In a world in which manifestations of hatred keep popping up, making it clearer every day that the human race is divided, feeling lost and hopeless makes sense. How can I enjoy the privileges of my life when I know that, just a few states away, families are being torn apart from one another?

It appears that I can't, that we can't. Instead, I—we—collapse. We self-medicate. We turn to excessive spending, drugs, and alcohol. All things that only make us feel worse.
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The first reported case of artificial insemination by donor occurred in 1884: Dr. William H. Pancoast, a professor in Philadelphia, took sperm from his "best looking" student to inseminate an anesthetized woman. The woman was not informed about the procedure, unlike her infertile husband.
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This is a common pattern: The same actors and institutions that decry “political correctness” and label demands for basic respect for marginalized people as attacks on free speech simultaneously hyper-police the language and behaviors from some groups and not others. These double standards strike at the core of what criticism of “PC culture” ultimately embodies: deep resentment of societal progress—specifically, progress that increasingly empowers people who have long been expected to shoulder their oppression in silence to speak up and ask for respect.
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"If you think of the bonds and relationships and connections you have with the world around you as being energetic cords, cord cutting is cutting ties with people, places, or things that no longer serve you—or are actively harming you," says Kristen J. Sollée, the author of Witches, Sluts, Feminists: Conjuring the Sex Positive. "The practice is frequently used with relationships—platonic, romantic, or sexual—but I personally think you can harness it for addictions, fears, and other traumas that might be holding you back as well," she adds.
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Parnia doesn't find every aspect of polyamory to be as ideal as her own personal experiences. As a woman of color, she's particularly tuned into the racial blind spots present in many media representations of non-monogamy. Lamenting that mainstream representation of non-monogamy tends to center around white people, she says, "White people have also Columbus-ed polyamory to be a revolutionary tool, claiming it to be political, yet centering it around sex," continuing on to cite the fact that many non-European cultures have practiced some sort of polyamory far before colonisation.
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But, as experts and anyone who's been stuck on their ex's Instagram since their breakup will tell you, the experience of obsessively tracking your ex's social media activity is more often triggering and sad than enjoyable.
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This specific photo shoot came about when Zaire messaged me on Instagram. I was pretty full, didn’t have much time in Oakland left, but something told me that I should take it. From the moment I met them, I knew they were someone I definitely wanted to know.
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Being compelled to sit at a desk for 8 hours a day affects me in a lot of really negative ways. It makes me feel stifled, trapped in my own head, and thoroughly drained by the end of most days. I don’t feel cut out for the whole “having a job” thing at all (judge away, baby boomers—we’re all just the products of our genetics and experiences), but like many of you, I feel financially tied to my employer because America doesn’t give a shit about people having health insurance and my company gives me great benefits and good pay.
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Oftentimes, when the date of a past traumatic event comes around the following year, it becomes an anniversary — a traumaversary — that doesn’t have the same joy as a birthday or dating anniversary. Instead, these days can be filled with melancholy, fury, rage, resentment, heartache, and more for years and years.
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We don’t just need historical documentaries, coming out narratives, or survivor stories—and we certainly don’t need any more devastating endings. We need something else, something that heterosexual people take for granted: romantic vision. We need the bread-and-roses romantic comedies that make our hearts soar to the theater ceiling.
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J'ai subit une incartade avec un mascu transphobe la semaine dernière. J'avais pas envie de raconter les choses de mon point de vue.

CW: Transphobie, vulgarités sexistes homophobes et putophobes, language cru.
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Why didn't she just get out of there as soon as she felt uncomfortable? many people explicitly or implicitly asked.

It's a rich question, and there are plenty of possible answers. But if you're asking in good faith, if you really want to think through why someone might have acted as she did, the most important one is this: Women are enculturated to be uncomfortable most of the time. And to ignore their discomfort.

This is so baked into our society I feel like we forget it's there.
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What might an ethics of activism look like ?

• Knowing when to be hard and when to be soft
• Adopting a politics of imperfection and responsibility
• Tapping into our shared humanity
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Dans nos sociétés contemporaines, le couple est célébré, sanctifié, convoité. Il représente une sorte de Graal à atteindre, tout en s’imposant comme la configuration de vie « par défaut », comme si tous les êtres humains allaient forcément par paires. C’est aussi une valeur refuge. L’injonction « au couple » est donc particulièrement forte, même si l’on observe des variations selon les milieux sociaux. Mais les hommes et les femmes ne sont pas égaux face à cette injonction. En effet, les femmes sont beaucoup plus incitées, et ce depuis leur plus jeune âge, à faire des relations amoureuses un but premier – quitte pour cela à sacrifier leur épanouissement personnel, et à mettre leurs aspirations en sourdine. L’ombre du Prince charmant plane au-dessus des têtes féminines comme le but ultime à atteindre, comme s’il était impossible d’être complète, « valable », sans un partenaire à ses côtés.
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Delphy tu me fais chier et là je ne fais pas de la littérature pour te le dire, c’est juste un billet d’humeur rempli d’agacement, de fatigue et de lassitude et pendant que je suis fatiguée à écrire ce billet d’humeur qu’au pire tu ne liras pas, au mieux tu qualifieras de « mansplaining », toi tu dois être tranquille avec tes chats, ton thé ou je ne sais quoi dans ton appartement à Paris ou autre ville, à faire telle conférence et à continuer à répendre ton venin contre des personnes qui ne te demandent rien.

