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Geektionnerd : JM2L 2013

vendredi 29 novembre 2013 à 17:43

Framasoft présent au JM2L 2013 grâce à Gee ;)


Geektionnerd - Simon Gee Giraudot - CC by-sa

Geektionnerd - Simon Gee Giraudot - CC by-sa

Crédit : Simon Gee Giraudot (Creative Commons By-Sa)

Chapitre IX — Où le Philippidès de l'écriture monte sur Lyon, descend du Mont d'Or et parle boutique

vendredi 29 novembre 2013 à 17:28

Foin des clichés touristico-cuculinaires (rosette-traboules-gastronomie-bouchon-capitale-des-gaules-fourvière-croix-rousse-canuts-guignol-part-dieu), Lyon est une étape importante pour le marathon de notre tapuscribe car il y retrouve la chaleur amicale de Pierre-Yves (le bon-gentil-géant-chauve-et-barbu qui est le cœur battant de la framatrice) et ses potes. Loin d’être en terre inconnue, il est en terrain connu, littéralement chez Framasoft qui a son siège et sa permanence chez Locauxmotiv.

Le voici donc déterminé à mener un ultime contre-la-montre, anticipant déjà sur les classiques d’arrière-saison (relectures, hibernation, rumination sur le tome suivant de la saga…).

J’irai écrire chez vous épisode 9 : Lyon

On pourrait croire que j’ai bouffé du Lyon, mais non : c’était du Mont d’Or. Quoi qu’il en soit, entre de belles rencontres et de grandes discussions, je suis revenu dans la course avec des mots par milliers. Ça tombe bien : nawel approche !

Mon secret d’écrivain ? Le retard SNCF

Départ de Toulouse, revigoré et reposé, mais légèrement culpabilisant. J’ai six jours d’écriture dans les dents : autant dire que le seuil des 50 000 mots paraît loin. Alors je peux arguer qu’avec tous les billets de blog écrits, il y a facilement 10 000 mots de plus. Je peux mégoter : 50 000 mots ne suffiront pas à boucler ce livre III, donc ce seuil ne fait pas sens. Mais, alors que je pars pour Lyon, je me dis que ça le ferait bien. Pour la beauté du geste, atteindre même sur le fil la symbolique barre placée là par Le Meilleur des Mondes d’Aldous Huxley. Saint Christophe, patron des voyageurs, doit m’avoir à la bonne. Comme j’étais bien inspiré dans ce train, il m’a ajouté 1h40 de bonus-retard. J’écris ma plus grosse journée aux côtés d’un pote retrouvé par hasard dans le wagon. La classe américaine, quoi.

Pyg, la fourmi framasoftienne qui aime les cigales

L’enthousiasme de PYG, historique salarié de Framasoft, pour ce « J’irai écrire chez vous » fait chaud au cœur. C’est, je trouve, la personne qui définit le mieux ce qui est au cœur du principe : « Tu vois Pouhiou, même si je sais qu’un don c’est participer, là c’est encore mieux. Car en t’invitant chez moi, à ma table, je participe — même à la marge — à ton processus d’écriture de manière encore plus… personnelle. Je sais que ce qu’on va vivre va t’inspirer à un moment ou à un autre, et j’ai vraiment l’impression que tu m’inclus dans le truc. » Voilà. Pas mieux. C’est ça l’idée. Vous demander de participer… personnellement. Trouver comment appliquer les astuces de Miss Amanda Palmer quand on ne tourne pas en concert. À priori : ça marche.

<— Photo par Ana_Rey licence CC-BY-SA 2.0

J’ai donc écrit chez Pierre-Yves

Pierre-Yves est quelqu’un< de généreux, et cela se voit dans son attention. Il est de ces gens qui tentent d’écouter ce que tu veux dire, et d’y répondre de manière réfléchie, constructive. De ces potes qui ont toujours un gentil mot, une bonne bière et de la belle boustifaille à partager avec toi. Quelqu’un qui sait être là tout en te laissant disponible l’espace dont tu as besoin. J’ai bien écrit chez Pyg. J’ai bouclé le chapitre V qui pourtant au départ me donnait bien du mal. Il me tarde vraiment d’entamer mes premières relectures de décembre car ce livre-là peut être un délire assez casse-gueule… C’est un exercice à la fois exigeant et qui demande beaucoup d’abandon. Mais si ça fonctionne, ce sera redoutable (c’est très dur de ne pas détailler pour ne pas vous spoiler, j’ai l’impression d’être méga flou !).

