Qui n’a jamais entendu parler de Minecraft ? Ce jeu dont les créateurs avaient pris le risque de faire des graphismes minimalistes. C’était courageux, pour ne pas dire suicidaire. Mais étonament ça a marché. Et bien marché. 10 millions de joueurs sans les joueurs qui jouent sur les versions crackées. Heureusement parce que sinon ça rentrerait pas dans un Int. Bref. Vous aussi, je suppose que vous trouvez ça nul. Moi aussi je trouvais ça simplet et nul, il y a encore un mois. Quand Jeremy me parlait de ce jeu révolutionnaire, je disais que j’aimais pas sans aucun argument. Parce que pour moi ça paraissait logique, qu’un jeu aussi mal designé ne soit d’aucun interêt. Et un jour, un jeudi précisément, j’ai téléchargé Minecraft juste pour essayer. Et bien entendu, j’ai trouvé ça nul : je ne comprenais pas. J’étais sur une île, avec de l’eau autour et des poules et des arbres. Et ma main pour me défendre. And, what now ? J’ai donc demandé à Trevör comment bien commencer à jouer, parce que si le concept avait séduit tant de monde, il y avait sûrement une raison. J’ai pas tout compris du premier coup. Pas du deuxième non plus. Et même pas du troisième et puis j’ai changé les contrôles et ça m’a paru limpide. J’ai construit un établi, puis une pioche. Puis je ramassai de la terre, du sable parce que c’était plus joli. Et l’une des premières choses que j’avais faites petit revint : construire ce que je voulais comme je le voulais. Minecraft avait réussi à faire renaître quelque chose qu’aucun autre jeu, même portant le nom du célèbre fabriquant de briques, n’avait recréé. On était libre : tuer une vache et récupérer à manger ou la laisser en vie. Couper un arbre pour faire une torche et ainsi me protéger des monstres ou le laisser pour ne pas gâcher le paysage. Oui parce que bien sûr, Minecraft ne se résume pas à créer votre monde. Ce serait trop simple. Même si c’est possible. Non, en fait la nuit, et à chaque fois que vous vous trouvez dans un endroit sombre, des monstres peuvent apparaître : zombies, araignées, endermen (ah vous savez pas ce que c’est !). Et vous devez survivre la nuit. Et vous fabriquer la maison pour vous protéger. Encore une fois vous êtes libre : sortir de la maison et vous faire attaquer, mais vous battre et s’amuser un peu (et crever aussi à l’occasion si vous avez des tendances suicidaires), ou rester bien au chaud et dormir (si vous avez fabriqué un lit) jusqu’au matin. VOUS contrôlez votre monde et pas un quelconque level-designer. Après il faut aussi se rendre compte d’un truc : le monde que vous utilisez est quasiment unique : jamais un autre joueur aura le même. Et surtout, jamais vous ne pourrez l’explorer en entier (ça fait presque peur !) : si on dit qu’un bloc fait un mètre de hauteur, de largeur et de profondeur, on atteint un monde qui fait… huit fois la planète Terre. Wahouh ! Il faut un moment assez long pour assimiler ce nombre. De plus, ces huit fois la Terre, s’appliquent à la surface, ça veut dire qu’on ne compte pas l’Ender, le Nether (deux dimensions “parallèles”), les grottes et… les mines abandonnées. Car oui, dans Minecraft il existe des puits de mine labyrinthiques dans lesquels ne pas se perdre se révèle être un défi hors norme : veines à droite, à gauche, lave, eau, coffres, effondrements. Parfois la seule solution pour retrouver la surface est de miner vers le haut en mettant des échelles. Et vue la profondeur du trou, il faut être patient. Bref, tout cet article pour dire que Minecraft, c’est bien plus qu’un jeu d’aventure, de défense et de construction. Bien plus qu’un design minimaliste. (je ne pense pas que son design soit raté, mais c’est ce que beaucoup, trop même, de gens pensent). Bien plus qu’un monde interminable, infini. Bien plus qu’une communauté grandissante chaque jour. Minecraft est un chef-d’oeuvre.

