme de chiffrement, ne peut être utilisé avec confiance, dès l'instant que ce dernier requière non seulement une quelconque centralisation mais surtout si ce dernier n'est pas totalement open-source. La NSA a clairement une fâcheuse tendance à vouloir tout savoir et à demander tous les accès et les copies des clés privées quand c'est possible, et est même capable de demander à ce que des backdoors (portes-dérobées) soit conçues spécialement pour elle, comme nous l'a d'ailleurs fait comprendre Linus Torvalds pour le noyau de Linux dans cette conférence à 24m18s dans une probable plaisanterie qui hérisse le poil... Le moins que l'on puisse dire, toutefois, c'est que ces révélations d'Edward Snowden auront fait beaucoup pour l'open-source.

Bittorrent Inc. étant une entreprise américaine, basée à San Francisco, il va être très difficile d'avoir confiance dans son système de Chat "sécurisé".


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Valve. Ses Steam Machines sous Linux SteamOS et son Gamepad #jeuvidéo

vendredi 27 septembre 2013 à 19:29

Si la semaine dernière avait marqué les esprits dans le secteur du Jeu Vidéo, grâce à un certain Gran Theft Auto 5 que l'on peut qualifier d’ors-norme, tant en terme de chiffres annoncés que de qualificatifs le concernant, cette semaine aura aussi été intense, grâce aux annonces de Valve. Bien que sans réelles surprises et pour le moins attendues (désormais pour 2014), elles ont fait leurs petits effets dans la presse spécialisée. Il faut dire que Valve est désormais un acteur de poids incontournable. Ces annonces ne sont pourtant encore que des bribes de développements et d'idées en cours de finalisations, mais c'est déjà ça.

Une suite logique pour conquérir le marché sur plus de secteurs

Après son débarquement sur Linux, Valve ne pouvait que continuer sur sa lancée pour atterrir enfin dans un marché dans lequel elle ne contrôlait ni le système d'exploitation, ni le hardware (matériel). En effet, si Valve peut se targuer d'avoir un catalogue impressionnant de titres vidéo-ludiques, il n'en restait pas moins que la société était dépendante de ces deux secteurs. C'est donc dans une optique de sevrage que les naissances de son SteamOS et de ses Steam Machines ont eu lieu. Valve met désormais un pied dans la cours des grands fabricants de consoles avec, en ligne de mire, le divertissement, non pas sur PC mais sur Télévision. Mais plutôt que de parler de sevrage, il est préférable de parler aujourd'hui de concurrence, et ce statut risque bien de le rester très longtemps.

Linux SteamOS

SteamOS, c'est le système d'exploitation. Il semble être basé sur Ubuntu 12.04, donc sur Linux. Seulement, si Valve travaille dur depuis son arrivée sur les systèmes d'exploitation libres, afin de rendre ses propres jeux compatibles (half-life, CS, L4D...), le moins que l'on puisse dire, c'est que les grands éditeurs ne sont eux, pas tous pressés de faire la même chose. Avouons-le, la situation semble quand même doucement se débloquer chez les éditeurs moins côtés (en Bourse). Pour l'instant, on dénombre 185 jeux natifs sur Linux dans le catalogue Steam.

SteamOS, c'est donc du Linux, et l'annonce de Valve vente cet OS comme déjà pratiquement compatible avec tous les jeux de son catalogue. Par quel tour de magie ? C'est simple : grâce au streaming.

Sur SteamBox et Libre ou pas ?

D'abord, on peut imaginer que SteamOS sera peut-être installable sur une machine personnelle, mais le support ne sera probablement accordé qu'aux propriétaires de boîtes estampillées Steam Machines ou SteamBox. Valve explique quand même que la modification du hardware et même du software reste autorisée.

Users can alter or replace any part of the software or hardware they want

Toutefois, il est certain que SteamOS ne sera pas libre, tout comme Steam pour Linux, du fait des contrats et des fonctionnalités privés avec les éditeurs. SteamOS devrait donc bien être verrouillé mais quid des SteamBox des fabricants ? N'oublions pas qu'un PC sous Ubuntu avec Steam pour Linux devrait être capable de faire la même chose qu'une SteamBox.

Notons l'arrivée du programme Steam Family Sharing qui permet de prêter son compte et donc tous ses jeux à 10 de ses amis. Toutefois son compte ne sera accessible logiquement qu'à une seule personne à la fois. Valve a sinon convaincu nVidia de collaborer avec elle afin d'optimiser ses cartes graphiques pour réduire, par exemple, les temps de latence dans les jeux.

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La compatibilité des jeux Windows sur Linux SteamOS ?

Pour pouvoir profiter des jeux compatibles uniquement avec Windows sur le catalogue de Steam, en passant par une SteamBox sous SteamOS, il faudra impérativement ouvrir... Steam sur son PC sous Windows : ce dernier devra donc être relié à une SteamBox afin d'opérer un simple streaming... Même si, on ne connaît pas le prix d'une SteamBox, ça fait cher le câble HDMI. La nVidia Shield a déjà montré l'exemple.