Boutique Frama et atelier d’écriture

Bon le petit truc pas classe, c’est qu’en m’invitant, ben le Pierre-Yves il s’est retrouvé du boulot qui l’attendait le soir à la maison. Car le soir on a — aussi — parlé boutique : Framasoft. Si Framasoft peut se permettre de payer ses salariés, qui communiquent, animent, refondent l’infrastructure, se tapent l’administratif, accueillent et assurent la technique de sites web tels que noenaute.fr ou geektionnerd.net… C’est grâce à vos dons. Et on a besoin que ça continue, car ces projets on veut les poursuivre, tout en montant ceux qui sont dans les frama-cartons. Par exemple, cet atelier d’écriture qui n’a pas pu se faire à Lyon, ben avec un peu de temps salarié et d’huile de coude, ça pourrait devenir un atelier d’écriture… en ligne. Pour l’instant on en rêve, mais on est pas si loin d’y arriver…

Les copaings d’abord

C’est marrant le nombre de personnes que j’aime à Lyon. Il y a Thomas que j’ai vu sur Toulouse et dans le train. Il y a Muche que je râle d’avoir ratée cette fois-ci. J’ai eu le plaisir de faire goûter mes outrageous cookies à Mathias, avec qui j’aime tant rire… Puis Pyg a organisé une soirée « Mont d’Or ». Le Mont d’Or est un petit fromage serti dans du bois qui, une fois passé au four et posé près de patates chaudes, se partage entre amis avec une bonne bouteille de vin et des chouteurs de rhum. Et là, tu deviens le témoin privilégié d’une bande de potes qui sont juste heureux d’être ensemble. De partager, de revisiter le monde en allant à fond dans la collaboration cuisinière, coquetaillière, philosophique et amicale. Ils sont l’essence du libre sans même s’en rendre compte, la table et les oreilles toujours grandes ouvertes.

Philosophie de l’estomac

Dans sa vidéo The Art of Asking[1], Amanda Palmer se questionne quand elle voit que les gens qui hébergent son groupe pour le couchsurfing du soir se serrent dans une chambre pour LUI faire de la place… Est-ce que je mérite cela ? Comment se fait-il que l’on m’offre autant de choses, qu’est-ce que j’apporte en retour ? Elle trouve bien vite la réponse : elle apporte ce que les gens y trouvent. La possibilité d’échanger avec quelqu’un qui essaie de mettre ses tripes sur la table, qui essaie de s’exprimer avec sincérité. C’est peut-être à ça que ça sert, d’écrire des fariboles… À partager des fromages chauds, des pensées évanescentes et des amitiés.

Photo par traaf licence CC BY-SA 2.0

Déjà se pose la question de partager le livre IV… Mais pour l’instant, j’ai un défi à relever !

À dans trois jours,

— Pouhiou.

Notes

[1] Pour lire la transcription en français, cliquer sur Show transcript en bas à droite et choisir français

GNU/Linux dans l'éducation : il n'y a plus d'excuses là !

jeudi 28 novembre 2013 à 21:55

On nous en voudra peut-être, pour ne pas dire sûrement, d’avoir traduit ci-dessous un communiqué de Canonical faisant la promotion d’offres Ubuntu[1] de son partenaire Asus sur Amazon (uniquement aux US), mais il s’agit surtout de souligner que GNU/Linux est aujourd’hui totalement mûr pour être dans les ordinateurs de nos établissements scolaires (payés par le contribuable).

Franchement il n’y a plus d’excuses là (d’autant que le support de Windows XP c’est bientôt fini et qu’il reste des milliers d’ordinateurs dans nos écoles sous cette version du système d’exploitation de Microsoft).