Et c’est bien triste d’en arriver là parce que tu vois, moi je t’aimais bien. L’ennemi Principal a été un bouquin important pour moi, j’ai même des fois trop fait ma fangirl face à tes petites blagues racistes en conférence (et je m’en excuse pour celles que j’ai offensé dans ces moments-là) . C’est bien triste d’en arriver là parce qu’on va juste se souvenir de toi comme la personne qui n’a pas cessé de mener une lutte obsessionnelle contre des personnes qui veulent simplement survivre et avoir le droit d’être aimées et acceptées dans une lutte pour laquelle elles ont tout abandonné.
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J'ai pas trouvé de room Shaarli sur le réseau matrix du coup j'en ai créé un.

Si vous utilisez Riot, l'adresse c'est https://riot.im/app/#/room/#shaarli:matrix.org sinon l'alias pour le rejoindre c'est #shaarli:matrix.org.
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J'ai bougé mon shaarli, maintenant l'adresse c'est https://shaarli.aldarone.fr/ et plus https://tools.aldarone.fr/share/ j'ai mis une redirection permanente qui va bien donc tout devrait bien se passer pour les anciens liens.

J'ai fait ça en résiliant mon serveur dédié. J'ai fait un burnout qui a causé mon départ de deux boites successive en 2017 et 2018 et qui a achevé de me convaincre que je voulais plus bosser dans l'informatique et me concentrer sur des trucs plus humains.

Le code est devenu une source d'angoisse, l'administration et la maintenance ne m'amusent plus du tout.

Avant sur mon dédié j'avais des WordPress, Shaarli, Wallabag, Miniflux, Nextcloud et mes mails.

La maintenance d'un serveur mail c'est le pire donc c'est le premier service dont j'ai arrêté de m'occuper. Je suis chez https://fastmail.com/ avec un compte à 50$ par an, je peux y mettre mes noms de domaines, tous les alias que je veux et leur business model est basé sur des abonnements et pas sur la revente de données perso.

Restaient les WordPress dont la plupart étaient inactifs et que j'ai converti en pages html avec httrack et hébergé gratuitement chez https://netlify.com/. Ceux qui sont actifs ont été converti en blogs Hugo, eux aussi hébergés par netlify (qui les build et déploie automatiquement quand je push les dépots git ad hoc.)

Pour Wallabag j'ai pris un compte sur https://wallabag.it/ à 9€/an, pour miniflux j'ai un compte sur https://reader.miniflux.app/ à 15$/an.

Mon nextcloud est chez https://www.hetzner.com/storage/nextcloud à 3.5€/mois et j'en ai profité pour prendre un hébergement mutualisé chez eux à 2€/mois pour Shaarli.

Bref, mes besoins sont couverts par des offres managées sans surcoût par rapport à un dédié sous proxmox avec 8 containers à maintenir. Je gagne largement en sérénité et en temps et je reste quand même maîtresse de mes données puisque chaque service permet l'export dans des formats prêts à être importés ailleurs.

Point bonus très appréciable : Les services sont dimensionnés pour être performants et vont vachement plus vite qui sur mon ancien dédié vieillissant donc je gagne même du temps à chaque utilisation et incluent des backups (chose que j'ai toujours traité comme une tâche de seconde zone par manque de temps et d'argent)

Il me reste juste un VPS pour mon instance perso Mastodon parce que j'utilise le fork glitch-fork et les hébergement managés ne proposent que la version vanilla.
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Unlike a friendship, where not responding to a text for two hours (or two days?) is acceptable, in dating, both the act of texting and not texting communicate something. How fast or how slow you respond says something to the other person.
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Unlike a friendship, where not responding to a text for two hours (or two days?) is acceptable, in dating, both the act of texting and not texting communicate something. How fast or how slow you respond says something to the other person.
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It’s a common misconception that members of gay relationships have to map onto the roles of a straight couple: woman and asshole,” said Acharya. “But neither of us is the asshole; that’s the entire point.
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