Et si ça vous intéresse d’obtenir mon seed et mon monde (avec des trucs précieux), vous devez aller dans cet article, mais attention, seuls les membres peuvent y accéder !

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Qui n’a jamais entendu parler de Minecraft ? Ce jeu dont les créateurs avaient pris le risque de faire des graphismes minimalistes. C’était courageux, pour ne pas dire suicidaire. Mais étonament ça a marché. Et bien marché. 10 millions de joueurs sans les joueurs qui jouent sur les versions crackées. Heureusement parce que sinon ça rentrerait pas dans un Int. Bref. Vous aussi, je suppose que vous trouvez ça nul. Moi aussi je trouvais ça simplet et nul, il y a encore un mois. Quand Jeremy me parlait de ce jeu révolutionnaire, je disais que j’aimais pas sans aucun argument. Parce que pour moi ça paraissait logique, qu’un jeu aussi mal designé ne soit d’aucun interêt. Et un jour, un jeudi précisément, j’ai téléchargé Minecraft juste pour essayer. Et bien entendu, j’ai trouvé ça nul : je ne comprenais pas. J’étais sur une île, avec de l’eau autour et des poules et des arbres. Et ma main pour me défendre. And, what now ? J’ai donc demandé à Trevör comment bien commencer à jouer, parce que si le concept avait séduit tant de monde, il y avait sûrement une raison. J’ai pas tout compris du premier coup. Pas du deuxième non plus. Et même pas du troisième et puis j’ai changé les contrôles et ça m’a paru limpide. J’ai construit un établi, puis une pioche. Puis je ramassai de la terre, du sable parce que c’était plus joli. Et l’une des premières choses que j’avais faites petit revint : construire ce que je voulais comme je le voulais. Minecraft avait réussi à faire renaître quelque chose qu’aucun autre jeu, même portant le nom du célèbre fabriquant de briques, n’avait recréé. On était libre : tuer une vache et récupérer à manger ou la laisser en vie. Couper un arbre pour faire une torche et ainsi me protéger des monstres ou le laisser pour ne pas gâcher le paysage. Oui parce que bien sûr, Minecraft ne se résume pas à créer votre monde. Ce serait trop simple. Même si c’est possible. Non, en fait la nuit, et à chaque fois que vous vous trouvez dans un endroit sombre, des monstres peuvent apparaître : zombies, araignées, endermen (ah vous savez pas ce que c’est !). Et vous devez survivre la nuit. Et vous fabriquer la maison pour vous protéger. Encore une fois vous êtes libre : sortir de la maison et vous faire attaquer, mais vous battre et s’amuser un peu (et crever aussi à l’occasion si vous avez des tendances suicidaires), ou rester bien au chaud et dormir (si vous avez fabriqué un lit) jusqu’au matin. VOUS contrôlez votre monde et pas un quelconque level-designer. Après il faut aussi se rendre compte d’un truc : le monde que vous utilisez est quasiment unique : jamais un autre joueur aura le même. Et surtout, jamais vous ne pourrez l’explorer en entier (ça fait presque peur !) : si on dit qu’un bloc fait un mètre de hauteur, de largeur et de profondeur, on atteint un monde qui fait… huit fois la planète Terre. Wahouh ! Il faut un moment assez long pour assimiler ce nombre. De plus, ces huit fois la Terre, s’appliquent à la surface, ça veut dire qu’on ne compte pas l’Ender, le Nether (deux dimensions “parallèles”), les grottes et… les mines abandonnées. Car oui, dans Minecraft il existe des puits de mine labyrinthiques dans lesquels ne pas se perdre se révèle être un défi hors norme : veines à droite, à gauche, lave, eau, coffres, effondrements. Parfois la seule solution pour retrouver la surface est de miner vers le haut en mettant des échelles. Et vue la profondeur du trou, il faut être patient. Bref, tout cet article pour dire que Minecraft, c’est bien plus qu’un jeu d’aventure, de défense et de construction. Bien plus qu’un design minimaliste. (je ne pense pas que son design soit raté, mais c’est ce que beaucoup, trop même, de gens pensent). Bien plus qu’un monde interminable, infini. Bien plus qu’une communauté grandissante chaque jour. Minecraft est un chef-d’oeuvre.