Pour les puristes, on pourra préférer l’offre de ThinkPenguin.com avec la distribution Trisquel dedans par défaut, certifiée 100% libre par la FSF ;)

Et en France, dans toute la francophonie, que conseillez-vous actuellement comme distributeurs d’ordinateurs avec GNU/Linux par défaut dedans (voire rien du tout pour évoquer la question de la vente liée) ?

Sur Racketiciel.info (Aful) il y a cette page qui est intéressante.


Asus Ubuntu


Asus et Ubuntu fournissent des ordinateurs portables abordables à l’éducation américaine

Asus and Ubuntu deliver affordable world-class laptops to USA Education

Canonical - 26 novembre 2013 - Ubuntu.com
(Traduction : Jeff_, Dimitri, chr, MFolschette, Catalaburro, Penguin, ttoine, P + anonymes)

Une révolution silencieuse est en train de se dérouler dans le monde de l’éducation : de plus en plus d’institutions et d’étudiants découvrent l’intérêt du système d’exploitation Ubuntu.

Aux USA, le partenaire d’Ubuntu, ASUS, a rajouté des modèles à sa longue liste de PC portables sous Ubuntu. Les X201E et 1015E sont d’excellents portables sous Ubuntu, avec un rapport qualité prix/performance parfait pour l’éducation.

Comme Ubuntu et tous les logiciels inclus sont libres et gratuits (NdT : free en anglais), il n’y a pas de coût d’acquisition de licence dans le prix d’achat, ce qui réduit considérablement les coûts. C’est idéal pour les étudiants et les institutions, car les deux peuvent avoir des budgets serrés.

LibreOffice regroupe les applications de bureautique. Faciles d’utilisation, elles offrent toutes les fonctionnalités nécessaires pour les étudiants, et sont complètement compatibles avec les fichiers de la suite propriétaire leader du marché. Il y a d’autres applications incluses pour le courriel et la navigation web.

En plus de ces applications de base, des milliers d’autres applications libres et gratuites sont disponibles pour répondre à des besoins plus spécifiques comme la retouche d’image, l’animation 3D, les antivirus ou la comptabilité.

Nous connaissons l’importance des ordinateurs pour les étudiants et les institutions, c’est donc vraiment intéressant pour nous de travailler avec nos partenaires pour proposer au secteur de l’éducation ces solutions performantes à bas coûts.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur Amazon.com ou sur d’autres sites web de vente de matériel en ligne.

Notes

[1] On notera qu’ils ne citent jamais Linux dans l’article, c’est Ubuntu tout seul :(

Renault ZOE : une voiture avec DRM est-elle encore une voiture ?

jeudi 28 novembre 2013 à 20:03

Lorsque nos voitures ressembleront définitivement à des iPhones, nous ne pourrons les conduire que sur des autoroutes Apple…

Renault Zoé


Renault verrouillera à distance ses voitures électriques

Renault will remotely lock down electric cars

Gerloff - 31 octobre 2013 - FSFE Blog
(Traduction : Jeff_, Dimitri, chr, MFolschette, Catalaburro, Penguin, ttoine, P + anonymes)

Longtemps, les voitures ont été un symbole de liberté et d’indépendance. Plus maintenant. Dans sa voiture électrique Zoe, le fabricant automobile Renault a apparemment la possibilité d’empêcher à distance la batterie de se recharger. Et c’est plus inquiétant qu’il n’y paraît.

Lorsque vous achetez une Renault Zoe, la batterie n’est pas incluse. Au lieu de ça, vous signez avec le constructeur un contrat de location pour la batterie. Sur un forum de possesseurs de Zoe, l’utilisateur Franko30 dénonce le fait qu’une clause de ce contrat donne le droit à Renault d’interdire à la batterie de se recharger lorsque la durée de location contractuelle prend fin. D’après un article du journal Der Spiegel, le constructeur peut aussi le faire en cas de défaut de paiement de votre part.