Bien sûr, Valve tente de nous convaincre que ses éditeurs partenaires vont rendre leurs jeux compatibles avec la SteamBox de façon native, mais cela signifie tout simplement que ces derniers devront rendre leurs jeux compatibles avec Linux. N'oublions pas également que UbiSoft et Electronic Arts, deux acteurs majeurs, proposent aussi leur plate-forme concurrente à Steam, et il sera difficile de les convaincre d'agir en ce sens, ce qui réduira l'intêrêt des SteamBox. Ce n'est donc pas gagné, mais avouons aussi encore une fois, que ce n'est pas une mauvaise idée pour améliorer le parc des jeux vidéo sur cette plate-forme.

Le Gamepad de Valve

controller_bindingsLa dernière et troisième annonce de Valve concerne son nouvel accessoire pour aller avec la Steam Machine, un gamepad qui aura nécessité une bonne année de recherche.. Celui-ci semble tout droit sorti du futur, et Valve nous promet qu'il sera compatible avec tous les jeux de son catalogue, même ceux n'ayant pas été développés pour une manette. En fait, il se fera passer pour un clavier et une souris. Il est doté de 2 "trackpad" cliquables à haute résolution similaire à celle d'une souris haut de gamme, et au centre d'un écran tactile. Ces 2 trackpads sont plutôt révolutionnaires sur une manette, et délaissent les fameux joysticks, mais promettent en échange un contrôle "haptic" précis des mouvements, grâce à des technologies à sensibilités poussées. Difficile ici de dire si cette manette saura attirer les joueurs de FPS qui ne changeraient pour rien au monde leur clavier/souris, mais après tout, pourquoi pas. Les amateurs des autres genres seront certainement ravis. Une API et des outils seront proposés aux développeurs pour cet accessoire.

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Faut encore avoir envie

Clairement, Valve rentre dans la cours des grands, notamment grâce à sa nouvelle manette assez révolutionnaire, mais il est difficile de se prononcer dans l’immédiat, et avoir une Steam Machine ne présente encore que peu d'intérêts pour ceux qui passent leur temps à jouer sur PC. Rappelons aussi que ce secteur est déjà bouché par les concurrents (Sony, Nintendo, Microsoft et les autres), et que l'intérêt d'avoir une Steambox sous SteamOS n'est encore que peu ragoutant à cause du pontage en streaming. Son premier concurrent reste bien, vous l'avez compris, le PC sous Windows qui reste de plus, indispensable. En effet, on peut tous le relier à une TV, et on peut déjà lui brancher une manette, un volant, un clavier et une souris.

Une SteamBox, c'est donc très certainement un accessoire de plus presque entièrement bridé par les éditeurs qui ne proposent pas leurs jeux sur Linux, et surtout par les autres éditeurs qui ont lancé leur propre plate-forme concurrente à Steam qui auront une raison supplémentaire pour ne pas développer pour Linux. Dommage, parce que sur le fond l'idée est belle : celle de pouvoir disposer de ses jeux achetés sur Steam sur une Box afin de s’affranchir de son gros PC gourmand, imposant et (parfois) bruyant. Toutefois, comme l'idée est relativement nouvelle, ça pourrait fonctionner, mais avec un taux de conversion sûrement faible. Peut-être fallait-il plutôt envisager de la part de Valve de créer un vrai système de cloud gaming, avec sa SteamBox, afin de se débarrasser définitivement des PCs, mais c'est peut-être à l'étude.


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Un script Tunlr sous Linux pour débloquer Hulu, Pandora.... #astuce

vendredi 27 septembre 2013 à 18:20

Il y a de très nombreuses façon de court-circuiter les restrictions geographiques sur Internet, pour ceux qui veulent pouvoir profiter des services américains, comme Hulu, Pandora, DramaFever, Discovery, NBC, Fox... et autres sites de streaming du genre. La dernière que je vous avais présentée consiste à utiliser Hola Unblocker, un addon pour Firefox.

Voici donc, pour le plaisir des sens, une autre méthode, consistant à utiliser le service Tunlr. Le but de cet article est de vous proposer d'installer un script open-source depuis le dépôt AUR créé par edloaa, à activer et désactiver à la demande sous Linux, quand vous en avez besoin. Vous allez voir que ce n'est vraiment pas dur.

On ouvre un terminal, et on copie ces quelques lignes.

cd /tmp
wget https://aur.archlinux.org/packages/tu/tunlr/tunlr.tar.gz
tar -xvf /tmp/tunlr.tar.gz
sudo install /tmp/tunlr/tunlr /usr/local/bin/

À partir de là, il ne vous reste plus qu'à lancer ou stopper le service à la demande, grâce à ces commandes.

sudo tunlr start
sudo tunlr stop

Sachez qu'entre chaque action, vous devrez redémarrer votre navigateur favoris pour que les changements soient pris en compte. Sachez aussi qu'il n'est clairement pas recommandé d'utiliser le service Tunlr pour surfer sur le web de façon générale, sauf à vouloir disposer de ces services de streaming, d'où l'intérêt de le désactiver quand vous n'en avez plus besoin.

Sinon, il existe aussi ce script open-source sur github. Celui-ci met à jour les DNS, en cas de changement.


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