Et si ça vous intéresse d’obtenir mon seed et mon monde (avec des trucs précieux), vous devez aller dans cet article, mais attention, seuls les membres peuvent y accéder !

Ca fait un mois ou un peu plus que je suis au lycée. Et ça fait un mois ou un peu plus que les anciens élèves de troisième peuvent utiliser leur téléphone portable dans la cour. Et ça fait un mois ou un peu plus que je me suis rendu compte que, bizarrement, le jeu des logos rencontre un succès fou, autant auprès des joueurs Android qu’à ceux d’iPhone. Etonnant pour un jeu aussi nul, mal fait et pas intéressant. Mais bon je l’avoue ça m’arrive de jouer, et je suis loin d’être nul. En fait j’ai surtout l’impression que les personnes qui ont ce jeu sur leur téléphone veulent pouvoir dire “J’ai terminé le jeu des logos !”, même si le plus souvent ils demandent à tout le monde de l’aide. Mais bon ça leur plairait de finir. C’est pour ça qu’aujourd’hui, j’ai trouvé la solution ultime pour eux. Enfin ça fait déjà trois semaines mais bon… En fait, je vais le redire pour ceux qui sont pas au courant : une application iOS ou Android (.ipa ou .apk) est en fait qu’une archive contenant différents fichiers, code Java pour Android et C pour iPhone. Les deux bien entendu compilés. Mais le plus intéressant dans tout ça c’est qu’ils stockent aussi les logos, sous le nom de l’entreprise qui les utilise. Bingo on a la solution. Comment on va faire alors ? Déjà, je on va utiliser le fichier APK, parce que le IPA j’ai pas le temps de le télécharger.

Application Android “Logo Quiz Game”

Après, on va l’ouvrir cette archive. On va utiliser 7Zip, parce que c’est gratuit, c’est rapide et ça ouvre à peu près tout. Mais ça marche que sous Windows et Linux. Les autres se débrouilleront.

Page de téléchargement de 7Zip

Non je déconne pour les utilisateurs de Mac j’ai fait une archive ZIP.

Archive ZIP de Logo Quiz Game

Oui du coup ça marche aussi pour les utilisateurs de Windows. Vous savez quoi ? J’aurais pu mettre juste les logos. Mais non c’est trop tard l’archive est sur le serveur. Alors, par quoi on commence ? Facile, ouvre votre archive et extrayez le contenu. Rendez vous dans /res/drawable (encore une info inutile : c’est dans /res qu’on stocke les images, les sons… Tout en fait à part le code et les manifests.) Donc “drawable” ça veut littéralement dire “dessinable” donc c’est les images. Et pourquoi pas /drawable-hdpi par exemple ? Parce que ça prendra que les logos en assez grande résolution si mes souvenirs sont bons. Donc on les aura pas tous alors que /drawable ça prend tout. Bref, ouvrons ce dossier et qu’est ce qu’on trouve ? Les noms et les logos. Merci qui ? Merci Thomas.