Cela signifie que Renault a les moyens de contrôler à distance le processus de rechargement de la batterie. Selon le même article, la Zoe (et la plupart des autres voitures électriques) collecte une multitude de données concernant votre utilisation du véhicule, et les envoie au constructeur à votre insu. Ces données indiquent au constructeur où vous allez, quand et à quelle vitesse, où vous rechargez la batterie, et plein d’autres choses encore. Nous savions déjà que Tesla faisait cela depuis la prise de bec publique avec un journaliste qui avait publié une critique de leurs voitures dans le New York Times. Voir un constructeur grand public comme Renault faire la même chose révèle à quel point cette pratique est dangereuse.

Ce genre de choses cadre bien avec le tableau dystopique que brossait Cory Doctorow dans son discours de 2011 « La guerre imminente contre nos libertés d’utilisateurs » (que vous devriez absolument regarder, si ce n’est pas déjà fait, d’autant que traduit en français par le Framablog NdT), au cours duquel il dit que « nous n’avons plus de voitures, mais des ordinateurs que l’on peut conduire ». La question est alors de savoir qui contrôle cet ordinateur. Vous, le constructeur, ou quelqu’un d’autre ?

S’il y a un mécanisme qui permet de contrôler à distance ce que fait votre voiture, certains feront usage de ce mécanisme à un moment donné. Il pourrait s’agir du constructeur qui verrouille votre voiture car vous ne pouvez pas poursuivre la location de la batterie parce que vous avez perdu votre emploi, ce qui signifie qu’il devient plus difficile pour vous de trouver du travail. Il pourrait s’agir du gouvernement, qui forcerait le constructeur à faire ce qu’il lui demande. Dans son post sur le forum, Franko30 prédit que les gouvernements pourraient simplement demander aux constructeurs de voitures de bloquer le rechargement des batteries à proximité d’événements politiques controversés (un sommet du G8 par exemple) afin d’empêcher la participation à des manifestations. Sans oublier la possibilité pour une personne malveillante d’obtenir l’accès à ce mécanisme en soudoyant un employé de chez Renault.

Le seul moyen de se prémunir de tout cela est de se tenir éloigné des voitures et autres ordinateurs que vous ne pouvez pas totalement contrôler, et de créer des systèmes qui responsabilisent les utilisateurs. À la Free Software Foundation Europe, nous soutenons les personnes qui créent des systèmes donnant le contrôle à l’utilisateur.

Framasoft invité au bal de l'école par l'Hadopi : on y va ou pas ?

jeudi 28 novembre 2013 à 11:30

Nous avons tout récemment reçu le mail ci-dessous envoyé par l’Hadopi.

Il s’agit d’une invitation à participer, dans des établissements scolaires, à des ateliers « pour sensibiliser le jeune public au droit d’auteur et à la création » (une dizaine de dates sont programmées aux quatre coins de la France pour le premier trimestre 2014).

« Parmi les éclairages divers que nous souhaiterions apporter aux élèves, le regard de Framasoft nous semblerait évidemment très intéressant. »

L’Hadopi agit là dans le cadre de ses missions puisqu’il est explicitement dit dans la loi : « Les élèves reçoivent une information sur les dangers du téléchargement et de la mise à disposition illicites d’œuvres ou d’objets protégés par un droit d’auteur ou un droit voisin pour la création artistique (…) Cette information porte également sur l’existence d’une offre légale d’œuvres ou d’objets protégés par un droit d’auteur ou un droit voisin sur les services de communication au public en ligne. »

Première réaction, presque instinctive, au sein de notre association : sourire narquois, méfiance et forte propension à décliner (gentiment) l’invitation. Pas envie de se faire récupérer et servir de caution ou d’alibi.

Il fait dire que quelques ateliers ont déjà eu lieu et qu’à lire les articles suivants de PC INpact, cela incite à une certaine prudence (litote) : Avec la Hadopi, les sites PUR investissent les salles de classe et On a testé la journée portes ouvertes fermées de la Hadopi.

Non, donc, a priori très peu pour nous.


Hadopi


D’un autre côté, c’est tout de même contrariant de laisser des Hadopi, ou pire encore des Calysto et Microsoft, avoir le champ libre (sic) pour pénétrer ainsi l’école et y tenir un discours pas forcément en phase avec le nôtre (nouvelle litote).

Serait-ce une bonne idée d’y aller quand même, sous certaines conditions et en avançant groupés ?

Dans les conditions préalables, il pourrait y avoir l’assurance de disposer d’un réel temps d’intervention dans une totale liberté de parole (avec droit de distribuer quelques petits flyers aux élèves à la fin) ainsi que de pouvoir en toute objectivité relater la journée sur nos sites. Et avancer groupés, cela signifie contacter tous nos petits amis : April, AFUL, La Quadrature du Net, SavoirsCom1, etc. pour se coordonner et être présents à toutes les journées.

Telle est la question que nous vous posons dans les commentaires.

Mail d’invitation de l’Hadopi

Bonjour,

Pour sensibiliser le jeune public au droit d’auteur et à la création, l’Hadopi anime des ateliers auprès des élèves de collège-lycée, en collaboration avec les rectorats.

Ces ateliers visent à informer les élèves sur le droit d’auteur et les mécanismes de la création afin d’encourager la responsabilité et l’esprit critique face aux pratiques culturelles sur Internet. Ils visent également à initier les élèves à la création de façon concrète et ludique et à leur permettre de découvrir un univers culturel.

Pour cela, des artistes et des professionnels sont invités à apporter leur témoignage, leur expertise et leur savoir-faire. Parmi les éclairages divers que nous souhaiterions apporter aux élèves, le regard de Framasoft nous semblerait évidemment très intéressant. Aussi, nous serions ravis que vous puissiez participer à un atelier dans les mois à venir.

Pourrions-nous convenir d’une rencontre prochaine pour vous apporter plus de précisions et - je l’espère - pour envisager ensemble les contours d’une participation ?

Vous trouverez ci-joint un calendrier prévisionnel pour les ateliers des mois à venir, nous vous remercions de nous indiquer si vous pourriez être intéressés par une participation à l’un d’entre eux.

Dans l’attente de votre retour, je me tiens à votre entière disposition.

Mail d’un lycéen

Et pour conclure ce billet sur un son de cloche différent, voici un autre message que nous reçu il y a deux semaines.

Bonjour, je suis élève de Terminale Scientifique et engagé comme beaucoup dans la promotion du logiciel libre. Je vous laisse consulter mon profil sur Wikipédia pour connaitre mes actions.

J’ai proposé à l’animateur culturel de mon lycée d’organiser trois séances de débats sur trois sujets qui me semblent important : les logiciels libres, Internet, le travail collaboratif et les licences libres.

J’aurais aimé savoir si vous aviez des informations à me fournir pour débuter mon travail : dépliants, documents, affiches que je pourrais acheter à l’association et qui permettraient aux intervenants de ces sessions de discussion de repartir avec quelque chose. Il est bien évident que je fournirai un don à l’association[1].

Un travail collaboratif entre les membres de la communauté sur ces sujets pourrait aussi grandement m’aider, pour ne rien omettre et trier les informations les plus importantes. L’idée étant d’intervenir de façon pertinente sur ces sujets et de laisser aux invités le message du débat. D’avance, merci beaucoup de l’aide que vous pourriez m’apporter.

Nous lui avons conseillé de prendre contact avec le Groupe d’utilisateurs de Logiciels libres[2] de son département .

Ce qui fut fait : « ils m’ont tous assuré de leur soutien pour l’écriture et la relecture de mes travaux. Ils m’ont aussi proposé de venir intervenir au sein du lycée. »

Notes

[1] Petit PS en passant à l’Hadopi puisque le lycéen évoque les dons. Framasoft est en campagne de soutien actuellement. Si vous êtes capables de dépenser 3,2 millions d’euros pour une campagne de communication, vous pouvez bien faire un petit geste, non ? ;)

[2] Pour rappel : la liste des GULL francophones sur le site de l’AFUL.