Ca fait un mois ou un peu plus que je suis au lycée. Et ça fait un mois ou un peu plus que les anciens élèves de troisième peuvent utiliser leur téléphone portable dans la cour. Et ça fait un mois ou un peu plus que je me suis rendu compte que, bizarrement, le jeu des logos rencontre un succès fou, autant auprès des joueurs Android qu’à ceux d’iPhone. Etonnant pour un jeu aussi nul, mal fait et pas intéressant. Mais bon je l’avoue ça m’arrive de jouer, et je suis loin d’être nul. En fait j’ai surtout l’impression que les personnes qui ont ce jeu sur leur téléphone veulent pouvoir dire “J’ai terminé le jeu des logos !”, même si le plus souvent ils demandent à tout le monde de l’aide. Mais bon ça leur plairait de finir. C’est pour ça qu’aujourd’hui, j’ai trouvé la solution ultime pour eux. Enfin ça fait déjà trois semaines mais bon… En fait, je vais le redire pour ceux qui sont pas au courant : une application iOS ou Android (.ipa ou .apk) est en fait qu’une archive contenant différents fichiers, code Java pour Android et C pour iPhone. Les deux bien entendu compilés. Mais le plus intéressant dans tout ça c’est qu’ils stockent aussi les logos, sous le nom de l’entreprise qui les utilise. Bingo on a la solution. Comment on va faire alors ? Déjà, je on va utiliser le fichier APK, parce que le IPA j’ai pas le temps de le télécharger.

Application Android “Logo Quiz Game”

Après, on va l’ouvrir cette archive. On va utiliser 7Zip, parce que c’est gratuit, c’est rapide et ça ouvre à peu près tout. Mais ça marche que sous Windows et Linux. Les autres se débrouilleront.

Page de téléchargement de 7Zip

Non je déconne pour les utilisateurs de Mac j’ai fait une archive ZIP.

Archive ZIP de Logo Quiz Game

Oui du coup ça marche aussi pour les utilisateurs de Windows. Vous savez quoi ? J’aurais pu mettre juste les logos. Mais non c’est trop tard l’archive est sur le serveur. Alors, par quoi on commence ? Facile, ouvre votre archive et extrayez le contenu. Rendez vous dans /res/drawable (encore une info inutile : c’est dans /res qu’on stocke les images, les sons… Tout en fait à part le code et les manifests.) Donc “drawable” ça veut littéralement dire “dessinable” donc c’est les images. Et pourquoi pas /drawable-hdpi par exemple ? Parce que ça prendra que les logos en assez grande résolution si mes souvenirs sont bons. Donc on les aura pas tous alors que /drawable ça prend tout. Bref, ouvrons ce dossier et qu’est ce qu’on trouve ? Les noms et les logos. Merci qui ? Merci Thomas.

Nom : Subway Surfers
Type : Application iOS
Prix : Gratuit (En ce moment)
Auteur : Kiloo & Sybo
Langue : Anglais
Note : ★★★★

Voilà un jeu iOS qui va vous scotcher à votre appareil ! Vous allez devoir courir dans le métro parce que vous en avez tagué un, poursuivi par le gardien, avec des wagons qui vous viendront dessus. D’accord ça peut paraître bizarre comme ça mais en vérité c’est vraiment cool. Déjà, les contrôles sont particulièrement bien pensés : pour aller à droit, glissez votre doigt sur la droite, pour aller à gauche, faites le glisser sur la gauche. Pour sauter, faites le glisser vers le haut et pour faire une roulade vers le bas. Au début,  votre score augmentera doucement, mais si vous accomplissez les “missions” demandées (trois par trois), votre “multiplieur” de score s’incrémentera d’une unité. Vous gagnerez d’abord deux points, puis trois, puis quatre tous les dixièmes de secondes (je crois que c’est ça). Sur votre chemin, vous trouverez des bonus : multiplieur temporaire (qui doublera votre score pendant un moment), jetpack, super chaussures, aimant à pièces… Ah oui parce qu’il faut aussi ramasser les pièces : elles vous rapportent des points et vous permettent d’acheter différents trucs : avancement, amélioration de bonus, personnages, planches volantes – en anglais “Hoverbord”, je sais pas trop le traduire – (oui ça vous permet de pas vous écraser contre un train si vous l’activez). Bref, c’est LE jeu du moment. Le seul truc c’est que sur un iPod Touch 3G ça rame un peu au démarrage et pendant le jeu parfois aussi (notamment quand le Game Center vous dit cette phrase inutile “Welcome back pseudo”), assurez-vous donc de tuer toutes les applications que vous n’utilisez pas dans le multitâches pour avoir un jeu le plus fluide possible.

Lien AppStore : Subway Surfers